lundi 28 avril 2014

Salut à ceux que le vent de l'espoir fait lever la tête vers un ciel saturé de chemtrails. N'oubliez pas, le bleu est juste un peu plus haut, il suffit de les écarter pour le voir?

Bon, mes chers cinq lecteurs, me revoilà pour aujourd'hui, après avoir vécu moultes aventures. Jugez en vous même !
Au mois de mars, je perds mon boulot, au mois d'avril, je perds ma femme. Et, comme l'ordinateur lui appartenait, me voilà motus et bouche cousue.
Mais, rassurez-vous, je suis descendu de ma campagne à Paris pour réparer cet irréparable dommage fait à ma parlotte insatiable.
Bon, je ne vous cache pas que l'Ukraine ne fait pas partie de mes préoccupations majeures. Les rodomontades occidentales concernant un territoire ayant toujours appartenu à la Russe et accordé d'un trait de plume sans référendum à l'Ukraine par l'homme fort de l'URSS de l'époque, un ukrainien d'origine, me laisse froid.
Si, les multinationales américaines qui sont à la manoeuvre dans ce pays, veulent y déclencher une guerre afin de s'en approprier les ressources, grand bien leur fasse. Mais, que le gouvernement américain ne nous dise pas "Qu'il ne sait pas !", parce que certains de ces services y participent à ces manoeuvres.
Mais, passons, le gouvernement français adore le gouvernement d'extrême droite israélien, il soutien le nouveau gouvernement d'extrême droite ukrainien, tout cela, évidemment, en continuant à nous prendre pour des cons, au nom de la liberté.
Biens, tiens, mon capitaine !
Ah, les fascistes ukrainiens veulent se débarrasser des juifs, parfais, puisque le gouvernement israéliens, lui, veut les récupérer.
Finalement, le gouvernement français a tout compris dans l'histoire. Il est prêt à déclencher une guerre avec la Russie pour aider Israël à se peupler au détriment de tous ces connards de palestiniens.
Et, comme, cela, tout le monde est content, les palestiniens qui vont continuer à s'en prendre plein la "gueule" avec de nouvelles colonies, c'est à dire des vols de terre palestiniennes, les israéliens recevront encore plus de millions des associations juifs américaines pour construire des logements et les ukrainiens seront débarrassés des juifs  avec en contrecoup l'effondrement des secteurs économiques qu'ils occupaient.
Bravo, la France ou devraient dire, bravo président hollande avec son gouvernement le plus sioniste qu'ait jamais connu la France.
Mais, passons, comme, j'ai l'habitude de dire, reprenons mes habitudes avec Mosanto, par exemple. Ré-actulisons le sujet.

(source : Nature to share)

Dans les entrailles de Monsanto


Dans les entrailles de Monsanto | Nature to Share | Scoop.it
Le groupe inonde le continent américain de ses OGM. Mais pour la première fois, l'an prochain, les agriculteurs pourront replanter son soja sans lui payer de royalties. Parce que ses brevets expirent, Monsanto se trouve ainsi confronté aux mêmes défis que les groupes pharmaceutiques avec les médicaments génériques.

Robb Fraley a la chaleur des hommes du Midwest. Fils de fermier, il a passé l'essentiel de sa vie entre le Mississippi et l'Ohio, ces deux fleuves qui irriguent les grandes plaines agricoles d'Amérique. L'absence de cravate et la cordialité du déjeuner organisé avec une poignée de journalistes, la semaine dernière à Saint-Louis (Missouri), ne doivent, toutefois, pas tromper : Robb Fraley est un homme puissant, qui suscite autant d'admiration que de haine. Pour certains, c'est un grand scientifique ayant modernisé le monde agricole comme peu de personnes avant lui. Pour d'autres, c'est un Frankenstein, le premier à avoir modifié l'ADN d'une plante au nom de Monsanto, il y a une vingtaine d'années.

«  Nous avons beaucoup travaillé auprès des fermiers, mais nous n'avons pas assez communiqué auprès des consommateurs »,reconnaît celui qui est devenu depuis vice-président du groupe, chargé des développements technologiques. La bataille de l'image est d'autant plus cruciale que Monsanto arrive à saturation sur ses marchés phares - l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud - et que ses principaux brevets (soja et maïs) sont en voie d'expiration. Si Monsanto veut poursuivre sa croissance, il lui faut donc lancer de nouveaux produits et convaincre des pays d'accepter la culture d'organismes génétiquement modifiés (OGM), au-delà de la trentaine qui la pratiquent déjà (Brésil, Chine, Inde, Afrique du Sud, Espagne, Canada, etc.).

