mercredi 30 juin 2010

Salut, à toutes les mères célibataires qui s'enfoncent dans la précarité alors que l'état peu à peu les abandonne.

Je me demande depuis hier, qu'est-ce que signifient les réflexions sur la fin de la civilisation. Il paraît que les valeurs partent à vau l'eau.
L'on cite pour justifier une telle proposition l'homosexualité triomphante lors des divers gay pride.
Ca et d'autres faits, comme la fin des solidarités étatiques qui nous replongent presque au début du XX siècle lorsque la misère était le lot de la majorité des français.
Seulement, si nous prenons des périodes historiques, l'homosexualité a toujours existé dans les civilisations. N'est-ce pas, à l'apogée de l'empire romain, que le fameux Jules Caesar avait la réputation d'être aussi bien auprès de ses généraux un homme qu'une femme.
Sans parler d'Alexandre le grand, de Babylone et du dernier empereur de Chine.
L'homosexualité n'est donc pas prémice de la décadence comme le laisse penser les sbires des religions monothéistes.
Et, sans doute, la fin des solidarités étatique n'est que l'expression du pouvoir dominant des agents économistes libéraux.
Par contre, à ces époques anciennes, les communautés diverses et variées coexistaient, liens vasaux ou de commerce obligeant.
A notre époque, le rapport entre communautés risque de déraper lorsque certaines sont traversées par des courants fondamentalistes ou des attitudes de repli culturel.
L'image de ces communautés changent alors, pour passer de complément utile à la société d'accueil, à danger réélle pour ladite elle.
Dès lors, il ne peut plus y avoir intégration évolutive puisqu'elles se mettent à fonctionner en opposition plutôt qu'en accord avec la société d'accueil.
Aussi,si, l'on considère les tensions diverses qui la traversent, repli culturel, courants fondamentalistes, fin des solidarités étatiques, crispement moraux, rejet des différences, je pense que cela annonce la fin des systèmes démocratiques.
Eh, oui, rien que ça, mes trois chers lecteurs !
Car, nous abordons les prémices de la fin des systèmes démocratiques.
Et, la précarité générale qui atteindra de front la plupart des citoyens les empêchera de comprendre qu'une nouvelle société de privilégiés bâtie sur leur misère se met en place.
Le système qui se profile est celui d'une nouvelle aristocratie prédatrice, même si pour le moment ce n'est même pas encore vraiment clair pour elle.
La question qui se pose est, "Serons-nous capables de nous y opposer en faisant en sorte que nos différences soient notre force".
Autrement, je vous le dis tout de suite, mes trois chers lecteurs, nous sommes mal barrés.
Voilà, donc, la réflexion que je voulais vous soumettre aujourd'hui. Bien entendu, la démonstration est mal construite. Ce qui est compréhensible vu le temps qui m'est imparti pour écrire ce blog, 45 minutes. Mais, là, je ne vous soumet que la forme que je vous invite à alimenter, le fond restant valable. De toute façon, ça sera un bon exercice pour votre intellect.
D'ailleurs puisque vous me le demandez, le mien va bien, merci pour moi. C'est sympa de vous préoccuper de ma santé. Sauf que j'ai la cervelle fatiguée et qui part en rondelles de saucisson.
Ce qui vous donne le droit de me traiter de pauvre abruti, de pseudo intellectuel dérivant vers la face cachée de la lune.
J'accepterais !
Après tout, je ne suis qu'un homme, humble et perfectible. Comme vous en doutez.
Et, sur cette belle parole, je vous tire ma révèrence, mes chers et uniques trois lecteurs.
A bientôt.
René.

mardi 29 juin 2010

Bon, aujourd'hui encore, je n'ai pas eu le temps d'écrire. J'ai filé à ma banque lcl, crédit lyonnais de Denfer pour récupérer mon chéquier. Malheureument, ma conseillère n'a pas levé l'interdit de l'agence alors qu'elle aurait dû le faire depuis quinze jours au moins. Du coup, la banque a détruit le chéquier ce qui m'oblige à en demander un neuf et ce qui permet à la banque de me piquer encore du fric.
Bien !
Les employés se réfugient derrière la responsabilité de la direction pour se couvrir du véritable hold up réalisé niveau des pénalités. Sauf, que finalement, ils participent volontier au pillage de votre compte, sans doute pour des primes sur la bête !
Et, d'ailleurs, je ne suis pas le seul à pointer les banques, George Soros en convient volontier.

(source : l'Express, n°3075, semaine du 9 au 15 juin 2010, entretien)

(...) Ainsi, au lieu de nationaliser les actifs (les états), ils ont nationalisé leur passif. Les banques ont émergé de leur faillite en engrangeant des revenus. Pendant cette phase, elles ont grugé le public en augmentant les taux d'intérêt des cartes de crédit de 8 à 30%, poussant les gens à la ruine, tout en s'octroyant des bonus importants."

Alors, quand le gouvernement français se décidera-t-il à agir ?

En attendant, après l'équipe de France de football en Afrique du Sud, les français continuent à se faire remarquer à travers le monde.

(source : les Nouvelles Calédoniennes)

"Alizée Sery, une Française de 25 ans, a réalisé un strip-tease au sommet d’Ayers Rock. Un spectacle qui est ressenti comme une provocation par les communautés aborigènes, qui demandent déjà au gouvernement d’interdire l’accès à leur rocher sacré.

La jeune Française se défend d’avoir voulu offenser qui que ce soit. Elle affirme au contraire avoir voulu rendre hommage à la culture aborigène.
« Je suis parfaitement consciente qu’Uluru est un lieu sacré pour les Aborigènes, a déclaré la jeune Française à la chaîne de télévision Northern Territories News. Je respecte les Aborigènes et leur culture. J’ai conçu mon show et la vidéo comme un hommage à la grandeur du lieu. Nous devons nous souvenir que, traditionnellement, les Aborigènes vivaient nus et mon show était donc en quelque sorte un retour à ce qui était ! ».

A quand, notre président en bonnet d'âne à une réunion du G20 ?

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.

lundi 28 juin 2010

Bon, aujourd'hui, je n'ai pas vraiment le temps d'écrire. Mais, quand même cette description du monde rural. Et, là, nous parlons des petits paysans, pas des grands céréaliers, les seuls qui intéressent notre président national.
Et, on de demande bien pourquoi d'ailleurs, le gouvernement ne s'intéresse pas à ces gens-là, qu'il ne fait rien, comme s'il souhaitait leur disparission.
Et, si, cela est vrai, en faveur de qui la souhaite-t-il ?
Pour les grands céréaliers ? Pour l'industrie agro-alimentaire qui se fait fort de les remplacer ?
C'est vrai ça, pour qui, dites-le nous !

(source : la Dépêche.fr)

"La misère cachée des campagnes

Ils ne se taisent plus. Ils ont reçu la mort en héritage, et le dénoncent publiquement. À Cavaillon, dans le Vaucluse, Jérémie, enseignant à domicile de 37 ans, veut attaquer l'État pour le suicide de son père, arboriculteur criblé de dettes. « Je veux que les pouvoirs publics prennent conscience qu'ils conduisent les agriculteurs à des situations de faillite ».

(...) Chute des cours du vin en Languedoc-Roussillon : 25 suicides de viticulteurs en un an. Le cours du lait a tourné, lui aussi. Selon l'Apli, l'association nationale des producteurs de lait indépendants, environ 150 éleveurs se seraient suicidés en 2009. L'un d'entre eux a choisi de se tirer une balle dans la tête sur la place publique : cela s'est passé devant la statue de Jaurès à Carmaux, dans le Tarn, au mois de septembre.

(...) Entre 2008 et 2009, le nombre d'actifs agricoles a baissé de 2 % en France. Les plus âgés prennent leur - maigre - retraite. On les croise sur les marchés. À 70 ou 80 ans, ils vendent les légumes de leur jardin. Ce jeudi, sur un marché du Gers, Antoine, retraité, vend des fèves et des petits pois. Il ramènera un peu plus de 50 € à la maison : « C'est toujours ça »."

Ce qui est décrit, c'est la vraie réalité du monde rural. Je ne vais pas dire qu'ils crèvent car ils nous ont empoisonnés avec leur produits saturés de produits chimiques.
Non, je ne vais pas dire ça. Je dis simplement que le gouvernement considère qu'ils ne servent plus à rien et les jettent. Tout simplement !
Ensuite, je dirais qu'ils ont été manipulés par les industries chimiques et de l'agro-alimentaire, qui, elles aussi, n'ont en plus besoin.
En fait, qui en a besoin de ces petits paysans ?
Personne, peut-être à part les consommateurs si ils pratiquent la vente directe en vendant des produits bio.
A part ça, leur temps est terminé !
C'est marrant, parce qu'il fut un temps où tout le monde se battait, créait des coopératives, tentait de se défendre contre les diktats des grands décideurs économique.
En fait, depuis le remembrement, depuis Degaulle en réalité, les paysans se sont laissés dicter ce qui était bien pour eux, culture intensive, remembrement...exct.
Bref, tout le monde s'y est mis, les médias, les journaux, les conseillers divers et variés, les experts. Ils devaient ressembler à l'image que on leur renvoyait.
Et, surtout, et surtout, s'endetter auprès des banques. Pour vous dire, on en a créé même une, rien que pour eux, le crédit agricole.
Depuis,lors, ils n'ont jamais repris les rênes de leurs déstinées.
Peut-être, serait-il temps, si, ils ne veulent pas crever, s'apercevoir que les investissements qui leur sont demandés pour une exploitation performante est justement ce qui les condamne.
Peut être aussi, si, ils se décidaient sérieusement à se réunir pour organiser l'écoulement de leurs produit directement aux consommateurs, l'investissement serait moins important.
Car, après tout, cela dépend de l'organisation qu'ils proposent. Par exemple, le client peut aller lui même ramasser la quantité et le produit qu'il désire.
Beaucoup d'idées peuvent germer afin de rendre l'investissement vraiment moins élevés et obtenir le juste prix de leur travail.
Les paysans, après tout, ne sont plus des gamins que l'on prend par la main. Ils peuvent trouver des réseaux de financements différent de celui des banques prédatrices.
Ces mêmes banques qui de toute façon n'ont d'intérêt que la vente de leur exploitation et qui souvent les pousse à la faillite.
Alors, moi, je vous le dis, bougez vous ou crevez !
La donne en tout cas est dans votre main, pas celle du gouvernement, ni celle des grands distributeurs. Elle est dans la relation que vous saurez nouer en direct avec le consommateur.
A vous de jouer parce moi, je ne verserais pas une larme sur votre sort.
A bientôt.
René.

samedi 26 juin 2010

"Quand le Diable n'y peut rien, il délègue une femme". Proverbe Russe. Pas trop misogynes les russkofs !

Salut, peuple de l'écologie, je suis heureux. Hier, j'ai vu ma première abeille à Paris. Sa robe n'était pas lustrée et sans doute était-elle la dernière représentante de son espèce.

