samedi 31 octobre 2020

note existentielle

Comment une mouche voit son environnement ?
Bon, je ne veux pas parler de la mouche, mais de nous.
Nous utilisons 10 ou 15% de notre cerveau et disons que cela détermine comment notre vision se structure.
Mais, si nous en utilisions 90%, notre vison en serait fondamentalement modifiée.
Comment verrons-nous ?
Sans doute capterions-nous toutes les connections électriques qui parcourt les être vivants. Nous verrions des silhouettes parcourues de toutes ces connections électriques lumineuses formant le contour d'une silhouette, de même pour les animaux et les plantes.
Nous en perdrions l'équilibre jusqu'à ce que notre cerveau se réajuste à notre nouvelle perception visuelle.
Comment mangerions-nous ?
Cela transformerait-il notre relation à notre environnement ?
Comment s'établirait nos relations sociales ?
Est-ce que nous nous reproduirions ou nous arrêterions de le faire ?
Combien de temps vivrions-nous ?

Bref, je me pose des questions.

rené

 France et terrorisme

macron fait revenir les réservistes de la gendarmerie et de la police pour réprimer les manifestations anti-confinement et non pas pour réprimer les actes terroristes.
Bizarrement, des actes terroristes arrivent à nouveau à point pour permettre au gouvernement de mettre en place des mesures liberticides sans avoir à se justifier, tout en obtenant l'adhésion des citoyens.
Et pourtant, l'arrivée et la saisie de 14 tonnes de la drogue du djihadiste en Italie au mois de juillet annonçait une vague de terreur.
Qu'est-ce qu'ils ont fait en prévision nos services français ?
Rien, pourtant le captagon, ça ne passe pas inaperçu, ça peut se tracer.

rené

(La manipulation des statistiques du covid 19 rend son hypothèse réaliste, tellement, cette manipulation est énorme. note de rené)

 

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 (Il faut arrêter avec des utilisations des tests PCR avec des cycles d'amplification trop élevés (40 ou même 50) qui détectent comme covid un vieux virus de la grippe mort de l'année dernière, au lieu de 25 cycles qui eux ne détectent que le covid. Avec cette méthode, on peut monter à 1milliards de cas positifs ou même 7 si on teste la population mondiale en même temps. Avec 40 ou 50 cycles, même un fruit, une papaye ressort positif au covid comme l'a expérimenté le président de Tanzanie. note de rené)


USA : 100 000 cas de Covid en une seule journée

USA : 100 000 cas de Covid en une seule journée
  • Date de création: 31 octobre 2020 17:39

(Agence Ecofin) - Aux Etats-Unis, le rythme des cas positifs à la Covid-19 ne faiblit pas depuis mi-août. Bien au contraire, il est reparti à la hausse, alors que les élections approchent à grand pas (dans 4 jours, le 03 novembre). 

Le Pays de l'Oncle Sam a ainsi enregistré une vague record de cas positifs, poussant les hôpitaux à la limite de leur capacité, avec notamment un pic inédit de 100 000 nouveaux cas (100 233) pour la même journée, une première mondiale enregistrée hier vendredi. Un jour plus tôt, le pays annonçait déjà 91 248 nouvelles infections.

covid19

Dans la foulée, l'Amérique a passé la barre des 9 millions de cas. Le pays de 350 millions d'habitants reste le plus touché dans le monde, avec aujourd'hui près de 3 % de la population qui est atteinte officiellement, pour près de 229 000 morts (Reuters). Une situation sanitaire qui en rajoute à la tension, déjà importante, du fait d'élections à très grands enjeux.

Pendant ce temps, de l'autre côté de la planète, en Inde (deuxième pays le plus touché par la pandémie), on dénombre désormais 8,1 millions de cas, dont près de 50 000 enregistrés pour les seules dernières 24h, selon le ministère de la Santé. Ceci étatnt, le rythme quotidien des nouvelles infections a chuté, de même que la létalité relative. L'immense démocratie asiatique dénombre plus de 121 000 décès (pour environ 1,3 milliards d'habitants).

