samedi 30 avril 2016

Documentaire Sur La Nanotechnologies Nouvelle Révolution [Enquête Exclu...

LES NANOPARTICULES

Des nanoparticules contre le cancer: Laurent Levy at TEDxParis

France 3 Bretagne-Nanoparticules dans les produits au pouvoir blanchissant

Bayramtepe, l’Eldorado perdu des Kurdes syriens

On compte un nombre important de Kurdes parmi les quelque deux millions et demi de Syriens réfugiés en Turquie. Venus chercher du travail dans l’ouest du pays, ils optent généralement pour les quartiers à prédominance kurde, pensant pouvoir compter sur la solidarité des Kurdes de Turquie. Mais à Bayramtepe, l’un des quartiers d’Istanbul où ces réfugiés se sont installés en masse, la cohabitation avec la population locale est parfois délicate. Sans aide de l’État, livrés à eux-mêmes et inquiets des tensions politiques qui traversent le pays, de nombreux réfugiés optent pour le retour au pays tandis que d’autres tentent la traversée vers l’Europe.
Dans la banlieue nord-ouest d’Istanbul, les tours rutilantes de l’arrondissement de Basaksehir déploient leur luxe moderne. De nombreux Stambouliotes aisés payent le prix fort pour s’installer dans l’un des multiples gratte-ciels disposant de leurs propres supermarchés, salles de sports et dont l’accès est surveillé nuit et jour par des gardiens. Sur la colline d’en face s’étendent les petites maisons de bric et de broc et les immeubles croulants de Bayramtepe.
Ahmad est attablé dans un café près du petit parc, fréquenté par les enfants qui vont y jouer après l’école et certains des nombreux réfugiés syriens du quartier qui s’y abritent parfois la nuit. Il distribue les cartes de la main gauche. Sa main droite, elle, reste recroquevillée contre lui. «  Je suis partiellement handicapé du bras  », explique le jeune Syrien, «  à cause de ça, tous les patrons me renvoient au bout de quelques jours. Comment voulez-vous que je gagne ma vie  ?  » Ce trentenaire est arrivé de Syrie il y a trois ans, en compagnie de plusieurs amis. Il est originaire de la région d’Afrin, au nord du pays, majoritairement peuplée de Kurdes. «  Nous avons choisi ce quartier parce qu’ici presque tout le monde parle kurde. Nous pensions que nos origines et notre langue commune nous faciliteraient les choses  ». Mais le trentenaire a rapidement déchanté. «  Une grande partie des Kurdes d’ici nous regardent avec défiance, et les autres nous exploitent sans remords  », se désole-t-il.

Bayramtepe, quartier populaire de cent mille habitants a toujours été un lieu d’immigration. Il compte une majorité de Kurdes originaires du pays. Une partie d’entre eux ont émigré dans les années 1990, chassés par le conflit à l’est entre l’armée turque et les rebelles autonomistes kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), l’autre est venue chercher de meilleures conditions d’existence dans la capitale économique du pays. 

«  Certains Kurdes d’ici sont très conservateurs, il y a un décalage culturel. Ils voient d’un mauvais œil l’arrivée de tous ces célibataires et de ces femmes très maquillées  », estime Mehmet Aydinar, responsable du Parti démocratique des peuples (HDP), le parti pro kurde de Turquie. Au centre du quartier, le siège local du HDP est un endroit précieux pour les réfugiés kurdes de Syrie. «  Nous aussi nous sommes arrivés ici comme réfugiés, fuyant la guerre quand l’armée turque brûlait nos villages. Nous sommes sensibles à leur situation. Nous essayons de les aider autant que possible, en faisant des collectes de vêtements par exemple, mais nos moyens sont limités  », explique Mehmet.

