jeudi 13 octobre 2011

Salut aux écologistes et merci, pour les biocarburants et autres saloperies de ce genre !

Bon, mes quatre chers lecteurs, j'ai été à l'église et j'ai prié, "Que la honte soit avec moi", "Et, avec votre esprit", a repris le curé.
Sans doute, est-ce la prière que sarko devra élever vers les cieux pour être réélu.
Mais, il ne le fera pas.
Par contre, il continue son bonhomme de chemin en tentant tout azimut de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Toujours, très fort, toujours dans le mensonge. Comme pour la Bretagne, par exemple, sévèrement touchée par les épandages d'azote et les lisiers des éleveurs de cochons.
Il veut leur faire croire qu'il va l'aider et dans les textes, il fait le contraire.
Comme toujours, comme dit la chanson.

"Algues vertes : un décret sur l'épandage du lisier soulève la colère des écologistes
Le MONDE | 12.10.11 | 18h32

Le décret publié mardi 11 octobre sur "la protection des eaux contre la pollution par les nitrates d'origine agricole" a fait l'effet d'un chiffon rouge aux yeux des militants de la protection de l'environnement en Bretagne. Derrière un intitulé trompeur, ce texte constitue, selon eux, un coup de pouce supplémentaire du gouvernement français à l'élevage intensif, qui est à l'origine de la prolifération d'algues vertes sur le littoral de leur région.
(...)Présenté comme une application de la directive européenne sur la protection des eaux contre la pollution par les nitrates de sources agricoles (qui date elle-même de 1991), le décret, signé du premier ministre, des ministres de l'écologie et de l'agriculture, traite de l'épandage des fertilisants azotés responsables des excès de nitrates. Autrement dit, il réglemente les quantités de déjections animales déversées chaque année dans les champs. Il rappelle que la limite maximale s'élève à 170 kg d'azote par hectare de "surface agricole utile", alors que la référence précédente était la "surface potentiellement épandable". Or cette modification, anodine en apparence, a de lourdes conséquences. La différence entre les deux modes de calcul reviendrait à autoriser le versement d'un surcroît d'azote de 20 %, selon les calculs d'Eau et rivières de Bretagne. La première surface de référence prenait en compte les abords des cours d'eau et du littoral, des habitations, des pentes fortes - où il est impossible d'épandre. Ce ne sera plus le cas."

Eh, oui, cela s'appelle de la haute voltige politique. Sauf que, plus, on voltige haut, plus dure est la chute.
Par contre, comme Mitterrand était le président de l'ère des nouveaux pauvre, je pensais que sarko était celui de l'ère des travailleurs pauvres.
Eh, bien, mes trois chers lecteurs, je l'avoue, je me suis trompé.
Sarko est le président de l'ère des travailleurs suicidés. Et, l'on peut dire que depuis qu'il est président, c'est une vraie épidémie.

(source : le post)

"Un professeur s'immole dans la cour d'un lycée de Béziers
13/10/2011

Stupeur au lycée Jean-Moulin de Béziers. Jeudi matin, entre 09h30 et 10h00? un professeur a tenté de s'immoler par le feu en pleine cour de récréation, à l'aide d'un bidon d'essence.
Toujours en vie mais avec un pronostic vital engagé, elle a été évacuée vers le centre des grands brûlés de Montpellier.
Selon le Midi Libre, il s'agirait d'une femme professeur de mathématiques d'une quarantaine d'années. "Elle était en conflit avec des élèves. Une réunion houleuse aurait eu lieu hier avec les lycéens qu'elle aurait très mal vécue", ajoute le quotidien régional."

Mais, passons, parce qu'il est toujours fier de lui. Sans doute, que son grand projet (que personne n'a jamais réussi à percer, tellement, il est trop fort) doit consommer de la victime.
En tout cas, c'est réussi, car, réduire les services publics à peau de chagrin, c'est appeler la faucheuse (la mort) à pleines trompettes.
En attendant, sa seule véritable préoccupation, c'est se décider à utiliser le botox pour éliminer les rides qui lui parsèment la face.
Très intéressant, n'est-ce pas mes quatre chers lecteurs, qu'en dîtes-vous ?
Comme, moi, pareil, je trouve formidable que notre président national puisse rajeunir comme ça, d'un coup de baguette magique. Avec sa femme, paraît-il refaite, cela va être le couple de l'année.
Et, pendant ce temps, le premier ministre russe, Poutine nous donne son avis sur la crise de l'Europe, dans laquelle se débat notre président national.
Merci, bien, monsieur le premier ministre russe, futur président, votre appui nous est d'un grand secours.

