dimanche 30 octobre 2011

Salut à tous les compagnons de la misère qui se soûlent au mauvais vin pour oublier. Désolé, nous ne sommes plus capables de vous aider à redevenir des hommes ou des femmes debouts. Pouvez-vous, nous pardonner ?

La violence peut-elle être citoyenne ?
Sur cette question, toutes les révoltes populaires nous ont répondu.
Elle est légitime lorsqu'une violence d'état ou de groupes organisés soutenus par l'état s'exerce contre le citoyen et tente de le réduire à l'état de sujet corvéable à merci, sans plus d'avenir que son aliénation et celles de ses enfants.
Elle est violence lorsque l'état se détournant de l'intérêt de la majorité se met au service exclusif d'une minorité d'entre-eux.
Elle est violence lorsque la majorité a faim et a peur du quotidien.
Oui, à ce croisement des violences, la violence citoyenne est justifiée et nécessaire.
Mais, avant d'en arriver là, d'autres voies peuvent être explorées, dont l'une d'elles est l'action non violente ciblée.
Sauf, qu'elle ne concerne que ceux qui sont concernées par la cible, les agriculteurs pour les OGM, les objecteurs de conscience pour l'armée, etc.
A chaque manifestation, elle éveille un écho favorable dans la masse des citoyens et participe à l'élaboration d'une prise de conscience.
Aujourd'hui, où la violence d'état (et, là, je parle de la réduction ou les suppressions de la solidarité institutionnelle envers le citoyen) s'exerce au nom d'une nébuleuse boursière et financières, industrielle, la réponse s'impose différente.
A mon avis, elle doit concerner, la déconnexion du citoyen vis-à-vis de l'état.
Un peu, comme, on éteint la lumière, Plouf ! Plus rien !
C'est bien pour cela qu'elle s'adresse directement à chaque citoyen ou être humain et ne passe pas par une organisation politique ou syndicale.
Il faut arrêter de nourrir la bête !
Il ne faut plus alimenter l'appareil d'état, arrêter d'être citoyen, redevenir des hommes et des femmes, simplement.
Si chacun de nous en prend conscience, si chacun agit par lui même, sans attendre que des mots d'ordre soient donnés, alors, il aura recouvré sa liberté et fera tomber les chaînes qu'ils nous imposent.
Si, l'état renie les liens qui le lie aux citoyens, alors, le citoyen doit se détacher de ses devoirs que lui impose l'état.
Bon, je m'arrête, parce que j'écris cela, après avoir lu des articles sur Henry David Thoreau, , un libertaire écologiste qui a sévit aux Etats-Unis dont les années 1870, dans le magazine "Philosophie", n°51, juillet/août.
D'où, cet question, mes chers quatre lecteurs, si, l'état devient envers nous prédateur, arrêtons de le soutenir, arrêtons de payer nos impôts qui le nourrissent et qu'il redistribue au bénéfice des groupes bancaires.
OK, j'arrête dans l'élaboration de l'idée que je me fais d'un citoyen idéal, car, tout autour de nous le monde continue à nous oppresser.
D'ailleurs, je salue la nomination d'un salopard de spéculateur, ex conseil à Goldman Sach, à la tête de la Banque Centrale Européenne à la place de Jean-Claude Trichet.
Après, vous ne me direz pas que les présidents européens, sarko et Angela Merkel ne continue pas leur travail de sape en faveur de la finance international.
Ce type, au niveau de l'Europe, va parachever le travail de liquidation de ce qu'il reste des états providences européens.
Les spéculateurs internationaux, notamment américains, nous ont attaqué de l'extérieur avec les dettes souveraines et maintenant, ils vont nous attaquer de l'intérieur avec la nomination de leur représentant à la tête de la banque européenne.
A mon avis, ce type va affaiblir la BCE.
Après, cela va être sauve-qui-peut !
Que va-t-il nous rester, à part la révolte ? Citoyenne, entre-nous.
Parce qu'entre-nous, le gouvernement a dans le collimateur les retraites qu'il veut faire baisser, peut-être, nous obliger à accepter le fond de pension que cherche à mettre en place son frère, faire comme les belges.

(source : le Soir.BE) journal belge.

"L’épargne-pension gagne en popularité.
dimanche 30 octobre 2011, 09:30

Environ 2,7 millions de personnes en Belgique épargnent pour leur pension et cela se fait de plus en plus souvent via une assurance-épargne, qui offre plus de sécurité que le fonds d’épargne-pension, écrit De Zondag.

Auparavant, c’était surtout les fonds d’épargne-pension (via les banques) qui attiraient les Belges désirant épargner en offrant un haut rendement, mais actuellement, les assurances épargne-pension (via les assureurs) sont plus rapidement choisies.
Ainsi, en 2009, 1.367.469 personnes qui épargnaient pour leur pension ont fait appel à un assureur, ce qui correspond à 50,59 % de tous les épargnants de pension. Le chiffre est passé à 1.401.189 en 2010.
« Nous remarquons une évolution progressive au sein des épargnes-pensions, une formule d’assurance qui a actuellement une légère avance en nombre d’épargnants par rapport au fonds d’investissement », souligne Wauthier Robyns, porte-parole de la fédération Assuralia".

Comme, je vous le disais précédemment, un citoyen conscient évite de nourrir la spéculation international qui détruit des emplois et qui risque en cas de faillite de vous plonger dans la misère. Le frère de sarko s'imagine qu'il va pouvoir spéculer avec votre retraite, et....mettre des ouvriers français au chômage en découpant l'entreprise en secteur "vendable".
Nous, citoyens conscients de la misère que ces gens là génèrent, "Arrêtons cela !"
Oui, arrêtons cela, avant qu'ils nous mettent tous au chômage, avant qu'ils nous réduisent tous à la misère.
Dans ma région, une maison peut coûter à louer 600 euros avec du terrain. A plusieurs RMistes ou chômeurs, vous pouvez la louer, mais, il faut avoir une ou deux voitures, pas forcément des neuves. Vous avez vos poules pondeuses, vos lapin, votre jardin potager et le reste de votre énergie vous la dépenser, soit à trouver du travail, soit, à créer votre propre travail.
La ville est devenue une zone toxique, laisser la à la bourse et tirer-vous !
A bientôt.
René.

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