Dans le monde, les top 10 des pays les plus touchés, est complété par la Russie (1,62 millions), la France (1,33 millions), l'Espagne (1,26 millions), l'Argentine (1,15 millions), la Colombie (1,06 millions), le Royaume-Uni (989 000 cas) et le Mexique (920 000 cas ). 

Ayi Renaud Dossavi

Plusieurs hôpitaux américains sont touchés par des ransomwares, alerte le FBI

En pleine pandémie de Covid-19, des hôpitaux américains sont touchés par des rançongiciels. Les autorités estiment que la vague n'en est qu'à ses débuts et demandent aux potentielles victimes de redoubler d'attention. 

 

ALICE VITARD PUBLIÉ LE 29 OCTOBRE 2020 À 17H24 source : L'Usine Digitale

 

  

Plusieurs hôpitaux à travers les Etats-Unis sont et vont être la cible d'attaques par ransomware. L'alerte a été donnée par le FBI, le Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) et le ministère de la Santé et des services sociaux.

TRICKBOT EST AUX COMMANDES
Dans une note rédigée conjointement, les trois agences affirment que c'est le botnet russe Trickbot qui est aux commandes. Ce malware paralyse un système en chiffrant l'intégralité des fichiers qui s'y trouvent. Pour donner les clés de déchiffrement, les hackers exigent le versement d'une rançon, payable en cryptomonnaie (et donc impossible à annuler une fois payée).

En une semaine seulement, des hôpitaux de l'Oregon, de la Californie et de New York ont été cyberattaqués, confirme Reuters. Et ce n'est que le début, d'après les autorités qui affirment que des dizaines d'hôpitaux sont ciblés. "Il semblerait qu'il s'agisse d'une attaque coordonnée conçue pour perturber les hôpitaux dans tout le pays", a déclaré Allan Liska, un analyste du renseignement sur les menaces au sein de la société américaine de cybersécurité Recorded Future.

CONTRAINT DE PASSER AU PAPIER ET CRAYON
Un médecin travaillant pour l'un des hôpitaux attaqués a déclaré à Reuters que l'établissement avait été contraint de "passer" au papier et au crayon. "Nous pouvons toujours surveiller les signes vitaux et faire des examens d'imagerie, mais tous les résultats sont communiqués uniquement sur papier", a-t-il précisé. Plus grave, il est selon lui impossible de transférer les patients car l'hôpital le plus proche est à une heure de route.

Des experts estiment que le groupe derrière les attaques est probablement Wizard Spider, également connu sous le nom d'UNC 1878. Ils ont averti que de telles attaques peuvent perturber le fonctionnement des hôpitaux au point d'entraîner des décès. "UNC1878 est l'un des acteurs les plus effrontés, cruels et déstabilisants que j'ai pu observer au cours de ma carrière", a déclaré Charles Carmakal, directeur technique de la société de cybersécurité Mandiant.

MICROSOFT DISAIT POURTANT AVOIR DÉMANTELÉ LE BOTNET RUSSE

Pourtant, il y a quelques semaines, Microsoft annonçait avoir réussi à démanteler le botnet Trickbot. Cette initiative avait été conçue pour handicaper les cybercriminels, mais qui semblent à nouveau opérationnels, d'après Stefan Tanase, un analyste de la cybercriminalité.

Les conséquences de cette vague de cyberattaques restent encore incertaines. Les autorités craignent en particulier qu'elle engendre indirectement des décès si les hôpitaux se retrouvent totalement désorganisés, alors que la pandémie de Covid-19 les place déjà sous tension. Une crainte qui n'est pas sans fondement. En septembre 2020, l'hôpital de Düsseldorf, en Allemagne, n'a pas pu opérer une femme en urgence vitale car il était touché par un ransomware paralysant son système. Lors de son transfert vers un autre établissement de santé, la patiente est décédée.