Au centre de recherche de Chesterfield et au siège social de Crève Coeur, les biologistes débitent tous le même argumentaire pour défendre les OGM : la population mondiale augmente, chaque année, à hauteur de celle du Japon (soit 128 millions de personnes). Les Nations Unies estiment que la terre sera peuplée de 9 milliards d'habitants d'ici à 2050 et qu'il faudra doubler la production de grains d'ici là. Pour y parvenir, il faudra non pas augmenter les surfaces cultivables mais doubler le rendement des champs existants. « Je suis heureux de travailler parmi les rares entreprises qui nourrissent cette ambition », lance Robb Fraley.

Nul ne peut contester les performances de Monsanto dans ce domaine, qu'il s'agisse du maïs, du colza, du coton ou du soja - les quatre espèces les plus manipulées aujourd'hui : grâce à ses semences, le rendement du maïs aux Etats-Unis a, par exemple, augmenté de 64 % au cours des trente dernières années.

Nul ne peut contester, non plus, son talent technologique : dans les laboratoires de recherche sont exhibés des instruments uniques au monde, comme ce robot permettant de prélever une toute petite partie de millions de grains de maïs pour décortiquer leur ADN et savoir lequel résistera le mieux à la sécheresse, aux épidémies et aux insectes. Grâce à lui, il n'est même plus besoin de faire pousser les plantes pour sélectionner les meilleures.

L'emprise de Monsanto est déjà quasi-totale aux Etats-Unis : plus de 90 % du soja et 80 % du maïs sont produits à partir de ses semences. Les agriculteurs sont ainsi prêts à payer deux fois plus chers que pour des graines normales, avec la promesse d'obtenir une meilleure résistance aux insectes, à la sécheresse... et aux herbicides produits par Monsanto !

Ancien géant de la chimie reconverti dans la biogénétique, le groupe a conforté son avance technologique en écrasant la concurrence : entre 1995 et 2005, il a racheté une cinquantaine d'entreprises semencières à travers le monde. A ceux qu'il n'a pas absorbés, il vend des accords de licence qui leur permettent d'utiliser les gènes Monsanto dans leurs propres semences, étouffant ainsi tout effort de recherche de leur part. C'est le cas de l'un de ses principaux concurrents, Syngenta, qui préfère utiliser les gènes du nouveau soja Monsanto (Roundup Ready 2) plutôt qu'investir des millions de dollars en R & D. Cette puissance - ce monopole diront certains - n'est pas pour rien dans l'animosité que provoque Monsanto : l'idée qu'une seule entreprise puisse dominer l'alimentation mondiale représente un cauchemar pour les défenseurs de la diversité.

Le rappel du passé n'arrange pas les choses : c'est Monsanto qui a produit l'agent orange, cet herbicide déversé par l'aviation américaine pendant la guerre du Vietnam. Les conséquences se font encore sentir, aujourd'hui, avec des cancers et des malformations parmi les Vietnamiens et différentes séquelles chez les vétérans américains. Monsanto a été, également, condamné pour avoir déversé pendant une quarantaine d'années des milliers de tonnes de déchets contaminés (PCB) dans un quartier noir de l'Alabama. Dans les deux cas, l'entreprise est accusée d'avoir présenté des études biaisées pour tenter d'échapper aux réparations.

Les scandales sanitaires ont beau ternir la réputation du groupe, ils ne freinent pas son ascension. Monsanto a encore crû de manière fulgurante au cours des dix dernières années : ses profits ont décuplé pour atteindre 2,5 milliards de dollars en 2013.

Les cultures transgéniques représentent, désormais, 12 % des surfaces cultivées dans le monde. Elles ont encore augmenté de plus de 5 % l'an dernier. La tendance est toutefois à la décélération : « Nous avons longtemps affiché des taux de croissance à deux chiffres, mais nous commençons à plafonner sur certains marchés », explique Yann Fichet, directeur des affaires institutionnelles et industrielles de Monsanto France. C'est le cas de l'Amérique du Nord, mais aussi de l'Amérique du Sud, déjà inondées par le fameux maïs MON810.

