lundi 29 septembre 2008

"Les cornichons ne sont pas tous dans les pots". Proverbe Canadien. A se référer à la crise financière internationale.

Salut à tous les gars du café des aminches de la rue Marx Dormoy, les Routiers.

Alors, Il paraît qu'un vent de panique souffle sur les places banquières européennes. Bof ! Est-ce que c'est grave docteur ?
Grave pour qui ? fut la réponse.
Ben, oui, est-ce grave pour les banques, les clients ou les programmes sociaux, éducatifs, sanitaires qui vont se retrouver à cours de financements.
Bof ! Après tout, les gouvernements protègent les prévaricateurs. Et, personne ne demande son avis au peuple.
Mais, tout ça, fera un bon prétexte pour faire avaler les couleuvres à ceux qui espèrent encore que ça pourrait aller mieux. Notamment, ceux qui ont voté pour Bush ou Sarko.
Évidemment, des voix s'élèvent pour dénoncer la prime à la spéculation. Car, est-il vraiment nécessaire de donner un bonus à ceux qui ont foutu le bordel ?
Perso, je pense qu'il faut laisser se jouer la loi du marché. Surtout que les cadavres sont exquis. Et, qu'il a à foison des membres sanguinolents à se partager qui valent leur pesant d'or. Par exemple, si nous prenons Fortis, la banque belge que la Bnp a proposé d'acheter à 1 euro 58 alors que sa valeur, initiale était à 5 euros et plus, il y avait un bon coup à faire.
Mais, les banques belges, hollandaises, luxembourgeoises se sont créée en holding pour reprendre ses avoirs douteux. Là, les états se sont mobilisés au lieu de laisser jouer la loi du marché.
Et, partout, ils comptent nous la faire la même. Donc, les méchants prévaricateurs ne seront pas punis.
Il est vrai qu'il y a un effet de domino. Mais, seulement sur les organismes financiers qui ont joué sans garanties aucunes. Maintenant, ils ne peuvent faire face à leurs engagements.
Que ces institutions disparaissent, n'est-ce pas normal ?
Que ceux qui à travers elles ont spéculé en subissent les conséquences, n'est-ce pas normal aussi ?
C'est comme si on jetait une bouée à la mer au requin qui se noie. Mais, laissez le se noyer. Au moins, il dégage du paysage.
Récompenser les fraudeurs, n'est pas forcement la bonne solution. Après, on parle de moraliser le système avec les mêmes délinquants en col blanc. A qui veut-on faire croire que ça marchera. A la première occasion, ils recommenceront la même.
Et, ça, ce n'est pas normal !
Nous, simples péquins, on marne de plus en plus et les salopards friqués sont récompensés. Sans compter que les gouvernements nous assomment de messages pour nous faire croire qu'ils font des efforts pour nous !
Ça ne me fait même plus rire !
Ils nous disent qu'il n'y a pas d'autres solutions. Mais, bon dieu, confisquez leur leurs biens ! Et, après, on voudra bien faire semblant de croire que c'était la seule solution.
Sauf que, sauf que, les biens en question appartiennent à ces gens qui leur ont tenu la dragée haute. Alors, ils n'osent même pas y penser. L'exemple de Tapie est symptomatique de la fausseté du discours dans lequel ils cherchent à nous noyer.
Par contre, le système n'hésite pas à envoyer des huissiers aux pauvres gens qui n'ont pas compris qu'ils s'enfoncent en accumulant les crédits à la consommation et les crédits révolving. Là, peut-être qu'il y a urgence à sauver des gens, plutôt qu'aider des gros spéculateurs à conserver leur train de vie.
Mais, il est vrai que des petits, tout le monde s'en fout.
D'ailleus, en parlant du gouvernement, il a désormais du mal à justifier le cadeau fiscal qu'il a fait aux classes opulentes.
C'est pour ça que la question se pose :"Est-ce que l'argent de nos impôts doit servir à renflouer des riches qui, eux, évitent d'en payer grâce aux niches fiscales ?"
Voilà, il y a de quoi dégoutter un inuit de manger de la viande d'ours blanc, nom de dieu !
Et, sur cette réflexion, mes trois chers lecteurs, je vais vous laisser. Parce qu'avant que vous y répondiez de l'eau aura coulé vers les ponts, l'argent de vos impôts par exemple. Mais, ne vous inquiétez pas trop, il ne sera pas perdu pour tout le monde.
Bien le bonjour chez vous.
René.

vendredi 26 septembre 2008

"Le vent de prospérité change bien souvent de côté". Proverbe français.

Salut à tous les faschos du monde. Bientôt, une nouvelle aube se lèvera pour vous.

Eh, oui, il paraît que les crises nourrissent toutes les exclusions et notamment les mouvements d'extrême droite.
Parce que si le crédit part pour se faire rare pour le financement des entreprises, elles finiront par fermer.
Le chômage étendra son ombre noire sur la France et les travailleurs s'en prendront aux immigrés comme boucs émissaires.
Avant, c'était les juifs, maintenant, c'est les immigrés.
Donc, nous risquons de nous retrouver en France face à une vague xénophobe.
Donc, Lepen, tient le bien !
Et, surtout une vague islamophobe !
Vous me direz que je n'aime pas les femmes voilées et la condition que l'islam fait aux femmes. Mais, l'islam n'a jamais empêché les musulmans de vivre en terre chrétienne dans l'ancienne yougoslavie.
Mais, voilà, l'histoire des peuples s'est toujours construite sur l'exclusion. Demandez aux cathares !
Parce qu'entre nous, le discours historique de Sarko sur la crise financière n'a rien dit, il s'est bâti sur comment faire croire que sur des non propositions, une direction se dessinait.
De tout façon, ce n'est pas avec la ministre de l'économie que la France risque de sortir la tête de l'eau. A part faire des économies de bout de chandelle sur la fonction publique, y'a pas de finalité transcendantale.
Donc, le gouvernement va encore plus serrer les boulons. Il va réduire l'enveloppe financière des régions en réformant la taxe professionnelle. Il réduit partout ou il le peut le quota des fonctionnaires dans tous les corps d'état. Il réduit de fait les retraites et les remboursements sécu. Il n'accorde plus d'aide médicale d'état aux étrangers sans papiers.
Tout ça pourquoi ?
Pour la croissance ?
Là, je dois dire que je ne pige pas parce que la croissance, elle en a rien à foutre que l'état vire 12.000 enseignants.
Non, la croissance dépend du dynamisme de nos entrepreneurs qui de dynamisme n'ont plus.
Alors, faire des économies de bout de chandelle, cela servira juste à faire survivre un appareil d'état qui se la joue à l'anorexie.
Et, la croissance ne sera toujours pas au rendez-vous. Sauf que de moins en moins de français pourront être en état de consommer.
Et, la croissance sans consommation, c'est comme une oasis sans eau. C'est de l'ordre du mirage.
Alors, la France, bientôt un peuple de pauvres avec une classe dominante de très riches ?
Pauvre avenir en somme !
Décidément, à part donner du fric aux riches qui ne lui rendent pas, ce gouvernement n'a pas beaucoup d'idées.
Mais, comme les consommateurs ne décident pas à se prendre en main en boycottant par exemple les entreprises qui délocalisent, le gouvernement peut effectivement continuer à promulguer des réformettes pour remplir la tirelire.
Tout ça me semble singulièrement manquer d'ambition.
Mais, passons.
Surtout, si l'on considère que la route maritime est à nouveau ouverte dans l'arctique. Sans compter le minerai qui pullule dans le fond marin. A qui tout ça appartient ?
Aux russes ? Aux canadiens ? Aux américains ? Aux norvégiens ?
Ah, merde, et les inuits dans l'histoire ?
Bon, passons, ce ne sont que des indigènes.
Et, à part ça ?
Ah, oui, la saison des cyclones va bientôt débarquer en Nouvelle Calédonie. Il sera intéressant de voir si ils se multiplient et si leur violence s'accentue. Si, non, cela voudra dire que le changement climatique s'intéresse seulement aux Etats-Unis, ces fauteurs de trouble climatique.
Ah, oui, une chose par contre, le coton transgénique en Inde ne peut se passer de traitements pesticides, sinon, il crève. La multinationale Monte machin nous a bien pris pour des cons. Il faudrait comme pour les financiers responsables de la crise les traduire devant des tribunaux. Et, surtout pour un tout petit peu compenser leurs saloperies leur confisquer la totalité de leur bien comme pour les narcos.
Et, voilà ! C'est tout pour aujourd'hui.
Sur ce, je vous souhaite le bonjour chez vous.
René.

jeudi 25 septembre 2008

"Mieux vaut les critiques d'un seul que l'assentiment de mille". Proverbe chinois. Les critiques de mille viendraient de ceux qui ne sont pas des cons

Salut à tous les amigos qui se sont fait avoir par des leaders qui ont adopté des postures de dictateurs. Ils ont tué le rêve dans l'oeuf.