 Des vagues de la faim nous guettent


  | Par IHU - Instituto Humanitas UnisinosoutraspalavrasRicardo Machado source : Autres Brésil

Un an après avoir quitté la direction générale de la FAO, José Graziano da Silva crée l’Institut Faim Zéro et met en garde : outre la pandémie, le changement climatique et les pénuries d’eau vont contraindre la production d’aliments. Il faut agir immédiatement pour éviter le pire.

Traduction pour Autres Brésils : Du DUFFLES
Relecture : Philippe ALDON

Selon les données de l’Institut brésilien de géographie et de statistiques – IBGE -, le Brésil est de retour sur la Carte de la faim depuis 2018. Cela signifie concrètement que plus de 10 millions de personnes manquent de nourriture. Cela équivaut à la quasi-totalité de la population du Rio Grande do Sul. "Plus de 5% de la population souffre de la faim, se voyant privée de l’un des trois repas quotidiens. De fait, il s’agit d’une détérioration de nos conditions sociales. Nous aurons plus de violence (principalement urbaine), plus de chômage, plus de misère et les enfants seront les plus touchés", explique José Graziano da Silva, dans une interview par courriel à IHU On-Line.

La question de la lutte contre la pauvreté implique, avant tout, un ensemble de politiques publiques, parmi lesquelles le revenu de base universel. "Ces politiques sont fondamentales, surtout dans les pays où le problème n’est pas le manque de nourriture produite (comme c’est le cas du Brésil), mais le manque d’argent pour acheter cette nourriture. Une politique de transfert de revenus ne résout pas à elle seule le problème si elle ne s’accompagne pas d’une amélioration de la répartition des revenus, d’une amélioration de l’emploi et de la croissance économique", souligne-t-il.

Le 25 juin, le ministre Paulo Guedes a déclaré que le Brésil connaîtrait une reprise économique en V, mais près de trois mois après cette déclaration, rien à l’horizon ne laisse présager une quelconque forme d’optimisme. " [La faim] est le reflet d’une pauvreté aux proportions difficiles à prévoir, car nous ne savons pas combien de temps durera la pandémie et combien de temps prendra la récupération de l’économie brésilienne. Les optimistes parlent de reprise « en V », mais nous constatons que cela ne se produit dans aucun pays au monde, au contraire, les pays sont confrontés à une deuxième vague [de la pandémie]", estime-t-il.

"La politique de lutte contre la faim et la politique alimentaire doivent être des politiques permanentes, des politiques d’État. Ce n’est pas pour rien que la constitution [brésilienne] considère la question de l’alimentation comme un droit fondamental de tous les Brésiliens", ajoute-t-il.

José Graziano (Photo : Portail José Graziano da Silva)

José Graziano da Silva est agronome, docteur en économie, professeur émérite de l’Institut d’économie de l’Université de Campinas - UNICAMP. Il a occupé le poste de directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture - FAO de 2012 à 2019. Avec plus de 30 ans de connaissances en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle et de développement rural, il a coordonné la formulation et la mise en œuvre du Programme Faim Zéro1 au Brésil en tant que ministre extraordinaire de la sécurité alimentaire et de la lutte contre la faim.

Découvrez l’interview

Comment le coronavirus a-t-il fini par avoir un impact sur l’augmentation de la vulnérabilité alimentaire au Brésil et dans le monde ?

Jusqu’à présent, deux effets sont clairement connus. Le premier est une détérioration de la qualité de l’alimentation en général : les gens ont commencé à consommer moins de produits frais, qui sont plus sains (comme les fruits, les légumes, le poisson...) augmentant leur consommation d’aliments en conserve, en particulier des aliments transformés qui, restant plus longtemps en rayon, peuvent être achetés et stockés. Comme les gens vont moins souvent au supermarché ou à l’épicerie du coin, c’était la stratégie. Il existe un impact, non encore mesuré mais prévisible, de la baisse du niveau de consommation des plus pauvres en raison de la réduction des revenus.