Aujourd'hui, nous allons suivre le feuilleton australien entamé à la suite de la décision du gouvernement de taxer les super profits des compagnies minières afin entre autre de pouvoir préserver le système de retraite.
Hélas, les compagnies minières ont utilisé leurs super profit pour mener campagne de presse et le premier ministre a perdu.
Alors, la question qui se pose mes chers trois lecteurs, comment vont s'organiser les marchés financiers pour éviter d'être cadrés ?
Même si les cadres annoncés sont plus médiatiques qu'efficaces. Si, vous ne me croyez pas, téléphonez à un paradis fiscal "3615 Planquez mon Pognon".

(source : les Nouvelles Calédoniennes)

Démission surprise de Kevin Rudd

L'Australie a porté, jeudi, pour la première fois une femme, Julia Gillard, à la tête du gouvernement, après l'éviction surprise au sein du Parti travailliste de Kevin Rudd dont la popularité s'était récemment délitée.

A quelques mois des élections fédérales, l’ambiance était très tendue au sein du gouvernement australien travailliste. Alors que, l’an dernier, Kevin Rudd battait tous les records de popularité, sa cote avait récemment largement chuté dans les sondages, notamment suite à une lourde campagne de presse menée contre le gouvernement par les compagnies minières, enragées par une nouvelle taxe sur les mines, et à l'abandon du plan carbone alors que Canberra se voulait en pointe du combat contre le réchauffement climatique.
(...) Pourtant, hier matin, après plus de trois heures de négociations, la décision fut finalement prise d’organiser un vote pour donner un nouveau leader à un Parti travailliste en mal « d’homme fort ».
Ainsi, en remettant sa démission tôt hier matin, peu avant le vote, Kevin Rudd a su éviter ce qui aurait pu être une défaite humiliante, un ultime fiasco. Et c’est lors d’un dernier discours poignant, après deux ans et demi à la tête du pays, que Kevin Rudd a salué les réussites de son gouvernement et remercié son équipe et sa famille. Face à la presse, Kevin Rudd a eu du mal à contenir son émotion, citant les réussites lui tenant le plus a cœur, telles que la cérémonie du pardon officiel envers les Aborigènes en 2008, la mise en place de plus de 20 centres régionaux de traitement du cancer ou sa gestion de la crise financière qui a permis à l’Australie de ne pas être touchée par la récession globale.
(...) Kevin Rudd, 52 ans, est donc devenu le premier chef de gouvernement australien à être évincé depuis dix-neuf ans. Son prédécesseur, Bob Hawke, avait été écarté en 1991. « J'ai été élu par le peuple australien comme Premier ministre de ce pays [...] et j'ai vraiment fait de mon mieux », a-t-il encore déclaré au cours de sa conférence de presse d'adieu aux côtés de sa famille".

Décidément, la puissance de l'argent est redoutable. Tremblez petits peuples et faites dans votre culotte, car, tous vos acquis sociaux font passer dans la trappe de l'histoire.
Mais, au moins l'ex premier ministre australien a résisté et il est à son honneur d'avoir mené le combat jusqu'au bout.
Et, de fait, je ne comprends pas trop la réaction des compagnies minières puisque de toute façon, leurs clients avaient provisionné les augmentation qu'ils allaient répercuter sur le prix du produit fini.
Comme d'ailleurs, les banques en Europe qui vont nous répercuter sur les agios ou traitement des dossiers, la Taxe bancaire.
Alors, à quoi rime cette rage ?
Pourquoi, tant de haine ?

Mais, passons à autre chose. Par exemple à la réévaluation du yuan réclamée par les pays industrialisés de l'ancien G8. Ben, il paraît que ce sont encore les petits qui vont se retrouver le bec dans l'eau.
Moi, à la place de ces pays, j'aurais plutôt demandé aux chinois de travailler sur la qualité parce que la semaine dernière, j'ai acheté un sécateur chinois à 2,50 euros, il m'a fait une après-midi avant de rendre l'âme. Entre nous, pour 2 euros, ça valait quand même le coup surtout pour couper des ronces.

(source : le Quotidien du Peuple)

"La réévaluation du renminbi pourrait affecter le pouvoir d'achat des Français

Une nouvelle réévaluation du Renminbi pourrait affecter l'économie de l'Europe à moyen et long terme, a dit Antoine Berthou, économiste de CEPII (Centre d'Etudes Prospectives et d'Informations Internationales).

L'économiste a tenu ces propos dans son entretien avec le magazine français « Le Point ».

(...)Répondant à la question de savoir si la réévaluation pourrait affecter ou non le pouvoir d'achat des Français, M.Berthou a dit que cela pourrait affecter les prix d'exportation des marchandises chinoises et que les prix des marchandises chinoises en vente sur le marché français serait plus élevé. Ainsi, les Français et les entreprises françaises pourraient hésiter, quant à eux, à acheter des produits chinois".

Et, voilà, c'est du tout cuit et pour continuer à décrypter le pauvre sort qui nous est fait à nous, les français lambdas, continuons avec les abus bancaires, que décidément, le gouvernement ne se décide pas à attaquer. Dommage, car, il lui serait facile dans ce cas là de nous donner un coup de pouce sur notre pouvoir d'achat. Mais, il est vrai qu'il s'en tape comme de l'an quarante !

(source : frais bancaires, ufc-que choisir, Conso, Economie)

"Frais bancaires: "Quand ça ne va pas, on nous met encore plus la tête sous l'eau"

Les services bancaires sont de plus en plus chers et de moins en moins compréhensibles... C'est ce que dénonce l'UFC-Que choisir. L'association de défense des consommateurs a comparé les prix des services bancaires de 12 établissements. Conclusion: il vaut mieux ne pas signer pour un package tout compris dans sa banque... Pourquoi?

1. Des tarifs illisibles...
Difficile de s'y retrouver pour savoir combien nous coûte notre banque. Bien souvent, sur les sites Internet des banques, c'est le parcours du combattant simplement pour trouver la grille tarifaire! Et quand on la trouve, c'est la jungle: les brochures des banques (conditions générales d'utilisation ou liste des tarifs) comptent "en moyenne 24 pages et comprennent 303 tarifs". Par exemple, à la Banque Populaire de Paris, il faut éplucher 20 pages, 14 pages chez BNP Paribas, 44 pages à la Société Générale, et jusqu'à 64 pages au LCL!

2. ... et opaques
En prenant l'exemple des "frais de gestion d'un compte sans mouvement pendant 1 an" de 3 banques différentes, on se rend compte du flou qui règne autour de ces frais: pour deux banques, c'est gratuit, pour une autre, c'est 37 euros par an pour un compte inactif... L'UFC-Que choisir s'étonne d'ailleurs que "des services gratuits en 2004 soient devenus payants en 2009".

Tiens donc, les banques, de fait, se conduisent comme des usuriers indiens.
Moi, même qui vient de subir avec la lCL, crédit lyonnais le comportement prédateur de ma banque et dont je subis encore les effets collatéraux sans compter l'attitude laxiste de ma conseillère qui n'a pas encore fait la démarche pour que mon chéquier me soit rendu, je témoigne.
Les banques nous volent avec l'assentiment du gouvernement !

Pauvre de moi, pauvre de nous, si petits, dont la voix ne transparaît pas dans les médias contrôlés par les grands groupes industriels.
Eux, le seul message qu'ils font passer, c'est "Nous nous portons bien, vous, vous portez bien !"
Après ça, il n'y a plus qu'allumer un cierge à Notre Dame et à remercier le petit Jésus.
Donc, "Merci, petit Jésus !"
Et, sur cette bonne parole, je vous laisse avec lui, en espérant que dans notre paradis à nous, il n'y a pas le bon vin qui coule et de petites fatmas. Car, il paraît que là haut, ils ne font pas crédit.
A bientôt.
René.

PS : dernière nouvelle d'Irian Java, colonie indonésienne de Nouvelle Guiné dont le peuple papou est un peuple noir.
Que fait l'ONU ? Rien !

"Nouvelle vague de violences en Papouasie occidentale 22 Juin

Les brigades de police paramilitaire indonésiennes (BRIMOB) ont lancé une violente opération contre les tribus papoues de la région de Puntak Jaya dans les hautes terres de Papouasie occidentale.

Lors de précédentes opérations, les soldats et la police ont tué des villageois papous, violé des femmes et des enfants – dont l’un n’avait que trois ans – et détruit leurs maisons, églises, jardins et animaux domestiques. Ceux qui s’étaient réfugiés dans les forêts ont souffert de famine, trop effrayés pour se risquer à sortir pour chasser ou collecter de la nourriture.

Les informations qui parviennent de la région sont rares en raison des restrictions aux voyages et de l’interdiction d’accès aux journalistes et aux organisations de droits de l’homme. Cependant, on a récemment appris qu’une femme enceinte avait été violée par des membres de la BRIMOB dans le village de Kampong Tinggineri et que 12 maisons et deux églises avaient été incendiées par des soldats à Gwenggu Pilla. La BRIMOB a ratissé les maisons, arrêtant toute personne sans papier d’identité – que peu de gens ont dans cette région".

Bon, et pour finir un texte juste pour écrire un texte.

Texte intersidéral

Trouloub, trouloub !
Pif, paf,
En passant sous une échelle,
j’ai rencontré la vie.
Oh, mon dieu,
qu’elle était belle.
Si belle que mon âme
en fut meurtrie.
Du coup, devant tant
d’innocence, de beauté
je me suis retourné
comme une crêpe
et j’ai crié au ciel
tout l’amour
que je lui portais.
Manque de pot,
il m’a envoyé un éclair
au chocolat
que j’ai goûté
avec un plaisir insidieux
qui m’a repeint
les parois de l’estomac.
Trouloub, trouloub !
ainsi, parlait
l’homme du bois
celui qui a une tête,
mais, pas de cerveau.
Et, comme,
je suis plein d’admiration
pour lui
je lui est demandé qu’il soit mon maître
Trouloub, trouloub !
il m’a dit oui
et, je suis comme une fleur épanouie.
désormais, «j’aime !»

paris, le 26/06/2010

vendredi 25 juin 2010

"L'orgueil va au pauvre comme la selle à une vache". Proverbe Russe.

Salut à toutes les familles qui ne peuvent plus partir en vacances. Il faut dire que le gouvernement ne fait pas grand chose pour améliorer le pouvoir d'achat. A mon avis, il ne fait rien !