LE HDP, UNIQUE RECOURS 

Le HDP fait surtout office de juge de paix. Les réfugiés, méfiants à l’égard de la police, s’adressent à lui pour arbitrer les divorces ou tenter d’obtenir les salaires que des patrons peu scrupuleux ont omis de leur verser. Une situation fréquente. Akram, jeune Kurde d’Afrin et plusieurs membres de sa famille ont travaillé pendant un mois dans une petite fabrique de textile. Ce secteur est en effet le principal pourvoyeur d’emplois pour les réfugiés syriens d’Istanbul. «  Mon patron a refusé de me verser ma paye, je n’ai pas de permis de travail, je ne pouvais pas aller voir la police, je lui ai dit que si je ne recevais rien à la fin de la semaine, j’irais brûler son atelier. Quand je suis retourné le voir, il n’y avait plus qu’un bâtiment vide, il avait déménagé la production.  » 

Les tensions entre réfugiés et population locale prennent parfois une tournure violente. À la fin du mois d’octobre, l’un des bâtiments délabrés abritant des célibataires syriens accusés de boire de l’alcool et de nuire à la tranquillité du voisinage est pris d’assaut par une foule déchaînée. La maison est incendiée, mais par miracle aucune victime grave n’est à déplorer. «  Nous avons fait en sorte de calmer le jeu, raconte Mehmet, nous avons réuni des notables locaux et des représentants de la communauté immigrée pour que chacun puisse exprimer ses griefs et que la situation ne dégénère pas davantage  ».

Au-delà de ces tensions, c’est surtout leur situation économique qui préoccupe les réfugiés. «  Je ne reçois aucune aide de l’État turc pour me soigner, me loger ou trouver un travail. Je suis allé en demander à la municipalité, on m’a renvoyé comme un malpropre  », s’indigne Ahmad.

Ils sont nombreux dans les rues et les échoppes de Bayramtepe à partager sa rancœur vis-à-vis de l’État turc. Le 29 novembre, la Turquie et l’Union européenne sont pourtant parvenues à un accord, aux termes duquel le pays s’est vu accorder une aide de trois milliards d’euros. En échange, la Turquie s’est engagée à améliorer les conditions d’accueil des réfugiés syriens et à les garder sur son territoire. «  Où est passé tout cet argent  ? Quand nous parviendra-t-il  ?  », s’exaspère Houssam, professeur dans une école locale créée pour accueillir les jeunes réfugiés. L’établissement accueille quatre cents enfants, en majorité des Kurdes de Syrie, mais, aux dires des professeurs, ne bénéficie pas du moindre financement des autorités turques.

UN RÊVE D’EUROPE ENCORE TENACE

Conséquence de ces conditions de vie difficiles, une large part des 25 000 réfugiés qui avaient élu domicile dans le quartier en sont désormais partis. Les mieux lotis ont réussi à atteindre l’Europe après une périlleuse traversée en mer. Les plus pauvres, incapables de subvenir à leurs besoins, sont repartis pour la Syrie. Certains, comme Houssam, le professeur, ont fait le choix de rester. «  Je ne veux pas m’éloigner de la Syrie et je veux être utile à mon peuple, ce que j’essaye de faire en enseignant aux enfants  », déclare le trentenaire. «  Mais je ne juge pas ceux qui ont fait le choix de partir pour l’Europe, ils ont juste envie de vivre. Ici c’est difficile.  » Difficile, la traversée vers la Grèce ne l’est pas moins. Après avoir réglé cinq cents dollars à un passeur, Ahmad a embarqué à Izmir dans une embarcation de fortune surchargée. «  On s’est perdus au bout d’une heure en mer, le temps commençait à se gâter, on a fait demi-tour et on a réussi à regagner le rivage, mais je me suis promis de ne plus retenter la traversée dans ces conditions.  » 

Les tensions politiques qui sévissent dans le pays risquent de provoquer encore davantage de candidats au départ. Depuis juillet, le conflit armé a repris entre l’État turc et le PKK. Les violences vont crescendo et ont fait plusieurs centaines de victimes des deux côtés et parmi les civils. Fait nouveau, les affrontements armés ont gagné les villes, où les jeunes du PKK, le Mouvement révolutionnaire patriotique de la jeunesse (YDG-H) affronte les forces spéciales de la police et les tanks de l’armée. Pour l’instant largement circonscrits à l’est du pays, ces évènements menacent à tout moment de gagner l’ouest et notamment Istanbul, qui compte quelque 4 millions d’habitants d’origine kurde. Bayramtepe, où vit une majorité de Kurdes, et où leYDG-H sera probablement l’un des premiers quartiers à s’embraser. «  Le jour c’est l’État qui contrôle le quartier, la nuit, ce sont les YDG-H  », résume Mehmet.