Le cas brésilien en est également un exemple typique. L’Institut brésilien de géographie et de statistique – IBGE - avait déjà souligné une augmentation des niveaux d’insécurité alimentaire légère et modérée entre 2013 et 2018. L’insécurité alimentaire légère, lorsqu’une personne commence à échanger des produits alimentaires contre des produits de qualité inférieure (au lieu de manger de la viande, par exemple, elle commence à ne manger que des produits amylacés, des farines...), avait augmenté de 62 %, l’insécurité alimentaire modérée (lorsqu’il y a privation d’un des repas) avait augmenté de 76 % et l’insécurité alimentaire grave avait augmenté de 44 %, au cours de la période d’étude, montrant clairement une détérioration de la qualité de l’alimentation.

Comment voyez-vous les politiques de transfert de revenus, tel que le revenu de base ? Quels pourraient être les impacts liés à la lutte contre la faim ? Quelles autres politiques doivent y être associées ?

Ces politiques sont fondamentales, surtout dans les pays où le problème n’est pas le manque d’aliments produits (comme c’est le cas du Brésil), mais le manque d’argent pour acheter ces aliments. Une politique de transfert de revenus ne suffit pas à résoudre le problème si elle ne s’accompagne pas d’une amélioration de la répartition des revenus, d’une amélioration de l’emploi, de la croissance économique... En d’autres termes, d’autres politiques macroéconomiques sont nécessaires pour que la politique de transfert de revenus fonctionne. C’est exactement ce qui s’est passé dans le gouvernement Lula.

Quelles devraient être les conséquences sociales, dans le cas du Brésil, si la suspension déjà prévue de l’aide d’urgence est confirmée ?

Cela reflète la misère dans des proportions difficiles à prévoir, car nous ne savons pas combien de temps durera la pandémie et combien de temps cela prendra à l’économie brésilienne pour reprendre. Les optimistes parlent d’une reprise « en V », mais nous constatons que cela ne se produit dans aucun pays du monde, au contraire, les pays sont confrontés à une deuxième vague de la pandémie. Ces allées et venues peuvent donc prolonger la pandémie pendant un temps considérable. Et dans ce cas, la famine peut être l’une des conséquences massives. Le Brésil pourrait revenir à une situation d’avant 2013.

Que signifie le retour du Brésil sur la Carte mondiale de la faim ? Concrètement, quelles sont les conséquences ?

Cela signifie que plus de 5 % de la population souffre de la faim, étant privée d’un des trois repas journaliers. Ceci constitue une détérioration de nos conditions sociales. Nous aurons plus de violence (principalement urbaine), des niveaux de chômage plus élevés, des niveaux de pauvreté plus élevés et les enfants en particulier seront les plus touchés. La crise pourrait même compromettre nos générations futures, si son ampleur est conforme aux prévisions.

Comment ce tableau de la faim, non seulement au Brésil mais sur la planète, illustre-t-il la profonde inégalité sur tous les quadrants mondiaux, mais surtout dans les pays du Sud ?

Il n’y a aucun doute : l’augmentation de la faim n’est pas seulement un problème au Brésil. Dans le cas du Brésil, et dans de nombreux autres pays d’Amérique latine et d’Afrique, cette augmentation est clairement affectée par les inégalités sociales et surtout de revenus. Mais il y a aussi d’autres causes, la guerre par exemple. Il faut se rappeler que, selon les données de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture - FAO et du Programme alimentaire mondial, deux personnes sur trois qui souffrent aujourd’hui de la faim dans le monde vivent dans des zones de conflit ou des zones où la production alimentaire est limitée en raison de graves changements climatiques. Si le Brésil ne fait pas partie de cette liste de pays en conflit, quand on voit ce qui se passe dans nos favelas et dans les périphéries des grands centres urbains, il est difficile de ne pas qualifier ces conflits sociaux de véritables guerres.

Pensez-vous qu’il pourrait y avoir des changements globaux dans les chaînes de production après la pandémie ?

