dimanche 30 juin 2013

Moteurs : quand l’eau permet de remplacer l’essence …. | ActuWiki

Moteurs : quand l’eau permet de remplacer l’essence …. | ActuWiki
(blog à finir et à corriger)

Brésil, Brésil, ton peuple se révolte contre ton football et le délire de son gouvernement tellement mêlées à la classe politique qu'elle l'a toujours composée en majorité.
Car, comme dit le proverbe populaire, "Si, tu veux protéger tes intérêts, fais-toi élire par le peuple en lui faisant croire que tu vas protéger ses intérêts".
Mais, non, je mens ce proverbe n'existe pas, il reflète une réalité depuis la cité des grecs où seuls les hommes libres accédaient à la représentation politique et ne s'occupaient nullement du sort de la classe des esclaves.
Tiens donc, mes chers cinq lecteurs, on dirait que cela remonte à loin, à la définition même de la démocratie selon les grecs.
Nom de dieu, il y a encore du boulot à faire, si, depuis, ce temps là, personne n'est arrivé à libérer les esclaves, à part à leur faire changer de statut.
En tout cas, le football, plus les jeux olympiques au Brésil, tout cela va coûter un max de fric et en rapporter un max aux promoteurs et entrepreneurs.
Ah, oui, cela me rappelle la Grèce et son organisation des jeux olympiques avec des stades et des piscines et autres infrastructures qui n'ont plus servis après les jeux.
Mais, surtout, mes chers lecteurs, après la Grèce a plongé sous les coups de butoirs de Goldman Sachs !
Le Brésil, pays émergent de poids, n'est malheureusement pas si performante. Son économie stagne malgré tout ce que l'on en dit.
Le Brésil après la Grèce ?`
Mais, mon dieu, où est Goldman Sachs ?
En tout cas, en France, une ville veut faire la même que le Brésil et la Grèce. Comme ces pays, elle est endettée, connaît un chômage très important et n'a pas de perspective de croissance.
Donc, elle va encore plus s'endetter pour construire une infrastructures sportives qui sera largement sous utilisée.
En France, on n'a pas d'idée, alors, on reproduit les conneries des autres.

(source : Reporterre)

A Dunkerque, un Grand Projet Inutile de salle de sport. Signé Vinci

Guillaume Jacquemart (Arena, Non Merci)
vendredi 28 juin 2013

L’esprit de la ZAD s’empare de la Communauté Urbaine de Dunkerque (CUD). Pas pour un projet d’aéroport, non, mais pour un projet de salle de sport Arena [1] de 10.000 places. L’urgence, nous disent nos élus communautaires, est d’offrir rapidement aux deux clubs de basketball et de handball de la ville un« équipement unique, multifonctionnel et adapté […] qui doit permettre aux clubs de franchir une nouvelle étape vers le très haut niveau en se dotant de la première salle de type NBA de France ». Par ailleurs, l’enceinte sera modulaire et permettra d’accueillir des concerts et d’autres spectacles en indoor.
La salle sera construite par Vinci Construction avec l’aide de ses différentes filiales (Sogea Caroni, Dumez EPS, etc) qui a signé un contrat en partenariat public privé (PPP) avec la CUD, d’une durée de 27 ans et qui devrait coûter plus de 260 millions d’euros (prix qui inclut la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance de l’ouvrage).
On ne peut pas vraiment dire que nos élus aient été inspirés sur le coup, tout d’abord en choisissant Vinci (accusé de corruption en Russie, ou encore de ne pas respecter le droit du travail) et ensuite, en privilégiant le PPP, contrat risqué pour les finances publiques et largement critiqué en France (Notre-Dames des Landes, Hôpital Sud Francilien) comme de l’autre-côté de la Manche (le gouvernement britannique freine désormais ce type d’initiative).
Pour que la pilule passe, les acteurs du projet font appel à l’idéologie de la communion sportive, au symbole de la « fête du sport » ou encore à l’image du territoire, qui grâce à cette salle deviendra encore plus attractif.
Mais la pilule reste coincée au fond de la gorge. Le divertissement à tout prix ne fait plus diversion. Le projet Arena a été dessiné par une oligarchie locale qui privilégie grandiose et panache, et oublie l’intérêt et les difficultés de la population locale.
L’urgence en temps de crise, ce n’est pas le sport pour un territoire dévasté par le chômage (12,6% sur l’ensemble de la CUD, 25 % dans certaines villes comme Grande-Synthe) et défiguré par l’industrie sidérurgique et les 14 sites Seveso classé seuil haut.
Il est inutile de nous bercer d’illusions en nous faisant croire qu’avec la zone commerciale qui sera afférente à l’Arena, ce seront plus de 1000 emplois qui seront créés. Ne le seront-ils pas au détriment des commerces du centre-ville de Dunkerque déjà durement affaiblis par la crise ?
A l’heure où l’enquête publique sur la salle Arena a lieu (du 17 juin au 17 juillet) nous nous efforçons en tant qu’ association d’œuvrer pour plus de démocratie et de transparence. Nous travaillons pour informer les citoyens du dunkerquois sur les vraies répercussions de ce projet, et pour proposer des alternatives concrètes qui permettraient à notre territoire d’être vraiment attractif sur le plan social et de l’emploi (transport public gratuit, rénovation thermique des bâtiments, etc).
.........................................................
Note
[1] Face au prétendu retard de la France en équipements sportifs, une commission « Grand Salle Arena » (Ministère des Sports) a préconisé la construction de sept grandes salles (une de 20.000 places, une de 15.000 et cinq de 10.000 places) avec la création d’un label « Arena » ouvrant les droits à un soutien financier de l’État.
Cette commission comporte 26 membres et a demandé la collaboration d’une trentaine de personnes essentiellement des responsables sportifs, mais aussi quatre élus locaux dont Michel Delebarre, président de la Communauté Urbaine de Dunkerque.

