lundi 3 octobre 2011

Salut, au petit prince. Surtout, ne reviens pas sur notre planète. Tu serais déçu.

Alors, sarko et Angela Merkel, réunis se seraient entendus pour ne pas reconnaître la faillite de la Grèce, le temps que les banques puissent s'approvisionner suffisamment pour éviter d'être emportées dans la tourmente.
Sauf que, sauf que, cela signifie aussi qu'elles n'auront plus de crédits à accorder, ce qui aura un impact négatif sur nos économies puisqu'il y aura une contraction de son offre.
Sûrement, plus, d'ailleurs, pour la France, qui risque de faire un gros plongeon dans la récession, à la différence de l'Allemagne.
Personnellement, j'aurais préféré que l'état en nationalise au moins une ou deux, quitte à couvrir une partie de ses pertes non liées à la spéculation boursière pour pouvoir mettre en place un contrôle dans un système parti dans une vrille de profits à tout prix et menaçant la sécurité du pays.
Et, qui s'est imaginé ne plus avoir besoin de ses deux partenaires traditionnels, les industriels et les citoyens puisque la spéculation leur permettait d'engranger des profits mirobolants.
Ce qui signifie que l'aveuglement stupide, ôh combien, de notre président national, vis-à-vis de sa position envers la Grèce et en encourageant les banques française à vouloir profiter à mort, vont nous conduire directement en France à la récession.
Et, peut-être, y sommes-nous déjà.
Tout ça, parce ce type se croit le plus intelligent du monde et qu'il a pété les plombs en se plongeant dans une mégalomanie paranoïaque, que nous allons tous payer.
La récession, il faudra le dire, c'est grâce à sarko !
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.

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