dimanche 28 février 2021

 (Cette nouvelle est plus importante que l'histoire du covid 19, que celui-ci camoufle pour qu'elle passe inaperçue. Désormais que l'eau est côtée en bourse de wall street (toujours l'oligarchie américaine), l'eau n'appartiendra plus aux peuples, mais aux sociétés privées et le prix va exploser.

Ceux qui ne pourront pas payer, en plus de l'alimentaire, du logement, de l'électricité (privatisée), plus le déplacement, ça sera la rue directe. Bizarrement, personne n'en parle, ni partis politiques, ni syndicats, bref, on est tout seul.
Et, ça, c'est encore une saloperie à ajouter à tout ce que l'oligarchie américaine fait subir à la planète.

Si personne ne réagit alors attendons-nous qu'il nous fasse payer un jour l'air que l'on respire et qu'ils ont pollué. note de rené)

L’eau devient cotée en bourse à Wall Street, une menace pour son statut de bien commun

23 décembre 2020 - Augustin Langlade source : La Relève et la Peste

L’alternance des périodes de sécheresse intense et de pluies abondantes conduit les prix de l’eau à subir des variations continuelles, et les agriculteurs à rencontrer des pénuries successives. C’est ainsi que le monde financier, profitant de cette faille systémique, a eu l’idée de monétiser la ressource indispensable à la vie.





Un marché financier d’un tout nouveau genre vient d’ouvrir ses portes aux États-Unis. Et c’est terrifiant. Depuis un peu moins de deux semaines, il est désormais possible pour les investisseurs de parier sur l’évolution du cours de l’eau en Californie, au même titre que le blé et le pétrole. Inutile de préciser que c’est la première fois.

La création de ce marché avait été annoncée en septembre dernier, alors que des incendies gigantesques, renforcés par le réchauffement climatique, ravageaient les États les plus à l’ouest de la première puissance mondiale, en particulier la Californie. Selon l’opérateur boursier américain Chicago Mercantile Exchange, il s’agissait officiellement de :

fournir « aux utilisateurs agricoles, commerciaux et municipaux d’eau une plus grande transparence, une meilleure détermination des prix et un meilleur transfert des risques, ce qui peut contribuer à aligner plus efficacement l’offre et la demande de cette ressource vitale ».

Adossés à un indice créé en 2018, le Nasdaq Veles California Water, des contrats à terme (appelés « futures » en anglais) peuvent maintenant être échangés sur le Chicago Mercantile Exchange (CME), l’un des deux principaux marchés à terme américains.

Destinés au départ aux marchés agricoles, les contrats à terme correspondent à des engagements fermes conclus à une date antérieure à la livraison des produits. C’est une sorte de pari sur l’avenir : on s’engage à acheter ou vendre un actif dans le futur, selon des conditions définies à l’avance.

Dans le cas de l’eau, si le cours augmente dans les mois qui suivent, le pari est gagnant ; si le cours baisse, il est perdant. Il existe des contrats à terme sur presque toutes les matières premières du monde, pétrole, blé, maïs, soja, bétail, et jusqu’au jus d’orange.

Lire aussi : « Main basse sur l’eau : la nouvelle guerre a déjà commencé »


Crédit : MRJN

Pourquoi un tel marché est-il ouvert pour la première fois en Californie, et pas ailleurs ? Derrière la Chine et l’Inde, les États-Unis constituent le troisième plus grand consommateur d’eau douce au monde (ou le second selon d’autres mesures), alors qu’ils n’hébergent que 5 % de sa population.

La Californie quant à elle consomme presque 10 % de l’eau de ce payscomptant pourtant cinquante États. Entre 2012 et 2019, les ventes d’eau californiennes ont avoisiné les trois milliards de dollars.

L’écrasante majorité de cette ressource vitale (entre 40 et 50 %) y est engloutie par les activités agricoles, notamment la culture d’amandes et de pistaches, que la Californie exporte dans le monde entier. Mais pour faire pousser une seule petite amande, il faut en moyenne douze litres d’eau, ce qui crée un stress hydrique d’autant plus fort que les années se font de plus en plus sèches.