Sauf, qu'il est vrai le rêve peut faire couler beaucoup de sang, sinon des fleuves. Mais, que peut-t-on dire des spéculateurs qui ruinent même l'espoir de la vie chez tous ceux à qui ils ont vendus le sentiment que malgré leur pauvreté, ils pouvaient accéder à un rêve.
Eh, voilà, les contes de fées ne font pas parti du cosmos de nos traders. Eux, ils imaginent du papier sans valeur à qui ils donnent une valeur fictive qu'ils revendent à des imbéciles qui ne savent pas où investir leur fric pouvant leur rapporter du pognon. Donc, le papier est fictif, le taux d'intérêt à en retirer est fictif, même si ils ont essayé de de le rendre effectif, au moins pendant un certain temps. Sauf que le virtuel au final rencontre la réalité et finit dans la fange où les rêveurs se retrouvent.
Et, vogue la galère. A un moment, ça pète.
Eh, oui, c'est tout le problème du virtuel.
Par exemple, moi, je suis un mec virtuel, je n'existe que si vous croyez qu'à travers mon blog, j'existe.
Eh, bien, non, je n'existe pas.
La meilleure preuve ?
C'est que je vous dis que la fameuse crise financière ne donnera lieu qu'à une redistribution des cartes.
Le monde n'est pas en danger. Mais, le sentiment du danger fera en sorte que vous allez vous faire avoir grave par le libéralisme à tout crin.
Que pouvons-nous faire disent les analystes de tous les médias du monde. "Nous ne pouvons que subir et prier !"
Et, voir l'argent de l'état, c'est à dire notre argent passer dans les caisses des entreprises et des banques !
Alors, si, vous faites la réponse, subir et prier, c'est que vous n'êtes que des pecnots, de pauvres abrutis qui vous faîtes baiser par les médias qui sont à la solde des salopards de financiers.
Vous, vous faites avoir. Alors, tant pis pour vous. Pourtant, je vous ai montré qu'en Nouvelle Guinée, une entreprise américaine qui exploite une mine d'or continue à engranger des milliards de dollars.
Donc, au final, c'est vous qui allez être dépouillé.....et le reste ne sera à la limite qu'une grosse manipulation !
Donc, la question qui se pose est, "est-ce que la crise va faire fermer sa gueule à tous les classes intermédiaires dont désormais, ils n'ont nulle utilité ?"
Je pense que oui et le travail des médias est nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Ouh, là, là. Une stagiaire me demande de prendre l'ordi et je suis donc obligé de vous quitter mes chers trois lecteurs. J'allais vous dire la vérité sur le fond de le crise financière et, hélas je ne le peux.
Donc, bien le bonjour chez vous;et, en plus, elle vous passe le bonjour, il s'agit d'Anne de tous les détours.
René.

mercredi 24 septembre 2008

"Donnez un cheval à celui qui dit la vérité, il en aura besoin pour s'enfuir". Proverbe Persan.

Salut aux compagnons du coquelicot. Tant que le ciel est bleu, c'est que ça va pas trop mal.

Alors, que se passe-t-il dans la province indonésienne, je devrais dire colonie de l'Irian Java ou papouasie occidentale, Nouvelle Guinée occidentale pour les néophytes.
Un petit rappel historique.
La Nouvelle Guinée, la plus vaste île du Pacifique (genre Madagascar) a été colonisé pour moitié par la Hollande et pour l'autre sous mandat australien. L'australie accorda l'indépendance, l'autre moitié fut occupée par l'Indonésie lorsque la Hollande se retira du territoire.
L'Indonésie pratiqua une politique de peuplement et de mise en valeur des terres. Sauf que la terre arable cultivée depuis des milliers d'années par les papous n'était constituée que d'une faible couche de bonne terre. Retournée la mince couche arable fut ensevelie par le tout venant non utilisable en agriculture.
D'où un échec patent de la politique de colonisation par l'agriculture du type pratiquée en Indonésie.
Par contre la politique répressive contre les populations locales et le mouvement indépendantiste alla bon train.
Aujourd'hui, la répression continue et le mouvement indépendantiste n'est pas mort.
C'est pourquoi, je vous commets aujourd'hui un article des Nouvelles Calédoniennes, ce quotidien de Nouvelle Calédonie daté du 23/09/2008 concernant la colonie indonésienne.
"L'armée de libération nationale revendique les attentats.
Le général Kelly Kwalik, chef de l'armée de libération de Papouasie occidentale, a déclaré que son but était la fermeture de la mine d'or de Timika jusqu'à ce que la Papouasie occidentale, province indonésienne obtienne son indépendance.
Les trois attentats à la bombe qui se sont produits la semaine dernière sur la mine d'or de Timika en Papouasie occidentale ont été revendiqués par l'armée de libération nationale. Pour le général Kwalik, les conflits tribaux, les violations des droits de l'homme, la destruction de la pollution sont directement liés à l'activité minière. Les droits des propriétaires coutumiers sont bafoués. Et, le droit à une revendication indépendantiste au niveau politique est illégal.
"Dans ces conditions, nous fermerons la mine de Timoka jusqu'à ce que la Papouasie occidentale obtienne son indépendance de l'Indonésie", a déclaré Kelly Kwalik. Parallèlement, près de 1000 personnes ont manifesté la semaine dernière dans les rues de Jayapura, la capitale de cette province indonésienne. Les manifestants ont réclamé un référendum sur l'indépendance de l'ancienne Nouvelle Guinée hollandaise rattachée à l'Indonésie dans les années soixante, date du début d'un long conflit avec les séparatistes. Ils ont également demandé que la question de l'indépendance soit discutée, ce mois-ci, à l'assemblée générale des Nations Unies à New York.
La mine de Timika est la plus grande mine d'or du monde. Elle est exploitée par la société américaine Freeport-MacMoran. Et, les bénéfices de l'exploitation, qui se chiffre en milliards de dollars, vont à l'exploitant américain, et à l'Indonésie.
En 1995, les forces indonésiennes et des agents de sécurité de Freeport ont été accusés d'avoir assasiné des propriétaires coutumiers de Timika dont des parents du général Kwalik.

Jérôme Garvelle."
Et, voilà, les industriels pillent le monde et les spéculateurs aussi.
Mais, croyez-vous que les papous sont concernés par la crise financière internationales ?
A mon avis, ils ont en rien à glander.
Autour de la crise, le monde continue à tourner.
Et, sur ce, je vous souhaite le bonjour chez vous.
René.

mardi 23 septembre 2008

La décadence d'une société commence quand l'homme se demande : "Que va-t-il arriver ?" au lieu de se demander: "Que puis-je faire ?"Denis de Rougemont

Salut à tous les gogos du monde. On s'est bien fait avoir !