De nombreux réfugiés, bien que sympathisants de la cause kurde, s’inquiètent du climat de tension et craignent de retrouver la violence qu’ils ont tenté de fuir. À l’image de Süreyya. Cette cinquantenaire a fui la guerre en compagnie de ses quatre enfants après la mort de son mari tué par un obus à Sheik Massoud, le quartier kurde d’Alep.

«  Nous avons peur de l’évolution des tensions. Ici, nous ne nous occupons pas de politique, nous ne voulons rien avoir à faire avec les tensions en Turquie  ». Sans aide de l’État, la famille subsiste avec le maigre salaire des deux fils aînés et grâce à la générosité du HDP et de quelques voisins. Le benjamin, âgé de quinze ans, a été envoyé en Allemagne. «  Là bas il sera soigné, il ira à l’école, il aura une chance de bien s’en sortir. Peut-être que nous finirons par le rejoindre si nous en avons l’opportunité  ».Un désir d’Europe qui va grandissant. Depuis un mois les voisins, généreux de prime abord, ont cessé de rendre visite à Süreyya.«  L’autre jour au marché, on m’a demandé pourquoi je ne rentrais pas chez moi. Mais où voulez-vous que j’aille  ? Je n’ai plus de chez-moi.  » 

Non loin de la maison de Süreyya, à l’une des sorties de Bayramtepe, une main a tracé sur un mur la direction d’un quartier voisin, «  Cennet Mahallesi  », quartier du paradis. La même main a ajouté une autre flèche, pointant vers le centre de Bayramtepe. À la peinture noire, elle y a tracé «  Cehennem Mahallesi  »  : quartier de l’enfer.

Cet homme est devenu aveugle d’un œil après avoir fait une erreur que beaucoup font tous les jours


Vous avez l’habitude de dormir avec vos lentilles de contact ? Cet habitant de Cincinnati aux États-Unis en a fait l’expérience malheureuse… Résultat : il est devenu aveugle d’un œil ! Voici son histoire.

L’histoire de Chad Groeschen, un américain devenu aveugle après avoir oublié d’enlever ses lentilles de contact avant de dormir…
Chad Groeschen, un américain de 39 ans, avait l’habitude de porter des lentilles pour améliorer sa vue, mais celui-ci a fini par devenir aveugle d’un œil… La raison ? Au moment d’aller se coucher, il oublie de retirer ses lentilles de contact. Cette erreur d’inattention lui a coûté un œil. En effet, pendant la nuit, une bactérie appelée Pseudomonas aeruginosa ou bacille pyocyanique s’est formée et a provoqué l’infection de son œil gauche, devenant ainsi aveugle.
Il a commencé par ressentir des picotements, une douleur très vive dans l’œil et le lendemain, sa vision est devenue floue. L’infection a pris de l’ampleur au point qu’il était obligé de se rendre aux urgences.
Aux urgences, on lui apprend qu’il souffre d’une infection à l’œil causée par une bactérie. L’infection n’a pas pu être traitée à temps et la cécité de son œil gauche n’a pu être évitée.
Cette histoire devrait sensibiliser tous les porteurs de lentilles de contact, surtout que beaucoup d’entre eux ont tendance à négliger certaines règles d’hygiène les plus élémentaires…
Le meilleur conseil que nous pouvons vous donner : n’oubliez pas d’enlever vos lentilles avant d’aller vous coucher !