Par contre, notre gouvernement français, nous prépare à l'arrivée de la bidoche américaine en s'arrangeant pour que nous puissions connaître l'origine de la viande que nous allons acheter.
Cela prépare en fait l'accord de libre échange américano-européen qui nous permettra de manger du bovin, de l'ovin qui n'a jamais vu un pré et grossi aux hormones de croissance et aux OGM et manger du poulet lavé à la javel.
Bonjour la qualité.
Dire que les macdonalds en France tentait de nous faire croire qu'ils travaillaient sur la qualité, ils n'auront même plus à se donner cette peine.

(source : le Parisien)

Consommation : les députés renoncent à l'étiquetage sur l'origine des viandes

Publié le 27.06.2013, 08h03 | Mise à jour : 08h30
L'Assemblée Nationale a décidé de remettre l'étiquetage de l'origine nationale des viandes à plus tard  après un long débat dans la nuit de mercredi à jeudi.

L'Assemblée Nationale a décidé de remettre l'étiquetage de l'origine nationale des viandes à plus tard après un long débat dans la nuit de mercredi à jeudi. | (LP/ Delphine Goldsztejn.)

Zoom
L' a renoncé à imposer l'étiquetage de l'origine nationale des viandes, acceptant, après un long débat dans la nuit de mercredi à jeudi, d'attendre de voir si la Commission européenne allait rapidement formuler des propositions sur ce sujet.

Lors d'une discussion sur laquelle planait à la fois le scandale de la viande de cheval congelée et la colère des éleveurs, des députés  et Front de gauche avaient déposé plusieurs amendements sur ce sujet au projet de loi sur la consommation, actuellement en première lecture à l'Assemblée. 
Ces amendement rendaient obligatoire l'origine nationale de la viande, qu'elle soit consommée fraîche ou dans le cadre de produits alimentaires transformés.

Benoît Hamon veut attendre les propositions de l'Europe
Le ministre délégué à la consommation, Benoît Hamon, tout en approuvant sur le fond ces dispositions, s'y est opposé en arguant qu'elles devaient obligatoirement être décidées au niveau européen. «La France est en pointe sur ce dossier, et a décroché des soutiens auprès de plusieurs pays, malgré la position frileuse de la présidence irlandaise de l'UE et de la Commission européenne. Si le signal qui est donné est de voter une disposition contraire aux textes européens, cela mettra le gouvernement français en difficulté» dans les négociations avec ses partenaires, a-t-il plaidé.