Donc, crise des marchés financiers. Les traders ont foutu le bordel et c'est tout le monde qui va payer. Est-ce que tout cela est morale ? Faire payer à tous la faute de quelque uns.
Et, à ceux-là, que va-t-il arriver ?
Rien !
Déjà, les traders renégocient de nouvelles places et les présidents négocient des primes de départ conséquentes.
Où est la morale là dedans ?
Pourquoi, n'y a t-il pas une inscription dans la loi pour crime économique. Mettre en danger des nations, n'est-ce pas un crime ?
Obliger les nations à mobiliser tous leurs moyens financiers pour corriger la faute de quelque uns, n'est-ce pas un crime ?
Jouer avec la vie, sinon l'avenir des gens, n'est-ce pas un crime ?
Pourquoi, le moindre vol de vélo conduit en prison et que le hold up des économies de dizaines de millions de personnes ne conduit qu'à faire la une des journaux ?
Il y a là une injustice flagrante !
Ces gens, les spéculateurs institutionnels et autres hedges funds et fonds de pensions doivent rendre des comptes et se retrouver devant des tribunaux. Ils doivent comme tout un chacun payer leurs dettes à la société si on ne veut pas qu'ils continuent ou qu'ils recommencent.
Déjà, ils se précipitent pour le dépeçage des institutions financières qu'ils ont contribué à précipiter dans l'abîme.
En plus, il faudrait leur accorder des primes de départ !
Et, tous ces petits traders de merde qui roulent en voiture de luxe, habitent dans des appartements de luxe, eux aussi, il ne doit rien leur arriver ?
Et, c'est nous les simples citoyens qui devront payer leurs factures !
Je ne suis pas d'accord !
La prison est aussi faite pour eux, les délinquants en col blanc. Autrement, ne me parlez plus jamais de justice !
Parce que n'oubliez pas que pour payer la faute de quelqu'un uns, la Fed a épuisé ses possibilités de liquidités. Que dans les années à venir l'endettement des States est tellement énorme, que tous les programmes sociaux vont en pâtir, sans compter les possibilités d'accéder aux crédits bancaires.
Donc, que des milliers d'entreprises sont déjà en faillite virtuelle avant de l'être vraiment.
Par conséquent des licenciements de masse vont intervenir un peu partout dans le monde, accentuant ainsi la morosité ambiante.
L'état américain est non pas virtuellement en faillite, mais, il est en faillite. Et, c'est Obama qui va se taper le redressement économique qui malheureusement ne se fera pas en quatre ans, ni en huit d'ailleurs.
En France, les institutions financières n'ont pas encore avouées la totalité de leur perte. Sauf que tout le monde commence à monter dans les canots de sauvetage.
Nous survivrons, n'en doutez pas. Mais, à quel prix pour les classes les moins aisées ?
Et, ce n'est pas Sarko qui n'a pas d'idées originales qui va nous sortir de la mouise. A mon avis, les industriels français ont une occasion en or de reprendre des parts de marché sur l'international, si, ils sont dynamiques. Ce dont je doute. Mais, si cela était le cas, est-ce que les banques sauraient suivre. Parce que c'est maintenant qu'il faut investir, n'en doutez pas. Alors, si les français veulent redresser la barre qu'ils investissent leur bas de laine directement dans les Pmi-Pme nationales. Créant en cela un mouvement qui obligera les banques à suivre.
Car, elles profiteront du reflux des entreprises extra-nationales.
Pour survivre, il faut que l'épargne nationale s'investisse en direct. Autrement, nous ne ferons que subir au lieu de nous battre.
Déjà, qu'en France, l'état n'a plus de fric et qu'il fait des économies de bout de chandelle ou déhabille Pierre pour soi-disant donner à Paul, on est mal barre.
Il y a du fric en France et la crise actuelle demande un sursaut national de tous nos petits et gros épargant. Je ne vois pas autrement comment on pourra sortir la tête de l'eau.
Et, c'est tout pour aujourd'hui. Car la colère est trop forte et je sais parfaitement jusqu'où le pays va plonger. A cause de sales délinquants en col blanc !
Alors, rappellez-vous, il faut les mettre en prison tous ces salauds car ils ont joué avec nos vies et la vie de nos gosses. A cause de cela, il ne peut y avoir de pardon.
Bien le bonjour chez vous.
René.

jeudi 18 septembre 2008

"Les paroles sont comme des oeufs : à peine écloses, elles ont des ailes.

Salut à tous les paranos du monde. Continuer à prendre l'ascenseur social. Il vous conduira directement là haut.

Aujourd'hui, nous allons faire comme tout le monde, nous allons paranoier. Merde alors, y'a des faillites et ça craint !
Voilà, pour la parano. Ça paraît un peu court, mais, la crise financière des States ne méritent pas plus. Car, nous pouvons faire confiance aux fonds de pensions pour découper les cadavres et se faire des tunes.
Y'a des salauds d'épargnants, spéculateurs par procuration qui vont se retrouver le bec dans l'eau.
Et, alors, allons-nous pleurer sur leur sort alors que leurs structures d'investissement dépeçaient un peu partout dans le monde, les industries nationales pour les revendre par pièces afin de leur payer de confortables dividendes. Ce qui au final signifiait des milliers, sinon des millions de travailleurs au chômage.
Alors, qu'ils crèvent, mais qu'ils crèvent en silence sans nous faire croire que leur malheur est le malheur de tous.
Que la crise financière voit des faillites, c'est normal. C'est ainsi que le système va se réguler. Par contre, que les nationalisations soient la nouvelle doctrine américaine, là, je dois dire, je me marre !
Mais, trop s'en faut, la crise n'est qu'une vague qui n'emportera pas la finance internationale. La preuve, les spéculateurs continuent de spéculer autrement, si c'était grave de grave, ils récupéreraient leurs billes pour les planquer et jouer à la marelle.
Et, d'ailleurs, heureusement que y'a des faillites pour que les spéculateurs aient un os à se mettre sous la dent, vu qu'ils ont arrêté de spéculer pour le moment sur les énergies fossiles et les denrées alimentaires.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres, ainsi va la vie.
Gageons que d'ici au mois de mars, toute cette agitation se sera calmée.
Cependant, il y a une chose où il faudra faire attention, c'est les produits alimentaires venus de Chine. Parce que là-bas, on peut pas dire que ça les gène d'empoisonner les populations en vendant de la merde.
En tout cas, cela n'empêche pas la Chine de continuer à se positionner dans tous les pays où ils pensent pouvoir en capter les ressources. Et, en cela, elle contrarie la politique de la banque mondiale et du Fmi qui tentent aujourd'hui de mettre des freins à la corruption galopante des dirigeants locaux. Politique, qui d'ailleurs ne rencontre pas un franc succès.
Demandez au président du Congo brazza, demander au président du Congo à côté, demandez au président du zimbabwe, demandez à, demandez à, demandez à celui du Burkina Faso.
Mais, ne parlons pas des politiques du Fmi et de la banque mondiale parce que y'a vraiment de quoi attraper des boutons. Demandez à Strauss Kahn, l'actuel président du Fmi.
Mais, tout ça, c'est des questions et les questions finissent par vous donner mal à la tête. Alors, je vous laisse là et n'oubliez pas pour le mal de tête, y'a pas mieux que la mort aux rats.
Bien le bonjour chez vous.
René.

mercredi 17 septembre 2008

Aujourd'hui, j'ai été mangé à midi. Donc, je n'écris pas.

Alors, cette simple réflexion, à notre époque où l'accession à l'eau potable devient de plus en plus problématique pour des centaines de millions d'êtres humains, cette question, "Pourquoi à Paris, les bistrotiers refusent ou font payer des verres d'eau aux sdf ?"
Alors, que dans la loi, le verre d'eau accordé au sdf est une obligation.
Cela voudrait-il dire que même dans la capitale la plus visitée par les touristes les sans droits n'ont plus accès à l'eau ?
Sans compter que les fontaines publiques disparaissent de l'horizon parisien.
Mais, que fait le maire ?
Ne travaillerait-il que pour une classe moyenne que Sarko s'évertue à faire disparaître ?
Réfléchissez et faites moi part de vos réflexions.
René.

mardi 16 septembre 2008

"Il n'y a pas de meilleur gendarme que celui qui a été bandit". Proverbe Catalan. Messieurs les français, pensez à Vidocq.

Salut aux américains qui ne savent pas où les vents les amènent. Ils ont de quoi se faire du mouron.