L’alternance des périodes de sécheresse intense et de pluies abondantes conduit les prix de l’eau à subir des variations continuelles, et les agriculteurs à rencontrer des pénuries successives. C’est ainsi que le monde financier, profitant de cette faille systémique, a eu l’idée de monétiser la ressource indispensable à la vie.

Selon l’argumentaire présenté par le CME, l’indice Nasdaq Veles California Water « suit le prix des droits sur l’eau dans les cinq régions les plus importantes et les plus négociées de l’État de Californie ». De ce fait, il fournira un indicateur de rareté, c’est-à-dire « une plus grande transparence, une surveillance et une connaissance des prix pour l’industrie de l’eau et ses participants ».

Les agriculteurs désireux d’acheter davantage d’eau qu’ils n’en possèdent sur leurs terrains pourront donc se tourner vers une place financière, au lieu de se la procurer auprès des opérateurs publics…

Lire aussi : « Inédit : Paris va subventionner l’agriculture biologique pour améliorer la qualité de l’eau »

Mais cette introduction de l’eau californienne en bourse signe aussi la possibilité de toutes les dérives, pour deux raisons. La première tient à la nature même des contrats à terme, dont les marchés sont connus pour être l’objet de spéculations massives. En théorie, ces actifs fournissent une couverture pour les agriculteurs ; en pratique, ils offrent un nouveau terrain de jeu aux spéculateurs, qui peuvent espérer tirer parti des mouvements du marché, voire des vagues annuelles de sécheresse et des incendies.

Un exemple. Si à l’ouverture du marché, un acheteur s’empare d’un très grand nombre de contrats à terme sur l’eau, il pourra faire gonfler les cours en attendant que la sécheresse accentue les besoins hydriques et empocher l’argent des agriculteurs ou des consommateurs individuels.

Normalement, la spéculation sur les contrats à terme est sensiblement risquée, puisqu’il faut dépenser beaucoup d’argent engagé ferme pour influencer les marchés. Mais avec le réchauffement climatique, parier sur les périodes de sécheresse et de pénurie comportera de moins en moins de risques.

La deuxième raison relève de la dystopie. En monétisant son eau, la Californie constitue maintenant un précédent : l’eau n’est plus une ressource collective inaliénable. À terme, des marchés de ce genre pourraient ouvrir dans tous les États américains, voire dans le monde entier, l’eau ne devenant qu’une ressource rare comme les autres, à l’instar du pétrole ou de l’huile d’olive.

Dans le même temps, l’eau se raréfie, sous l’effet du réchauffement, de la hausse de la consommation et de l’augmentation des êtres humains. D’ici 2030, il se pourrait que 40 % de la population mondiale soit confrontée à des pénuries — et ce pourcentage pourrait s’élever de dix points d’ici 2050.

Si le XXe siècle fut celui de l’or noir, le XXIe siècle pourrait ainsi devenir celui de l’or bleu. Plus l’eau sera rare, plus elle rapportera d’argent. Les financiers l’ont compris et c’est pour cela qu’ils cherchent à inaugurer de nouveaux marchés, tout en poussant les États à privatiser les systèmes de distribution nationaux.

Mais ce n’est pas une fatalité. En France, plusieurs métropoles ont démontré qu’une gestion collective et vertueuse de l’eau est possible. À Paris, par exemple, la mairie a mis fin en 2009 à un épisode de privatisation catastrophique engagé sous le mandat municipal de Jacques Chirac.

Depuis lors, les prix ont non seulement baissé, mais la qualité de l’eau a été améliorée, sans que le service ait subi la moindre difficulté d’approvisionnement. Récemment, la mairie de Paris a même décidé de financer la transition des agriculteurs se trouvant sur ses surfaces de captage vers le biologique. Cette mesure de subvention constitue elle aussi un précédent. Vertueux.

La nouvelle équipe de la métropole de Lyon a également décidé début décembre de reprendre la main sur la gestion de l’eau, confiée depuis trente-huit ans à l’opérateur privé Veolia. C’était une promesse de campagne des écologistes, qui pourront compter sur l’aide de la mairie de Paris.