Le ministre, soutenu par le président de la commission des affaires économiques de l'Assemblée, le socialiste François Brottes, a proposé de se rendre à Bruxelles avec une délégation de députés de tous les groupes pour plaider cette cause. Un rapport d'étape doit être rendu en juillet sur le sujet par la Commission européenne. Si celle-ci ne s'en saisit pas pour faire des propositions, «je ne m'opposerai pas alors à ce que la représentation nationale en prenne acte», a-t-il dit.

Le député socialiste Germinal Peiro a accepté de retirer son amendement, prévenant que «si rien n'avait changé lors de la seconde lecture», il le représenterait et ne le retirerait pas. Mais ses collègues des autres groupes, de l'UMP au Front de gauche, en passant par l'UDI et les écologistes, n'ont pas été convaincus. Le communiste André Chassaigne a difficilement contenu sa colère: « Ne pas gêner le ministre, attendre la 2ème lecture... ce sont des jeux parlementaires ».
LeParisien.fr 

Mon Dieu, y-a-t-il un ministère de l'Ecologie en France ?
En tout cas, en Bulgarie, il y en a un puisque la ministre a signé un accord pour autoriser l'exploitation de gaz de schiste. A mon avis, ils vont commencer en zone musulmane et en zone rom, histoire de les faire "chier !"
Mais, je vous rassure mes chers lecteurs, tout va bien dans le meilleur des mondes. C'est ce que doivent se dire les habitants de Civeaux, toujours en France qui vivent avec une centrale nucléaire au pas de leur porte.

(source : FR3 Poitou Charente)

Douze employés de la centrale nucléaire de Civaux évacués

Le personnel qui travaillait à la remise en route du réacteur n°1 a dû être évacué à la suite d'un "rayonnement transitoire". 
  • Par Bernard Dussol
  • Publié le 27/06/2013 | 16:58, mis à jour le 27/06/2013 | 18:01
© Maxppp
© Maxppp


Le service de presse de la préfecture de la Vienne a confirmé l'évacuation du personnel de la centrale de Civaux qui travaillait à la remise en route du réacteur n°1, soit une douzaine de personnes. L'évacuation a eu lieu ce jeudi après-midi aux alentours de 15h. Le réacteur était en phase de maintenance avant sa remise en route lorsqu'on a constaté une source de rayonnement radioactif.
Plusieurs ouvriers ont donc été touchés par une dose de radioactivité pendant "un laps de temps très bref" selon les responsables de la centrale. L'origine de ce rejet radioactif n'a pas encore été identifié et il n'y a pas de radioactivité anormale détectée sur le reste du site.


Comment la radioactivité a-t-elle été détectée ?

A Civaux, Emmanuel Pedronneau, responsable du service de communication de la centrale, indique que chaque employé travaillant dans les zones potentiellement dangereuses est équipé d'un dosimètre électronique qui enregistre le niveau de rayonnement. L'un de ces hommes a donc remarqué un dépassement significatif de la dose de radiation habituelle.
Pour autant les ouvriers sont équipés d'un deuxième détecteur passif, une sorte de film qui doit être développé comme une pellicule de photographie et qui dévoile tous les montants de radioactivité subis par celui qui le porte.
"Ces films sont en phase de développement", indique Emmanuel Pedronneau, "et tant que nous n'aurons pas la confirmation des premiers résultats enregistrés par les dosimètres électroniques, nous avons un doute sur la réalité d'un rejet radioactif".

L'Agence de Sûreté Nucléaire surveille de près l'évolution de la situation. Elle avait récemment épinglé dans un rapport la centrale de Civaux pour son manque de rigueur."
J'espère que vous remarquez mes chers lecteurs que le clocher de l'église est pratiquement à la cheminée de la centrale. Moi, à leur place, j'aurais plutôt la trouille, vu les dangers sanitaires prouvés d'une cohabitation avec une centrale nucléaire. Encore plus avec des puits d'extraction de gaz de schiste que va nous imposer bientôt le président français.