Que dire, que dire ? Croyez-vous sérieusement qu'ils aillent vers un crak boursier ? Tout ça parce que la Fed n'a pas voulu renflouer les comptes de la cinquième banques d'investissement américaine. Allez, allez, arrêtons de nous faire peur. La Fed n'est pas là pour renflouer toutes les banques qui ont joué aux apprentis sorciers.
Après tout, c'est bien fait pour leur tronche. Et, lorsque que l'on constate que les dirigeants qui ont coulé leur banquesse sont fait remercier avec des émoluments de plusieurs dizaines de millions de dollars, on peut se poser des questions. La crise n'est pas réalité pour tout le monde. En tout cas, elle l'est pour tous ceux qui ont acheté des maisons à des taux variables et qui se font jeter dehors. Mais, un dirigeant qui a fait perdre des milliards de dollars à sa banque, lui on le remercie en lui accordant des millions de dollars de prime de départ.
Allez comprendre, la règle du jeu après ça !
En fait, il n'y a qu'une règle, le pauvre perd, le riche ne perd jamais.
Et aux States, combien reste-t-il de propriétaires à expulser, un, deux millions ?
La garantie offerte par l'état américain aux propriétaires à la limite de la solvabilité, en fait, ne concerne qu'une minorité de ceux qui sont expulsables. On se croirait revenu dans les années 20 où la crise de l'agriculture avait jeté des millions d'exploitants sur les routes et avait vu fleurir des camps de tente dans tout le sud ouest américain.
Alors, que des banques fassent faillite et que les survivantes se partagent les restes confortables des perdantes, c'est tout simplement la règle du capitalisme glorifié.
Pourquoi donc s'en faire ?
Tout finira par se régulariser.
Et, qu'en France, le marché de l'immobilier subisse le contre coup, qu'est-ce qu'on a à en faire sérieusement ? Ils se sont largement fait assez de fric sur notre dos, ces messieurs les propriétaires. Maintenant, ils veulent nous faire croire que la crise s'installe, parce qu'ils n'arrivent plus à vendre leurs biens à des prix prohibitifs.
En attendant, les loyers ne baissent pas, comme d'ailleurs le prix de l'essence à la pompe.
Alors, la crise qui les fait pleurer pour nous faire croire que nous tous, nous devons nous serrer la ceinture pour leur permettre de continuer à nous prendre pour des cons, c'est carrément une galéjade marseillaise.
Bientôt, ils vont nous faire pleurer sur leur sort. Est-ce que eux, ils pleurent sur le sort des mères de famille qui n'ont plus que des pâtes à donner à leurs enfants à partir du 15 du mois ?
Non ! Donc qu'ils crèvent la bouche ouverte en avalant des mouches. Et, que l'on arrête de nous faire croire que la crise qui les concerne va toucher tout le monde. Si, ils nous font croire cela, c'est qu'ils veulent que le gouvernement continue à taxer ceux qui en ont moins pour financer leur crise à euxs sans leur redistribuer les dividendes de leur échec.
Alors, la question que l'on peut se poser est "Maintenant que la spéculation a arrêté d'investir dans les denrées alimentaires et dans les énergies fossiles, est-ce que nous allons constater une baisse sur les prix.
Parce qu'il faudrait démentir l'adage, "Consommateurs = pigeon".
Et, sur ces bonnes paroles, je vous laisse à votre vie morose. Encore que, elle n'est pas morose pour tout le monde.
Bien le bonjour chez vous.
René.

lundi 15 septembre 2008

"Ne blâme pas Dieu d'avoir créé le tigre, mais remercie-le de ne pas lui avoir donné d'ailes". Proverbe indien. Comprenne qui pourra.

Salut les amis du monde, les frontières ne sont que virtuellement gardées par des mitrailleuses.

Bon, que dire ? Peut-être le faire dans l'atroce méchanceté.
Alors, je dis, Sarko a vendu les provinces géorgiennes à la Russie.
Alors, je dis, Sarah Palin, la colistier de Mac Cain déclare que la Georgie mérite de faire partie de l'Otan et que si il est nécessaire de la défendre militairement, il ne faudra pas hésiter. A quand la quatrième guerre mondiale ? Après, comment Bush va faire croire aux russes que le bouclier antimissiles n'est pas dirigé contre eux.
C'est carrément une malade mentale. Il faut l'enfermer !
Alors, je dis, le ministre de l'éducation, Darcos, veut récompenser les élèves méritants avec des médailles, et pourquoi pas avec la légion d'honneur ?
A bien y réfléchir, c'est pas trop méchant ce que je jacte. Alors, brisons là et passons à autre chose parce que la vraie méchanceté n'est pas de mon ressort.
Donc, je vous disais hier que messieurs les architectes devaient repenser les immeubles des villes en les imaginant aptes à résister aux cyclones. Là, je voulais parler de toutes ces surfaces de verres qui les composent.
Parce que à Houston, toutes les vitres ont implosé.
Vous me direz que cela va faire des embauches dans le secteur vu le nombre de m2 à remplacer. Et, là, j'ai rajouté qu'il fallait revoir la conception des rues également. En effet, il me semble nécessaire d'imaginer une manière de concevoir les rues qui puissent casser la force des vents. Car les rues en ligne droite lorsque l'on se tape un cyclone, c'est pas la panacée.
Alors, je répète, messieurs les architectes à vos crayons et à vos papiers.
Par contre, je voulais vous dire un mot sur l'accélérateur de particules du Cern entre la France et la Suisse qui va reconstituer les conditions dans lesquelles est apparu le bing bang. Certains bloggeurs crient haro sur le danger de la création d'un trou noir.
A vrai dire, je n'y crois pas. A l'encontre de cette idée baroque, je pense que ce que vont faire les scientifiques, c'est passer à côté d'une distorsion de l'espace temps. Et, comme, cette distorsion va se jouer sur une surface infinitésimal et que par ailleurs, ils chercheront tout autre chose, automatique, ils passeront à côté. Pourtant, c'est cette distorsion de l'espace temps qui pourraient leur permettre d'accéder à une découverte essentielle, l'accès à d'autres dimensions.
Et, voilà, il suffisait de me le demander. J'ai la réponse toute prête.
Si, vous avez des questions, n'hésitez pas mes trois chers lecteurs, posez, posez, il en restera toujours quelque chose.
A part ça, que vous dire, que Obama marne après Mac Cain, que les suffragettes d'Hilary Clinton ne semblent pas pencher pour lui. Il n'a pas voulu d'une casse pied comme vice présidente et il risque d'en payer les conséquences. A moins, à moins qu'Hilary ne se défonce pour sa cause ?
Et, encore, rien n'est moins sûr.
En tout cas, y'a un paquet de femmes américaines qui ont du se sentir léser qu'une femme ne soit pas représentée dans cette élection.
A-t-il commis sa première faute impardonnable ?
En tout cas, un qui ne commet pas de faute, c'est Poutine. Il ne tente pas de piquer la vedette à son président. Il dirige la Russie comme une éminence grise. Et ne commet pas de faute, mais, profite de la faute des autres pour avancer ses pions. En ce qui concerne la Russie, il faut comprendre une, il ne s'agit pas de la Russie impérialiste, mais de la Russie impériale. Il y a une notion qui implique différemment la Russie dans ses stratégies.
Et, sur ce, je vous laisse réfléchir à la différence fondamentale qu'implique la différence entre impérialiste et impériale. Car, je dois visiter un blog d'une institutrice d'Argentine qui m'a invité à visiter le blog qu'elle fait avec ses élèves et à souhaiter mon avis.
Sur ce bien le bonjour chez vous. Et, n'oubliez pas, si votre femme vous trompe avec votre voisin, demandez lui des tunes. En ces jours de grande pénurie, l'argent n'a pas d'odeur.
René.

vendredi 12 septembre 2008

"Ne suivez jamais les traces du malheur, il pourrait bien se retourner et faire volte-face". Proverbe japonais.

Salut aux innocents, croyez et vos mains se rempliront de poissons.