Le groupe va donc chercher sa croissance en Asie, et notamment en Chine, qui a cruellement besoin de soja pour nourrir ses bétails. Les responsables de Monsanto n'ont, en revanche, pas de mots assez durs contre l'Europe, qui continue de leur faire barrage. La simple évocation du ministre français de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, suscite un concert de soupirs. Et pour cause : il vient de suspendre la commercialisation du maïs MON810 dans l'Hexagone, l'un des rares OGM autorisés en Europe. « Les régulateurs européens ont approuvé l'intégralité des produits que nous leur avons soumis, soit 71 au total.

Le blocage n'est pas scientifique, mais politique », accuse Ray Dobert, en charge de la régulation au niveau mondial. « Je ne comprends pas les Européens : ils importent et consomment les produits OGM produits aux Etats-Unis, mais ils empêchent leurs agriculteurs d'en cultiver », renchérit Robb Fraley. Entre la culture et la consommation d'OGM, il y a pourtant une sérieuse différence : le risque de voir des semences génétiquement modifiées atterrir dans des champs non-OGM est réel. Des agriculteurs de l'Oregon l'ont expérimenté malgré eux l'an dernier, ce qui a quelque peu compliqué les relations avec leurs clients, notamment au Japon..

Le futur réside aussi dans la high-tech

Comme les groupes pharmaceutiques, Monsanto s'inquiète, surtout, de voir ses principaux brevets expirer. Ils protègent l'entreprise pendant vingt ans, mais à partir de la date d'invention et non celle de mise sur le marché. Dans les faits, Monsanto n'a donc qu'une grosse dizaine d'années pour amasser des royalties. Avec ces brevets, il peut aussi interdire aux agriculteurs qui achètent ses semences de les replanter l'année suivante. Ils sont donc contraints d'acheter de nouvelles graines chaque année. Ce ne sera bientôt plus le cas : pour la première fois l'an prochain, les agriculteurs auront le droit de replanter du soja Monsanto sans risque de poursuites. Ils pourront faire de même avec le maïs MON810 dans les prochaines années. « La rentabilité de Monsanto à long terme va dépendre de sa capacité à orienter les fermiers vers de nouveaux produits, protégés par des brevets plus jeunes. C'est la seule solution pour contrer la concurrence inévitable de semences génériques », explique Jeffrey Stafford, expert chez Morningstar.

Monsanto s'y emploie déjà : craignant une perte de revenus, il a développé un nouveau soja, à la fois plus performant et plus cher, en espérant convaincre les agriculteurs de passer du premier au second. Etant protégé par son brevet, il générera des royalties régulières pendant une grosse dizaine d'années. «  Nous proposons 32 versions différentes de ce soja, répondant aux contraintes spécifiques de chaque région », explique Jeanne Layton, biologiste depuis une trentaine d'années chez Monsanto.

Les prix sont fixés en fonction des avantages que l'OGM procure par rapport à un non-OGM (augmentation des rendements, moindre utilisation de pesticides, moindre frais d'assurance, etc.) : «  Si l'agriculteur économise 100 dollars par hectare, nous lui facturons les semences à hauteur de 25 dollars par hectare », explique Robb Fraley. La campagne publicitaire que Monsanto a lancée auprès des agriculteurs, notamment brésiliens, porte ses fruits : les ventes de graines de soja ont ainsi augmenté d'un cinquième au cours du dernier trimestre, dont une bonne part grâce au nouveau soja.

Le futur réside aussi dans la high-tech. Et à entendre Anthony Osborne, qui travaille chez Monsanto, depuis une quinzaine d'années, le Midwest n'a jamais été aussi proche de la Silicon Valley. «  Les fermiers ont un Ipad dans leur tracteur, et nous leur prescrivons les mesures à prendre à partir d'une analyse immédiate de leurs données », explique-t-il. Monsanto a déboursé près de 1 milliard de dollars pour s'emparer de Climate Corporation, une entreprise californienne leader du secteur. «  Ces services permettent aux agriculteurs d'économiser 250 dollars par hectare en moyenne, grâce à plus de rendement et moins de pesticide  », poursuit Anthony Osborne. Le service est facturé, lui, 10 dollars par hectare.