‘La bulle immobilière chinoise est d’une ampleur jamais vue dans l’histoire du monde moderne, et elle est sur le point d’éclater’ | ActuWiki

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Nucléaire – Tout ce que vous devez savoir sur le Mox ( + explications ) | ActuWiki

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Gaz de schiste : comment Delphine Batho accepte le pillage du sous-sol national | ActuWiki

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samedi 29 juin 2013

Créer soi-même une toiture végétalisée | ActuWiki

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(blog à finir et à corriger)

Et, cela continue avec une chaîne de complicités politiques phénoménales :

(source  la Charente Libre)

Montemboeuf: en guerre contre les pesticides après la mort de leur fils

Le 28 juin à 06h00 par Laurence GUYON
     
 
 
Ils ont perdu leur fils, mécanicien agricole, d'un cancer en août dernier. Depuis, ils sont en guerre contre les pesticides. Ils veulent briser le silence. Et faire changer plus vite les comportements.
"Il était constamment dans les produits." Didier et Madeleine Sardin veulent secouer les consciences.
"Il était constamment dans les produits." Didier et Madeleine Sardin veulent secouer les consciences.. PHOTO/Photo CL
Sur la table de la cuisine, dans leur ferme de Montemboeuf, Didier et Madeleine Sardin étalent les photos de leur fils Stéphane. Les images d'un bonheur torpillé en août dernier. Emporté à 28 ans, en deux mois, d'un cancer. La voix brisée, ils confient l'agonie de leur enfant, apparemment en pleine santé quelques semaines auparavant.
Stéphane était mécanicien agricole. Il intervenait à l'occasion sur des pulvérisateurs. "Il nous a raconté que ça l'avait parfois rendu malade. Des maux de ventre. Il était constamment dans les produits", rapportent Didier et Madeleine Sardin. Pour eux, ce sont les pesticides qui sont responsables de la mort de leur fils. Le lien n'est pas avéré, ils le savent bien.
Même si Paul François, l'agriculteur de Bernac intoxiqué au Lasso, lâche: "Ce n'est pas le premier cas de cancer chez ceux qui font la maintenance des appareils agricoles. Ils sont en contact avec des cocktails de produits." Un copain de Stéphane, Clément Chateaud, lui aussi mécanicien agricole, avoue: "J'évite de faire ce boulot-là. Si les produits entrent en contact avec la peau, ça me donne la diarrhée." Alain Castet, le directeur de Claas Réseau agricole à Nersac, ne croit pas au lien entre la maladie de Stéphane et son travail: "Le contact avec les produits est vraiment occasionnel." Et ses gars n'ont pas de protection particulière, excepté des gants.
Briser l'omerta du monde agricole
Didier et Madeleine Sardin, faute de preuves, n'accusent personne. Mais tout de même, ils s'affolent de ce qu'ils voient et entendent, et sont résolument entrés en guerre contre les produits chimiques qu'on balance sur les cultures. Ils veulent secouer les consciences, briser l'omerta du monde agricole, s'emportent quand ils entendent râler contre la directive nitrates: "Faudra-t-il qu'ils aient un cas chez eux pour prendre conscience?"
Madeleine Sardin a mal au ventre et les yeux qui brûlent à chaque fois que les pépinières voisines traitent les parcelles, même si celles-ci obéissent à des normes environnementales exigeantes. Un autre riverain se plaint, lui, de"poumons pris". Ils ont le sentiment qu'il y a de plus en plus de cancers.
Un généraliste du coin trouve qu'il a beaucoup de personnes atteintes parmi ses patients, mais, faute de registre des cancers, il ne peut pas vérifier. Il peste: "Les procédures quand nous voulons signaler quelque chose qui nous semble anormal sont très compliquées. C'est décourageant."
Madeleine Sardin renvoie sur un agriculteur du Lindois, victime de la maladie de Charcot. Un de plus. Son mari prophétise: "Ça va être bien pire que l'amiante. Parce que tout le monde emploie des pesticides."
S'ils se sentent bien seuls avec leur détresse, ils voient quand même que les choses bougent, même si c'est bien trop lent à leur goût (lire encadré). Stéphane aurait dû se marier ce mois-ci. Pour Didier et Madeleine Sardin, ce n'est pas le moment de baisser les bras.
TAGS FamilleSantéPesticidesMontemboeuf
Seulement, mes chers cinq lecteurs, ces compagnies de l'agro-alimentaire qui nous empoisonne, savent très bien ce qu'elles font parce qu'elles ont toujours mené des expériences secrètes pour déterminer les effets des poisons qu'elles comptaient mettre sur le marche. Et, lorsque l'on nous sort que l'Apspartame a été créée par hasard, et bien, moi, qu'ils nous mentent !