(source : le Quotidien du Peuple en ligne)

"L'UE est capable de résoudre la crise de la dette (Poutine).
Mise à jour 13.10.2011 13h47

Le Premier ministre russe Vladimir Poutine, actuellement en visite en Chine, s'est déclaré mardi convaincu que l'Union européenne (UE) était capable de résoudre la crise de la dette de la zone euro.
"Je ne pense pas que les pays des BRICS pourraient jouer un rôle majeur sur ce sujet", a répondu M. Poutine, interviewé par des médias chinois.
Les BRICS sont une abréviation communément utilisée pour faire référence aux cinq économies émergentes, dont le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud.
Selon M. Poutine, la crise de la dette de la zone euro reste plutôt un problème politique qu'un problème économique."

Content de le savoir. Donc, selon Poutine, ce sont nos politiques qui ne font que de la "Merde !"
Il faut dire que Poutine s'y connaît, lui, qui a été obbligé de rattraper à sa façon les choix délirants en économie de son prédécesseurs, imbibé de vodka la plupart du temps.
Quant-à dire, qu'il a relevé le pays, c'est une autre histoire. En tout cas, il a accru le budget de l'armée pour suivre la bonne tradition soviétique.
Mais, au moins, il nous met du baume à l'âme.
Finalement, ce n'est pas si grave que cela, contrairement à ce que nous chantent nos leaders, Oh, combien politiques.
Ce qui me fait poser la question, "Est-ce que les shabab somaliens veulent-ils aider leur peuple ou les soumettre jusque dans leur survie ?"

(source : Irin News)

"SOMALIE: La taxe imposée par Al-Shabab menace les conditions de vie de la population
Photo: Edgar Mwakaba/IRIN
Les familles somaliennes dépendent dans une large mesure des versements effectués par leurs proches qui vivent à l’étranger (photo d’archive)
NAIROBI, 5 octobre 2011 (IRIN) - La perspective de la fermeture définitive de deux des principales sociétés de télécommunications somaliennes et d’une importante société de transfert d’argent a alarmé des responsables et des analystes qui s’inquiètent de l’impact de ces fermetures sur les conditions de vie de la population et la distribution de l’aide alors que le pays est confronté à une urgence alimentaire, voire à la famine dans certaines régions.
Le 30 septembre, le groupe d’insurgés islamistes Al-Shabab a ordonné aux sociétés Nationlink, Telecom Somalia et Dahabashiil, la plus grande société de transfert d’argent du pays, de cesser leurs activités. Bien que cet ordre ait été annulé quelques jours plus tard, le groupe Al-Shabab a indiqué que ces sociétés ne seraient autorisées à poursuivre leurs activités qu’à la condition qu’elles commencent à payer la zakat, une forme de charité et un des cinq piliers de l’islam. La zakat représente en général 2,5 pour cent des revenus annuels d’une personne.
(...) « Nombreuses sont les preuves qui montrent que les versements d’argent augmentent dans les périodes de grande difficulté, comme une sécheresse ou des inondations, lorsque les autres stratégies d’adaptation ne fonctionnent pas », a dit M. Bradbury. « Les familles somaliennes dépendent dans une large mesure des versements effectués par leurs proches qui vivent à l’étranger. Elles dépendent en effet davantage des versements que de l’aide étrangère ».
Un membre de la société civile a dit à IRIN que le moment choisi pour la fermeture des sociétés et la menace de la mise en œuvre d’autres actions – alors que la famine affecte la Somalie et que les activités des sociétés de télécommunications et de transferts d’argent sont vitales pour le pays – était étrange. « Pourquoi ont-ils choisi ce moment pour nous menacer ? Ils ne peuvent ignorer que la plupart d’entre nous dépendent d’eux pour survivre ».
Dans une déclaration du 2 octobre, le ministre somalien de l’Information, Abdulkadir Hussein Mohamed, a indiqué : « La fermeture [temporaire] porte non seulement atteinte à deux des sociétés les plus dynamiques du pays, qui emploient des centaines de milliers de Somaliens, mais elle entrave également les efforts humanitaires, car la diaspora somalienne et certaines agences humanitaires utilisent le système de transfert d’argent [de Dahabashiil], qui est rapide, fiable et couvre pratiquement tout le pays. C’est un autre moyen pour Al-Shabab d’empêcher l’aide d’arriver aux personnes qui en ont besoin »."

Ah, là, là, moi, je vous le dis, mes quatre chers lecteurs, nous ne sommes pas sortis de l'auberge. Ni, nous, ni, eux !
A bientôt.
René.

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