Il n'est commercialisé qu'aux Etats-Unis pour l'instant, mais il pourrait générer 20 milliards de dollars de revenus annuels dans les prochaines années, estime Monsanto. Les ambitions sont évidemment mondiales : un service équivalent est d'ailleurs déjà proposé à 1 million d'Indiens, à titre gratuit. Une manière de fidéliser la population agricole, avant de rendre l'application payante, à hauteur de 2,50 dollars par hectare.
Lucie RobequainEnvoyée spéciale à Saint-Louis (Missouri)


Et, ce petit rappel de la même source pour dire que tous les cerveaux du monde ne sont pas concentrer à créer pour le détruire dans les affreux laboratoires des multinationales tueuses de planète et de millions de gens, il faut le dire aussi.

MEXIQUE: Faire de l’électricité avec la pluie


MEXIQUE: Faire de l’électricité avec la pluie | Nature to Share | Scoop.it

MEXIQUE: Des étudiants mexicains ont utilisé de l'eau de pluie pour fabriquer de l'électricité et alimenter un quartier de Mexico.

Charger des batteries avec de l’eau de pluie : c’est la réussite de ces étudiants de l'Université technologique du Mexique (UNITEC). Le système appelé "Rain Wild" recueille la pluie sur le toit d’immeubles, elle est ensuite drainée vers un système de récupération puis vers une micro-turbine, un modèle réduit de celles employées dans les barrages. Des essais menés dans un quartier pauvre de Mexico, Iztapalapa, ont montré que le système fournissait assez d’énergie pour charger des batteries de 12 volts portables.

L’eau récoltée est assainie

Ces batteries ont été utilisées pour assurer l’éclairage des immeubles à l’aide de LED et alimenter d'autres petits appareils tels que des réfrigérateurs ou des ventilateurs de table qui consomment un maximum de 12 volts. Les étudiants d’UNITEC continuent à œuvrer sur leur système et espèrent prochainement améliorer la puissance de la micro-turbine et les capacités de stockages pour pouvoir alimenter plusieurs maisons avec une seule turbine.

EPURATION. En plus de fournir de l’électricité, « Rain Wild » participe aussi à l’amélioration de la qualité des eaux. Après être passée par la micro-turbine, l’eau est dirigée vers un filtre à charbon actif qui permet d’éliminer le chlore en excès et les mauvaises odeurs et clarifie l’eau. « Avec ce filtre, la qualité de l’eau que nous obtenons est égale ou même meilleure que l’eau du réseau d'approvisionnement de la ville de Mexico » conclut Coca Leyva, un des initiateurs du projet."

Bon, part toutes ces bonnes nouvelles, rappelons un peu ce que peut être le boycott contre les produits venant des colonies juives de Palestine et contre les entreprises qui y participent.
Moi, par exemple, je n'achète jamais de produits venant d'Israël à Intermarché par exemple. Mais, comme à Intermarché, ces sont de gros malin qui possèdent des chalutiers qui détruisent les fonds marins, et bien, ils mélangent les produits israéliens avec d'autres et affichent avocats d'israël, du Chili, du Mexique et va y reconnaître tes petits.
Du coup, je n'y achète même plus d'avocats du tout.
Enfin, cela est ma vie, repassons à notre sujet : Effet du boycott sur les entreprises israéliennes.

(source : Campagne BDS France)

La compagnie nationale de l’eau d’Israël perd un contrat au Portugal et est confrontée à des manifestations mondiales