Un riz OGM américain expérimenté sur des enfants chinois

Par , publié le 

Pékin ouvre une enquête à la suite d'une plainte de Greenpeace. L'ONG accuse des chercheurs américains et chinois d'avoir fait tester du riz génétiquement modifié par des enfants chinois. 

Un riz OGM américain expérimenté sur des enfants chinois
CHINE - Greenpeace accuse des chercheurs chinois et américains d'avoir utilisé des enfants chinois pour tester un nouveau riz transgénique. Les autorités chinoises ouvrent une enquête
REUTERS/Stringer
Les autorités chinoises ont lancé une enquête pour vérifier si plus de 20 enfants ont été nourris avec du riz transgénique, servant ainsi de cobayes à des expériences menées par des chercheurs chinois et américains, a rapporté mardi l'agence officielle Xinhua. 
Le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies a déjà suspendu un chercheur, Yin Shi'an, pour son implication dans ce projet après des plaintes affirmant que ce riz, appelé "riz en or", avait été donné à des enfants. 

24 enfants de 6 à 8 ans

L'ONG Greenpeace est à l'origine des plaintes. Dans un communiqué publié en août, l'organisation a affirmé que du riz modifié génétiquement afin de réduire les carences en vitamine A aurait nourri 24 enfants de 6 à 8 ans en 2008 aux cours d'expériences conduites dans la province du Hunan.  
Selon Greenpeace, les chercheurs américains impliqués sont affiliés à un centre de recherche sur la nutrition basé à l'université de Tufts à Boston. "Il est incroyablement perturbant de penser qu'un organisme de recherche américain a utilisé des enfants chinois comme cobayes pour de la nourriture génétiquement modifiée", a déploré l'organisation. 
Le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies a nié avoir donné son autorisation ou participé aux tests, selon l'agence Xinhua. La parution d'un article sur ces recherches dans une publication américaine spécialisée le American Journal of Clinical Nutrition, n'a pas non plus été soumise à l'approbation du ministère chinois de la Santé, a-t-elle ajouté. 
Les partisans de ce riz OGM, dont la couleur varie du jaune à l'orange, continuent d'affirmer que ce produit pourrait réduire la mortalité infantile en apportant davantage de vitamine A. 
Avec  

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/asie/un-riz-ogm-americain-experimente-sur-des-enfants-chinois_1159512.html#gKKktcwBqHupeQdF.99 
vvvv

vendredi 28 juin 2013

Aujourd'hui, désolé, mes chers cinq lecteurs, je n'ai pas envie d'écrire. Ma femme a besoin de moi et il faut que je sois à ses côtés, tout simplement, parce que je l'aime.
René.

jeudi 27 juin 2013

Salut à l'Europe libérale, à mon avis, tu t'entends bien avec la bande de sociaux-libéraux qui gouvernent en France !

Et, lorsque, le gaz de schiste revient par la fenêtre :

(source : le Monde Planète)


Gaz de schiste : la fracturation hydraulique devant le Conseil constitutionnel

Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le

Le rapporteur public du Conseil d'État va recommander mercredi le renvoi au Conseil constitutionnel de la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) sur la loi de juillet 2011 interdisant la technique controversée de la fracturation hydraulique pour exploiter les gaz de schiste en France, selon un document obtenu par l'AFP.