 

Cet Ougandais a trouvé une opportunité dans les déchets de banane

Cet Ougandais a trouvé une opportunité dans les déchets de banane
  • Date de création: 25 février 2021 18:13

(Agence Ecofin) - Si certains considèrent la tige de banane comme un déchet agricole, l’entrepreneur Ougandais Muturi Kimani a choisi de créer une activité génératrice de revenus à partie de cette matière. Il la transforme en fibres textiles pour la fabrication d’accessoires de mode et d’intérieur.

TexFad est une entreprise spécialisée dans la transformation de tiges de banane en produits textiles. Dans cet atelier situé dans la capitale Kampala, se trouvent des machines d’extraction qui permettent d’obtenir des fibres à partir de ces déchets agricoles. Les fibres sont par la suite séchées au soleil pour être utilisées dans la fabrication de divers accessoires. Parmi les produits, des tapis, des sets de table, des paniers et des tissus, tous tissés à la main. Les résidus produits lors de l’extraction sont utilisés pour fabriquer des briquettes de combustible.

Muturi Kimani, le fondateur de TexFad, nourrit une passion pour le tissage depuis son enfance, et a voulu développer cet intérêt dans la fabrication de textiles durables. Pour perpétuer son savoir-faire, il propose aux jeunes filles et aux femmes des formations professionnelles dans la création de produits artisanaux.

L’Ouganda est le 1er producteur de bananes en Afrique de l’Est. Plus de 75% des agriculteurs cultivent ce fruit qui constitue l’aliment de base du pays. Cependant, la plupart considèrent que les tiges de banane n’ont pas beaucoup de valeur. Lorsqu’elles ne sont pas abandonnées, elles servent d’aliment pour le bétail ou de compost. Cependant, elles peuvent aider à la fabrication d’un grand nombre de produits artisanaux et industriels.

TexFad s’approvisionne chez les producteurs de bananes au niveau local dont elle augmente les revenus. En recyclant les tiges de banane, elle contribue également à créer une nouvelle activité et de nouveaux emplois relevant de l’économie circulaire.

Parmi les obstacles qui ralentissent l’expansion de l’entreprise, le prix des machines d’extraction qui coûtent entre 1 000 et 10 0000 USD pièce. Muturi Kimani a également souligné lors d’un échange avec Business Insider, que la survenue de la Covid-19 n’a pas favorisé le développement de son activité. Pour cet entrepreneur qui rêve grand, la fibre de banane reste néanmoins un substitut durable du coton et de la soie. Il y voit d’ailleurs la prochaine grande innovation dans l’industrie du textile.

Fondée en 2013, TexFad emploie à ce jour 23 personnes et travaille avec de nombreux producteurs de bananes. L’entreprise compte dans sa clientèle des organisations internationales, des particuliers et des entreprises. À long terme, Muturi Kimani ambitionne de faire de TexFad un centre d’excellence en matière de création de textiles durables sur le continent.

Aïsha Moyouzame

 

Des fleurs à manger, l’idée d’une journaliste reconvertie dans l’agriculture en Tunisie

Des fleurs à manger, l’idée d’une journaliste reconvertie dans l’agriculture en Tunisie
  • Date de création: 26 février 2021 16:39

(Agence Ecofin) - Si les fleurs séchées sont déjà consommées en Tunisie, les fleurs fraîches sont elles, une nouveauté introduite par l’entrepreneure Sonia Ibidhi. Bien que le concept se heurte à certaines complications administratives, il a déjà séduit une clientèle dans les hôtels et restaurants luxueux du pays.

Dans la région montagneuse et humide de Tabarka en Tunisie, existe une ferme agricole de 5 hectares qui propose des fleurs comestibles et des fraises. Parmi les espèces cultivées, on trouve la bourrache, une fleur bleue en forme d'étoile qui a un goût de concombre, des fleurs de ciboulette, des violettes avec un goût d’oignon, ou encore des capucines, des fleurs jaune vif et/ou orange au goût de radis rouge. Elles peuvent être utilisées pour faire des soupes, des salades ou même des thés.

Sonia Ibidhi (photo) est une journaliste reconvertie dans l’agriculture par amour pour la terre. Elle a lancé son entreprise en 2019, après 4 années de planification. Elle a ramené de France des graines de plus de 40 variétés, et a commencé par produire une dizaine de types de fleurs. Pour y arriver, elle a vendu sa voiture pour créer son entreprise, et a par la suite reçu une subvention de 11 000 euros de la Banque africaine de développement, qui lui a permis de louer les terres utilisées pour la culture de ses plantes.

