mardi 4 octobre 2011

Salut aux salauds qui ont kidnappé la république américaine. Le peuple se réveille. Allez-vous massacrer votre peuple comme vous avez fait massacrer les irakiens ?

Ben, voilà, mes chers quatre lecteurs, lorsque, je vous disais que nos démocraties ont été kidnapées par des groupes de pression. Le meilleur exemple est, les Etats-Unis d'Amérique.
Aujourd'hui, les conseillers du président Obama proviennent de l'industrie et de la finance, pour ne pas dire qu'il est sous haute surveillance.
Ce mélange des genres peut être dangereux pour la santé des citoyens, car, les groupes industriels ne pensent qu'à leur intérêt et sont prêts à sacrifier la santé des citoyens américains pour ne pas dire des autres dans le monde.
Le cas du gaz de schiste est symptomatique de ce mélange des genre puisque le vice-président des Etats-Unis, Dick Cheney a privilégié une compagnie dont il faut le dirigeant, condamnant ainsi des millions d'américains à perdre leur santé, en toute connaissance de cause.

"j’ignorais cependant que la Loi sur l’énergie de 2005, que Dick Cheney a fait adopter par le Congrès, avait eu pour effet de soustraire l’industrie pétrolière et gazière à la Loi sur l’eau potable, à la Loi sur l’air pur, à la Loi sur l’eau propre, à la Loi « Superfund », de même qu’à environ une douzaine de réglementations environnementales et démocratiques. Une fois que la Loi sur l’énergie 2005 a levé toutes les restrictions, des entreprises comme EnCana, Williams, Cabot et Chesapeake ont adopté la technologie développée par Halliburton, et ont entrepris la plus vaste campagne d’exploitation de gaz naturel domestique de l’histoire, qui s’étend maintenant à 34 états." (source : lorgues-veillecitoyenne.over-blog.com/article-gaz-et-huile-de-schiste)."

Et, si, l'on prend la famille Bush, cela sent carrément le putride avec un mélange des genres avec les compagnies de sécurité qui sévissent en Irak et en Afghanistan.
Et, cela a rapporté des centaines de milliards de dollars.

"L'Empire Carlyle

Article paru dans le Monde, édition du 30 avril 2004

"Le plus grand investisseur privé du monde, bien implanté dans le secteur de l'armement, est un groupe discret, qui cultive les accointances avec les hommes influents, dont les Bush, père et fils Il y a un an, le 1er mai 2003, George Bush atterrissait, sanglé dans une combinaison de pilote de chasse, sur le porte-avions USS Abraham-Lincoln au large de la Californie. L'image est devenue célèbre. Sous une banderole proclamant "Mission accomplished" (mission accomplie), le président annonçait prématurément la fin des opérations militaires en Irak et sa victoire.
Le lendemain, de retour sur la terre ferme, il prononçait un autre discours martial, non loin de San Diego, dans une usine d'armement d'United Defense Industries.
Cette entreprise est l'un des principaux fournisseurs du Pentagone. Elle fabrique, entre autres, des missiles, des véhicules de transport et, en Californie, le blindé léger Bradley. Son principal actionnaire est le plus grand investisseur privé au monde. Un groupe discret, baptisé Carlyle.
Il n'est pas coté en Bourse et n'a de comptes à rendre qu'à ses 550 investisseurs - milliardaires ou fonds de pension. Carlyle gère aujourd'hui 18 milliards de dollars, placés dans les secteurs de la défense et de la haute technologie (biologie notamment), le spatial, l'informatique liée à la sécurité, les nanotechnologies, les télécommunications. Les entreprises qu'il contrôle ont pour caractéristique commune d'avoir pour clients principaux des gouvernements et administrations. Comme la société l'a écrit dans une brochure : " Nous investissons dans des opportunités créées dans des industries fortement affectées par des changements de politique gouvernementale."
Carlyle est un modèle unique, construit à l'échelle planétaire sur le capitalisme de relations ou le " capitalisme d'accès" pour reprendre l'expression du magazine Americain New Republic, en 1993. Le groupe incarne aujourd'hui, malgré ses dénégations, le "complexe militaro-industriel" contre lequel le président républicain Dwight Eisenhower mettait en garde le peuple américain en quittant ses fonctions, en 1961.
Cela n'a pas empêché George Bush père d'occuper pendant dix ans, jusqu'en octobre 2003, un poste de conseiller de Carlyle. C'était la première fois dans l'histoire des Etats-Unis qu'un ancien président travaillait pour un fournisseur du Pentagone. Son fils, George W. Bush connaît aussi très bien Carlyle. Le groupe lui a trouvé un emploi en février 1990, alors que son père occupait la Maison Blanche : administrateur de Caterair, une société texane spécialisée dans la restauration aérienne. L'épisode ne figure plus dans la biographie officielle du président. Quand George W. Bush quitte Caterair, en 1994, avant de devenir gouverneur du Texas, l'entreprise est mal en point."

Alors, mes quatre chers lecteurs, ne faudrait-il pas empêcher représentant de groupes industriels importants de pouvoir accéder à des postes ou à des responsabilités politiques ?
Ne faudrait-il pas tout simplement, protéger notre démocratie contre des gens comme Reagan, la famille Bush qui mettent l'état au service de leur intérêt particulier ou de celui de leurs amis ?
Comme le fait notre président national sarko, d'ailleurs.
N'est-ce pas là, sa raison profonde, son désir d'américaniser la société française, pour livrer notre république à sa bande de potes ?
Réfléchissez, mes quatre chers lecteurs, car, il nous reste en France une chance de revenir à une république respectueuse de ses citoyens.
A bientôt.
René;

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