A l'origine de cette QPC, la compagnie pétrolière américaine Schuepbach, dont deux permis pétroliers avaient été annulés parce qu'elle souhaitait utiliser la fracturation hydraulique. Depuis le 13 juillet 2011, cette technique controversée est interdite en France.
Le gouvernement avait décidé en octobre 2011 d'abroger les deux permis exclusifs de recherche de gaz de schiste dans le sud de la France, attribués à la compagnie américaine Schuepbach alors que cette dernière envisageait d'utiliser la fratcturation hydraulique. Les permis de recherche concernaient des zones autour de Nant (Aveyron, Lozère et Hérault) et Villeneuve-de-Berg (Ardèche).
APPLICATION "TROP STRICTE" DU PRINCIPE DE PRÉCAUTION
La rapporteuse du Conseil d'Etat, Suzanne von Coester, a retenu le caractère nouveau de la demande de la compagnie américaine. C'est en effet la première fois que la question est posée à la justice : la loi du 13 juillet 2011 interdisant la fracturation n'était pas passée devant le Conseil constitutionnel et la QPC de Schuepbach est la première sur le sujet à remonter jusqu'au Conseil d'Etat. L'entreprise texane conteste une application trop stricte, et donc inappropriée, du principe de précaution.
La rapporteuse a souligné que la question se posait : "On peut se demander s'il ne s'agit pas dans ce cas, lorsque les autorités publiques ont pris des mesures jugées trop restrictives, d'une fausse application plutôt que d'une méconnaissance du principe de précaution", a-t-elle dit lors de l'audience.
Elle a notamment cité les arguments évoquant une "absence d'évaluation des risques" de cette technique consistant à fissurer la roche riche en hydrocarbures en injectant un mélange d'eau, de sables et de produits chimiques dans le sous-sol.
LA LOI "PAS MISE EN CAUSE", SELON DELPHINE BATHO
La ministre de l'écologie, Delphine Batho, avait rejeté au début du mois l'idée d'assouplir cette loi qu'elle avait qualifié de "victoire démocratique". Elle a affirmé, mercredi 26 juin, que le bien-fondé de la loi n'était "pas mis en cause" par le possible renvoi de cette QPC devant les sages.
Les compagnies pétrolières et le patronat français critiquent la loi française qui empêche, selon eux, d'exploiter un filon prometteur.
La décision du Conseil d'Etat, qui suit le plus souvent les avis du rapporteur, est attendue d'ici deux semaines en principe. Si la question est bien renvoyée au Conseil constitutionnel, celui-ci devra se prononcer sous trois mois sur la légalité de cette mesure principale contre l'exploitation des gaz de schiste en France.


De toute façon, ils nous prennent pour des cons.
Et, de cela, on s'en aperçoit tous les jours comme les Irlandais.

Irlande: comment les cadres de l’Anglo Irish Bank ont dupé le gouvernement pour le convaincre de se porter au secours de la banque

m Anglo%20Irish%20Logo Irlande: comment les cadres de lAnglo Irish Bank ont dupé le gouvernement pour le convaincre de se porter au secours de la banqueVu sur Express.be
Le peuple irlandais qui a sacrifié sa souveraineté et des milliards d’euros, s’est réveillé hier avec la gueule de bois, compte tenu des révélations de l’Independent. Le journal a publié l’enregistrement sonore d’une conversation téléphonique entre deux cadres de haut niveau de l’Anglo Irish Bank, John Bowe, qui dirigeait le service des marchés de capitaux, et le directeur du département de banque de détail, Peter Fitzgerald. Au cours de la conversation, Bowe, qui a participé aux négociations avec la banque centrale pour le sauvetage de l’Anglo Irish Bank, lui raconte en riant comment l’équipe de direction de la banque a convaincu le gouvernement de se porter à son secours pour des milliards d’euros, n’hésitant pas à employer des chiffres fantaisistes pour s’assurer de son accord (Fitzgerald n’avait pas participé à ces tractations).