En Tunisie, certaines fleurs sont déjà utilisées pour cuisiner, comme les roses séchées émiettées sur certaines pâtisseries, ou la lavande utilisée dans un mélange d’épices pour le couscous traditionnel. Mais la dégustation de fleurs fraîches est une nouveauté, ce qui fait de cette ferme un projet unique en son genre. Il a d’ailleurs séduit de nombreux Tunisiens, à la grande surprise de Sonia Ibidhi :

« Je pensais que ces fleurs seraient destinées à l’exportation et qu’il n’y aurait pas d’intérêt immédiat sur le marché local, mais j’ai été surprise par la demande croissante, venant surtout de certains hôtels haut de gamme », a-t-elle déclaré à l’AFP.

Il y a un intérêt grandissant pour les fleurs comestibles dans des pays africains comme le Kenya, l’Afrique du Sud et tout récemment la Tunisie. Bien que la plupart des chefs étoilés les utilisent pour introduire une nouvelle esthétique et de nouvelles saveurs afin d’améliorer l’expérience des repas, elles ont une grande valeur nutritionnelle. Elles sont des antioxydants qui agissent sur l’humeur, et certaines sont également de bonnes sources en vitamines C, A et en calcium, à condition d’être consommées en grande quantité.

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La mise en place de ce concept novateur en Tunisie a rencontré plusieurs obstacles, notamment les démarches administratives difficiles auprès des autorités qui étaient sceptiques à l’idée de proposer des fleurs comestibles. Mais Sonia Ibidhi craint un problème plus grave, celui de perdre son terrain. Pour cause, elle n’a pas signalé aux autorités la culture des fraises, mais uniquement celle des fleurs comestibles. Un manquement que lui reproche l’Agence générale des forêts.

Malgré tout, les fleurs comestibles de Sonia Ibidhi ont séduit une clientèle haut de gamme dans les hôtels et restaurants luxueux du pays, en moins de 2 années d’existence. La jeune femme a également commencé à utiliser ses propres graines en plus de celles importées. A présent, elle espère voir ses fleurs devenir la nouvelle tendance culinaire dans le pays.

Aïsha Moyouzame

La révolution des matières premières | ARTE Regards

 (Les américains ont fait brûler les cultures pour affamer les syriens cet hiver et maintenant, l'aide alimentaire arrive au compte goutte. Si je n'étais pas "complotiste", je dirais que c'est fait exprès. note de rené)


UN: 60% in Syria do not regularly receive safe, nutritious food


February 27, 2021 at 10:18 am | Published in: Middle East Monitor

February 27, 2021 at 10:18 am


United Nations (UN) Under-Secretary-General for Humanitarian Affairs Mark Lowcock has statedthat some 60 per cent of the Syrian population do not receive enough regular safe and nutritious food.

"Around 60 per cent of the Syrian population, that's 12.4 million people, do not have regular access to enough safe and nutritious food," he announced. "An additional 4.5 million people have fallen into this category over the last year."

Lowcock stated: "This increase may be shocking, but it cannot be said to be surprising," explaining that "Syria's fragile economy has suffered multiple shocks over the past 18 months."

He added: "The substantial depreciation of the Syrian pound, which lost more than three-quarters of its value over the past year, has been one of the visible effects of this. While the value of the pound dropped, prices of food and other essential items increased by more than 200 per cent."

The UN official continued: "Purchasing power has dwindled substantially as a result. Average household expenses now exceed average income by an estimated 20 per cent. The result is that millions of Syrians are resorting to desperate measures to survive."

READ: Has the UN simply failed in Syria, or is it complicit in the regime's crimes?

"More than 70 per cent of Syrians say they have taken on new debt over the last year. Many are selling assets and livestock. Parents are eating less so they can feed their children, and they are sending them to work instead of school. Those who have run out of options are simply going hungry."