Je pense qu’il est encore trop tôt pour faire des prévisions, mais ce qui est perceptible, c’est une accélération des tendances qui se dessinaient déjà. Par exemple, une plus grande utilisation des achats en ligne, de l’Internet, du commerce électronique, même pour les achats au supermarché. Aujourd’hui, vous pouvez déjà voir les supermarchés s’adapter, vous pouvez commander via une application et ils ont déjà une zone réservée, le chariot est là, prêt et garé pour que vous puissiez venir le récupérer, ou même le système de livraison, déjà opérationnel.

Il existe d’autres changements associés qui requièrent du temps pour se consolider. Comme le raccourcissement des très longues chaînes de produits exportés vers des régions distantes qui devraient voir ce parcours réduit et remplacé par des productions plus locales et de proximité. Il est insoutenable que nous continuions à faire transporter, par exemple, les tomates de Rio Branco, en Amazonie, à Chapecó dans l’Etat de Santa Catarina. Nous devons trouver des solutions pour cela.

De quelle manière la faim est-elle également associée aux questions environnementales, en particulier aux politiques environnementales ?

Je dirais de différentes manières, mais la principale est la destruction des moyens de subsistance et de l’important passé de la population rurale. L’accès aux forêts, par exemple, l’accès aux zones de pêche et de chasse (dans une moindre mesure). Mais la principale est l’érosion des sols, la détérioration de l’environnement en général, et de l’eau en particulier. La pénurie d’eau, tant pour l’usage d’eau potable que pour l’irrigation, affecte profondément les petits producteurs qui n’ont pas les moyens d’investir dans les nouvelles technologies.

Quel est l’objectif de l’Instituto Fome Zero ? Que doit faire l’IFZ ?

L’Instituto Fome Zero (Institut faim zéro) a été lancé précisément au moment où le Brésil fait face à la pandémie et son retour sur la Carte mondiale de la faim. L’IFZ est né pour alerter sur l’importance des politiques publiques de sécurité alimentaire et nutritionnelle. Nous ne pouvons pas ignorer la faim, nous mangeons tous les jours. Nous devons manger de manière saine pour avoir une vie saine. Il faut que les gouvernements accordent une attention et une priorité à cette question, on ne peut pas ne pas y accorder d’attention et ensuite arrêter la politique. La politique de lutte contre la faim et la politique alimentaire doivent être des politiques permanentes, des politiques d’État. Ce n’est pas pour rien que la constitution [brésilienne] considère la question de l’alimentation comme un droit fondamental de tous les Brésiliens. De plus, une alimentation saine est aujourd’hui une nécessité, même pour faire face aux conséquences de la pandémie. Nous savons que les personnes obèses, par exemple, ce qui est une manifestation de la mauvaise qualité alimentaire, sont plus susceptibles de ne pas survivre au coronavirus parce qu’elles ont des comorbidités associées, telles que des problèmes cardiaques, de l’hypertension, du diabète et d’autres maladies chroniques non transmissibles. Il est important d’être clair sur ce point : une politique de sécurité alimentaire et nutritionnelle doit être permanente. Pour ce faire, l’Instituto Fome Zero est né, pour être vigilant vis-à-vis des politiques publiques.

Vous souhaitez ajouter quelque chose ?

Je voudrais ajouter qu’une politique de sécurité alimentaire et nutritionnelle n’est pas seulement pour les pauvres ; elle est pour tous les Brésiliens. Nous devons tous apprendre à manger plus sainement, à mieux manger. Nous n’avons pas cette formation. Avant, nos parents, nos grands-parents, savaient quoi cuisiner, ils savaient aller au potager chercher leurs produits, aller au marché... Aujourd’hui, nous achetons nos aliments au supermarché, souvent des aliments reconstitués. Par exemple, une saucisse. Qui sait ce qu’il y a dans une saucisse ? Qui sait ce qu’il y a dans ces produits ultra-transformés ? Des pâtes, des hamburgers ? Nous devons réapprendre à manger, reprendre le contrôle de notre alimentation. L’IFZ vient nous rappeler qu’il faut être maître de ce que l’on mange. Bien choisir une alimentation saine et équilibrée.