Hier, je vous ai parlé du Vanuatu, ce petit archipel qui connaît la moitié des maux du monde. Peut-être ne m'avez-vous pas cru. Alors, je vous propose ce papier des Nouvelles Calédoniennes du 11/09/2008, sans compter tous les autres articles de même source.
"Puissant séisme au nord de l'archipel.
Un nouveau et puissant séisme a été enregistré mardi matin au nord de l'archipel du Vanuatu. Geoscience Australis précise que la secousse de magnitude 6,9 sur l'échelle de richter a été localisée à environ 230 kilomètres au nord de l'île de Santo, à une profondeur de 115 kilomètres au dessous du niveau de la mer. Ce séisme fait suite à une secousse de 6,6 enregistrée lundi entre le Vanuatu et les îles Loyautés (Nouvelle Calédonie). Une fois de plus, aucun dégâts ni blessé n'a été signalé et aucune alerte au tsunami n'a été émise".
Et, voilà, je vous l'avais dit, c'est un pays de cocagne.
Par contre, la signification réelle est que les plaques bougent de plus en plus fréquemment et qu'il n'est pas anodin que la plaque tibétaine bouge et celle du Pacifique également dans un laps de temps très court.
Est-ce que cela ne signifierait pas de futures secousses très fortes dans la région Japon-Taiwan. Ce n'est évidemment pas souhaitable. Sauf, qu'à mon avis, ça bouge trop et sur une durée trop courte.
A voir.
Par contre la Chine accentue sa présence dans les îles du Pacifique. Veut-elle damer le pion au Japon sur les ressources pélagiques du Pacifique ?
En tout cas, elle agit.
Un papier des Nouvelles Calédoniennes, encore, de la même date :
"Les ïles Fidji - Construction d'une usine hydroélectrique avec la Chine.
Les services d'approvisionnement en électricité des îles Fidji ont signé un accord de 170 millions de dollars (près de 12 millions de francs) avec une société chinoise, Sinohydro Corporation of China, pour la construction d'un barrage de centrale hydroélectrique. Selon le programme de faisabilité, ce barrage hydroélectrique devrait permettre à l'archipel de réduire tous les ans sa facture de carburant de plus de 30 millions de dollars (plus de deux milliards de francs). Ce barrage sera construit dans la localité de Nadarivatu et devrait être terminé en 2011".
Y'a pas à dire, ils ont du fric ces chinois. Mais, la question qui peut se poser est, "Pourquoi, personne n'y a pensé avant ?"
Sans doute parce que le gouvernement fidjien n'est pas réellement solvable.
Alors, que vont y gagner les chinois ?
Par contre, les australiens lorsqu'ils sont intervenus au Timor Oriental ont introduit une nouvelle espèce qui fait du dégât.
Nouvelles Calédoniennes du 12/09/2008.
"L'Australie soupçonnée d'avoir introduit des crapauds venimeux.
L'armée australienne, intervenue, il y une dizaine d'années au Timor-Oriental avec des forces de maintien de la paix, y a probablement introduit accidentellement un crapaud venimeux qui décime notamment la volaille.
Sans doute dissimulés dans des véhicules militaires, les crapauds seraient entrés au Timor-Oriental avec l'armée australienne en 1999, a expliqué Simplicio Barbosa, membre de l'organisation non gouvernementale Care International, basée à Dili, capitale du Timor. "Nous ne savons pas comment les chasser, ni comment les détruire", a-t-il expliqué alors que les amphbiens tuent nombre de poulets timorais. Le ministre australiens de la défense, Joel Fitzibbon, a ordonné une enquête pour savoir si les crapauds ont pu passer à travers les contrôles de quarantaine.
Les crapauds buffles ou de canne à sucre (bufo mannus) prospèrent dans le sud de l'Australie. Ils disposent derrière leur tête de petits réservoirs contenant un venin si puissant qu'il peut provoquer, en l'espace de quelques minutes, le mort de crocodiles, de serpents, et d'autres prédateurs.
Ils avaient été introduit dans l'état du Queensland dans les années 1930 pour combattre les coccinelles et les insectes qui dévastaient les champs de canne à sucre des côtes de cette région tropicale. Mais, ils se sont rapidement multipliés et ont envahi le nord de l'Etat de Nouvelle Galles du Sud et les Territoires du Nord. 70 ans plus tard, les crapauds ont donc, non seulement échoué dans leur mission, mais, ils sont aux portes de Darwin, et menacent d'étendre leur territoire aux autres états du pays. Ils étaient 102 lors de leur introduction, ils sont sans doute plus de 100 millions aujourd'hui !
L'ouest du pays est particulièrement menacé. Car les crapauds buffles ont deux atouts majeurs. Au fil des années leurs pattes s'allongent et ils se déplacent plus rapidement. Mais, surtout, les crapauds buffles ont une libido débridée. Une seule femelle peut pondre la bagatelle de 35.000 oeufs !
Ils sont maintenant à moins de 50 kilomètres de la frontière de l'état de l'Australie Occidentale. Ils ont littéralement ravagé la faune du parc national de Kakadu,inscrit sur la liste du patrimoine de l'humanité. Car, ils tuent tous les animaux qui tentent de les manger.
Face à ce fléau, les australiens se mobilisent et des volontaires organisent des battues pour éliminer ces grenouilles envahissantes. Plusieurs bars ou pubs du Queensland promettent même une tournée gratuite contre un sac de crapauds. Morts ou vifs !
Jérôme Gavelle".
Par contre trouver sur le net, "Si la population des crapauds buffles continuaient de croître en France, il pourrait y avoir des conséquences graves sur l'éco-système".
Nous voilà donc prévenus !
Et, sur ces bonnes paroles sur le danger de l'introduction d'espèces étrangères sur l'éco-système, je vous laisse réfléchir.
Et, bien le bonjour chez vous.
René.

PS : je viens de lire sur un papier des Nouvelles Calédoniennes du 12/09/2008 :
"Séisme d'une magnitude de 6,1 au large d'Honiara.
Après deux secousses au large du Vanuatu et de Nouvelle Calédonie en tout début de semaine, un troisième et puissant séisme a été enregistré mardi aux îles Salomon. La dernière secousse de 6,1 sur l'échelle de richter a été enregistrée à 187 kilomètres à l'ouest de la capitale Honiara et à dix kilomètres de profondeur.
Aucun dégâts, ni blessés n'a été signalé et aucune alerte au tsunami n' été lancée par le centre".
Ouh, là, là, ça se rapproche du Japon !

jeudi 11 septembre 2008

"Qui n'est pas utile à soi-même ne peut être utile à ses amis et ses proches". Proverbe kabyle.

Salut à mes milliers de lecteurs. Je suis votre directeur de pensée.

Alors, là, si, je deviens votre directeur de pensée, vous êtes mal barré. Parce que comme tout bon gourou, je profiterais de ceux qui parmi vous sont les plus fragiles et je leur pomperais leur fric.
Euh, comme avenir, c'est pas terrible, ne trouvez-vous pas ?
Mais, il paraît que des sectes en profitent un max. Suivez mon regard sur la scientologie.
Sauf, qu'il paraît qu'en Espagne, les scientologues sont sur une posture légale. En Allemagne, ils sont toléré et en France aussi.
Alors, que signifie, interdire la scientologie.
Perso, ça me ferait plaisir. Mais, mon plaisir n'est pas force de loi.
Surtout, que toutes les "églises" qui vont se sentir menacer à l'aune de la scientologie vont ruer dans les brancards.
Parce qu'entre-nous, la liberté de croire inclut la liberté de se faire baiser. Et, sans défendre les scientologues que j'abhorre, si, il y a un con ou une conne qui leur balance du fric, c'est qu'elle le veut bien. Et, si, il ou elle est assez conne pour emprunter du fric pour accéder au rêve ou au mieux être, c'est sa part d'enfer sur terre qu'elle monnaye.
Regardez, par exemple, tous ces fadas d'américains ou d'africains qui bouche bée devant les télé-évangélistes leur balancent des milliers ou des millions de dollars.
Cela pose la question de la crédulité plutôt que celui de la foi.
La foi a dit Jésus doit nous amener vers la compréhension et l'amour de l'autre. Et, la compréhension et l'amour doit nous amener à un partage plus équitable des biens de ce monde.
Je pense que les télé-évangélistes et autres gourous ont parfaitement compris le message. Ils amènent l'autre à partager.
Donc, stricto senso, qui y-a-t-il de mal ?
Je pense que c'est dans la notion même du partage qu'il existe un quiproquo, car Jésus n'a jamais dit "dépouiller".
Et, c'est cette pratique qui pose problème.
Sauf que, sauf que, les promoteurs de telles pratiques s'inscrivent parfaitement dans la mondialisation et dans la course au profit. En fait, ils se conduisent comme des prédateurs économique, semblables à leurs frères spéculateurs financiers.
Même, si je ne suis pas un fan de l'Islam, sauf du soufisme, je note que le Coran interdit les prêts à intérêt. Je ne note rien de pareil dans la chrétienté. Notamment, dans le protestantisme véhiculé par le mythe américain.
Dans le protestantisme américain, se rapprocher de dieu coûte cher. En cela, il colle parfaitement au mythique rêve américain, "le plus fort gagne".
Il faudrait peut-être revenir en ces temps troublés aux fondamentaux de la pensée chrétienne en réajustant la notion de partage à notre époque.
Car, mes chers amis, les idéologies politiques s'appuyant sur la notion de partage ont vécu pour le moment. Nous sommes par conséquent plongé dans un monde sans moral où le plus petit subit et ne trouve plus d'espoir dans l'état. Nulle pensée ne s'élève, à part celles partisanes des religions qui élèvent jusqu'au ciel leurs intolérances.
Dire que nous avions rêvé d'un monde nouveau, débarrassé de ses intolérances et de ses préjugés. Mais, comment rêver d'un monde nouveau alors que chacun se réfugie dans son microcosme pour se protéger derrière des barrières d'incompréhension ?
Ouh, là, là. Il faut que j'arrête avec le délire. Excusez-moi, mais, dans ce genre de discours, à un moment faut mieux laissez tomber tellement ça devient chiant.
Aussi, je me tire en courant vers de nouvelles aventures et je vous dis, bien le bonjour chez vous. Et, n'oubliez pas de dire à vos femmes, "Etienne, Etienne, tiens le bien".
René.