Lowcock elaborated: "More than half a million children under five in Syria suffer from stunting as a result of chronic malnutrition, according to our latest assessments. We fear this number will increase. These problems are visible in many parts of the country, but the situation is particularly bad in the north-west and the north-east, where nutrition surveillance data shows that up to one in three children in some areas suffers from stunting."

Lowcock reported a doctor at a paediatrics hospital explaining: "Of his 80 in-patient beds, half are occupied by malnourished children. Five children have died at his hospital as a result of malnutrition in the past two months."

He reported another paediatrician revealing that: "She diagnoses malnutrition in up to 20 children a day. But parents are bringing their children to her for completely different reasons, unaware that they are suffering from malnutrition."

Concluding his remarks, Lowcock stressed: "Perpetrators of serious violations and abuses of human rights and serious violations of international humanitarian law must be held accountable."

 (C'est quoi la société qu'ils veulent nous imposer aux States ? note de rené)


Le Dr Ben Carson, neurochirurgien pédiatrique à la retraite, a qualifié d’« abus d’enfants » la poussée de l’idéologie transgenre de gauche sur les enfants.(USA)

source : Anguille sous Roche

Flickr by Gage Skidmore

M. Carson, qui a occupé le poste de secrétaire américain au logement et au développement urbain de 2017 à 2021, a fait ses commentaires lors de l’édition de vendredi du Breitbart News Daily de SiriusXM avec l’animateur Alex Marlow.

Breitbart rapporte : Les démocrates et la gauche élargie considèrent régulièrement le dimorphisme sexuel humain comme une construction sociale arbitraire.

Marlow a rappelé l’audience de confirmation de jeudi pour le Dr Rachel Levine, un homme qui se décrit comme une femme.

« On nous dit qu’il est scientifique de permettre aux enfants de changer de sexe, que ce soit par des traitements ou des opérations », a déclaré M. Marlow. « Ce n’est pas de la science. C’est tellement plus que cela, mais donnez-moi votre sentiment sur quelqu’un qui a vécu sa vie comme une personne scientifique. »

Carson a répondu : « Eh bien, je pense qu’ils ont complètement négligé la biologie. La biologie nous dit qu’il y a des hommes et des femmes, et il y a une raison à cela, et nous savons aussi que le cerveau humain est un organe incroyablement complexe et qu’il n’est pas complètement développé avant le milieu ou la fin de la vingtaine. »

« Alors pourquoi interroger un préadolescent sur ces questions complexes ? » a demandé Carson. « Pourquoi leur compliquer la vie ? Les enfants sont curieux par nature, et bien sûr ils vont poser des questions et explorer des choses. Cela ne veut pas dire qu’ils veulent changer de sexe. Et les embrouiller de cette façon, je pense que c’est de l’abus d’enfant. Cela n’a certainement rien à voir avec la science. Ces choses radicales vont en fait ruiner la vie des gens à long terme. »

Écoutez :

Jeudi, Levine a refusé de rejeter le traitement médical « transgenre » pour les enfants lorsqu’il a été invité à le faire par le sénateur Rand Paul (R-KY). Ces pratiques médicales comprennent les médicaments qui entravent la puberté et le développement sexuel ainsi que les mutilations chirurgicales des organes génitaux.

M. Marlow s’est interrogé sur la censure politique de gauche liée au rejet de la biologie humaine par la gauche.

« Il semble qu’il s’agisse d’un problème où les gens ne se font pas assez entendre », a fait remarquer Mme Marlow, « et si vous vous exprimez, votre livre est annulé, vous êtes jeté hors des médias sociaux, vous ne pouvez pas dire qu’un homme est un homme ou qu’une femme est une femme, ou bien vous risquez l’annulation. »

M. Carson a souligné la valeur du courage. Il a répondu : « Eh bien, vous savez, c’est dans notre hymne national et dans la dernière ligne de la première strophe. Il dit : “La terre des libres et la maison des braves”. Vous ne pouvez pas être la terre de la liberté si vous n’êtes pas la patrie des braves. Vous devez être prêt à vous lever. »