Bon, alors, hier, j'ai été manifesté pour que l'âge de la retraite reste fixer à 60 ans. Parce qu'entre-nous, ce n'est pas en en reculant la limite que le gouvernement va renflouer la caisse.
Déjà, pour faire basique, à 45 ans, vous êtes déjà sur une pente savonneus. Disons que vous avez beaucoup de chance d'être viré. Pour ce faire, il y a plusieurs moyens, d'en celui de vous amener à démissionner par le harcélement moral.
Ensuite, les jeunes rentrent de plus en plus tard sur le marché du travail et en génèral, c'est les emplois précaires (aidés) qui leur ouvrent les bras. Donc, cotisation retraite, minima du minima.
Donc, d'un côté, les pauvres cloches qui se retrouvent au chômage à partir, disons de 48 ans et dont la pension sera calculée sur les dernières années de cotisation, permettra à la sécu de faire des économies.
Ca, par contre, c'est bien calculé. Bravo Sarko !
Là, où cela dérape, c'est l'entrée tardive sur le marché du travail des jeunes, sans compter que la grande majorité ne sont pas tous des supers Dupont sortant d'une école de commerce.
En génèral, ils sont sans formation.
Ils sont plutôt petits boulots aidés par l'état et cela fait faire des économies au patronnat.
Là, par contre, bravo les patrons !
Sauf que le patronat continue à pleurer sa mère comme quoi les coûts de productions sont trop élevés par rapport à la concurence internationale.
Mais, passons et revenons-en stricto senso à la retraite.
Le gouvernement parie sur une croissance de 2%. On se demande où il a été pêché ce chiffre vu que la conjoncture ne risque pas d'en prendre le chemin. Donc, il a tout faux et prévoit donc sans le dire, une deuxième phase où le système sera à nouveau mis à mal.
Il dira à ce moment là, comme maintenant d'ailleurs, "Ce n'est pas de notre faute, c'est la crise !"
Si, c'était moi, au lieu de "On vit plus vieux, on travaille plus longtemps", je dirais, "les jeunes entrent plus tard sur le marché du travail, ils doivent travailler plus tard pour être sûr d'obtenir une pension décente".
Là, je comprends.
Mais, résumons :
Donc, pas de croissance à 2% (prévisible).
Une économie de la caisse sur la retraite des vieux.
Un moins gagner sur le salaire des jeunes.
Résultat, le gouvernement dira, il faut sabrer dans les dépenses.
Quoi, quoi ! Vous avez dit quoi, mes trois chers et uniques lecteurs ?
Eh, oui, vous répondrais-je, il va falloir sabrer.
Et, comment ce fais-ce ?
Simple, en en diminuant les montants des pensions !
Eh, oui, parce que taxer les transactions financières pour maintenir le système de retraite par répartition qui n'existe pas aux Etats Unis et donc n'a rien à faire en France, ce n'est pas dans l'air du temps.
Et, moi, je vous le dit mes trois chers lecteurs, Sarko est tellement fondu de l'américan way of life qu'il fera tout pour liquider le système de retraite à la française. Et, toutes dénégations de sa part ne seront que fariboles.
D'ailleurs, c'est bien pour ça que l'état en prévision ne participe qu'à une hauteur symbolique de 5 milliards d'euros.
De toute façon, Sarko veut livrer les travailleurs de France les mains menottées au patronat. Comme aux States en quelque sorte !
Naturellement, vous me direz, mes lecteurs, trois fois chers, c'est bien de critiquer, mais, proposition, quid ?
Alors, là, je vous dirais, "C'est facile de votre part. Genre question à trois balles !" Sauf, que là, il s'agit d'une question à 43 milliards d'euros.
Et, qu'est-ce que je gagne dans l'histoire, si, je vous donne la solution....Rien ! Pas un kopec !
Comme, je suis sympa, je vous confirme la piste, "Taxer les transactions financières" et peut-être imposer aux entreprises l'embauche en CDI.
Bon, c'est tout pour aujourd'hui.
Je voulais plus causer à bâtons rompus, mais, je dois à mon grand regret reprendre le boulot.
Je vous dis donc à domani.
René.

PS :L'aquaculture, galère ou l'avenir de l'homme ?
(source : Sciences et avenir)

"Dans la province chilienne d’Aysén, célèbre pour ses fjords, le parc naturel ne protège qu’une partie des côtes. Autour, des fermes de salmoniculture s’installent, relatent des chercheurs de l’Institut Max Planck et de l’Université de Göttingen (Allemagne), partis à l'origine étudier la communication des mammifères marins. Plus au nord, les fermes ont été abandonnées car les poissons meurent d’une maladie virale introduite dans les élevages –l’anémie infectieuse du saumon. La densité des bacs d’élevage, l’usage intensif d’antibiotiques, le manque d’hygiène ont favorisé l’épidémie".

jeudi 24 juin 2010

Je sais pas si je vais l'écrire aujourd'hui car je participe à la manifestation contre les intentions de notre gouvernement national de dénaturer l'âge de la retraite.
Car, certains, selon les calculs, pourront bénéficier de la retraite à ....70 ans.
Et, vive la France !
(à moins que je ne me pose dans un cyber pendant la manif)
René.

mercredi 23 juin 2010

Aujourd'hui, je n'écris pas. Je porte le deuil d'une équipe de foot surpayée et jean foutre.
Les joueurs renoncent à leur prime, ce qui signifie que ce fric restera à la fédération de foot alors qu'ils auraient dû les filer au Secours populaire qui organise des vacances aux petits banlieusards dont les parents n'ont pas d'argent. Ou à d'autre d'ailleurs.
Décidément, ils auront été nuls jusqu'au bout !
René?

mardi 22 juin 2010

Salut à tous ceux qui dénoncent les compagnies pétrolières qui détruisent la planète joyeusement !

Aujourd'hui, nous nous contenterons de la rubrique, "On est content de le savoir !"

On est content de le savoir ! (Nouvelles Calédoniennes)

"Le crocodile marin, la plus grosse espèce de reptile au monde, se déplace sur des centaines de kilomètres dans l'océan en « surfant » littéralement sur les courants.
Pendant longtemps les scientifiques ont pensé que les crocodiles de mer (crocodylus porosus), étaient des animaux territoriaux vivant principalement dans les estuaires.
(...)« L'étude démontre que le crocodylus porosus augmente énormément son potentiel de déplacement en surfant des courants de surface, ce qui fournit une stratégie efficace de dispersion à ces espèces », indique l'équipe de chercheurs de plusieurs universités australiennes dans un article publié dans un journal britannique d’écologie animale.
« Les crocodiles restaient près de la surface quand les courants étaient dans la bonne direction, mais plongeaient plus profond si le courant devenait défavorable », ont-ils observé.
Cette espèce de crocodile peut atteindre 6,1 mètres de long. Un mâle de 3,8 mètres a pu faire quelque 590 kilomètres en vingt-cinq jours en profitant des courants saisonniers.
Un autre crocodile de 4,8 mètres a traversé 411 kilomètres (255 miles) en vingt jours seulement, également en « surfant » sur les courants marins.
Un crocodile de mer de taille moyenne peut survivre quatre mois sans manger, tout en voyageant.

On est content de le savoir ! (source : le Quotidien du Peuple)

550 hôpitaux psychiatriques seront reconstruits en Chine

550 hôpitaux psychiatriques et départements de psychiatrie des hôpitaux généraux seront reconstruits ou restructurés au cours des deux prochaines années pour accueillir un plus grand nombre de patients qui souffrent des maladies mentales graves et ne reçoivent aucun traitement, a rapporté lundi le site Xinhuanet.com.
Yin Li, le vice-ministre de la Santé a constaté lors d'une conférence de travail sur la sécurité sociale et la stabilité une aggravation des incidents causés par des personnes atteintes de maladies mentales dans certaines régions. Il a ajouté que le pays éprouve le besoin de renforcer ses services médicaux ainsi que la prise en charge des malades. C'est pourquoi le gouvernement a décidé de créer 550 hôpitaux psychiatriques et des services de psychiatrie supplémentaires dans les hôpitaux généraux au cours des deux prochaines années".

(ndlr :Eh, oui, rappelez les vous, la mode chinoise qui consiste à massacrer des enfants dans les écoles privées chinoises. Sans doute, y-a-t-il des chinois qui n'aiment pas les nouveaux riches).

On est content de le savoir ! (source : Irin News)

"Des chefs d’état de pays africains se sont réunis jusqu’au 17 juin à N’Djamena, la capitale du Tchad, pour lancer un projet transcontinental de plantation d’arbres sur 7 000 kilomètres, du Sénégal à Djibouti, en Afrique de l’est.
(...)En tant que participant à cette barrière qui traverse le continent, le Tchad projette de planter un mur d’arbres de 1 000 kilomètres de long sur 15 kilomètres de large. L’initiative a été lancée avec 4,6 millions de dollars provenant des fonds du gouvernement, mais M. Térap estime que le coût s’élèvera au moins à 11 millions de dollars pour atteindre la couverture prévu".

On est content de le savoir ! (source : Bakchich.info)

"Karachigate, la piste politico-financière privilégiéeDCN / samedi 19 juin par Laurent macabies
La piste financière est dorénavant privilégiée par le juge d’instruction qui enquête sur l’attentat de Karachi en mai 2002.
Longtemps qualifiée de « fable » par le juge Michel Debacq qui avait débuté l’enquête sur l’attentat de Karachi, en 2002, puis par Nicolas Sarkozy lui-même en 2008 ("grotesque", "ridicule") la piste politico-financière dans l’enquête est devenue vendredi 18 juin la thèse officiellement privilégiée par le juge chargé de l’enquête.
Le juge d’instruction Marc Trévidic, chargé de l’enquête sur l’attaque qui a coûté la vie à 11 Français en 2002, a de fait confirmé l’existence de rétrocommissions illicites, en marge du contrat de vente de sous-marins au Pakistan.
Lors d’une réunion à huis clos avec les familles des victimes, vendredi matin à Paris, le juge a expliqué sa position et selon l’avocat des familles, Me Olivier Morice, la piste que le juge retient « est celle d’infractions financières qui auraient permis à un certain nombre d’hommes politiques de bénéficier de rétrocommissions illicites ».

On est content de le savoir ! (source : Sciences et Avenir)

"Pas d’acétylène et de l’hydrogène qui disparaît près de la surface…ces deux particularités révélées par la sonde Cassini ont mis en émoi le (tout petit) monde des astrobiologistes. Elles pourraient en effet révéler l’existence d’une forme de vie sur Titan, le plus grand satellite de Saturne. Bien différente de celle qui existe sur Terre, il s’agirait de microbes exotiques avec un métabolisme basé sur le méthane".