L’enregistrement provient du propre système téléphonique de la banque et il date du cœur de la crise financière de 2008. A cette époque, l’Anglo Irish Bank s’était retrouvée en quelques jours au bord du dépôt de bilan. Par la suite, il devrait en coûter 30 milliards d’euros aux contribuables irlandais pour la sauver.
Au cours de la conversation, Bowe explique à son collègue comment la banque a rusé en ne réclamant initialement qu’une somme de 7 milliards d’euros à l’Etat irlandais, alors que ses dirigeants savaient déjà que le montant réellement nécessaire était largement supérieur à cette somme. La stratégie des banquiers était de convaincre l’Etat d’accepter de se porter au secours de la banque, et de faire payer cette charge aux contribuables, en leur expliquant que c’était pour leur propre bien.
Ils ont spéculé qu’une fois que l’Etat aurait commencé à payer, il n’aurait plus été capable de s’arrêter. Ce qui importait donc, c’était de convaincre le gouvernement que ce sauvetage était faisable. Alors qu’on lui demande comment ils ont déterminé le chiffre de 7 milliards d’euros, Bowe se met à rire et il on l’entend dire sur l’enregistrement :  « Comme Drummer [David Drumm, qui était alors le CEO de l’Anglo Irish Bank] le dirait lui-même, il est sorti de mon cul ».
« S’ils [la banque centrale] voient d’emblée l’énormité [des difficultés de la banque], ils vont peut-être décider qu’ils ont un choix à faire. Tu vois ce que je veux dire ? Ils pourraient dire que le coût pour le contribuable est trop élevé… Si ça ne semble pas trop important au début, assez pour être important, mais pas au point de tout remettre en cause, alors je pense que l’on a une chance. Je pense donc qu’il pourra être augmenté sournoisement », explique Bowe. « Ouais », répond Fitzgerald. « Ils mettent leur peau en jeu, et c’est ça, la clé ».
Dans l’enregistrement, on entend également Bowe et Fitzgerald rire ensemble en se disant qu’il serait irréaliste de croire que les prêts accordés à la banque pourraient être remboursés un jour.
« Pour la première fois, les contribuables peuvent avoir un aperçu exclusif des manigances banquières qui ont coûté sa souveraineté à l’Irlande », conclut amèrement le journal. En février de cette année, on a appris que le gouvernement irlandais a procédé en urgence à la liquidation de l’Irish Bank Resolution Corporation (IRBC), qui regroupait l’Anglo Irish Bank (qui avait été nationalisée en 2009) et Nationwide (nationalisée en 2010).
Source: Express.be

Alors, mes chers lecteurs, je me pose la question, "Quelle est la raison qui génère un désaccord entre le FMI et l'Europe, alors que le FMI a reconnu que l'austérité au point où elle a été imposé à la Grèce était une erreur. Ce qui signifie, en fait que c'est l'Europe, l'Allemagne, Godman Sachs (j'insiste) donc le ministre de l'économie française qui impose ce type d'austérité aux grecs.
Ce qui m'amène à penser, "Est-ce que Hollande s'imagine nous faire vivre la même situation que la Grèce ?"
Parce que Moscovici n'ouvre pas sa "gueule" sur la Grèce.....il approuve.
Sans doute, Hollande avec ses conseillers de la banque Rotschild nous prépare la même.
Et, après, ils voudraient que nous ne disions pas que tous les sénateurs, tous les députés, tous les grands fonctionnaires, le président de la commission en tête, Barosso, ne sont pas tous des pourris !
Mais, si, ils le sont, c'est bien pour cela qu'ils chantent à tue tête que ce n'est pas vrai.
Ah, oui, ils disent aussi que dire qu'ils sont tous pourris, c'est faire le champ du Front National.
Alors, quoi, ils sont pourris, point barre, c'est tout. Ceux du Front National aussi et on fait quoi, on dit que les socio-libéraux de Hollande ou l'Ump sont moins pourris que les autres ?
Que nenni, mon prince !
Alors, que faut-il faire, rester chez soi aux prochaines élections municipales. C'est ce que je ferais, si, le Front de gauche ne fait pas des alliances nauséabondes avec les sociaux libéraux de Hollande.
Eux, ils puent, ce n'est pas la gauche. Et, en fait, de la gauche, on s'en fout des leaders qui se battent pour nous et nous protègent de l'Europe de Barosso.
Et, qu'on arrête de nous enfler la zone euro est MORTE !
Si, ils tentent de la faire survivre, c'est juste pour que des prédateurs accumulent encore plus.
Voilà, cela sera tout, parce que je m'énerve et les nerfs sont mauvais pour la réflexion. En tout cas, une chose est sûre, il nous faut trouver des leaders qui nous protège de l'Europe.
René.

mercredi 26 juin 2013

Salut aux salopards sociaux libéraux français ! Vous nous livrez à la gouvernance des prédateurs marchands américains, vous, vous allez rien gagner, mais vos leaders ?