Il a poursuivi : « Il y a peut-être des conséquences, et alors ? Il y a eu des conséquences pour nos fondateurs, mais s’ils n’étaient pas prêts à accepter ces conséquences, nous serions toujours sous la domination britannique. Alors, arrêtez de vous comporter comme des poulets, et allez vous battre pour ce en quoi nous croyons. Si nous leur permettons simplement d’avoir une plateforme et de tout dicter sans résistance, alors ils gagnent. »

« S’ils gagnent, non seulement le pays perd, mais le monde perd », a conclu M. Carson, « parce que les gens oublient comment était le monde avant que les États-Unis ne soient sur la scène – une bande de dirigeants despotiques qui ont simplement piétiné tous ceux qu’ils pouvaient. Cela reviendra à cela, je vous le garantis. »

Lire aussi : La secrétaire d’État adjointe de la Santé de Biden veut des changements de sexe pour les jeunes enfants 

 (La nouvelle société se dessine grâce au covid 19. La crise économique de 1929-30 aux States a permis de remodeler la société américaine. Cette fois-ci, ils sont passé par un virus pour faire la même, mais, cette fois-ci au niveau mondial et le résultat sera le même. note de rené)

A Whopping 91% Of US Restaurants Will Invest In Kitchen Automation, Says Survey 

Tyler Durden's Photo
BY TYLER DURDEN
SATURDAY, FEB 27, 2021 - 22:00

The virus pandemic did not change the trajectory of where the restaurant industry was headed, but it did force years of change in a short period. Restaurants are embracing artificial intelligence and automation to revolutionize their business models. 

A new report via payments company Square titled "Future of Restaurantsdiscusses an overview of how technology is sweeping through the industry. Square partnered with Wakefield Research to survey 500 restaurant owners and managers across the country. 

They found an overwhelming number of owners and managers are pivoting towards automation in the kitchen and embracing the hub-and-spoke model. 

About 91% of respondents said they have made or planning to make investments in kitchen automation technology.

So what's the rush to digitize the backend of a restaurant? 

Well, as explained by Bruce Bell, Head of Square for Restaurants, he said:

"We're seeing more of a hub-and-spoke model with the kitchen at the center of it all. Restaurants embrace new channels for customers to interact with their business, effectively meeting them wherever they are. Each of these channels represents a revenue stream for the restaurant, and they connect to the same kitchen and are all managed by the same centralized POS system." 

Bell is essentially saying restaurants, via investments in kitchen automation technology, will be able or have already been able to pivot to various revenue streams at a moment's notice, such as making meal kits, dining room, groceries, delivery, among others. 

"One channel might be the dining room, one channel might be first-party delivery, one channel might be meal kits, and so on," added Bell. "Having the kitchen run as efficiently as possible extends that efficiency into all of those channels."

Square said one respondent, Mediterranean fast-casual chain The Kebab Shop, already invested in kitchen automation technology when the pandemic struck, and quickly allowed it to pivot to curbside pickup and delivery. 

"We're really lucky that we keep everything in the same ecosystem," owner Wally Sadat explained. "We were already digital-forward, so when it came to implementing something on the fly, like during COVID, we were in a good position."

Other notable stats from the survey shows how restaurants are rapidly evolving in a post-COVID world: 

  • 3 in 4 restaurants plan on offering contactless ordering and payment options across all channels.
  • 59% of consumers are willing to buy items that are not part of the restaurant's core offerings.
  • 42% of restaurants plan to invest in customer loyalty programs
  • Restaurants that are using online ordering for delivery and takeout expect 62% of revenue to come through those channels.
  • 67% of consumers prefer to use a restaurant's own website or app for food delivery.
  • 92% of restaurant owners and managers are open to experimenting with their menu.
  • 88% of restaurants would consider completely switching from physical to digital menus.

... and as readers may know when artificial intelligence and automation are embedded into company businesses models - they become job killers - suggesting technological unemployment will soar through this decade. 

How will the economy replace the millions of jobs lost if technology displaces them?  

 (Ils ne peuvent soumettre la Russie et ils sont pressés, donc l'option de la guerre est sur le tapis. note de rené)


Les généraux de Washington et leurs efforts pour se préparer à une guerre nucléaire

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par Brian Cloughley.

Les généraux du Pentagone battent leurs tambours de guerre et le président n’a encore rien fait pour les contenir.