On est content de le savoir ! (source : Sciences et Vie)

"Masdar s’offre la plus grande unité solaire thermique du monde
Par Pierre Grumberg • 16 juin 2010 à 10:07 •
Avec 100 MW de puissance et 2,5 km2 de surface, la centrale solaire thermique Shams 1 qui démarrera en 2012 sous le soleil ardent de Masdar, dans l’émirat d’Abou Dhabi, sera la plus grande de son genre au monde. Construite pour 600 millions de dollars par les Français de Total (logistique industrielle) et les Espagnols d’Abengoa Solar (ingénierie), la centrale va capter les rayons solaires par 768 miroirs paraboliques redirigés sur des conduites contenant une huile caloporteuse. Le liquide ainsi chauffé échangera ensuite ses calories dans un échangeur avec un second circuit contenant de la vapeur sous pression. Laquelle fera tourner une turbine liée à un alternateur. Toute l’énergie n’est pas cependant d’origine solaire : afin de garantir la puissance de 100 MW, un brûleur alimenté au gaz naturel réchauffera la vapeur et compensera ainsi le déficit de lumière en cas de temps couvert, ou tout simplement lorsque le soleil décline (la centrale sera fermée la nuit, soit à partir de 20 heures en hiver, 21 heures en été)".

On est content de le savoir ! (source : APA)

"Un demi million de Mauritaniens sont atteints d’hépatite, selon une ONG nationale
Quelque 500.000 personnes sont atteintes d’hépatite en Mauritanie, selon les estimations de l’Association mauritanienne de lutte contre les maladies virales.
Sur ce demi million, 3.500 hépatiques meurent chaque année en Mauritanie dont la population tourne autour des 3 millions d’habitants, précisent les statistiques de cette ONG".

On est content de le savoir ! (source : Survival International)

"De retour d’exil, un leader indien s’en prend à une compagnie pétrolière française Le leader de l'AIDESEP a condamné Perenco pour avoir nié l'existence d'Indiens isolés.

Peu après son retour au Pérou, après onze mois d’exil politique, Alberto Pizango, leader de l’organisation indigène AIDESEP, a porté de lourdes accusations contre la compagnie pétrolière Perenco qui nie l’existence des Indiens isolés dans une région reculée d’Amazonie péruvienne où elle prévoit d’extraire 300 millions de barils et de construire un oléoduc.
Dans une lettre adressée le 3 juin dernier à l’INDEPA, le département des affaires indigènes du gouvernement péruvien, Pizango attire l’attention sur le fait que des recherches anthropologiques indépendantes ont attesté de la présence d’Indiens isolés dans la région. Les résultats de leur enquête ont été confirmés par le gouvernement régional, un institut de recherche réputé et la compagnie pétrolière Barrett Resources qui a précédé Perenco dans la région. La lettre indique également que le gouvernement régional a interdit toute exploitation forestière en raison des impacts potentiels qu’elle pourrait avoir sur les Indiens isolés.
Perenco a récemment révélé avoir transporté par hélicoptère ‘plus de 50 000 tonnes de matériel et de produits consommables, soit l’équivalent de sept tours Eiffel’ dans cette région. Tout en niant l’existence des Indiens isolés, la compagnie prévoit, dans le ‘plan d’urgence’ qu’elle a soumis en début d’année au ministère péruvien de l’Energie, de recommander à ses ouvriers de les ‘effrayer et de les repousser’ en cas de contact".

Alors, la question qui se pose, c'est qui cette société d'exploitation pétrolière française ?
Des noms, s'il vous plaît !

Et, sur ces bonnes paroles et ce questionnement, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.

lundi 21 juin 2010

Salut, messieurs, mesdames, comme notre président national, l'équipe de France de football est un bateau ivre.

Aujourd'hui, nous allons vous rappeler la décision du gouvernement australien de taxer les supers profits des groupes miniers dont le but entre autre de financer son système de retraire.
Vous vous souvenez, je vous en avais touché un mot.
Eh, bien, il semble que les groupes miniers, comme cela semblait prévisible ont exercé des pressions sur le gouvernement, l'amenant à réviser sa copie sans en abandonner le contenu.
Ah, là, là, le pouvoir du fric et le chantage à l'emploi. Pourtant, le gouvernement ne doit pas se laisser faire, surtout si, les coûts supplémentaires ont déjà été intégrés au niveau des marchés des matières premières.

(source : les Nouvelles Calédoniennes)

"Les représentants des grands groupes miniers ont rencontré le gouvernement australien pour se plaindre du manque de considération des autorités envers leurs craintes à l’égard de la taxe minière prévue pour 2012. Le Premier ministre, Kevin Rudd, qui entame la dernière ligne droite avant les élections, a affirmé qu’il entendait assouplir son application.

« Les discussions avancent bien. Nous allons atteindre un point d’entente à l’issue duquel l’Australie sera toujours une destination attirante pour les investisseurs étrangers », a déclaré, mercredi, Martin Ferguson, le ministre des Ressources fédérales, au terme d’une rencontre à Canberra avec les représentants des grands groupes miniers.
Pour mémoire, le gouvernement australien envisage de mettre en place une taxe « sur les supers-bénéfices miniers ». Une taxe à 40 % des excédents de profits des compagnies minières qui interviendrait dès mi-2012. Ce projet de taxe est vivement contesté par le secteur minier, qui y perçoit une menace pour les investissements en Australie. En raison de cette taxe, les industriels miniers ont déjà suspendu plus de 20 milliards de dollars d’investissement dans de nouveaux projets en Australie.

L’aménagement de la taxe pourrait notamment impliquer un calcul différent en fonction du type de minerai exploité.
Le Premier ministre a toutefois souligné que les titres des compagnies minières australiennes n’avaient perdu que 3 % depuis l’annonce de cette taxe en mai, quand les compagnies brésiliennes et canadiennes cédaient respectivement 5 % et 4 % sur la même période.
De son côté, Martin Ferguson, qui mène les négociations avec les principaux acteurs de l’industrie minière, s’est dit prêt à se pencher sur les arguments des détracteurs d’une taxe unique pour tous.
L’aménagement de la taxe pourrait notamment impliquer un calcul différent en fonction du type de minerai exploité, rapporte la presse australienne. Certains secteurs, comme l’extraction de minerais, pourraient être largement exemptés".

Alors, une taxe réélle ou une taxe au rabais ?
Sauf, que cela sert à quoi de changer l'esprit de la taxe alors que les industriels ont provisionné l'augementation ?
Et, pourquoi, les gouvernements doivent-ils toujours reculer, à ce demander quel est leur réél pouvoir.
Mais, passons, parlons plutôt bucolique en revenons aux abeilles qui butinent comme les membres de l'équipe de France butinent les primes.
En tout cas, la réaction à la disparition des abeilles pourraient venir des villes plutôt que de la campagne où les agriculteurs persistent à innonder les champs de pesticides divers et dangereux.

(source : Planète 89)

"La disparition des abeilles est prise très au sérieux par les apiculteurs, les défenseurs de la biodiversité et tous ceux qui ont la fibre verte. En ville, on voit fleurir des ruches privées un peu partout, une forme d'« action écologique directe ». Comme chez Martine et Gérard, à Vitry, dans le Val-de-Marne.
Le couple pourrait bien faire des émules : il devrait y avoir du monde ce samedi aux journées Apidays, où apiculteurs amateurs et professionnels montreront aux curieux comment on prend soin des abeilles, ces insectes qui pollinisent 80% des fleurs et des fruits. Et dont dépend rien de moins que notre survie sur Terre.
L'Union nationale de l'apiculture française (Unaf) a établi des constats alarmants :
•deux tiers des pollens ont disparu en cinquante ans
•350 000 ruches ont été supprimées en dix ans
•1 000 apiculteurs cessent leur activité chaque année
« On ne gère pas un rucher comme des lapins »
Alors, chacun chez soi, des citadins participent au repeuplement du cheptel. A la tête d'un rucher-école dans le Val-de-Marne, Felix Gil prévient les candidats -nombreux- à l'accueil d'une ruche à la maison :
« Ce n'est pas si évident que ça, qu'on ne gère pas un rucher comme des lapins. »

Houra ! Hourra !
Au moins, cette initiative de rucher en milieu urbain amènera les gens des villes à planter et à faire pousser des fleurs sur leurs balcons. Et, au moins, en ville, il n'y a pas de pesticide. Du coup, le sauvetage des abeilles viendra peut-être de là, puisque le milieu urbain est plus à même de les protéger contre leurs prédateurs locaux ou importés.
Pourtant, ce n'est pas ça qui va sauver la planète, car BP et les autres pétroliers nous préparent d'autres marées noires ou d'autres fuites massives de pétrole à l'intérieur de terres.
Mais, parlons encore de BP et cette fois-ci en Alaska.

(source : idem)

"BP en Alaska : des installations « pourries et prêtes à casser »
Par Sophie Verney-Caillat | Rue89 | 17/06/2010 | 12H14

Après la marée noire
du golfe du Mexique, de nouveaux ennuis pourraient toucher BP. Ils
viendraient cette fois d'Alaska, où BP exploite le troisième gisement
pétrolier américain. La douzaine de salariés et les documents dévoilés
par le site américain d'investigation TruthOut révèlent que ce site est « en danger ».
Pour ceux qui suivent l'actualité de BP, deux fuites de pétrole de sont produites à Prudhoe Bay en 2006 et 2009. D'innombrables problèmes de sécurité détectés à cette occasion « n'ont pas été résolus, signe que la culture de réduction des coûts peut mener à un nouveau drame environnemental », explique cette enquête.
Marc Kovac, un soudeur qui a travaillé pendant trente ans sur ce site situé au-delà du cercle polaire arctique, s'est décidé à parler au journaliste Jason Leopold « parce que des vies sont en jeu. » Ses déclarations sont alarmantes :
« Nous avons toujours des centaines de kilomètres de tuyaux pourris prêts à casser. Nous ne sommes pas du tout préparés à faire face à une large fuite. »
Des avertissements « pris au sérieux », dit BP
La fuite de 2009, découverte par un employé lors d'une inspection de routine, a fait l'objet d'une enquête du FBI, de l'Agence de la protection de l'environnement et des autorités de l'Etat d'Alaska. Mais BP, qui s'était engagé à revoir ses procédures de sécurité, ne l'a jamais fait. Les très basses températures auxquelles sont exposés ces oléoducs les rendent fragiles et BP ne s'est pas adapté aux normes de l'industrie dans ce cas précis.
Steve Rinehart, porte-parole de BP en Alaska, a assuré que les avertissements des employés étaient « pris au sérieux », mais les témoignages de salariés, y compris parmi les dirigeants de la société, sont accablants : les projets concernant la sécurité ont baissé de 30% en 2010 pour le site de l'Alaska. Et ce malgré les déclarations répétées du responsable du site BP en Alaska sur le fait que la sécurité était « prioritaire » pour l'entreprise".

Vraiment, ils nous prennent tous pour des cons, les politiques, les industriels, les médias, les banquiers, les équipementiers divers et variés et maintenant l'équipe de France de football.
Finalement, peut-être que nous le sommes, "des gros cons", si autant de monde se permet de nous le signifier. Et, tous ces gens ou structures le font au nom du fric roi, naturlich !
Bon, je crois que pour aujourd'hui, je vais arrêter de vous bassiner autrement vous risquez de sauturer.
Aussi, je vous dis "A bientôt".
René.

vendredi 18 juin 2010

Salut à toutes les célibataires, il n'y a de liberté que celle que l'on conquiert.