Quelques conseils élémentaires d’hygiène aux porteurs de lentilles de contact

Les lentilles de contact sont très pratiques pour toutes les personnes qui ont des problèmes de vision. Mais si certaines règles élémentaires d’hygiène ne sont pas observées ou si vous n’effectuez pas des contrôles réguliers, vous pouvez contracter une infection (très rares cas). En effet, le problème avec une infection à l’œil, c’est qu’elle est parfois détectée lorsqu’il est déjà trop tard.
1. Avant de manipuler vos lentilles, vos mains doivent être préalablement lavées et séchées.
2. Vous ne devez pas porter des lentilles pendant plus de 12 heures consécutives.
3. Vous ne devez jamais humidifier vos lentilles ainsi que leur étui à l’eau du robinet et encore moins avec votre salive.
4. Avant de prendre votre douche, de vous baigner (mer ou piscine), n’oubliez pas d’enlever vos lentilles.
5. Vous devez éviter le plus possible le contact avec la fumée de cigarette, la pollution, la poussière et les pollens.
6. Vous devez consulter régulièrement un spécialiste. Au minimum tous les ans. Si vous constatez une quelconque anomalie : des douleurs, des rougeurs, des picotements ou une sécheresse oculaire, consultez.
7. Vos lentilles doivent être toujours propres. À chaque fois que vous les enlevez de vos yeux, vous devez les nettoyer et les déposer dans leur étui avec la solution de nettoyage qui correspond (ce liquide de désinfection doit être obligatoirement changé tous les jours). Cette règle ne s’applique pas pour les lentilles d’un jour (qui sont jetées après utilisation). Avant de changer de liquide d’entretien de vos lentilles, demandez préalablement l’avis de votre opticien ou de votre ophtalmologue.
8. Avant de ranger vos lentilles dans leur étui, rincez-les systématiquement.
9. Après ouverture, respectez les délais péremptoires des produits que vous utilisez ainsi que la durée d’utilisation conseillée.
10. Chaque mois, pensez à changer les étuis de vos lentilles pour une hygiène optimale.

Translated by Ollie Richardson for Fort Russ
30th April, 2016




Order in Odessa will be protected by up to 5,000 National Guard.

On Saturday morning, April 30th, security forces and military equipment lined up on Kulikovo field in Odessa, reported  the local media.

As a reminder, from 30th April to 10th May, the entire staff of the police of the Odessa garrison was converted to enhanced mode. The police will be deployed for the protection of public order in all parts of the city.

Earlier, the acting chief of national police region, Giorgi Lortkipanidze said that entrance to Kulikovo field in Odessa on May 2nd will only be possible through metal detectors.

According to Saakashvili, President Petro Poroshenko instructed the head of the National police and the chief of the National guard in Odessa to bring in additional units of up to 1,000 people.

As a reminder, the Odessa district administrative court satisfied the claim of the Executive Committee of the Odessa City Council for a ban on holding mass events on Kulikovo field in the period from 1st to 10th May.

(Un bain de sang en prévision ? note de rené)

Barclays met en vente sa banque de détail en France

À la suite d'un trimestre marqué par des pertes, la banque britannique compte céder 74 agences qui s'occupent de banque de détail, d'assurance-vie et de gestion de fortune.

Publié le  | Le Point.fr
"L'activité française de Barclays dans la banque de détail et la gestion de fortune est attractive, mais n'entre plus dans nos ambitions stratégiques", a déclaré la firme britannique.
"L'activité française de Barclays dans la banque de détail et la gestion de fortune est attractive, mais n'entre plus dans nos ambitions stratégiques", a déclaré la firme britannique. © NurPhoto/ Jonathan Nicholson

Climat : la ville de Copenhague désinvestit les énergies fossiles

Climat : la ville de Copenhague désinvestit les énergies fossiles: Au Danemark, la ville de Copenhague a décidé de désinvestir l’ensemble de ses actifs des énergies fossiles. Le fonds de la ville, doté de 920 millions d’euros, cesse donc d’investir dans des entreprises dont les revenus tirés des secteurs du pétrole, du gaz et du charbon dépassent 5%.
Ces exclusions concernent toute la chaine de production, de l’extraction au raffinage en passant par la chaine de sous-traitance (ex : vente de matériel de forage). Frank Jensen, le maire de la capitale danoise, y voit le signe que 'Copenhague est l’une des villes les plus engagées au monde en matière de transition verte'.
La cité affiche l’ambition d’être la première à devenir neutre en CO2 à l’horizon 2025. Copenhague est la 3e ville danoise à faire un tel choix, après Roskilde et Frederica, cette dernière abritant un vaste port pétrolier. D’autres capitales, telles que Paris et Oslo, ont déjà désinvestit les énergies fossiles.
Pour l’ONG 350.org, cette décision place Copenhague 'du bon côté de l’histoire'.