mercredi 10 septembre 2008

«Assieds-toi au bord de la rivière et tu verras passer le corps de ton ennemi» Proverbe bantou. (bouge ou ton ennemi te fera la peau).

Salut aux compagnons du coquelicot, le pavot fleurit sur l'Afganistan.

Bon, j'avoue, j'ai signé la pétition contre le fichier edwige. Ce n'est pas tant contre l'inscription de la nouvelle délinquance des mineurs que contre l'inscription de tous ceux qui ont une opinion, par exemple les bloggeurs.
Au moins, j'ai marqué où je peux encore un acte citoyen.
Et, en attendant, je compte les étoiles et je me tourne les pouces et je me dis, heureusement que je n'habite pas les caraïbes, le vent m'aurait soufflé dans les narines.
D'ailleurs, je vous le demande, qu'est-ce qu'est ce temps merdique dans cette région ainsi que dans celle du Pacifique.
Dans les Caraïbes ou comme dans la chaîne des volcans du Pacifique, les cyclones se font plus nombreux et plus violents. Causant par la même chaque année plus de morts.
Sans compter que les cyclones ou ouragans étendent leurs champs d'action et s'étalent sur une durée plus importante. Apparaissant dans des régions où de mémoires d'hommes on en avait jamais vu la queue d'un.
Bien, bien, mais les States, la Russie ou la Chine n'en prennent d'ombrage aucun. Donc, vogue la galère sur les flots, "Fluctuat nec mergitur", comme on dit à Paris, le bateau flotte même rempli d'eau.
Alors, si les cyclones étendent leur territoire d'intervention comme l'armée américaine veut le faire en Afganistan, pourquoi, l'année prochaine ne toucheraient-ils pas la ville de New York ?
Peut-être là, le gouvernement américain se poserait des questions. Et, que l'on se rendrait compte que la ville de New York est peut-être adaptée aux séismes, mais pas aux ouragans.
Alors, messieurs les architectes à vos crayons ! Dessinez-nous désormais, des bâtiments et des rues adaptés aux séismes et aux ouragans. Aux séismes de 7 sur l'échelle de Richter et de 250 km de ventilation pour les ouragans.
Et, à quand sur la Russie ? Parce que vous me ferez pas croire que le Kamantchaka sera protégé éternellement de ce type de catastrophe naturelle.
Et, je ne parle pas de la Bretagne parce qu'elle est déjà dans l'oeil du cyclone.
A part ça, qu'est-ce qui se passe de drôle dans le monde. Peut-être la natalité avec des vieilles qui se mettent à pondre des bébés bonheurs. A voir la tête des mômes quand à 15 ans, ils devront s'occuper de leurs parents grabataires.
A leur place, je souhaiterais qu'ils disparaissent dans un tremblement de terre et j'irais élire domicile au Sichuan.
Mais, passons.
Tout cela me rappelle le Vanuatu, un archipel dans l'océan Pacifique entre la Nouvelle Guinée et la Nouvelle Calédonie. Eux, ils ont les tremblements de terre, la malaria et les cyclones, plus maintenant la montée des eaux qui les a obligé à évacuer les populations de certaines îles. Et, en plus, c'est un pays pauvre.
Vraiment, y'a des endroits où il faut éviter de naître, ne pensez-vous pas ? C'est ce que je me dis parfois à Paris lorsque je constate que le nombre de mendiants augmente. Et.....bientôt l'hiver !
Alors que vont faire les sans papiers qui n'ont pratiquement plus droit à un hébergement et à l'aide médicale d'état. Vont-ils nous développer des tuberculoses à tout va, contaminant ainsi les usagers du métro où ils aiment se réfugier par temps frisquet ?
Si, il y a une épidémie de tuberculose à Paris cet hiver, c'est la sécu qui va être contente et le gouvernement avec, qui fait des économies sur les sans droits. Les économies à la petite semaine risquent de provoquer une accélération du trou de la sécu, à votre avis ?
Enfin, votre avis, il risque d'être partisan si, cet hiver, vous faîtes parti du quota qui va se choper la tuberculose dans le métro.
Est-ce que ça vaut vraiment la peine, si réduire le coût de la sécu amène à des contaminations de masse.
Mais, passons à nouveau, car, it's all for today.
Je vous souhaite donc le bonjour chez vous et n'oubliez pas d'écrire à la direction de Benetton pour expliquer pourquoi désormais vous boycotter ses produits en solidarité avec les indiens Mapuches d'Argentine.
Ciao.
René.

mardi 9 septembre 2008

"Les pygmées sont de la petite viande qui parle". Adage Zaïrois.

Salut aux optimistes, le village global est en marche.