Bon, nous allons un peu reprendre le sujet d'hier, les agriculteurs et les industries chimiques ainsi qu'agro-alimentaires.
En effet, il n'y a pas seulement le fait que les agriculteurs refusent de ne plus épandre autant de pesticides, il y a aussi le fait qu'en France, ils sont en très grande partie responsables de l'empoisonnement des nappes phréatiques, des sources, des cours d'eau, des rivières, des fleuves et des rivages côtiers.
Et, lorsqu'une personne empoisonne volontairement une autre personne, elle est jugée comme empoisonneur ayant mis la vie d'autrui en danger et condamnée pénalement pour tel.
Les agriculteurs ont fait la même, mais, dans leur cas, personne n'est responsable !
Car, entre-nous, les industries chimiques comme Mosanto ne sont pas responsable si elles mettent des produits sur le marché, personne n'est obligé de les utiliser.
Si, je prends de la mort au rat pour empoisonner une personne, ce n'est pas la société productrice qui est responsable, c'est la personne qui utilise le produit pour en faire un usage illicite.
Dans le cas des agriculteurs, ils utilisent les pesticides pour l'effet recherché, mais, l'effet collatéral empoisonne l'eau, nous empoisonne, détruit les insectes indispensables à la bio-diversité et à la pollénisation.
Bref, pour nous nourrir, les agriculteurs détruisent ce qui est autour d'eux !
Alors, quel est le coût réél sur l'environnement et notre santé de la production d'un kilo de tomates ?
A mon avis, c'est comme ça, qu'il faut considérer le problème.
Et, en tout cas, je ne vais pas pleurer sur le sort des agriculteurs, car dans la région du petit village dont je vous ai parlé hier, ce sont tous des gros céréaliers qui n'ont en rien à foutre d'empoisonner la terre entière, du moment que cela leur rapporte du fric.
Avec pour résultat, l'empoisonnement de l'eau en France.
Dire que dans les pays sahéliens, les gens meurent de soif. Chez nous, il y a de l'eau et tout ce que l'on est capable d'en faire, c'est l'empoisonner !
Et, que fait le gouvernement français ?
Rien !
Ah, oui, c'est vrai, il ne faut surtout pas embêter les industries chimiques et de l'agro-alimentaires.
Vous me direz, en plus, que cette situation arrange les grosses boîtes de redistribution de l'eau comme Véolia et compagnies.
Sauf, que ces boîtes en question utilisent de l'aluminium pour purifier l'eau et qu'avec l'aluminium l'eau demeurre impropre à la consommation.
Mais, ça, elles ne le chantent pas sur les toits.
Pauvre France profonde, tout le monde cherche à t'empoisonner !
Et, toi, dont la santé va ou périclite, tu n'auras même plus de médecin pour te soigner puisqu'ils désertent tous les campagnes.
Sans compter les hôpitaux que l'état ferme pour faire des économies sur votre santé.
Par contre, il est vrai, qu'en majorité, vous avez voté pour ce gouvernement là et pour ce président là qui n'est pas la moitié d'un con.
Sauf, que la situation devient urgente et qu'il faudra bien obliger les agriculteurs à diminuer leurs épandages de pesticides en les faisant participer financièrement au coût du traitement des eaux.
Peut-être, qu'à ce moment là, si, leur participation est d'une charge trop lourde pour leurs exploitations, ils se décideront à diminuer d'eux même l'utilisation de pesticides.
Mais, passons à autre chose, tellement c'est déprimant que les agriculteurs, que le gouvernement, que les industries chimiques et agro-alimentaire ne comprennent pas que la disparitions des insectes pollinisateurs va régler le problème de la surpopulation mondiale en deux, trois mouvements !
Et, nous en serons, nous aussi responsables, puisque non seulement nous ne comprenons pas la gravité de ce qui est en train de se passer sous nos yeux, mais, qu'en plus, nous n'agissons pas !
Tant pis pour nous, parce qu'au final, nous ne sommes qu'une bande de gros cons !
Donc passons à autre chose, c'est mieux avant que je ne devienne grossiers, n'est-ce pas mes trois chers lecteurs ?

Alors, par exemple, que se passe-t-il au Swaziland, ce royaume enclavé dans l'Afrique du Sud ?

(source : Irin News)

SWAZILAND: Des attentats anonymes à la bombe entretiennent l’insécurité

MBABANE, 15 juin 2010 - Au Swaziland, aucun individu ou groupe n’a revendiqué la vague d’attentats contre des cibles gouvernementales et du parti de l’opposition, mais leurs actions créent un climat d’instabilité dans ce pays d’Afrique australe dépendant de l’aide.
« Les attentas à la bombe n’ont fait aucune victime pour l’instant, mais ils sont si fréquents maintenant et partout, que nous demandons, ‘ Que se passe-t-il au Swaziland ? ’ » a dit un chargé de programme d’une ONG à IRIN, sous couvert d’anonymat. Jusqu’ici, les attentats à la bombe n’ont pas interrompu les activités des organisations d’aide.
Le dernier monarque absolu d’Afrique subsaharienne dirige le Swaziland, où un mouvement croissant en faveur de la démocratie a demandé une réforme politique mais a reçu peu de soutien de ses voisins démocratiques, l’Afrique du Sud et le Mozambique".

Eh, oui, finalement, les sujets du suzerain ont fini par en avoir marre d'être pris pour des billes corvéables à merci et avec pour seule perspective, la misère.
Une misère, pour passer du coq à l'âne, que ne connaît pas l'équipe de France en Afrique du Sud. Ses membres se conduisent comme des figures de carnaval et lorsqu'ils vont revenir en France, leur salaire ne va même pas baisser d'un centime d'euro.
Si, ces gens-là se vendent comme un produit alors comme un produit qui ne plaît plus, ils doivent voir leur valeur salariale diminuer de même.
Après, si, ils représentent la France qui perd, c'est celle du gouvernement, pas la mienne.
Alors, messieurs les responsables de la FIFA ou autres, baissez leur salaire ! Revenons pour ces gens là à un niveau plus acceptable et si ils marquent des buts, que cela soit à travers des primes qu'ils fassent la différence !
Au moins, ils seront obligé de jouer esprit d'équipe pour être sûrs d'augmenter leur revenu.
Et, cessons d'en faire des rois alors que le peuple autour d'eux s'appauvrit !
Et, sur ces bonnes paroles, je vous laisse y réfléchir. Car, partout dans le monde payer des gens à rien foutre, ce n'est pas moral.
A bientôt.
René.

PS : Ils ont supprimé le correcteur d'orthographe sur blogger. C'est nul !

jeudi 17 juin 2010

Salut aux compagnons du coquelicot, nous avons un nouvel adhérent. Nous sommes donc cinq en tout.

Bon, comme, je vous l'avais annoncé, je suis parti à la campagne en vacance dans un endroit où je n'avais pas accès à l'informatique.
En tout cas, très bien la campagne, très joli et plein de fleurs sauvages ou cultivés. Le tout entouré de champs de blé et de betteraves innondés de pesticides en tout genre.
Du coup, en quatre jours, je n'ai vu qu'un papillon et deux abeilles !
Et, ça, ce n'est pas normal.
Je me souviens de cet endroit lorsque j'étais adolescent où vous rencontriez des papillons de toutes sortes en quantité et des abeilles en veut-tu, en voilà.
Et, là, plus rien. Le désert !
Par contre, dans ce lieu, un petit village de la France profonde, dans l'aisne, une source coulait apportant l'eau à tout le village. Aujourd'hui, plus personne ne peut utiliser l'eau de cette source, polluée par deux fermiers céréaliers.
Aujourd'hui, le village et tous les villages alentour sont fournis en eau par Véolia eau.
Dans notre village, Véolia s'est installé parce que deux fermiers ont tué l'eau à force d'innonder leurs champs de pesticides et d'engrais, juste deux fermiers.
Est-ce normal ?
Pareil en Bretagne où les algues vertes, une menace pour la santé public, sont provoquées par l'abus d'azote des agriculteurs et le lisiers des porcheries.
Et, c'est aux communes qu'au final incombent le nettoyage des plages. Un coût insupportable pour celles-ci alors que l'état se défile devant sa responsabilité. Etat qui vient d'autoriser l'installation de nouvelles porcheries et qui revient sur sa promesse d'obliger les agriculteurs à diminuer de 20% leur utilisation d'azote et de pesticides.
De toute façon, le Grenelle de l'environnement n'a été qu'une vaste fumisterie pour diviser les écolos et ramasser des voix.
Seulement, devant les industries chimiques et agro-alimentaire le gouvernement Fillon et notre président national ont baissé la culottte. Parce que comme d'habitude, leurs promesses n'étaient que du vent.
Par contre, lorsqu'il s'agit de s'attaquer aux sans grades ou à la classe moyenne, là, notre président national n'hésite pas, il fonce !
Mais, revenons en à nos moutons.
En effet, il y a un adage qui dit "les pollueurs payeurs".
Donc, si on le suit à la lettre, cela voudrait dire que pour le village dont je vous parlais plus haut, il y a un préjudice pour les habitans qui désormais payent l'eau plus cher. Il serait donc juste, juste dans le sens de justice, que cela soit les deux fermiers qui payent la différence de facture pour les habitants.
Comme, il serait normal que les agriculteurs bretons et les industries porcines payent le ramassage des algues vertes sur les plages bretonnes puisqu'ils refusent de diminuer leur épandages d'engrais, de pesticides, de lisiers et d'azote.
Sans compter que toutes les rivières, sources, ruisseaux, nappes phréatiques sont polluées ! Ils devraient donc être taxés pour couvrir les frais de dépollution des plages et des sources.
Ils refusent !
Alors, je suggère aux consommateurs de faire comme moi qui refuse d'acheter des produits d'Espagne traités de trop de pesticides dont certains interdits en France et de ne plus acheter de porcs bretons.
Si, les porcheries bretonnes disparaissent, ce ne sont pas les bretons des villes ou du bord de mer qui vont s'en plaindre. En plus, vous sauverez la bretagne parce que, en réalité, ce ne sont pas des fermiers bretons qui élèvent les porcs, mais, des grandes sociétés de l'agro-alimentaire qui s'en foutent carrément du sort de la Bretagne.
Alors, suivez mon conseil, boycottez les porcs bretons !
Surtout, si l'on considère que l'eau est la vie et que toutes les nappes phréatiques sont pollués pour ne pas dire empoisonnées en France. Car, lorsque l'on ne peut plus boire l'eau sans mettre sa santé en danger, il faut le dire, c'est qu'elle est empoisonnée.
Et, les coupables, ce sont les industries chimiques qui baratinent les agriculteurs pour qu'ils achètent toujours plus de leur poison.
Donc, au final, les agriculteurs, au lieu de nous nourrir, nous empoisonnent à petit feu.
Mais, que fait Borloo, à part frimer ?