Gaz de schiste : Bruxelles renvoie la Pologne devant la CJUE

Gaz de schiste : Bruxelles renvoie la Pologne devant la CJUE: La Commission européenne a décidé, jeudi 28 avril, de renvoyer la Pologne devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) pour 'évaluation insuffisante de forages miniers exploratoires' sur l’environnement.
'En vertu de la loi polonaise, il est possible de forer jusqu’à une profondeur de 5 000 mètres, sans évaluer préalablement l’impact potentiel sur l’environnement, indique l’exécutif communautaire dans un communiqué. Mais ce seuil ne prend pas en compte tous les critères et les normes établies par la directive sur l’évaluation d’impact environnemental' (Directive 2011/92/UE). 
Selon cette directive européenne, les forages en profondeur doivent faire l’objet d’une évaluation, notamment pour les déchets qu’ils produisent, leurs incidences sur l’eau et le sol, leur utilisation des ressources naturelles, le risque d’accidents, et tous les effets cumulatifs qu’ils peuvent avoir en combinaison avec d’autres projets ou activités similaires.
'Cela a récemment été rappelé par la Cour de justice de l’Union européenne (dans l’affaire C-531/13) rappelle la Commission. La directive concernant l'évaluation des incidences sur l'environnement (EIE) a pour but de garantir que les projets susceptibles d'avoir des incidences notables sur l'environnement fassent l'objet d'une évaluation adéquate avant leur approbation', ajoute-t-elle.
'C’est un grand succès de la mobilisation antifracturation hydraulique, s’est réjoui Antoine Simon, de l’ONG Les Amis de la Terre Europe. Nous devons maintenant attendre la décision de la Cour, mais compte tenu de l’évidence de l’infraction, nous sommes sans doute proches de voir la plus haute instance européenne émettre un précédent juridique contraignant sur la fracturation hydraulique'.

Afrique Asie

Afrique Asie Yemen

Une fouine provoque une panne dans le plus grand accélérateur de particules du monde

Une fouine provoque une panne dans le plus grand accélérateur de particules du monde



(Des milliards d'euros et une fouine "nique" le truc ! note de rené)

Le plus gros fonds souverain au monde a perdu 100 millions d’euros par jour au 1er trimestre

Le plus gros fonds souverain au monde a perdu 100 millions d’euros par jour au 1er trimestre: Le plus gros fonds souverain au monde, le fonds de pension public de la Norvège, a perdu quelque 100 millions d'euros par jour au premier trimestre, pertes auxquelles s'ajoutent les premiers retraits d'argent par l'État norvégien.

Philippe Herlin: “le piège de l’assurance-vie va bientôt se refermer !”

Philippe Herlin: “le piège de l’assurance-vie va bientôt se refermer !”: Sur le premier trimestre, l’assurance-vie en France affiche une belle progression puisque l’encours total a augmenté de 7,8 milliards d’euros, pour atteindre le chiffre de 1.588,6 milliards d'euros.

Gerald Celente: l’effondrement des marchés chinois va créer un vent de panique généralisé et l’Or va exploser

Gerald Celente: l’effondrement des marchés chinois va créer un vent de panique généralisé et l’Or va exploser: L'américain Gerald Celente, fondateur du Trends Research en 1980 est l’un des meilleurs prévisionnistes au monde. Rappelons qu'il a prédit le crash de 2008, et croit que nous allons bientôt assister à l’effondrement du marché financier mondial.

