jeudi 27 octobre 2011

Salut, à ceux qui se posent des questions sur le grand cinéma que l'on nous fait. Pour moi, c'est la même.

Ah, là, là, mes trois chers lecteurs que c'est dur !
L'Europe va recapitaliser ses banques. Paraît-t-il sans l'aide de l'état.
Donc, en attendant, et à mon avis, jusqu'à l'approche de l'élection présidentielle en France, le crédit sera restreint puisqu'elles utiliseront les fonds pour se renforcer.
Alors, quid de la croissance ?
Déjà, que le gouvernement français avait sorti un chiffre bidon, à l'instar de Christine Lagarde, en son temps, du genre, 1,7%.
Que maintenant, il situe vers les 0,quelque chose.
A mon avis, la relance, n'est pas pour demain. En tout cas, pas avant cette fameuse élection présidentielle.
Le temps de bien plonger dans la récession.
Vous me direz, comme sarko, "la notation AAA".
En fait, c'est quoi cette fameuse notation et là, je vous préviens mes chers quatre lecteurs, je vais être impoli, et bien cela veut dire, que le marché "nous tient par les couilles", tout simplement.
Par contre, la grande messe de Bruxelles me fait m'interroger, "Si, les banques peuvent trouver de l'argent aujourd'hui, pourquoi, leur a-t-on donné de l'argent public, il n'y pas si longtemps ?"
Question bête, me direz-vous.
Parce qu'elles ne s'accordaient plus de crédit entre-elles, me répondriez-vous.
Ah, mais, chez qui les banques françaises vont se financer, si, les américaines leur font faux bond ?
Chez les chinois, mon capitaine et peut-être, même, chez les Emirats Arabes.
Chinois, qui, d'ailleurs, n'en ont rien "à foutre" des agences de notation.
Nous, les européens et particulièrement, les français, nous rampons devant elles.
On ne se demande même pas, qui actionnent ces fameuses agences et si, elles sont fiables. Parce qu'après tout, elles ont montré dans un passé récent qu'elles s'étaient graves plantés, sans compter que certaines avaient manipulé les marchés.
Alors, au lieu, de les mettre en accusation, tout le monde se laisse accuser par elles.
Ne serait-il pas plus intéressant de les supprimer, car, après, tout, l'investisseur, notamment en bourse, doit prendre ses risques. N'est-ce pas là, l'essence du capitalisme.
Est-il morale, éthique, tout ce que vous voudrez, de laisser des agences, en petit nombre, diriger le monde à la place des gouvernements.
Parce que, que fait, sarko, en ce moment, à part faire le toutou pour ces gens-là, en nous faisant, à nous, les citoyens, avaler la gamelle.
Il est de notoriété publique que les agences ont manipulé les marchés.
Quelqu'un a été en prison ?
Que nenni, mon prince, ce sont des délinquants en redingote, même pas en col blanc. Ils sont intouchables.
Pourtant, ils ont ruins des millions de gens.
Et, alors, les péquins en question n'avaient qu'à pas les écouter. C'est les risques, ils les ont pris, ils paient.
Et, les responsables ?
Quoi, encore, les responsables, eh bien, les responsables continuent tranquillement comme avant, c'est tout, y'a pas à chercher la poutre dans l'oeil du voisin.
Seulement, le problème qui se pose, c'est que ces agences nous entraînent dans un cycle que nous pourrions qualifier de "à l'indienne". La dette augmentant d'une manière exponentielle, elle ne pourra jamais être acquittée.
Donc, tous nos bien appartiennent aux créanciers, le marché.
Retour, chez moi, à 20 heures, fatigué. En France, c'est les vacances des enfants.
A bientôt.
René.

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