En attendant, que fait le gouvernement chinois pour protéger les sources et les nappes phréatiques ?
Même, si les résultats ne sont pas garantis, notre gouvernement Fillon ferait bien de s'en inspirer, lui qui ne fait rien.
La preuve ?
Eh, bien, voilà, Chirac avait promis de dépolluer la Seine, lors de son départ, les espèces de poissons étaient plus différenciés et on a même pêché un saumon de bon poids. Dernièrement, la pêche a été interdite en Seine à cause de polluants industriels.
Mais, que fait Borloo, notre ministre de l'environnement à part se la jouer ?
Mais, revenons-en à la Chine.

(source : le Quotidien du Peuple)

"La Chine publie un plan sur la protection des sources d'eau potable

Le gouvernement chinois a publié un plan sur la protection des sources d'eau potable dans les zones urbaines afin de garantir la sécurité de l'eau potable et de protéger la santé de la population.
Ce Plan sur la Protection des sources d'eau potable urbaine (2008-2010), publié par cinq ministères dont le ministère de la Protection de l'Environnement et celui de la Santé publique, guidera le travail de protection de l'environnement et de contrôle de la pollution dans les zones où se trouvent des sources d'eau potable.
Les constructions illégales, les sorties d'égouts, les décharges de déchets et les usines devront disparaître des zones visées, précise ce plan dont le coût est estimé à 58 milliards de yuans (8,5 milliards de dollars).
Les activités susceptibles de polluer l'eau des zones protégées, telles que l'aquaculture, la natation et la pêche, seront interdites.
Le plan s'engage à contrôler, dans les zones concernées, la pollution de l'eau provoquée par l'agriculture, l'élevage et le transport fluvial. Les gouvernements locaux devront aussi lancer des projets de restauration des milieux naturels dans les zones protégées.
Dans le même temps, les systèmes de surveillance et de réponse d'urgence seront renforcés pour le contrôle et la gestion de la qualité de l'eau.
Ce plan fait suite à une enquête réalisée dans tout le pays sur la qualité de 4 002 sources d'eau potable centralisées dans 655 villes et villages".

Et, sur cet espoir d'une immensité incommensurable, mes chers trois lecteurs, je vous salue en vous disant à demain.
René.

dimanche 13 juin 2010

Désolé, mes trois chers lecteurs, mais, je vais en vacances jusqu'a vendredi prochain dans un endroit où il n'y a pas d'ordinateurs. Donc, vous me retrouverez vendredi ou le lundi d'après.
A bientôt.
René.

jeudi 10 juin 2010

Salut au grand concepteur universel, un virus s'est introduit lors de la conception du logiciel "espèce humaine" !

Bon, mardi dernier, en allant dans le métro à Barbès, il m'arriva, ayant la flemme d'aller acheter un ticket de l'autre côté de l'avenue de passer en fraude. Evidemment, comme je suis un mec trop fort, en présence même des contrôleurs, des policiers et des agents de la sécurité ratp.
Evidemment, ils m'arrêtèrent ainsi que ma compagne.
Normal, je fraude, normal, je paye. Enfin, elle paye puisque pour l'instant, je n'ai plus touché mon compte depuis que la lcl, crédit lyonnais m'a carrément innondé de pénalités, histoire d'être sûr de pouvoir assumer mes prélèvements en retard. Mais, je reprendrais cette histoire une autre fois.
Donc, à ma grande surprise, parmi les agents de la sécurité, un islamiste barbu !
J'avoue, nous sortions de boire l'apéro. Donc, un peu chauds et pas forcément prêt à accepter les manières limites capo d'une controleuse ratp, pas du tout aimable, plutôt genre vieille et gros thon.
Passe encore. Mais, l'agent de sécurité islamiste s'en prit à ma compagne, la toisant comme si elle était une mécréante. Evidemment, française de souche, ayant pris un apéro et pas voilée, pas du genre de son islam à lui.
Ce type était à la limite de la correction.
Et, je dois dire que si les policiers n'avaient pas été là, l'affaire aurait pu mal tourner.
Vu que ce type s'est permis en plus de dresser un procès verbal à ma compagne exigeant sa carte d'identité alors que les agents de sécurité ne sont pas assermentés pour ça. D'ailleurs, s'il le faut nous irons au tribunal et demanderons au nom de quoi la ratp se permet de transformer son corps d'agent de sécurité en nid d'islamiste radicaux !
Alors, je me pose la question, "Est-ce que la ratp est obligée d'embaucher des islamistes radicaux pour assurer la sécurité des usagers". Car, à mon avis, c'est plutôt le contraire qu'il va se passer. Parce que si les institutions publiques ou privées se mettent à embaucher ces "gens" qui détestent notre démocratie, là, nous avons des vrais raisons d'avoir peur pour l'avenir de nos enfants.
Bon, passons pour le moment, car, l'histoire n'est pas terminée.
Ah, je vous jure, entre la lcl, crédit lyonnais, qui pratique les abus bancaires jusqu'au point de vous mettre en situation de vous retrouver à la rue et les commandos islamistes de la ratp, il va bientôt plus nous rester que l'immigration ou la guerre civile. En tout cas, c'est ce que pensent de plus en plus de personnes en France.
En attendant, l'Australie défend les baleines. (source : les Nouvelles Calédoniennes)

"L'Australie a saisi mardi la Cour internationale de justice (CIJ) contre le Japon, estimant que ce pays viole ses « obligations internationales » en pratiquant la pêche à la baleine".

Et, nous qu'attendons-nous en Europe pour empêcher la Norvège et l'Islande de continuer à pratiquer la pêche à la baleine et autres dauphins ?
C'est bien d'agir contre le Japon, mais, n'oublions pas nos voisins qui sont à notre porte.
Et, qu'attendent les nations pour obliger Israël à s'engager dans le processus de paix en évacuant ses colonies de la Cisjordanie ?
Parce qu'entre-nous, le vrai adversaire du processus de paix, ce ne sont pas rééllement les islamistes, mais, Israël.
C'est bien pour ça, que je souhaiterais que les puissances occidentales déclarent un boycott économique et militaire à l'encontre d'Israël pour l'obliger à accepter l'évacuation de ses colonies et à s'engager dans le processus de paix.
A l'occident de garantir, par la suite, avec l'armée israélienne, sa sécurité. En réalité, Israël ne veut pas de la paix, non pas parce que les israéliens pensent que la paix leur obligera à évacuer les colonies, mais, parce qu'ils pensent que la paix les empêchera de s'approprier d'autres territoires et à la limite de virer les palestiniens.
Et, dans l'histoire, les américains et les européens laisent faire.
Par contre, dans de lointaines contrées, à nouveau, l'histoire courrue et connue de l'opposition entre éleveurs nomades et agriculteurs se répètent, comme, elle se répètera jusqu'à la fin des temps.

(source : Irin News)

"Le Kirghizistan, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan se partagent la vallée riche et fertile de Ferghana qui, avec ses quelque 11 millions d’habitants, est la région la plus densément peuplée d’Asie centrale. Depuis l’éclatement de l’Union soviétique en 1991, la vallée de Ferghana a connu des conflits intermittents et localisés en lien avec l’eau et la terre.

La semaine dernière, des médias locaux ont fait état de violences sporadiques entre des citoyens kirghizes du village de Sogment et des habitants du village d’Hushyar, dans l’enclave ouzbek de Sokh.

(...) Certains militants d’une ONG locale ont indiqué que la question des pâturages était principalement à l’origine de ces récentes tensions, car, depuis l’éclatement de l’Union soviétique, la frontière entre l’Ouzbékistan et le Kirghizistan n’a pas été démarquée ou délimitée, ce qui entraîné des conflits liés à la terre et aux ressources.

« La situation est assez tendue », a dit à IRIN Nazgul Aldasheva, chargée de programme de l’ONG locale Fondation pour la tolérance internationale (FTI) dans la province kirghize de Batken, au sud du pays.

Le 27 mai, des responsables kirghizes ont fermé le poste-frontière de l’enclave à Kaytpas et les habitants d’Hushyar n’ont pas pu faire paître leurs animaux dans les pâturages que les Kirghizes disent faire partie du Kirghizistan et que les villageois d’Hushyar disent faire partie de l’enclave ouzbek."

Est-ce que cela ne vous rappelle rien, mes trois chers lecteurs ?
Non, rien, vraiment ?
Rappelez-vous le massacre d'agriculteurs chrétiens au Nigéria par des nomades peuls.
Là, la religion jouait un rôle obscur pour dissimuler ce problème de terre de patûre. Surtout, dans un pays où les ethnies opposées adoptaient des religions différentes.
Pour le cas pré-cité, là-bas, ils sont tous musulmans. Alors, à quand, les massacres ?

Et, sur ces bonnes paroles, je vous salue.
René.

mercredi 9 juin 2010

Désolé, hier,je n'ai pas eu le temps de finir mon texte et aujourd'hui,je n'ai pas le temps de l'écrire.

mardi 8 juin 2010

blog à finir

(source : Irin News)

HAÏTI: « Nous sommes de nouveau exposés à la catastrophe »

"Une tente artisanale au camp B-D de Maïs Gaté, à Port-au-Prince (photo d’archives). A l’approche de la saison des ouragans, de nombreux habitants vivent encore dans des abris de fortune
DAKAR, 7 juin 2010 (IRIN) - La pluie et le vent, signes du début de la saison des tempêtes en Haïti, malmènent déjà les abris de fortune des populations déplacées par le séisme de janvier, et à en croire les organisations humanitaires, le pire reste peut-être à venir.

« Les bâches tiennent généralement mieux que les tentes, mais même la meilleure bâche, même la tente la plus solide ne sont pas des endroits indiqués pour passer la saison des pluies ou des ouragans », a déclaré à IRIN Timo Lüge, chargé de communication du groupe inter-organisations responsable de la supervision des abris. « De nombreux camps sont inondés à chaque fois qu’il pleut et les conditions de vie des habitants sont déplorables ».
Environ 1,5 million de personnes déplacées vivent aujourd’hui dans des camps.
Les organisations humanitaires s’efforcent de construire des logements mobiles plus robustes, à faux plancher, le plus rapidement possible ; 1 873 des 120 000 abris provisoires prévus ont été construits (assez pour loger 9 365 personnes) mais il pourrait falloir environ une année pour en construire 120 000, a indiqué M. Lüge."

(source : le Quotidien du Peuple)

"La France va renoncer et dire adieu à l'ère du bien-être élevé.

Les Français vont dire adieu à l'ère du bien-être élevé et pour eux, les heures au travail seront plus longues. D'après les spécialistes en la matière, la réforme du système de retraite produira certainement des effets assez graves et profonds sur les travailleurs et sur les entreprises et les pousseront à abandonner l'ancienne idée formées depuis de longues années selon laquelle la carrière professionnelle doit prendre fin à 60 ans."