Désolé, mes chers cinq lecteurs, hier, j'étais plongé dans le blues et l'auto flagellation
Mais, reprenons, parce que la question est, "Quand est-ce qu'ils arrêteront ?"
Et, "Jusqu'où allons-nous, nous laisser faire ?"

(source : Nature to Share)

Le gouvernement grec s’apprête à liquider un trésor de la biodiversité méditerranéenne


C’est par le biais d’un décret ministériel en date du 11 juin 2013 que le gouvernement grec, en suivant les recommandations de la Troïka, a décidé de mettre fin à la télévision publique grecque [1], mais aussi aux radios qui reliaient les territoires, les orchestres symphoniques, la production cinématographique et les archives, véritable trésor culturel de la Grèce contemporaine.

La décision temporaire du Conseil d’Etat le 17 juin de remettre en service des émetteurs [2] n’empêche pas l’application de ce décret brutal et antidémocratique dans d’autres domaines. Loin de concerner uniquement la télévision et la radiophonie publique, ce décret, toujours en vigueur, organise également la destruction de l’intervention publique dans l’agriculture et l’agronomie [3].

Ce décret ministériel prévoit de fusionner dans un seul organisme nommé « DIMITRA » à la fois la recherche agronomique (ETHIAGE - comme l’INRA en France), la formation agricole (initiale et continue), l’organisme certificateur AGROCERT, l’office du lait et de la viande. Selon l’ONG Hélession [4], la création de cet organisme agricole permettra de restructurer l’ensemble du secteur : concentration des services agricoles et agronomiques à Athènes et Théssalonique, licenciement massif des personnels et embauche de consultants extérieurs, mais également vente du patrimoine de ces organismes.

Cet organisme réussira-t-il à mener à bien ses fonctions ? On peut en douter ! La certification de l’agriculture biologique et des signes de qualité, ainsi que la gestion de la production laitière et de la viande ne pourra pas se faire dans ces conditions et sera cédée aux mains du privé. Ce qui signifie encore moins de transparence, et un pas de plus vers l’industrialisation de l’agriculture. De la même manière la recherche, la formation et le conseil agricole dépourvus de fonds propres suivront les recettes de l’industrie agro-alimentaire.

Mais la droite grecque, en contournant le parlement et sa propre majorité, met aussi la banque de semences de Thessalonique dans les mains de l’industrie biotechnologique et des promoteurs immobiliers. Créée en 1981 et versée dans le réseau multilatéral de la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, ndlr), cette banque de ressources génétiques compte 10 500 variétés anciennes et locales, ainsi que 300 différents anciens cépages. Elle réalise également des missions de recherche agronomique et de sélection variétale. C’est ce trésor de biodiversité méditerranéenne géré jusqu’à présent par l’agence de recherche agronomique grecque (ETHIAGE) que le gouvernement s’apprête à vendre en adoptant le décret du 11 Juin.

Rappelons que la banque de semences était déjà mise en danger par les cures d’austérité appliquées depuis trois ans. La réduction des effectifs, mais aussi la chute vertigineuse des budgets ne permettaient plus un fonctionnement normal. L’électricité était souvent coupée, les graines étaient donc laissées sans réfrigération !

Ce n’est pas seulement la population grecque qui est ainsi dépossédée des ressources phytogénétiques, fruit du travail des agriculteurs et des jardiniers méditerranéens depuis des millénaires, mais l’humanité dans son ensemble puisque la banque de semences ne fera plus partie du réseau de la FAO. Le gouvernement grec, en prenant ce décret ministériel, a une lourde responsabilité : il compromet la sécurité alimentaire et brade la biodiversité. Il est temps de l’arrêter.

Bon, vous avez compris mes chers lecteurs, lorsque je dis que la Grèce est devenue la colonie de Goldman Sachs, notamment grâce au ministre de l'économie française, le social libéral Moscovici ?
Alors, croyez-moi, l'accord de libre échange entre l'Europe et les Etats-Unis, ce n'est pas pour booster le tissu économique des PME-PMI des Etats-Unis ou de l'Europe, c'est, simplement, ouvrir aux grandes compagnies américaines de nouveaux terrains de chasse.
Pour que l'on soit traiter exactement comme le citoyen américain......comme de la merde !
Merci, Hollande !
Et, c'est tout pour aujourd'hui.
René.