Comité national palestinien BDS – 21 avril 2014
-* Une annonce qui vient après des décisions semblables d'autorités argentines et néerlandaises ;
-* des actions contre Mekorot ont eu lieu dans 12 pays.
L’EPAL, la compagnie de distribution de l’eau à Lisbonne, a annoncé qu’elle résiliait un accord sur les échanges de technologie avec la compagnie nationale de l’eau israélienne, Mekorot, suite à des manifestations contre le rôle de Mekorot dans l’ « apartheid de l’eau » d’Israël sur les Palestiniens.
Les députés portugais et les groupes militants ont fait valoir que cet accord revenait à soutenir le rôle de Mekorot dans le vol de l’eau palestinienne.
Mekorot, qui a perdu un contrat de 170 millions de dollars avec les autorités argentines en début d’année après des manifestations semblables, s’approprie en toute illégalité l’eau palestinienne, la détournant vers les colonies israéliennes, toutes illégales, et vers les villes à l’intérieur d’Israël. La compagnie d’État est l’organisme clé dans la mise en œuvre de la politique discriminatoire de l’eau, et Amnesty International accuse Israël d’utiliser cette politique comme « moyen d’expulsion ».
« De nombreuses communautés palestiniennes souffrent du manque d'accès à l’eau potable, à cause de la main-mise des colons israéliens sur les ressources aquifères, et des politiques et pratiques israéliennes qui refusent aux Palestiniens le droit à l’eau, droit garanti à chaque être humain », explique le Dr Ayman Rabi, de l’organisation des Amis de la terre - Palestine/PENGON.
L’EPAL réagissait cette semaine aux nouveaux appels pour qu’elle mette fin à sa relation avec Mekorot en annonçant qu’elle avait rompu ses relations avec Mekorot en 2010, quand la campagne publique contre la collaboration était à son apogée. La campagne a tenu de grandes manifestations sur la principale place de Lisbonne et fait pression sur les autorités locales.
Un communiqué, publié par la coalition des organisations portugaises qui militaient contre Mekorot, déclare que cette décision « va renforcer et encourager l’action des mouvements de solidarité qui militent pour l'isolement international d'Israël, à cause de sa politique de nettoyage ethnique, d’occupation et de colonisation ».
L’annonce de l’EPAL fait suite à une décision du même ordre des autorités municipales de Buenos Aires et de la société de l’eau néerlandaise Vitens, et elle tombe juste à la fin de la Semaine internationale contre Mekorot, qui a connu des manifestations et des actions militantes dans au moins 12 pays.
À Paris, des militants de BDS France ont fait irruption dans un hôtel de luxe où des délégués de Mekorot participaient à un petit-déjeuner d’affaires dans le cadre du Sommet mondial de l’Eau. Les militants ont exhorté les dizaines de délégués abasourdis à ne pas coopérer avec la compagnie israélienne de l’eau.
Un rapport parlementaire français a accusé Israël d’imposer un système d’ « apartheid de l’eau » dans le territoire palestinien occupé.
La mobilisation française fait suite à une manifestation bruyante qui a perturbé une conférence sur l’eau à Londres, qui avait été demandée par Mekorot et les autres sociétés israéliennes de l’eau.
À Rome, une manifestation en théâtre de rue, avec un « checkpoint de l’eau », a mis en valeur la campagne contre la collaboration entre Mekorot et l’ACEA, la société de l’eau de la ville. La campagne est soutenue par une large coalition de groupes militants s’opposant à la privatisation de l’eau.
En Argentine, le congrès de la Centrale des travailleurs argentins (CTA Capital) a été consacré à la campagne contre Mekorot, et il a tenu un débat sur la façon dont Mekorot tente d’exporter une politique discriminatoire de l'eau, développée en Palestine, vers l’Argentine. La session a célébré la campagne victorieuse qui a conduit à la perte d’un contrat de 170 millions de dollars par Mekorot, et a débattu de la meilleure façon d’empêcher Mekorot d’obtenir d’autres contrats ou d’y soumissionner.
Un séminaire en Uruguay a réuni, ensemble, des organisations anti-privatisation, environnementales, et de solidarité Palestine pour débattre des luttes pour l’eau et la terre en Uruguay, et en Palestine. 
Le 22 mars, Journée mondiale de l’Eau, plus de 250 personnes ont rejoint Thunderclap (Coup de tonnerre) sur Twitter Storm, qui avait une portée sociale de plus de 300 000 personnes. 
Des campagnes contre Mekorot sont en cours aussi en Grèce.
« La portée incroyable de la première Semaine contre Mekorot et le fait que des autorités publiques refusent de plus en plus de collaborer avec Mekorot sont de nouveaux signes que les populations et les gouvernements à travers le monde ne sont plus disposés à financer l’apartheid israélien », dit Jamal Juma, de Stop the Wall, membre des Amis de la Terre – Palestine /PENGON, l’une des organisations palestiniennes qui a appelé à la semaine d’actions contre Mekorot.
« Nous appelons les peuples du monde à continuer leur lutte contre Mekorot et ses tentatives d’exporter la politique israélienne discriminatoire de l’eau », a-t-il ajouté.
Bon, mes chers lecteurs, un peu d'explications pour ceux qui se foutent du boycott en question, mais, ne se foutent pas de ce qu'une explosion dans le proche orient pourrait leur coûter indirectement un jour.