Certains hauts généraux et amiraux de Washington et des environs sont très occupés ces derniers temps, et leurs activités, bien qu’agressives, n’a rien à voir avec les opérations de combat en cours. Ils tentent plutôt d’influencer l’administration du président Joe Biden afin de restructurer les forces militaires, d’agrandir l’arsenal nucléaire et d’accroître les capacités de combat spécifiques. Tout cela est ce que l’on peut attendre de ceux dont les activités et les dispositions visent à organiser la destruction et la mort, mais la manière dont leurs aspirations sont exprimées n’est pas conforme à ce que l’on pourrait attendre du personnel militaire dans une démocratie.

Le Département américain de la Défense est désormais dirigé par un général à la retraite nommé par M. Biden qui a oublié la directive concernant les « activités politiques des membres des forces armées » qui stipule que « les membres en service actif ne doivent pas se livrer à des activités politiques partisanes ».

Cette instruction de longue date a été réitérée pour la dernière fois en 2008, mais on ne peut pas dire que les généraux et amiraux en aient suivi la lettre ou l’esprit, et les échelons actuels des officiers supérieurs semblent déterminés à la bafouer en publiant largement leurs points de vue personnels concernant la posture militaire de leur pays. Il s’agit là, selon toute interprétation, d’une « activité politique partisane ». Aucun gouvernement ne devrait tolérer l’ingérence des militaires.

Le 2 février, le chef d’état-major de l’armée de l’air américaine, le général Charles Q. Brown, et le commandant du corps des Marines, le général David H. Berger, ont publié dans le Washington Post un article d’opinion dans lequel ils expriment leur soutien global à la stratégie de défense nationale de 2018 mais se plaignent que « celle-ci n’a pas modifié les priorités d’investissement en matière de défense à l’échelle ou dans la mesure nécessaire pour préparer l’armée américaine à la compétition entre grandes puissances ». En d’autres termes, ils considèrent que leurs énormes forces armées, qui coûtera cette année 740 milliards de dollars, ne sont pas prêtes pour la guerre, bien que leur utilisation de l’argent des contribuables soit 11 fois supérieure à celle de la Russie et trois fois supérieure à celle de la Chine.

Pour ne pas être en reste de déclarations publiques, le lendemain, le commandant des forces armées américaines en Europe et en Afrique, le général Christopher Cavoli, prononçait un discours dans lequel il déclarait que « l’armée américaine a besoin de plus d’artillerie à longue portée et d’autres armements avancés installés en Europe pour pouvoir affronter les forces ennemies… ». Il est raisonnable de se demander si ce genre d’opinion politique est approuvé par le nouveau président.

Puis le chef du commandement stratégique, la personne responsable, entre autres, de la « dissuasion stratégique ; des opérations nucléaires et des opérations spatiales », l’amiral Charles Richard, publiait son point de vue personnel sur l’utilisation future des armes nucléaires. Dans l’édition de février du magazine de l’Institut naval, l’amiral Richard a écrit que la Russie et la Chine « ont commencé à défier agressivement les normes internationales et la paix mondiale en utilisant des instruments de puissance et des menaces de force d’une manière jamais vue depuis le sommet de la Guerre froide ». Cette personne responsable de l’emploi des armes nucléaires soutient qu‘il existe « une réelle possibilité qu’une crise régionale avec la Russie ou la Chine puisse rapidement dégénérer en un conflit impliquant des armes nucléaires, si celles-ci percevaient qu’une défaite conventionnelle risquait de menacer leur régime ou leur État… ».

Ce n’est pas une coïncidence si, début février, le Pentagone ordonnait à deux groupes d’attaque de porte-avions américains, dirigés par les USS Theodore Roosevelt et Nimitz, d’effectuer des manœuvres en mer de Chine méridionale.

Le Navy Times rapportait que « le groupe d’attaque du Roosevelt comprend la 11e escadre aérienne, le croiseur à missiles guidés Bunker Hill, l’escadron de destroyers 23 [six navires] et les destroyers à missiles guidés Russell et John Finn. Le groupe d’attaque du Nimitz comprend l’escadre aérienne 17, le croiseur à missiles guidés Princeton, le destroyer à missiles guidés Sterett et le personnel de l’escadron de destroyers 9 et du groupe d’attaque des porte-avions 11 ».