Bon, voilà, aujourd'hui, pourquoi ne pas parler de deux minorités que l'injustice a conduit à devenir que des rôdeurs nomades, les Mapuches d'Argentine et les pygmées d'Afrique.
Parlons d'abord des pygmées du Sud Kivu en vous laissant deviner ce qui arrive aux autres du Congo brazza, du Gabon et de Centre Afrique.
11/07/2004 - le net.
"Le centre d'accompagnement des autochtones pygmées et minoritaires vulnérables de Bukavu renseigne que les pygmées des territoires de Kabare, de Bunyakiri et de Kalehe ont été victimes des pillages et extorsions de la part des hommes de Laurent Nkunda, lors de leur passage dans ces territoires du Sud Kivu (....) A Kalehe, plus particulièrement, plusieurs cas de viol et de massacres ont été signalés, 29 cas enregistrés chez les pygmées ont été perpétrés par ces hommes qui ont prétexté qu'avoir des relations sexuelles avec une femme pygmée pouvait guérir le sida, parce que la femme pygmée possède une puissance magique".
Sans compter, mes trois chers lecteurs, comme je l'ai dit précédemment que les parcs naturels qui se créent chassent les pygmées de leur territoire ancestraux. Les femmes finissent dans la prostitution, disons plutôt dans les actes de viols et les hommes dans l'errance et dans la violence que leur font subir les bantous.
Un peuple a possédé une terre, a su la respecter, elle et les être qui cohabitaient avec lui et désormais au nom de la protection de la nature, ils sont expulsés. Tout ça, à cause de blancs qui achètent des centaines de milliers d'hectare pour en faire des parcs naturels et protéger la nature.
Sans compter au Cameroun, les pipe lines qui traversent les forêts et détruit leur milieu. Dira-t-on un jour "Farewell pygmées, it was nice to meet you".
Arrêtons le massacre à la tronçonneuse de toute une race. Et, même dans les îles Adaman, appartenant à la république Indienne, les pygmées sont en danger.
Alors, mobilisons nous pour eux avant qu'ils n'appartiennent plus qu'à l'histoire racontée dans les livres d'ados !
Bon, passons comme un hélicoptère apache tirant sur les villageois afgans.
Il y a un autre peuple dont nous pouvons causer, les Mapuche d'Argentine.
Des Mapuches, il y en a également au Chili où la présidente socialiste ne répond que par le mépris à leur revendication territoriale. Par le mépris et la répression. Vive le socialisme d'amérique latine !
Donc, les Mapuche d'Argentine.
Les gouvernements successifs depuis l'indépendance leur ont retiré la jouissance de toute leur terre en Patagonie où même des artistes français y ont acheté des milliers d'hectares.
Aujourd'hui, ils revendiquent une partie de leur terre. Pourquoi, revendiquer ?
Tout simplement parce que là où ils tentent de s'installer la terre ne leur appartient plus. Alors parfois, ils se trouvent confronter à des sociétés comme Benetton pour ne pas la citer.
Devant la montée de la revendication Benetton a fait un effort.
Article sur le net, "Benetton se moque des Mapuches".
"Le gouvernement du Chubut a refusé pour improductifs les 7500 hectares de terres que lui avait don le propriétaire foncier Luciano Benetton, possesseur de presque un million d'hectares en Patagonie à la fin de l'année dernière pour qu'elles soient restituées aux communautés mapuches. Selon, le gouvernement chubutense, la décision a été adoptée après qu'un rapport de l'INTA (Institut National de Technologie Agricole) ait démontré "leur faible réceptivité productive.
(...)Ce sont les ingénieurs agronomes qui se sont chargés de cette tâche. Après avoir révisé le rapport des techniciens, l'opinion de différente dépendance du gouvernement coincident sur la "faivre réceptivité productive des terrains et dans l'investissement disproportionné nécessaire pour développer in situ une production durable dans le temps, pour plus de deux familles à l'intérieur des paramètres normaux et/ou habituels de la zone.
(...)Le rapport de l'INTA remis au gouvernement du Chubut indique sur les 7514 hectares, seulement 308 appartiennent au type qui correspond aux vallées et prairies humides ou sous-humides. Du terrain restant (plus de 95 pour cent), 3228 hectares sont des cônes de déjection, des pieds de montagnes et "cafiadones"; 2030, des versants érodés des afloraciones rocheuses, et 1948, des versants avec des pentes douces et avec une exposition sud-ouest, où les conditions climatiques sont les plus contraires, les plus forts vents, les températures les plus extrèmes, le manque d'eau le plus grand, de même que la susceptibilité à l'érosion pour se développer dans des aires d'égouttage hydrique".
Et, voilà, de qui se moque-t-on ?
Un peuple sans terre, à qui l'on propose des miettes de sa terre impropre à la culture ou à l'élevage.
Alors, si vous voulez obliger Benetton à donner vraiment de la terre où des familles puissent habiter et vivre, boycotter Benetton en écrivant à la direction les raisons de votre Boycott.
Du genre, "Laissez vivre les Mapuches sur leurs terres en leur accordant plus que des miettes et sur votre million d'hectares, rendez leur des terres arables où ils puissent vivre".
Et, entre nous, faîtes savoir aux artistes français que les terres qu'ils ont achetés en Patagonie appartiennent aux Mapuches, un peuple devenu nomade et sans terre.
Au moins, si nous ne sommes pas capables de nous battre pour nous, battons-nous pour que d'autres puissent survivre dans les siècles des siècles, Amen.
Et, sur ces bonnes paroles d'espérance et de miel, je vous quitte pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.

PS:Le monde serait toujours merveilleux, si, nous ne le transformions pas en un camp global d'où le rêve est exclu.

lundi 8 septembre 2008

"Avant que nous sachions ce que vivre veut dire, la moitié de la vie est déjà passée". Ludwig Börne.

Salut à mes potes de Longo MaÏ, je vous salue.

Bon, à part dire coucou à ses potes, n'ais-je rien à dire d'autre ?
Que nenni messire, j'ai un tas de fadaises à causer.
Seulement, par laquelle vais-je commencer ?
Peut-être par celle du petit poucet, qu'en dites-vous.
Le petit poucet étant le président de l'Union Européenne qui cherche à revenir en arrière comme poucet a cherché à revenir en arrière en retrouvant ses parents.
Sauf que, sauf que en ce qui concerne la Georgie, l'ogre a débarqué dans l'histoire et a balayé les cailloux blancs. Mais, que vient faire l'ogre dans l'histoire du petit poucet. Ben, l'ogre (russe) s'est dit que l'histoire de semer des cailloux pour retrouver le chemin de la maison, c'était une histoire bête à manger du foin. Du coup, il est venu y semer sa panique.
Et, il a mis le conte dans la mouise.
Alors, comment revenir à l'origine de l'histoire (la Georgie dans ses frontières) avec l'ogre planqué au milieu du gué ?
A mon humble avis, il faut révisionné l'histoire, en espérant que personne ne me traite de révisionniste.
Donc, petit poucet revient à la maison (le Kremlin) où il va rencontrer son père l'ogre (Poutine) pour qu'il l'autorise à aller chercher ses petits frères perdus dans la forêt (les georgiens). L'ogre devant la contrition de Poucet finira par accepter qu'il aille chercher ses frères pour qu'ils retrouvent l'environnement familial (les frontières de la georgie sans les provinces sécessionnistes).
Et, ainsi, comme dans tout conte, tout alla bien dans le meilleur des mondes.
Ouf ! J'ai fini par terminer cette histoire sans queue ni tête, merci pour moi.
Alors, je pense avoir fait fort pour aujourd'hui et ne pas pouvoir continuer dans la même veine.
Aussi, je vous quitte en vous souhaitant surtout de ne pas oublier de vous mobiliser pour les prochains mouvements sociaux.
Aléa jacta est, comme disait quelqu'un qui se pensait à l'aval des dieux.
Aléa jacta est et bien le bonjour chez vous.
René.

PS: Nouméa : Un papier des Nouvelles Calédoniennes du 08/09/2008.
La police a évacué quatre militants de Greenpeace qui occupaient un bateau transportant du bois en Papouasie Nouvelle Guinée pour dénoncer la déforestation a annoncé samedi l'organisation écologiste. Les militants sont restés enchaînés à la grue élévatrice pendant cinquante cinq heures.
Ils avaient ainsi empêché le chargement de troncs destinés à la Chine. Les forêts de Nouvelle Guinée et des îles Salomon voisines forment un tiers des forêts tropicales de la planète.

vendredi 5 septembre 2008

"Entre les quatre mers, tous les hommes sont frères". Proverbe vietnamien.

Salut à tous ces jours merveilleux, de toutes ces couleurs mordorées de l'automne.

Ainsi, comme l'a souligné un article du monde du 3 septembre, le monde agricole est pourri au point que des salopards ont tué les chèvres d'un étranger qui désire s'installer comme exploitant agricole en Auvergne.
Le futur exploitant s'appelle Jean-Hugues Bourgeois, le village où se dissimule un ou des salopards s'appelle Teilhet dans le Puy-de-Dôme.
Déjà que les agriculteurs nous empoisonnent avec les saloperies qu'ils déversent sur les semences et sur les pousses sans compter qu'ils nous vendent des produits sans aucun goût, maintenant, ils se la jouent à règlement de compte à OK corral.
Mais, nom de dieu, faîtes quelque chose, messieurs les gendarmes ! Dans un pays où tout se sait, certainement des gros cons ont dû émettre des menaces à l'arrivée du bourgeois.
Alors, faîtes votre boulot !
Et, messieurs les élus locaux, arrêtez de protéger les gros cons, à moins que vous n'en fassiez parti. Ce dont je doute tellement un élu doit être imprégné de la représentation de ce qui est le plus juste dans nos valeurs républicaines.
Bon, voilà pour le coup de gueule concernant les gros cons.
A part ça, je voulais vous dire que désormais, j'allais militer pour la disparition de l'espèce humaine vu la connerie ambiante. Il me semble que c'est le seul moyen intelligent de préserver les autres espèces vivantes de cette planète.
Alors, je fonde le parti des gros cons qui appellent à la disparition de l'espèce humaine.
Rejoignez-moi !
Mais, rejoignez-moi avec des tunes parce que moi, j'en ai pas et que comme je serais le président du mouvement, il va me falloir des sous pour mes frais de représentativité.
Car, mes chers amis, je compte bien aller jusqu'à Tahiti pour propagander cette merveilleuse idée.
Alors, mes chers amis, je vous laisse afin que cette réflexion hautement métempsychosique vous imprègne les neurones.
Et,sur ce, je vous salue bien et je vous souhaite le bonjour chez vous.
René.

mercredi 3 septembre 2008

"L'homme a inventé la montre, mais Dieu a inventé le temps". Proverbe touareg.