(source l'Express)

La publicité est un instrument à double tranchant. En faisant appel à Scarlett Johansson pour promouvoir les mérites de sa machine à soda, la marque israélienne Sodastream n'avait sans doute pas imaginé la notoriété qu'elle allait offrir, bien au delà d'un petit cercle de militants, à la campagne de boycott dont elle fait l'objet. Sans la polémique née de l'incompatibilité de cette promotion avec le rôle d'ambassadrice de Scarlett Johansson pour l'ONG Oxfam, la présence de Sodastream, entreprise installée dans une colonie de Cisjordanie, comme sponsor au festival de BD d'Angoulème aurait-elle été remarquée, et dénoncée par une trentaine de dessinateurs?  
L'affaire a fait tant de bruit que le secrétaire d'Etat américain y a fait allusion ce weekend: "Il y a une campagne croissante de délégitimation d'Israël. Les gens y sont très sensibles. On entend parler de boycottages et d'autres sortes de choses" a souligné John Kerry, lors d'un discours prononcé samedi. Furieux, ses détracteurs israéliens l'ont accusé de justifier le boycott international pour arracher à l'Etat hébreu des concessions dans les négociations avec les Palestiniens, qu'il a relancées en juillet 2013. 
Scarlett Johansson, elle, a tenté de justifier son choix en expliquant que Sodastream "construit un pont pour la paix entre Israël et la Palestine en employant des salariés des deux pays". Argument vite balayé par les partisans du boycott. Au temps de l'Apartheid, déjà, les défenseurs des droits de l'Homme rejetaient les tentatives des entreprises sud-africaines d'afficher une image bienveillante, celle de pourvoyeuse d'un emploi pour les Noirs. D'autant que l'ONG israélienne B'Tselem a démontré que des centaines d'hectares ont été saisis aux Palestiniens pour construire la colonie de Maale Adoumin où est basée Sodastream. 

La campagne BDS qu'est-ce que c'est ?

L'affaire Sodastream témoigne d'une montée en puissance de la mobilisation internationale pour le boycott des produits issus des colonies israéliennes installées dans les territoires occupés. La campagne Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS) a été lancée en 2005 par quelque 170 ONG palestiniennes. Il s'agissait, pour ses initiateurs, de choisir une voie non violente pour faire pression sur l'Etat hébreu, l'amener à respecter les droits des Palestiniens.  
L'Union européenne et la plupart des Etats dans le monde, considèrent comme illégale l'installation de citoyens israéliens au-delà de la Ligne verte. Selon la convention de Genève, "la Puissance occupante ne peut procéder à la déportation ou au transfert d'une partie de sa population civile dans le territoire occupé par elle". Or de mois en mois, le nombre de mises en chantier dans les colonies ne cesse de grandir. "La politique israélienne envers les Palestiniens a été condamnée à de nombreuses reprises par la communauté internationale; pourtant, au lieu d'être sanctionné, l'Etat hébreu est soutenu par les grandes puissances", avance Robert Kissous, de l'Association France Palestine Solidarité (AFPS). 