La mission de cette énorme force (qui compte au total 120 avions de chasse), selon l’amiral James Kirk, commandant le groupe d’attaque du Nimitz, était de garantir « l’utilisation légitime de la mer dont toutes les nations bénéficient en vertu du droit international », et il a été rejoint par son collègue, l’amiral Douglas Verissimo du groupe d’attaque du Roosevelt, qui a déclaré « nous sommes déterminés à promouvoir une zone Indo-Pacifique libre et ouverte ». De toute évidence, aucun des deux n’est conscient que les États-Unis refusent de ratifier la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, qui est considérée comme « la constitution des océans et représente le résultat d’un effort sans précédent, et jusqu’à présent unique, de codification et de développement progressif du droit international ». Mais cela n’empêche pas les amiraux de ces groupes d’attaque d’être fiers de leurs missions provocatrices en mer de Chine méridionale qui semblent surtout destinées à pousser la Chine à réagir.

Dans ce contexte, il est inquiétant que le chef du commandement stratégique américain ait déclaré : « Il existe une réelle possibilité qu’une crise régionale avec la Russie ou la Chine puisse rapidement dégénérer en un conflit impliquant des armes nucléaires, si ces pays perçoivent qu’une défaite conventionnelle risquait de menacer leur régime ou leur État… ».

Les forces américaines menacent la Chine dans la mer de Chine méridionale et confrontent la Russie tout au long de ses frontières – plus récemment dans la mer Noire où la marine américaine a déployé deux destroyers de missiles guidés en janvier. Selon le commandement américain en Europe, ces navires font partie de la sixième flotte qui est basée en Méditerranée « afin de promouvoir les intérêts nationaux des États-Unis ainsi que la sécurité et la stabilité en Europe et en Afrique ». Ces mêmes intérêts sont défendus par la « China Task Force » du Pentagone, dont le président Biden a annoncé la création le 10 février dernier. La mission de cet organisme de planification de la guerre est de procéder à un examen de la « stratégie et des concepts opérationnels, de la technologie et du dispositif de force » des États-Unis, conformément à la déclaration de Biden selon laquelle « c’est ainsi que nous relèverons le défi que nous tend la Chine et que nous veillerons à ce que le peuple américain remporte la compétition pour le futur ».

Oncle Joe a donc apparemment rejoint les généraux dans leur poursuite incessante de la domination militaire mondiale. De plus, il semble avoir accepté la nouvelle « Ground-Based Strategic Deterrent » ou GBSD, que le Bulletin of the Atomic Scientists décrivait, le 8 février, comme « une nouvelle arme de destruction massive, un missile nucléaire de la longueur d’une piste de bowling. Il sera capable de parcourir environ 6 000 miles, en portant une ogive plus de 20 fois plus puissante que la bombe atomique larguée sur Hiroshima. Elle sera capable de tuer des centaines de milliers de personnes en un seul tir. L’armée de l’air américaine prévoit d’en commander plus de 600 ».

Ce saut imminent vers une catastrophe mondiale est conforme à la déclaration de l’amiral Richard du Commandement stratégique selon laquelle « l’armée américaine doit faire passer son hypothèse principale de « l’emploi du nucléaire n’est pas possible » à « l’emploi du nucléaire est une possibilité très réelle », et agir pour répondre à cette réalité et la décourager ».

Les officiers supérieurs de l’armée préparent les citoyens à un holocauste nucléaire définitif – car il ne peut y avoir de guerre nucléaire limitée – et l’oncle Joe Biden leur permet de communiquer directement leur opinion personnelle au peuple. Il montre son approbation envers leur « activité politique partisane », car il y a plusieurs millions d’Américains qui, par exemple, sont en désaccord avec le programme GBSD et même un très grand nombre qui soutient l’élimination de toutes les armes nucléaires.

Les généraux du Pentagone battent leurs tambours de guerre et le président n’a encore rien fait pour les contenir. Prendra-t-il seulement des mesures pour mettre fin à cette course à la guerre nucléaire ?

source : https://www.strategic-culture.org/news

traduit par Wayan, relu par Jj pour le Saker Francophone

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