(source : idem)

"Jean-Pierre Raffarin a dit qu'il est exclu que la France profite de la fluctuation provisoire de l'euro envers le renminbi pour réaliser le rééquilibrage de l'économie bilatérale., car, a-t-il dit, « le plus grand avantage de l'économie française consiste dans la compétitivité de ses entreprises et la qualité de ses produits et elle utilisera cet avantage pour étendre et développer son commerce avec la Chine et pour réaliser des échanges économiques et commerciaux plus équilibrés. »

Il a également insisté sur le fait que la France ne profitera également pas du Sommet du G-20 Toronto pour faire pression sur la Chine au sujet du taux de change de sa monnaie le Renminbi (RMB), et la raison c'est que cette façon d'agir ne peut aucunement résoudre fondamentalement le problème du déséquilibre économique et commercial."

lundi 7 juin 2010

Salut, les compagnons du coquelicot. Pour en arriver à nos fins, c'est à dire la disparition de l'espèce humaine, je vous propose que l'on s'allie à la Corée du Nord et à son président le plus beau, le plus intelligent, le meilleur baiseur et le roi du monde. Qu'en pensez-vous ?

Alors, alors, le Panchem Lama s'est rendu au Tibet.
Bien, et après, il est reparti à Pékin.
Pourquoi Pékin, plutôt que rester chez lui à Lhassa ? Simple, parce qu'il a été nommé par le gouvernement communiste et non selon les rites tibétains.
Une marionnette en quelque sorte de Pékin. Bad !

(source : le quotidien du Peuple)

"Le 11e panchen lama s'est rendu samedi matin au Temple de Jokhang, le plus célèbre monastère de Lhassa, la capitale de la région autonome du Tibet (sud-ouest).

Le Bouddha vivant, âgé de 20 ans, est arrivé au temple avant 06H00 du matin. Il y a été accueilli par de nombreux lamas vêtus de robes pourpres, tenant dans les mains de l'encens tibétain, des bannières de prières et des "hadas", la longue écharpe blanche en soie utilisée par les Tibétains pour présenter leurs meilleurs voeux.

(...)Il a dirigé une cérémonie du chant des sutra, lors duquel le Bouddha vivant et plus de 100 lamas du temple de Jokhang ont prié pour la prospérité et la stabilité du pays et une récolte abondante.

(...)Il passe la plupart de son temps à étudier le bouddhisme à Beijing et a effectué des visites dans les diasporas tibétaines pour des services religieux".

Eh, oui, mes chers trois lecteurs, cette fois-ci, le gouvernement chinois ne fera pas la même erreur qu'avec le Dalaï Lama qu'il avait laissé repartir à Lhassa sans surveillance. Du coup, cet ingrat s'était carapaté en Inde.
Ce Panchem Lama, là, non reconnu par le Dalaï Lama, ne risque pas de faire la même.
Mais, passons joyeusement, après tout, cela ne nous regarde pas.
Considérons plutôt la bio-diversité qui va être détruite par la marée noire de BP aux States. Les idemnités vont être calculées par le gouvernement américain qui va oublier de compter le coût de la destruction de la bio-diversité.
En attendant BP s'apprête à verser 10 milliards de dividende à ses actionnaires. Le gouvernement américain ne pourrait-il pas obliger BP à bloquer cette somme sur un compte au cas où les dégâts ne s'étendent à toute la côte américaine et en prévision qu'ils fassent la même sur l'Europe ?
Eh, oui, mes chers lecteurs, cela serait une bonne leçon car BP s'arrange déjà pour minoriser les dégâts puisque selon la loi américaine, elle ne sera redevable que par rapport à la quantité échappée de barils officiellement reconnus.
Donc, déclaration minorisée de son président.
A mon avis, ces gens-là, il faudrait les pendre !
Car, la disparition de la bio-diversté a des conséquences, notamment sur la possibilité de soigner les humains ou même et c'est moi qui l'affirme de "prolonger la vie".

(source : Valeurs Mutualistes, n°266,p8, mai/juin 2010)

"Pourtant, cette pharmacopée du futur est menacée. Des études destinées à faire progresser le traitement de l'ulcère gastro-duodénal et menées sur des grenouilles ayant la propriété de faire incuber leurs oeufs dans leur estomac, ont ainsi dû être stoppées, car ces espèces rares ont disparu et emporté avec elles leurs secrets".

Et, c'est pourquoi, il est important de préserver la bio-diversité et aussi de créer un délit de "crime écologique" contre l'humanité au niveau de l'ONU pour punir les salauds ?
Le même article donne une réponse :

"Car, l'or vert est loin d'être épuisé; seulement 2% des plantes connues ont été analysées à ce jour !"

Et, je ne vous dis pas concernant le milieu marin que l'homme s'évertue à acidifier joyeusement et là, également, il n'y aura pas de retour possible. Et, toujours à cause du profit et de l'avidité.(source idem, p9)

"Les explorations marines ont commencé dans les années 60/70, et les premiers composés commencent juste à voir le jour. Par exemple, un nouveau médicament (le ziconotide) destiné à traiter les fortes douleurs mille fois plus puissant que la morphine et sans effet d'accoutumance, vient de sortir sur le marché. Il est issu d'un coquillage prédateur, le cône, découvert dans les mers philippines, il y a quarante ans.
(...) Or, l'être humain a tendance à utiliser toutes les ressources naturelles, quitte à ne pas respecter les quotas de pêche (pourtant définis de façon scientifique) ou à pratiquer la pêche à la drague qui racle et détruit les fonds marins. La destruction des récifs coralliens et d'autres écosytèmes marins très riches (mangroves, coraux profonds) entraîne l'élimination d'un grand nombre de réserves de molécules qui auraint pu être intéressantes pour la recherche médicale. Car, elles constituent le point de départ des molécules synthétisées par les chimistes."

Et, voilà, mes trois chers lecteurs, je vous laisse réfléchir jusqu'à quel moment devrons-nous laisser tous ces gens avides d'argent détruire notre environnement ?
Et, surtout quand nous déciderons-nous à les considérer pour ce qu'ils sont : des ennemis !
A bientôt.
René.

vendredi 4 juin 2010

Il y a un truc qui m'inquiète sérieusement. Là, où je travaille, il y a deux acacias. Ils étaient fleuris pendant pratiquement pendant deux mois. Normalement, les abeilles en raffolent de ce pollen. Eh, bien, je n'en ai pas vu une seule. Il y a également un cerisier et des rosiers. Là, non plus, aucune abeille. Vous me direz, j'habite à Paris. Moi, je vous dis qu'à une époque, il y a eu des abeilles et même des papillons.
Aujourd'hui, rien !
Inquiètant ne trouvez-vous pas ?
Sans doute, que quelque part, il y a génocide et que tout le monde laisse faire.
Evidemment, de simples citoyens comme moi, ne peuvent rien à part hurler une angoisse. Nous n'allons pas quand même pas faire comme les chinois qui ont créé des équipes pour polleiniser à la place des abeilles.
Et, en attendant, les scientifiques discutent du sexe des anges, "Insecticides coupables ou pas coupables ?" "OGM, nuisibles ou pas nuisibles ?"
Et, pendant ce temps, les abeilles disparaissent.
Et, pendant ce temps ma banque, la lcl, crédit lyonnais continue à me prendre des pénaliltés malgré que mon compte soit créditeur ou justement parce que mon compte est créditeur, 115 euros cette semaine.
Maintenant, le crédit lyonnais est sûr qu'une fois mes prélévements du mois dernier, plus du mois de juin me mettra à nouveau dans le rouge et qu'à nouveau des pénalités me seront imposés. Donc, rebelote, même si, depuis le mois le mois de mars, je n'ai pas touché à mon compte.
Donc, voilà, ça m'énerve sérieusement.
Alors, je préfére vous quitter.
A bientôt.
René.

PS : (source:les Echos, mercredi 2 juin, p25)

"Les grandioses projets immobiliers de Dubaï continuent de générer des pertes elles aussi monumentales. Après, avoir, par deux fois, reporté la publication des résultats annuels, Dubaï Holding Commercial Operations Group (DHCOG), la filliale immobilière et hôtelière de l'empire du cheikh régnant de l'émirat, Mohammed Bin Rashid Al-Maktoum, en illustre l'ampleur. Il a, en effet, annoncé avoir clos son exercice 2009 sur une perte nette de 23 milliards de dirhams (plus de 5,2 milliards d'euros), contre un profit de 10 milliards de dirhams l'année précédente".

jeudi 3 juin 2010

Salut à ceux qui crient cocorico à l'impulsion du secteur exportateur grâce à la descente de l'euro. Sauf que les industriels la jouent différemment.

Eh, bien, mes chers trois lecteurs, pourquoi j'énonce un tel axiome, tout simple, parce que les entreprises françaises qui délocalisent se portent bien. Alors, moi, je pense que si les consommateurs se décidaient de boycotter les pneus Michelin, peut-être que cette société se projeterait autrement. Après tout, Goodyear, c'est pas mal, non plus.
Parce qu'entre-nous, Michelin ne gardera au final qu'une activité symbolique en France. Donc, de toute façon, la majorité des ouvriers et des cadres finiront par être virés. Donc, moi, à leur place, je serais pour un boycott dur dans l'hexagone.
Mais, là, de toute façon, les syndicats ne sont pas d'accords. Ils affirment qu'une telle action ne fera que jeter des ouvriers français au chômage. Sauf, qu'une telle attitude ne changera pas le fait que les entreprises délocaliseront.
Alors, en fait, ils défendent quoi les syndicats ?
Leur petite position confortable ?
Mais, revenons-en à Michelin et souhaitons que les travailleurs s'organisent en dehors des syndicats pour se défendre face à un patronnat glorifié par le gouvernement.

(source : le Quotidien du Peuple)

"Michelin envisage de déplacer son usine de Shenyang pour en accroître la capacité

Le fabricant de pneumatiques français Michelin attend l'autorisation du gouvernement pour réaliser un gros investissement en Chine, dont le déplacement de son usine de Shenyang pour en étendre les capacités, a déclaré mercredi un haut responsable de l'entreprise.

« Nous avons besoin de déplacer l'usine de Shenyang pour une extension de capacité vraiment importante dans le domaine des pneus de camions et de bus, mais aussi pour les pneus de voitures de tourisme, étant donné la demande croissante sur le marché automobile chinois », a déclaré Michel Rollier, gérant Associé commandité de Michelin.

Ce projet sera le plus gros de Michelin, a-t-il dit. La nouvelle usine chinoise sera l'un des trois projets importants au niveau mondial de Michelin dans les deux années qui viennent, a précisé M. Rollier, les deux autres usines étant situées au Brésil et en Inde.

M. Rollier a cependant refusé de donner davantage de détails sur la nouvelle usine, disant que le projet « attendait toujours l'autorisation finale du gouvernement ».

