dimanche 23 octobre 2011

Salut aux impotents en France, sarko, vous a lâché. Comme tant d'autres !

Alors, mes quatre chers lecteurs, comme, je vous l'avais promis, je vous faire suivre la construction de mon prochain roman. Pour le moment, il n'a pas de titre et je ne sais pas ce qu'il raconte. En tout cas, en voici, l'introduction.
Il se construira au fur à mesure sous vos yeux.
Tous commentaires seront les bienvenus, même, celui-là, "Tu nous pompes l'air avec tes conneries, dégage !"
Comme, je suis modeste, j'accepte d'avance sans exploser mon ordinateur.

"Là, tout de suite, je regarde le pistolet à barillet que je tiens fermement dans ma main.
Je le contemple sans penser à rien, sans fascination aucune.
Je l’élève jusqu’à ma tempe et j’y appuie le canon.
La sensation est froide, sans plus.
Quelle connerie la vie.
Mon esprit se vide, mes membres s’engourdissent.
Le canon se détourne pour se diriger vers l’autre connard, de l’autre côté de la table, en face de moi.
Il se plaque sur sa tempe, à lui.
Mon doigt, sans que je l’y invite, complètement autonome, appuie sur la détente.
La déflagration me vrille les oreilles avec cette impression d’avoir réveillé tout le quartier.
La tête explose, expulsant ses morceaux de cervelles mélangées de sang sur le mur.
Une impression de ralenti me dégoutte, je vois son torse s’effondrer sur la table et renverser son verre à moitié bu.
Le whisky se répand sur la table et quelques gouttes mouillent mon pantalon.
C’est idiot, moi, je suis vivant, lui, il est mort.
Quel pari à la con.
C’est lui qu’il l’a voulu après avoir grave chargé en whisky.
C’est comme ça dans une soirée, y’a toujours une bête idée qui vous traverse le crâne.
Lui, ça avait été la roulette russe avec un flingue et deux vieilles balles achetées dans un vide grenier.
Résultat, il ne cassera plus les couilles à personne.
Que faire ?
Le laisser là, à réfléchir sur sa connerie et me pieuter ?
Après tout, je suis naze.
Seulement, avant d’aller me coucher, il va falloir effacer mes empreintes et lui coller le pistolet dans la main.
Pour le reste, tout le monde sait dans le quartier qu’on est pote et qu’on a l’habitude de finir la soirée chez lui.
Les voisins aussi connaissent ma tronche, vu, qu’ils leur arrivent de frapper à la porte pour gueuler à cause du bruit.
Sauf, que là, ils doivent tous ronfler.
A trois heures du mat, personne n’a moufté.
Une fois la porte refermée, je descendis l'escalier.
Pas âme qui vive.
Cool !
Habitant, pas très loin, je fus vite chez moi.
Tout habillé, je plongeais direct dans mon lit.
Le sommeil m’emporta."

A oart ça, reprenons, nos commentaires acerbes sur un monde qui nous pourrit la vie.
Et, en glissant entre parenthèse, que cela ne risque pas d'arriver à la France, trop occupée par la Lybie et qui s'imagine, que les contrats que kadhafi n'a pas voulu honorer va justifier la réélection de sarko.
Sans compter, qu'il y a un contentieux avec l'Angola.
En attendant, d'autres se placent.

(source : Afrique en ligne)

"Actualité Angola, actualité, information Angola

Dilma Rousseff du Brésil en visite officielle en Angola
Brésil-Angola - La présidente du Brésil, Dilma Rousseff, est arrivée mercredi soir à Luanda, pour une visite officielle de 48 heures, en Angola destinée au renforcement de la coopération bilatérale. Elle est à la tête d'une délégation notamment composée des ministres des Affaires étrangères, António Patriota, du Développement, de l'Industrie et du Commerce, Fernando Pimentel, et d'un groupe d'hommes d'affaires brésiliens."

Sauf que, moi, j'en ai rien à foutre de la Libye en tant que consommateur, l'essence à la pompe me coûte "bonbon".
Moi, c'est tout ce que je voie, c'est que les contrats libyens ne vont pas améliorer ma situation, vu, que Total, même, en relançant l'extraction, ne baissera pas ses prix à la pompe.
Alors, arrêtez de nous la faire à l'envers avec la Libye !
La mort de kadhafi ne change pas ma situation.
Et, surtout, qui va nous rembourser les frais de l'intervention. Pour l'instant, c'est le budget de l'armée française qui paie. Et, de budget, elle n'en a plus, grâce à l'interventionnisme colonialiste de notre président national.
Alors, moi, je vous le dis, mes quatre chers lecteurs, c'est nous qui allons payer.
Avec, quel fric ?
Mystère ?
Et, je pense que je suis un peu fatigué, donc, mes quatre chers lecteurs, je vous lâche.
A bientôt.
René.

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