dimanche 9 octobre 2011

Salut aux français licenciés qui vont être expulsés de leur maison. Salutation et Fraternité !

Aujourd'hui, le temps est froid et il pleut.
Comme, il fait froid et il pleut dans l'âme et le coeur de tous ces français qui ont perdu leur travail et qui bientôt vont se retrouver à la rue ou y sont déjà.
Et, comme, notre président national aime bien que l'on copie les Etats-Unis, nous allons bientôt à pratiquer des vagues d'expulsions de propriétaires endettés, vague qui a déjà touché l'Espagne.
Alors, messieurs du gouvernement, au lieu de sauver les banques qui nous dépouillent et vont les jeter à la rue, ne devriez-vous pas aider ces gens là en obligeant les banques à geler leur dette ?
Ah, oui, c'est vrai, j'oubliais, tous pourris, rien à foutre du peuple, on aide que les riches !

"Logement : les expulsions de propriétaires endettés explosent en Espagne
LEMONDE.FR avec AFP | 07.10.11 | 16h25 • Mis à jour le 07.10.11 | 16h36

Les ordres d'expulsion ont atteint plus de 30 000 depuis le début de l'année, soit presque autant que pour l'ensemble de l'année 2009.AFP/DANI POZO.
Les expulsions de propriétaires surendettés ont connu un nouveau record historique au deuxième trimestre en Espagne, en hausse de 21,2 % par rapport à la même période de 2010, une année déjà record dans ce domaine, selon les autorités judiciaires.
Les ordres d'expulsion ont atteint plus de 30 000 depuis le début de l'année, soit presque autant que pour l'ensemble de l'année 2009 et pourraient donc dépasser en 2011 le record atteint en 2010 (47 089)."

Et, pour qui, tous ces gens-là vont voter, je vous le donne en mille.
Tiens, même les socialiste n'en parlent pas de ces gens-là.
Ah, c'est vrai, ils naviguent dans les limbes supérieur de la gestion de la crise financière internationale. Par, contre, ils sont conscients qu'il faut museler les banques.
Alors, que sarko, après avoir nommé un pote à la direction de Dexia en s'imaginant avoir un levier pour sa "grande politique" que personne n'a encore comprise, va encore dépenser notre argent pour les sauver.
Mais, pour ces milliards dépensés en faveur de prédateurs sociaux, combien de postes de professeurs en moins, combien de postes d'infirmières en moins, combien de médicaments ou de soins non remboursés, dites-le moi, monsieur le président !
C'est pour cela que je crie "Conscience citoyenne, Révolte citoyenne !"
Que chacun a notre niveau, reprenions notre destin en main.
Remplissons les rues, sabotons, si, nous nous trouvons à un poste de trader, les transactions financières spéculatives et coulons les banques.
Emplissons les rues de notre présence et de notre révolte.
Bloquons la machine qu'ils ont fabriqué pour nous écraser.
Ils veulent notre peau en affirmant qu'ils veulent notre bien.
Alors, défendons-nous !
Ouf, voilà, après ce cri, j'ai l'impression de me sentir mieux, comme la plupart des français d'ailleurs, je fais la gueule, mais, je ne fais rien.
C'est marrant, dans ce pays, comme aux States, comme ailleurs, on privilégie la finance, les multinationales alors que le tissu économique, c'est les PMI-PME-TPE.
Et, les aides qu'ils leur sont accordés (exonération de charge sociale et autres), ce sont les multinationales qui en font leur beurre.
Ces mêmes multinationales qui sont prêtes à tuer la vie au nom de leur profit.
Vous ne me croyez pas mes quatre chers lecteurs, alors, demandez aux américains qui voient leur santé, leur région, leur terrain, leur source, leur rivière et ce qui en faisait la beauté, détruit par les puits d'exploitation de gaz et d'huile schiste.
Eh, oui, les grandes plaines de l'ouest, le far west, la chaîne montagneuse des Appalaches, tout cela fait déjà partie du passé.
Et, il faudra des milliers d'années pour voir à nouveau la vie dans ces rivières, ces sources, et bientôt ces fleuves.
Et, ils veulent nous faire la même chose en France.
Méfions-nous du gouvernement, il ment !
Mais, passons, aujourd'hui, en France a lieu la primaire socialiste et j'espère que Aubry et Montebourg puisse démentir les sondages dont il faudra un jour rediscuter de la composition des échantillons et du nombre à partir duquel le sondage devient significatif.
Bon part ça, la Chine, malgré les casseroles qu'elle traîne derrière elle, les dettes des collectivités locales, par exemple, a déjà évité une bulle immobilière et navigue pour permettre à la consommation intérieure de se développer, mais, les obstacles, il est vrai, se franchissent les uns après les autres.
Pour le moment, il s'agirait d'un contrôle des prix que l'on ferait bien de mettre en place en Europe. Pour la simple et bonne raison, que lorsqu'il y a le feu à la maison, on met en place les contre-feux nécessaire. Les contre-feux et pas les Hortefeux ! (ancien ministre français de l'intérieur pour les non initiés)
Ouaf, ouaf, ouaf, c'était vraiment trop facile et j'en suis pas mort de rire.
Mais, revenons à nos moutons.

