dimanche 16 octobre 2011

(blog à finir)

Bon, j'ai regardé l'émission sur France 2, l'oeil de la planète sur l'art et la manière dont s'ont traité les palestiniens par les colons juifs.
C'est ce reportage qui provoqué l'hydre des organisations juives de France.
Et, alors, c'est quoi le problème, il ne faut pas que les français voient comment les colons juifs et l'état israélien traitent les palestiniens, ce qu'ils mettent en place pour les obliger à quitter leur maison et leur terre
Pourquoi ?
Pour que les français croient que les israéliens sont les gentils et les palestiniens, les méchants ?
Faut arrêter, parce qu'il y a une chose dont les israéliens devraient se rendre compte, c'est que bientôt, seuls les Etats-Unis les soutiendront.
Et, que même pour les States, cette position finira par devenir intenable.
Mais, passons.
En attendant en France, l'Agence Française du médicament, enfin, dénonce le danger de benzodiazépines. Ce médicament miracle qui a fait longtemps le bonheur de l'industrie pharmaceutique.
A croire que le progrès que l'on nous a toujours vanté nous conduit direct en enfer.

(source : Sciences et Avenir)

Benzodiazépines : «Il va falloir sécuriser la prescription de ces molécules»
14-10-11 à 16:03 7 réactions

Suite à la publication par Sciences et Avenir d’un dossier pointant les risques des somnifères et des tranquillisants, le directeur de l’agence française du médicament annonce la publication d’un rapport et une nouvelle campagne d’information sur ces médicaments, les benzodiazépines. Interview du Pr Maraninchi.

Sciences et Avenir : La surconsommation de benzodiazépines n’est pas un phénomène nouveau. Elle est dénoncée depuis plus de 20 ans par de nombreux rapports. Que peut faire l’Agence française de sécurité des produits sanitaires de santé face à ce phénomène?

Pr D. Maraninchi : Il est clair que la consommation de cette classe de médicaments, les psychotropes, est trop massive. D’un côté des patients demandent, de l’autre des médecins cèdent. Or, les problèmes pour lesquels ils sont prescrits -anxiété, insomnie…- ne peuvent pas être réglés par une simple prescription médicamenteuse. Dans le même temps, il ne faut pas oublier que ces médicaments peuvent aussi, dans certains cas, avoir leur intérêt à condition d’être utilisés sur des temps courts. C’est leur usage abusif et prolongé qui peut devenir dangereux, tout particulièrement chez les personnes âgées.

"Comment l’Agence peut-elle donc réagir pour améliorer l’usage de ces molécules et le rendre plus approprié?

Pr D. Maraninchi: En premier lieu, surtout en informant. C’est notre rôle à l’Agence de nous adresser certes aux médecins mais aussi à la population générale. Et nous allons nous y atteler. L’objectif est à terme d’empêcher la population d’être exposée à des risques comme ceux évoqués par le travail du Pr Bégaud que vous avez publié dans votre magazine. Il va donc nous falloir être plus clair dans nos messages. Et informer les prescripteurs comme le grand public. D’ici peu, dans quelques semaines, nous publierons un rapport détaillé sur l’état des lieux de la consommation des molécules de cette classe (anxiolytiques, sédatifs, hypnotiques, myorelaxants) ; en France mais aussi dans d’autres pays d’Europe. Nous savons déjà que cette consommation est trop importante. Soit environ 83 millions de boîtes par an en France, consommées en majorité par des femmes. Mais ces dix dernières années, et c’est encourageant, une tendance à la baisse s’est amorcée. Exemple avec les anxiolytiques : en 2010, 53 boîtes pour 1000 habitants ont été vendues, contre 60 en 2000."

Eh, oui, mes quatre chers lecteurs, je vous l'avais dit, ma petite maman est atteint d'alzeihmer, après avoir pris des tranquillisants dès la trentaine passe, et cela, tous les jours.
Au point de me proposer les petites pilules de toutes les couleurs, en m'affirmant, "Tiens, prends ça, après, tu verras, tu te sentiras bien".
J'avais 18 ans et je comprenais les dégats que cela pouvait occasionner chez elle.
Tout le monde l'a fermé parce que c'était dans l'intéret de l'industrie pharmaceutique.
Alors, dites-moi, mes quatre chers lecteurs, au nom de leur intéret, comment dois-je mourir ?
Vous ne pensez pas qu'il y en a marre de se faire manipuler par des assassins en col blanc ?

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