Des sources en provenance de l'actuelle usine Michelin de Shenyang ont déclaré que l'investissement total pour la nouvelle usine devrait tourner aux alentours de 1,5 milliards de Dollars US. L'extension de capacité ajoutera un million d'unités de pneus pour camions et bus à la capacité annuelle actuelle, qui est de 800 000 unités, ainsi que la multiplication de sa capacité de production de pneus pour voitures de tourisme, qui passera de 2,2 millions d'unités à 10 millions d'unités. Le nouveau projet comprendra aussi le rechapage de 295 000 pneus de camions et de bus chaque année".

En tout cas, Michelin, merci pour les ouvriers français !
Et, pour finir, je vous livre ce témoignage paru dans El Watan sur l'interviention israélienne contre la flotte humanitaire tentant de rompre le blocus de Gaza.

"Agression israélienne contre la flottille humanitaire : Un blessé dans la délégation algérienne.

Les trente-deux membres de la délégation algérienne, rescapés de l’assaut israélien sur « la flottille de la liberté » en partance vers Ghaza, ont encore du mal à se remettre du choc.
M. Gharbi, adjoint du président de l’APN, nous a expliqué, à partir de Amman, que « la délégation algérienne a opposé une féroce résistance aux miliaires israéliens ». « L’assaut a eu lieu juste après la prière du sobh, raconte-t-il avec enthousiasme. Nous sommes restés inflexibles face aux gaz lacrymogènes et aux balles en caoutchouc. Nous nous sommes battus avec les mains et quelques barres de fer, car nous n’avions rien d’autre. » Notre interlocuteur a expliqué que les délégués algériens ont été si « vaillants » que les Israéliens n’ont pas pu pénétrer à l’intérieur du bateau. « Nous avons fait honneur au peuple algérien », affirme M. Gharbi. Dans la foulée, Mohamed Douibi, membre du mouvement Ennahda, a été atteint par une balle israélienne. Actuellement, il se trouve à l’hôpital de Amman pour des soins. Ses blessures seraient, selon le ministère des Affaires étrangères, « sans gravité ».
Les membres de la délégation algérienne ont passé plus de six heures, les mains ligotées, sous un soleil brûlant, avant d’être transférés dans la prison Bir Sabaâ, près de Ghaza. « Nous nous sommes mis d’accord pour ne rien signer. Nous n’avons pas eu à le faire », souligne M. Gharbi, à propos des engagements dans lesquels les humanitaires devaient reconnaître qu’ils enfreignaient le droit international. Et d’ajouter : « Cette fois-ci, nous avons vu l’ennemi israélien en face. Dès que nous élevions la voix, les soldats prenaient peur. »
Les effets personnels et les documents administratifs des rescapés algériens, explique-t-il, sont encore entre les mains des Israéliens. L’Etat hébreu a confisqué les portables et les appareils photo pour effacer toute trace de l’attaque israélienne. Hier, un avion de la compagnie nationale Air Algérie s’est envolé vers la capitale jordanienne pour le rapatriement du groupe algérien. Le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l’étranger, Halim Benatallah, le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Bouguerra Soltani, quatre médecins, dont deux psychologues, des membres des groupes parlementaires des partis de l’Alliance présidentielle (FLN, RND et MSP) et du groupe parlementaire des Indépendants ainsi que des journalistes font partie de la délégation.

Par Amel B".

Et, sur ce, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.

mercredi 2 juin 2010

Aujourd'hui, rien, je vais manger dehors.
Sauf, peut-être comme tout le monde, Israël.
J'ai signé la pétition pour demander une enquête internationale au sujet de ce qui s'est passé concernant la flottille en route vers Gaza et la levée du blocus.
Quatre faits,
-cet évènement arrange le gouvernement islamique turc.
-l'armée israélienne aurait pu se contenter d'immobiliser les
bateaux à l'intérieur de la zone économique de Gaza.
-Israël a perdu cette bataille de l'image.
-Obama ne sortira pas grandi de son soutien à Israël dans le moyen
orient.

Et, ce simple fait également, Israël ne veut pas de la paix avec les Palestiniens parce qu'il ne veut pas affronter les colons de Cisjordanie.

C'est tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.

mardi 1 juin 2010

Salut au voyageur céleste. Il n'y a qu'une façon de survoler les âmes incertaines de l'espèce humaine, se mettre la tête avec un bon bordeaux.

Alors, alors, il paraît que les espèces animales comme les capitaux, les idées ou les hommes, elles ont pris le chemin de la mondialisation. Et, comme ses prédécesseurs, là, où elles passent, les équilibres trépassent.

(source : les Nouvelles Calédoniennes)

"Les envahisseurs sont là

La capture de deux mangoustes au port de Nouméa est venue rappeler la menace que représentent les espèces envahissantes pour la biodiversité du Caillou. Une menace d’autant plus forte que le développement des échanges s’accélère.
(...) Après la destruction des habitats, les espèces envahissantes sont la deuxième cause de disparition de la biodiversité dans le monde, notamment dans les îles anciennes très riches comme la Nouvelle-Calédonie ou Madagascar. Une fois introduites, leur forte capacité d’adaptation et l’absence de prédateurs leur assurent un développement exponentiel. Elles menacent aussi les cultures et banalisent les paysages".

Vous ne me croyez pas mes trois chers lecteurs, lorsque je compare des faits qui semblent n'avoir aucun lien ?
Pourtant, vous devriez vous souvenir de ce que fait l'Allemagne contre la spéculation et que ne fera d'ailleurs jamais Sarko avec son gouvernement qui nous inflige la culture du mensonge et qui sont copains comme cochon avec ces gens là.
Donc, qu'a fait l'Allemagne :

(source : Alternatives économques, art web, 21 mai 2010)

Fausses menaces des spéculateurs

En décidant d'interdire les « ventes à découvert à nu », l'Allemagne vient de faire un pas dans la bonne direction.
(...) L'Allemagne s'attaque donc à ce genre de pratiques, non pas en les régulant, mais en les interdisant. Certains acteurs financiers s'insurgent contre cette mesure en affirmant qu'elle réduit la « liquidité » des titres concernés et, par conséquent, leur volonté d'en acheter. La menace est claire : puisque vous limitez nos possibilités de spéculer avec la dette espagnole, nous n'allons plus l'acheter. Mais elle n'est pas crédible : les investisseurs de long terme (fonds de pension, compagnies d'assurances…) sont en quête de titres offrant de bons rendements. Et ils achètent aujourd'hui les titres de la dette publique espagnole, portugaise ou irlandaise proposant des taux d'intérêt plus élevés que ceux de la dette française ou allemande.
A vrai dire il n'y a guère que les spéculateurs que ce genre d'interdiction peut gêner − sauf qu'ils peuvent continuer à spéculer comme avant à partir des Bourses de Londres, de New York ou de Singapour… La mesure allemande serait donc infiniment plus puissante si elle était prise au niveau européen ou à celui du G20".

D'où conséquence, mes trois chers lecteurs, pour l'Espagne.

(source : Tribune de Genève en ligne)

"La Bourse de Madrid creuse ses pertes et cède plus de 3%
MADRID, 1 juin 2010 | L'indice Ibex-35 de la Bourse de Madrid a creusé ses pertes mardi en milieu de matinée à l'instar de plusieurs autres places européennes, et cédait 3,30% à 9.050,7 points à 10H42 (08H42 GMT).
L'indice Ibex-35 de la Bourse de Madrid a creusé ses pertes mardi en milieu de matinée à l'instar de plusieurs autres places européennes, et cédait 3,30% à 9.050,7 points à 10H42 (08H42 GMT.
L'ensemble des titres étaient en baisse, à l'exception de celui du transporteur aérien Iberia qui gagnait 0,18%".

Donc, comme vous pouvez et devez le constater mes trois chers lecteurs, une espèce étrangère devient prédatrice dans un biotope différent. Exactement, comme les capitaux spéculatifs en Grèce, en Espagne ou au Portugal.
Je vous le dis, il ne faut pas laisser circuler les espèces à l'étranger. Surtout, lorsqu'elles sont pratiquement virtuelles.
Alors, que fait le gouvernement français ?
Rien !
A part, se plonger dans la culture du mensonge !
Parce qu'entre-nous, toute cette agitation de notre président national pour nous faire croire que pour relancer la croissance, il faut liquider les acquis sociaux et les services publics, vraiment, ça me laisse pantois.
Lorsque, j'entends ce message subliminal en arrière fond de ses discours, je suis mort de rire de mon compte bancaire que la lcl, crédit lyonnais continue à me piller joyeusement.
Car, pourtant, tout n'est pas clair, notamment, lorsque la chute de l'euro risque de plomber la croissance chinoise. Croissance chinoise qui devait tirer la reprise de la croissance internationale, paraît-il.

(source : Agora Vox)

"Et si le miracle de l’économie chinoise était en fait une mystification ?

"Certains économistes pensent que les Etats vont se carapater sur eux même. C’est ce qui s’est passé aux Etats Unis, après la reprise de 1929, sur la décennie qui a suivit. Enfin il y a la risque le plus important selon moins, la retour de l’inflation, la reprise de la flambée des matières premières, causée par un retour de la demande et des spéculations. Il y a aussi des risques financiers et bancaires. Les banques vont mieux, c’est même le secteur de l’économie qui se porte le mieux. Les banques ont repris les mêmes activités de spéculation d’avant la crise. Le problème c’est que les marchés reposent leur confiance dans la reprise sur l’artifice de la perfusion économique des plans des Etats. Il y a aussi le risque de défaillances des entreprises dans le remboursement de leur prêt, de défaillance des activités de LBO (Leveraged buyout = financement d’acquisitions par emprunt), le risque de financement des activités de Bafi (Banques d’affaire) au détriment du crédit pour les entreprises, le risque de perdurer vers une complexification des produits financiers … etc. On peut rajouter un dernier risque, certainement le plus improbable, le plus imprévisible, mais celui qui aurait le plus d’impact ; le risque chinois".

Eh, oui, mes chers trois lecteurs, tant que les dirigeants internationaux ne s'attaqueront pas aux fonds spéculatifs, aux paradis fiscaux qui permettent aux entreprises de ne pas payer l'impôt sur les sociétés, aux niches fiscales (exonérations fiscales de toutes sortes qui permettent aux nantis de ne payer l'impôt), à la fuite des capitaux....etc, la relance économique restera l'objet transitionnel de la croissance.
Si, vous voyez ce que je veux dire.
Non ?
Eh, bien, tant pis pour vous !
Je ne vais quand même pas tout vous expliquer mes trois chers lecteurs. Prenez-vous en main, nom de dieu !
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte en vous demandant de vous rappeler mes précédents dires,"le gouvernement trouve que vous bénéficiez de trop de vacances par rapport aux américains".
Bien le bonjour chez vous.
René.