(source : le Quotidien du Peuple en ligne)

"70 % des Pékinois trouvent les prix insupportables

L'indice de satisfaction des habitants sur le coût de la vie était de 16,1 au troisième trimestre, un nouveau plancher depuis le lancement de l'enquête, et 69,1 % des habitants de Beijing estiment que le niveau actuel des prix est inabordable, selon une enquête publiée le 8 octobre par la banque centrale.
Parmi les 1 400 déposants urbains qui ont participé à l'étude, 69,1 % considèrent que le niveau actuel des prix est trop élevé pour être supportable, tandis que 29,6 % le trouvent acceptable. De plus, les anticipations d'inflation sont encore fortes, et 47,1 % des résidents interrogés pensent que les prix augmenteront dans les trois prochains mois.
La Banque populaire de Chine (banque centrale) avait dit plus tôt que l'économie chinoise continue à se développer de façon stable et rapide et que les pressions inflationnistes se sont atténuées, mais demeurent à un niveau élevé. Elle continuera donc à mettre en œuvre une politique monétaire prudente, en donnant la priorité à stabiliser le niveau général des prix dans la régulation macroéconomique."

Et, pourtant, la finance, pour ne pas dire la spéculation internationale aimerait en faire une victime pour mettre à genoux un pays qui pourrait faire croire aux citoyens du monde que, il y a moyen de faire autrement.
Parce qu'en attendant, ils n'ont aucunement l'intention de se calmer les prédateurs de la finance internationale. Et, ça, continue au petit jeu, "Je te tiens, tu me tiens par la barbichette. Celui, qui fera pleuvoir des montagnes de pognon de la barbe de l'autre aura gagné !"

(source : les Moutons Enragés en ligne)

"Bank of America: indemnité de départ de six millions de dollars C’est
9 octobre 2011 Posté par benji sous Argent et politique.

Bank of America a annoncé vendredi que Sallie Krawcheck allait toucher six millions de dollars en guise d’indemnité de départ. Cette ex-star de Wall Street vient d’être renvoyée de son poste de responsable de l’activité gestion de fortune et investissement de la banque.
L’ancien directeur financier Joe Price doit pour sa part toucher cinq millions de dollars, selon un document transmis aux autorités boursières (SEC). Il était jusqu’au mois dernier responsable de la division de services bancaires aux clients individuels et petites entreprises.
L’indemnité de Mme Krawcheck correspond à un an de salaire, soit 850’000 dollars, assorti d’une prime unique de 5,15 millions de dollars. Le revenu de M. Price est le même que celui de Mme Krawcheck, mais il est accompagné d’une prime de départ moins élevée, soit de 4,15 millions de dollars."

Eh, oui, c'est comme ça la vie !
A bientôt.
René.

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