Voir en ligne : As ondas de fome que nos espreitam

 

WhataBeautifulWorld Youtube Channel
WhataBeautifulWorld Youtube Channelil y a 5 heures (modifié)
Ce que ne vous disent pas les médias : l’Agence Européenne du Médicament a autorisé le Redemsivir, un médicament jugé inefficace et aux effets secondaires dangereux au prix négocié de 2100 Eur le traitement alors que le coût de production est de 5 Eur. L’HCL du Dr Raoult qui n’a pas d’effets secondaires et qui ne coûte rien car il est dans le domaine public est interdit, pourtant il y a des résultats et des études qui prouvent les bénéfices. Elles sont ignorées et substituées par d’autres études trafiquées. Si tout cela se confirme, ce serait un crime contre l’humanité organisé par l’industrie pharmaceutique et la complicité des gouvernements et des médecins corrompus. Il faut ajouter que la France en a commandé des stocks importants et qu’elle propose ce “médicament” gratuitement aux hôpitaux pour s’en débarrasser. Comme personne n’en veut, ils finiront à la poubelle. Ce n’est pas grave, c’est payé avec vos impôts et les laboratoires ne seront pas impactés. Information de Marcel D. https://m.facebook.com/GiuliaGrilloM5... .
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 note sur les vaccins covid 19

"En septembre, les tests du vaccin d'Oxford avaient été suspendus après l'apparition d'une «maladie potentiellement inexpliquée» chez un volontaire au Royaume-Uni. Mais le comité indépendant avait conclu qu'il ne s'agissait pas d'un effet secondaire lié au vaccin. Quelque 20.000 volontaires ont pris part à ces tests dans plusieurs pays, dont 8.000 au Brésil, deuxième pays le plus touché par le virus, avec près de 155.000 morts." 

 (Pourtant, une région tranquille. Une pandémie ? note de rené)


Russie : un adolescent abattu après avoir poignardé un policier dans la région du Tatarstan 

31 oct. 2020, 09:21 © Evgenia NOVOZHENINA Source: Reuters  via RT France

Les forces de l'ordre du Tatarstan ont abattu un jeune homme de 16 ans qui avait poignardé un policier et tenté de mettre le feu à un poste de police. Le comité d'enquête de la Fédération considère l'incident comme une tentative d'acte de terrorisme. Le 30 octobre, dans la république à majorité musulmane du Tatarstan, la police russe a abattu un adolescent de 16 ans après que celui-ci a tenté de mettre le feu à un poste de police dans la ville de Koukmor, selon les enquêteurs russes cités par l'agence Reuters. Le jeune individu a également poignardé un agent de police au moins trois fois lors de la tentative d'arrestation, d'après la même source. Ce policier est dans un état stable et a été félicité pour son courage par le ministre de l'Intérieur du Tatarstan, Artiom Khokhorine, rapporte Tass.   Un autre policier a tiré des coups de semonce en l'air avant d'être contraint d'ouvrir le feu sur l'attaquant. L'adolescent non-identifié est mort de ses blessures avant que les médecins ne puissent arriver sur les lieux. Le comité d'enquête de la Fédération de Russie – qui s'occupe en Russie des crimes graves – a déclaré considérer l'incident comme une tentative d'acte de terrorisme et a ouvert une enquête pénale. Les motivations de l'adolescent ne sont pour l'heure toujours pas connues mais il n'était pas répertorié par les autorités russes comme «sujet à l'extrémisme». Selon l'agence Tass, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré qu'il n'y avait aucun lien entre cette attaque qui «n'est pas une question de religion» et celle qui a coûté la vie à trois personnes à Nice en France le 29 octobre, qualifiée de «terroriste islamiste» par le président français Emmanuel Macron.  