Nouvelles manifestations en Arménie ? Les mêmes foules soutenues par les Etats-Unis (Neo)

Nouvelles manifestations en Arménie ? Les mêmes foules soutenues par les Etats-Unis (Neo)
Un autre jour, une autre manifestation en Arménie. Et si nous devions simplement croire les médias Occidentaux quant à cette 'autre manifestation' nous pourrions avoir l'impression que les Arméniens sont fâchés contre la politique russe et "le Poutinisme". En réalité, les protestations sont menées par les mêmes réseaux pro-étatsuniens qui ont mené les manifestations "Electric Yerevan" qui ont cherché au milieu de l'année 2015 à saper et renverser le gouvernement actuel d'Arménie en faveur d'un front politique pro-occidental proche de Wall Street, de Londres et sympathisant de (de l'UE à) Bruxelles...
(Et, encore une révolution de couleur, une ! note de rené)

Trump on Russia: We are not bound to be adversaries

Le parlement finlandais lance les débats sur la sortie de l’euro sous la pression populaire (Russia Today)

par Russia Today 30 Avril 2016, 04:58 Finlande UE Euro Referendum Parlement
via le Blog de Sam la Touch

Après une pétition signée par 53 000 citoyens réclamant un référendum sur l'abandon de la monnaie unique en raison d'une piètre situation économique, les législateurs finlandais ont débattu de l'éventualité de sortir de la zone euro.
Le Parlement finlandais a commencé à se pencher sur la question du maintien du pays dans la zone euro, contraint de le faire en vertu des 53 000 signatures recueillies par une pétition réclamant l'abandon de l'euro. En Finlande, une pétition adressée au Parlement peut déboucher sur un référendum à deux conditions : qu'elle soit signée par plus de 50 000 citoyens et que le Parlement accepte d'organiser un référendum.
Si aucun des principaux groupes politiques du Parlement n'a proposé de sortir de la monnaie unique, certains parlementaires eurosceptiques ont néanmoins évoqué le problème que pose selon eux le manque d’indépendance en matière de politique monétaire.
Ils ont ajouté que le gouvernement finlandais aurait dû tenir un référendum avant d'adopter l’euro en 1998, comme cela s’était fait chez ses voisins, au Danemark et en Suède, respectivement en 2000 et 2003. Les deux votes s'étaient alors soldés par un refus d’adopter la monnaie unique.
L’euro est trop bon marché pour l’Allemagne et trop cher pour le reste de l’Europe, il ne remplit pas les exigences d’une union monétaire optimale
Pour Simon Elo, du parti conservateur et eurosceptique Vrais Finlandais, l'euro n'est pas véritablement représentatif de l'économie de l'Union européenne. «L’euro est trop bon marché pour l’Allemagne et trop cher pour le reste de l’Europe, il ne remplit pas les exigences d’une union monétaire optimale», a estimé l'élu.
Mais du côté du gouvernement, tout le monde ne partage pas cet avis.
Notre position internationale serait probablement affaiblie, notre taux de change deviendrait intenable… le risque de notre pays serait élevé et nous serions probablement conduits dans une situation où les taux d’intérêts augmenteraient
Notamment, le ministre des Finances Alexander Stubb a expliqué devant le Parlement qu’il ne croyait pas aux bénéfices d’un potentiel «Fixit», c’est-à-dire d’une sortie de la Finlande de la zone euro. «Notre position internationale serait probablement affaiblie, notre taux de change deviendrait intenable… le risque de notre pays serait élevé et nous serions probablement conduits dans une situation où les taux d’intérêts augmenteraient», a souligné le ministre.
Si la pétition ne devrait probablement pas amener la Finlande à quitter la zone euro, elle met néanmoins en lumière la frustration qui grandit dans la population à l’égard des mauvaises performances économiques du pays, de l’austérité, du chômage et des sombres perspectives d'avenir pour ses citoyens.
En effet, cette année, l’économie finlandaise devrait connaître une croissance plus faible que celle de chacun des autres pays européens, hormis la Grèce.
La pétition doit prochainement être examinée par un comité parlementaire et devra ensuite passer de nombreuses étapes avant de pouvoir faire l'objet d'un vote final à l’assemblée et éventuellement, de déboucher sur un référendum.