Salut aux camarades du front nord, les brigades internationales arrivent !

Alors, le gouvernement taxe le capital pour financer le RSA. Bien, mais, par contre, il oublie les plus hauts revenus.
Ce qui signifie qu'il fait bon vivre en France lorsqu'on est riche. C'est vrai quoi, Sarko n'irait pas piquer du fric à Bouygues et consort. La solidarité, il est vrai ne concerne pas toutes les catégories de français. Il en est qui grâce aux niches fiscales non seulement ne payent pas d'impôts, mais, en plus font payer leurs investissements par le trésor public, notamment dans les Dom-Tom.
Alors, que signifient ces mots qui parsèment les frontons de nos édifices publics, "Liberté, Égalité, Fraternité" ?
Je vous pose la question mes trois chers lecteurs et je vous enjoins d'y répondre, nom de dieu !
En attendant, je vois fleurir dans nos grandes surfaces de plus en plus de sacs biodégradables. Certains reviennent même aux sacs papiers ou aux cartons biodégradables.
Pourtant, j'ai toujours cru que le carton était dégradable. Sans doute me suis-je trompé et qu'il y a plus que dégradable, il y a bio. Et, comme cartons et papiers impliquent arbres et qu'arbres impliquent forêts, ce sont nos forêts qui vont en prendre un coup.
Mais, je sais ce que vous allez dire, "Jamais content".
C'est comme les pygmées de l'ex Zaïre. Le parc naturel qui a été crée sur leur territoire a conduit à leur expulsion. Désormais, ils errent comme des âmes en peine, mi voleurs, mi rôdeurs.
En ce qui les concerne, il peut se dire, "Jamais contents".
C'est vrai, après tout, on conserve leur habitat. Ils devraient être contents. Au lieu de ça, ils ne sont que plaintes. Après tout, ils vont bien être obligés de se sédentariser dans la misère peut-être, mais se sédentariser quand même. Grand bien leur fasse !
Après tout, on est au vingt et unième siècle. Ils n'ont qu'à faire comme tout le monde. C'est comme les touaregs, le jour où le sahara deviendra parc naturel, ils finiront dans les bidonvilles des villes. Eux aussi, il est temps qu'ils se sédentarisent.
Sauf qu'il n'y a pas que les pygmées et les touaregs dans le monde, il y a aussi le gros con de président géorgien qui a voulu jouer au poker sans en connaître les règles. A mon avis, si les géorgiens veulent récupérer leur territoire, ils feraient bien d'élire un président pro-russe. Parce que ce ne sont pas les européens qui vont jouer les va-t-en guerre. Sans compter qu'ils ne peuvent strictement rien faire contre la Russie. Idem pour les américains. Alors, la solution d'un président pro-russe me semble la plus souhaitable. Basta de l'orgueil national après tout !
Pour changer de sujet, il y a un pays dont on entend plus d'écho, je veux parler de la Birmanie.
Que se passe-t-il là-bas ?
La police politique aurait-elle réussi à contrôler la totalité de la population ? A moins que le traumatisme dû aux effets dévastateurs du dernier cyclone marque encore les esprits au point d'éteindre la révolte ?
En tout cas, vu, les catastrophes naturelles qui ne cessent d'inscrire leurs empreintes sur la planète, espérant que les politiques du monde entier comprennent que l'union fait la force si nous voulons conserver notre planète.
C'est la raison pour laquelle, j'appelle à une taxe qui serait infligée à tous produits dont l'élaboration ne respecterait pas les normes environnementales.
Au moins, cette rentrée d'argent éviterait la vente des derniers bijoux de famille de notre chère république et là je pointe, EDF, SNCF, la Poste, RATP et caetera.
Mais, que font les syndicats, nom de dieu !
Ils tendent la main au gouvernement et le gouvernement les laisse pour des cons.
Et, avec ça, on est bien défendu !
Bon, j'arrête avant de dire des insanités et je vous laisse penser que le monde pourrait être merveilleux, si le partage était plus équitable.
Alors, je vous dis pensez aux kanak qui accumulent du prestige sociale en redistribuant à travers les réseaux de solidarité clanique. Au moins, ils accumulent de la considération sociale et non du matériel pour asseoir un pouvoir qui induit du respect. Là, respect signifiant avoir de la considération pour le plus fort.
Donc, réfléchissez mes trois chers lecteurs et je vous souhaite le bonjour chez vous.
René.

mardi 2 septembre 2008

"On ne rassasie pas un chameau en le nourrissant à la cuillère". Proverbe chinois.

Aujourd'hui, très peu de mots, j'ai été mangé à midi et demi.

Que dire ?
Rien, à part que la Chine est mal barrée.
Ses contradictions risquent de l'étouffer. Il va falloir que le gouvernement soit un peu plus social en s'occupant de ses catégories miséreuses qui risquent de se rappeler l'époque où le drapeau rouge leur promettait une égalité sociale.
C'est tout pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous, René.

lundi 1 septembre 2008

"Le moustique n'a pas pitié d'un homme maigre". Proverbe mongol. Comprenne qui pourra.

Salut aux artistes qui continuent à ramer. Je salue donc les intermittents du spectacle.

Eh, oui et voilà, les vacances sont terminées et je suis retourné comme tout un chacun au boulot.
Mais, néanmoins, je réitère ici ce cri qui vient tout droit du coeur, "Si quelqu'un m'offre un boulot mieux payé, je plonge !"
A part ça, je me demande en me posant la problématique du changement climatique, "Est-ce que les arbres ne finiront pas à mourir à leur tour ?"
Pourquoi une telle question me vient à l'esprit ?
Tout simple, tout le monde parle de l'eau qui se tarit, de l'eau pollué, des océans qui perdent leurs populations et leurs qualités, sans compter le plancton et l'air ambiant, plus les abeilles qui meurent, mais, personne ne parle des arbres.
Alors, je me dis, "Et si les arbres à leur tour venaient à mourir ?"
Eh, oui, pourquoi les arbres vu l'atmosphère qui se charge en poisons ne viendraient-ils pas à mourir ?"
Sans raison aucune ou du moins sans raison compréhensible.
C'est la raison pour laquelle, je pousse ce cri d'alarme, "Surveillons les arbres !"
Surveillons les et avertissons les scientifiques de toute mortalité incompréhensible. Car, cela commencera par un, puis par deux, puis par des centaines, puis par des millions en des endroits de la terre éloignés, ce qui nous masquera l'urgence de la situation.
Et, si cela devait arriver, que pourrions nous faire ?
Peut-être changer les matières des produits finis qui nous sont nécessaires.
Pour les voitures, par exemple, d'autres matériaux moins polluants peuvent être utilisés. Et, les exemples de ce type peuvent être trouvés à foison. Cependant pour qu'une telle pratique se génèralise, il faudrait une volonté politico-économique forte.
Donc, un peu d'imagination, messieurs les industriels, si vous voulez prendre le coche d'une nouvelle ère économique.
Bon, voilà, ce que je voulais dire aujourd'hui sur le sujet. Pas jojo comme perspective, mais à considérer par ces messieurs les scientifiques.
Alors, organisez des comités de vigilance dans nos belles campagnes et dans le monde entier, car, il n'y a pas que les ouragans, les tremblements de terre, et j'en passe et des meilleurs, le danger peut venir d'ailleurs.
Mis à part ça, j'ai rencontré une personne au chômage qui travaillait dans l'organisation de spectacles et à qui un conseiller de l'ANPE lui a enjoint de prendre un boulot de femme de ménage, si elle ne voulait pas perdre ses allocation chômage.
Finalement, le monde est toujours merveilleux. L'obligation de résultat finira par transformer les français en un peuple de paranos et de dépressifs.
Comme projet de société, à mon avis, on pourrait faire mieux.
Et, sur ces bonnes paroles de miel, je vous laisse là où vous êtes......à mon avis dans la mouise.
De toute façon, si vous n'êtes pas capable de vous défendre en descendant dans la rue à l'occasion des prochains mouvements sociaux, personne ne le fera pour vous.
Un peu de volonté, tudieu !
Parce que crever pour crever, au moins crevez la tête haute et pas comme des moutons que l'on mène à l'abattoir !
Bien le bonjour chez vous.
René.