Un boycott économique qui s'élargit

Si la campagne BDS a eu peu d'écho jusqu'à ces derniers mois, récemment, elle engrange les succès. Jeudi dernier, le fonds souverain de la Norvège a banni deux entreprises ayant participé à la construction de colonies à Jérusalem-Est. Mi-janvier, Berlin a décidé de cesser de subventionner les sociétés high-tech israéliennes situées au-delà de la Ligne verte. Un peu plus tôt, le fonds de pension néerlandais PGGM a coupé ses liens avec cinq banques israéliennes, en raison de leurs activités dans les colonies. Et une société d'eau potable, également néerlandaise, a mis fin à sa collaboration avec la compagnie israélienne Mekorot. 
En décembre c'est Bucarest qui a exigé que les travailleurs du bâtiment roumains envoyés en Israël ne soient pas employés dans les colonies, tandis qu'un site gouvernemental britannique avertissait les investisseurs des "conséquences potentielles sur leur réputation d'une implication dans les activités économiques et financières des colonies". 
Parallèlement, le 1er janvier, est entrée en vigueur une directive de l'UE prévoyant que les accords avec l'Etat hébreu - bénéficiaire de tarifs douaniers privilégiés- ne s'appliquent pas aux territoires occupés depuis 1967: la Cisjordanie, Jérusalem-Est, la bande de Gaza et le Golan. Pour enfoncer le clou, le représentant de Bruxelles pour le processus de paix Andreas Reinicke a prévenu début décembre que si les négociations de paix échouaient, la campagne pour un étiquetage distinctif des produits des colonies, désormais soutenue par la majorité des 28, contre seulement deux il y a deux ans, continuerait à progresser. Enfin l'Etat de New York vient de retirer une loi qui pénalisait le boycott
La France, elle, ne s'incrit pas dans cette tendance. Plusieurs procès ont même visé ces dernières années des militants faisant la promotion du boycott de produits israéliens. 
Aux pressions économiques, s'ajoute le boycott d'artistes, comme Carlos SantanaElvis Costello, Vanessa Paradis, Dustin Hoffman et Meg Ryan ou d'intellectuels comme le physicien Stephen Hawking, qui ont décidé d'annuler des tournées prévues en Israël. Mais aussi celui d'associations universitaires comme l'American Studies Association (ASA), syndicat d'universitaires et de chercheurs.  

Invectives et inquiétudes en Israël

Face à cette mobilisation, l'Etat juif multiplie les contre-offensives. En 2011, le Parlement israélien a voté une loi sanctionnant le boycottage des colonies. Cette semaine, le Premier ministre Benyamin Netanyahu a demandé aux Etats-Unis de "continuer à s'opposer activement aux boycotts contre Israël".  
Mais cette pression inquiète une partie de l'establishment: le ministre des Finances Yaïr Lapid a prévenu, la semaine passée, que le pire serait à venir en cas d'échec des négociations de paix. En cas de boycottage partiel de l'UE, qui représente un tiers des échanges d'Israël, les exportations reculeraient de près de 4,2 milliards d'euros par an, selon une étude de son ministère. De quoi inquiéter les milieux d'affaires: une centaine de chefs d'entreprises israéliens ont d'ailleurs, quelques jours auparavant, pressé Benyamin Netanyahu de saisir l'occasion des efforts américains pour conclure la paix avec les Palestiniens. 

Le boycott jusqu'où ?

Pour la Palestinienne Samia Botmeh, partisane d'un boycott radical, "se limiter au boycott des colonies, c'est s'en prendre aux conséquences et non aux causes de l'occupation". En revanche, l'Américain Noam Chomski estime que viser Israël dans son ensemble "est un cadeau aux faucons israéliens et à leurs soutiens américains". En France, l'AFPS, qui rejette toute accusation de racisme, "cible la colonisation, et ce qui profite à la colonisation. Ainsi, nous demandons que Orange cesse son partenariat avec Partner Communications, dont les antennes sont implantées sur des terres pales­ti­niennes confis­quées aux Palestiniens", fait valoir Robert Kissous. 

Contre le boycott...

Hors d'Israël, nombreuses sont les voix qui dénoncent la campagne BDS. L'ONG B'nai Brith et le Congrès juif mondial accusent le mouvement d'antisémitisme. Pour Roger Cukierman, président du Crif, l'appel au boycott "crée une fois de plus une exception pour Israël", expliquant que "bien d'autres pays pourraient être concernés par de telles initiatives", dont "la Chine pour sa présence au Tibet". Plus mesuré, David Chemla, secrétaire général européen de l'association JCall, dit "comprendre la logique de ceux qui appellent au boycott des entreprises installées dans les territoires occupés, ou la demande d'étiquetage de produits issus des colonies, qui laisseraient au consommateur le choix d'acheter, ou pas, ces marchandises. Pour autant, explique-t-il à L'Express, JCall ne soutient pas le boycott. L'association, favorable à une solution négociée à deux Etats, y voit un frein à la dynamique de négociation enclenchée par John Kerry". Tout en admettant qu'un échec nuirait sérieusement à l'image d'Israël. 