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/80225-russie-adolescent-abattu-apres-avoir-pioignarde-police-tatarstan?fbclid=IwAR0VezDRLdKBzOEoB5bxme7VC8gl9vkRCGOutUNeVAahM9fvh7Incrd6BWs

VIDÉO : Un présentateur télé saoudien appelle la France à prendre des mesures plus fortes contre l’islam politique

VIDÉO : Un présentateur télé saoudien appelle la France à prendre des mesures plus fortes contre l’islam politique: Un présentateur de la chaîne publique saoudienne Al Ekhbariya a suscité la controverse après avoir appelé la France à rendre illégales les organisations de l’islam politique. Ces propos de Tariq al-Hamid surviennent alors que les produits français sont boycottés dans le monde musulman en réaction aux commentaires d’Emmanuel Macron sur l’islam

« C’est le chef de l’État turc qui doit nous protéger ? » Le sentiment d’abandon des musulmans de France

« C’est le chef de l’État turc qui doit nous protéger ? » Le sentiment d’abandon des musulmans de France: « Une campagne de lynchage semblable à celle contre les juifs d’Europe avant la 2e guerre mondiale est en train d’être menée contre les musulmans. » Ce lundi, le président turc s’est de nouveau positionné en défenseur de l’islam. Des propos qui trouvent de l’écho chez certains musulmans de France

(Vive le calife ! note de rené)

La température moyenne du corps humain baisse, et on ne sait pas pourquoi

La température moyenne du corps humain baisse, et on ne sait pas pourquoi

( Une suggestion, parce qu'on consomme de la bouffe chimique. Bientôt, on sera comme les serpent à sang froid, des reptiliens. note de rené)

 (Des milliers de vote manquants. Quoi, il y a de la fraude électoral aux States, ce pays que l'on nous cite en exemple et avec lequel on fait un copié-collé ? D'ailleurs, on devrait se méfier en France pour la prochaine életion présidentielle vu que macron est le candidat du deep state américain. note de rené)


Thousands Of Ballots In Pennsylvania May Be Missing: Officials

Authored by Jack Phillips via The Epoch Times,

Thousands of voters in Butler CountyPennsylvania, said have they never received their ballots...

Nearly 40,000 registered voters in the county requested mail-in ballots, but only about 24 percent of them have been returned back to the county so far, authorities said.

“At first we thought that maybe it just was a delay in the postal system” due to the high number of requests, Leslie Osche, chair of the Butler County commissioners, was quoted by the Pittsburgh Post-Gazette as saying.

“And that could still be the case. But nonetheless, when we realized that, we changed our strategy and now have begun to tell folks that if they haven’t received a ballot, they still have multiple options.”

“Our main focus—because it’s too late now to worry about this—we need to make sure we get these people their ballots,” Osche added.

A U.S. Postal Service (USPS) spokesperson told the Pittsburgh Post-Gazette that the agency is “unaware of any significant delays or issues and is in regular contact with the Board of Election as we work to locate and deliver ballots as they are presented to us.” As of Tuesday, voters in Pennsylvania cannot apply for a mail-in or absentee ballot.

A local county official, Aaron Sheasley, told CNN Friday that the county has received more than 10,000 phone calls about information related to the ballots that were requested but not received.

“Somewhere between the post office and the Pittsburgh sorting facility something happened,” Sheasley told the network.

“We don’t know what.” He added:

“We haven’t given out any numbers” about the number of missing ballots “because we simply don’t know.”

Speaking to CNN, Chuck Bugar, president of the American Postal Workers Union Pittsburgh chapter, said there is no record that suggests the missing ballots in Butler County made it to a Postal Service facility.

“There’s no pile of ballots that have been taken from the Butler County election committee that are sitting around,” Bugar said.

“There’s no record or indication that they entered the mail stream. There’s paperwork that goes along with it.”

Butler County voted for President Donald Trump over Democrat rival Hillary Clinton in 2016 about 66 percent to 29 percent. The county is located north of Pittsburgh and has approximately 150,000 registered voters. In 2020, both Trump and Democratic nominee Joe Biden have been holding events and rallies, vying to secure the key battleground state with 20 electoral votes.

The county told the Post-Gazette that voters can come to the Bureau of Elections and vote in person, provide them with identification, and officials will then give them a new mail-in ballot that a voter can return immediately. The original ballot that was mailed will be voided.

They also said that voters can vote at a local polling place in the county. Other alternatives are also provided.