Jeûner est la plus grande médecine. Voici pourquoi - vidéo Dailymotion

Jeûner est la plus grande médecine. Voici pourquoi - vidéo Dailymotion

Macédoine: la «révolution des couleurs» en marche

mediaEntre 5000 et 10000 anonymes se rassemblent depuis deux semaines dans la capitale macédonienne. La «révolution des couleurs» est en marche.REUTERS/OgnenTeofilovski
Depuis deux semaines, plusieurs milliers de personnes se réunissent tous les soirs dans les rues de Skopje, la capitale macédonienne, pour demander la démission du président Gjorge Ivanov et l'annulation des élections anticipées, officiellement prévues le 5 juin prochain. La « révolution des couleurs » est en marche.
Avec notre correspondant à Skopje,Laurent Geslin
Le cortège s'ébranle, une foule d'étudiants, de retraités et de familles portant leurs enfants dans les bras. Entre 5 000 et 10 000 anonymes se rassemblent depuis deux semaines dans la capitale macédonienne. Chaque soir, les monuments néo-antiques de Skopje, construits par le pouvoir ces dernières années, sont repeints de rouge, de bleu, de jaune. Gordana vient manifester après sa journée de travail. « Les manifestations commencent toujours au même endroit, à 18h, raconte-t-elle. Ça continue dans la plupart des cas jusqu'à l'Assemblée nationale et cela finit quelque part, devant un monument sur lequel on jette des couleurs. »
Une montée de sève populaire qui solde une interminable crise politique. L'année dernière, l'opposition révélait un vaste système d'écoutes téléphoniques mis en place par le pouvoir. Et le 12 avril dernier, le chef de l'Etat, Gjorge Ivanov, a achevé de se discréditer en amnistiant les politiciens impliqués dans des affaires criminelles. « Les gens sont très mécontents de l'amnistie promulguée par le président, il a détruit l'Etat de droit en Macédoine », explique Zdarvko Saveski, un dirigeant du parti d'extrême gauche Levica.
Assigné à résidence pour avoir brulé un portrait du président, Zdarvko Saveski risque trois ans de prison pour « hooliganisme ». Mais dans les rues de Skopje, ils sont encore des milliers à se battre pour la « révolution des couleurs ».
(Et, encore une.......sur le compte de soros et la CIA ? note de rené. Ca nous promet du sang à venir ! note de rené)

GM contraint de stopper 4 usines aux USA et Canada après les séismes au Japon

Elisabeth StuderActualitésAutomobileEconomieUn commentaire source : Le blog fiance
GM contraint de stopper 4 usines aux USA et Canada après les séismes au Japon
General Motors a annoncé vendredi que quatre de ses usines situées aux Etats-Unis et au Canada allaient être fermées pour deux semaines à partir de lundi, en raison d’une pénurie de pièces en provenance du Japon, elle-même induite par les conséquences des différents séismes  qui viennent de frapper l’archipel nippon.
« Après avoir étudié la disponibilité des pièces détachées et le rythme de sa production américaine », GM a décidé de fermer ces sites « afin d’assurer une offre de pièces suffisante », a ainsi déclaré une porte-parole du groupe. Sans toutefois vouloir indiquer quelles parties précises des usines étaient affectées.
Les sites concernées sont les suivants : il s’agit de l’usine de Lordstown, dans l’Ohio, celle de Fairfax, au Kansas, celle de Spring Hill dans le Tennessee et celle de Flex Oshawa au Canada. Les différentes structures concernées produisent la Buick LaCrosse and Regal, la Cadillac XTS and XT5, la Chevrolet Cruze, l’Equinox, l’Impala et la Malibu  ainsi que l’Acadia de GMC.
GM prévoit de rattraper la perte de production pendant les périodes habituelles de fermeture prévues d’ici la fin de l’année.
« Cet ajustement temporaire ne devrait avoir aucun impact important », ni sur le plan de production annuel, ni même sur la production du second trimestre ou les résultats annuels de la région Amérique du Nord, affirme par ailleurs GM.
Sources : Reuters, Automotive News
Elisabeth Studer – 23 avril 2016 – www.leblogfinance.com
(Eh, oui, si, la fabrique était resté aux USA, cela ne serait pas arrivé ! note de rené)