... Et pour

Bon nombre d'autres juifs d'Israël et de la diaspora, en revanche, soutiennent le boycott. C'est le cas de plusieurs ONG israéliennes, dont La Paix maintenant (Peace Now), qui a même publié une liste des produits en provenance des colonies. L'ancien président de la Knesset Avraham Burg voit dans le boycottage "une tentative audacieuse et innovante pour réaliser des gains diplomatiques", il salue dans cette nouvelle forme de lutte palestinienne" quelque chose de nouveau et pas si familier pour nous - la résistance non violente." Le pacifiste relève le paradoxe de la dénonciation du boycott par les autorités israéliennes qui militent ardemment pour le maintien... de sanctions contre l'Iran et le Hamas.  
Le blocage de toute avancée des négociations de paix a aussi fait changer d'avis certains contempteurs du boycott. Ainsi l'éditorialiste de Haaretz Gideon Levi, qui le jugeait contre-productif, estime désormais que c'est une action "patriotique" pour faire bouger le gouvernement Netanyahu. 
"Une vaste majorité de l'opinion publique européenne voit le boycott comme un juste instrument de pression destiné à libérer les Palestiniens, admet l'historien 'colombe' Zeev Sternhell. Cette opinion est partagée par des gens de l'ensemble du spectre politique, y compris ceux qui méprisent l'antisémitisme. Piétiner les droits des Palestiniens au nom de notre droit exclusif à la terre, avertit ce spécialiste du fascisme en Europe, risque d'aboutir à un ostracisme international d'Israël, et si cela se produit, ce ne sera pas de l'antisémitisme".  
"La justice et l'égalité pour tous menacent-elles Israël, interroge dans le New York Times Omar Barghouti, l'un des cofondateurs de la campagne BDS. L'égalité a a-telle détruit le Sud des Etats-Unis [après la fin de la ségrégation], ou l'Afrique du Sud?" 


En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/pourquoi-le-boycott-commence-a-faire-peur-a-israel_1320947.html#XFOrovG45JPoHmtp.99

Et, cela, sera tout pour aujourd'hui, mais, je vous rassure me très chers lecteurs, comme le phénix, je renaîtrais de mes cendres.......bientôt.
Bien le bonjour chez vous.
René.


Les OGM au nom de la lutte contre la famine - Dernières infos - Société - La Voix de la Russie

Les OGM au nom de la lutte contre la famine - Dernières infos - Société - La Voix de la Russie

dimanche 13 avril 2014

Salut à tous ceux qui contemple ce monde en folie. Rassurez-vous, moi, aussi, les bras m'en tombent.

Bon, pour aujourd'hui, je dispose encore d'un ordinateur.
Alors, mes chers lecteurs, le gouvernement des Etats-Unis poussé par les multinationales américaines a fini par pousser à bout d'autres états.
Finalement, peut-être, finiront-elles par ne pas dominer la planète.

(source : Sott.net)


Bizarro Terre

Russie et la Chine annoncent découplage commerce Dollar - La fin pour les Etats-Unis est proche

Russie vient de baisser une autre bombe, annonçant non seulement le découplage de son commerce du dollar, mais aussi que son commerce d'hydrocarbures sera à l'avenir être réalisée en roubles et en monnaies locales de ses partenaires commerciaux - plus en dollars - voir Voix de la Russie

le commerce de la Russie dans les hydrocarbures s'élève à environ un billion de dollars par an. D'autres pays, notamment les BRICS et BRCIS-associés (BRICSA) pourraient bientôt emboîter le pas et unir leurs forces avec la Russie, l'abandon de la «pétro-dollar» comme unité de négociation pour le pétrole et le gaz. Cela pourrait s'élever à des dizaines de milliers de milliards de perte pour la demande de pétro-dollars par an (PIB US à environ 17 milliards de dollars - Décembre 2013) -. Laissant une brèche importante dans l'économie des États-Unis serait un euphémisme Ajouté à cela est la déclaration aujourd'hui par Appuyez sur la télévision de la Russie - Chine rouvrir l'ancienne Route de la Soie comme une nouvelle route commerciale reliant l'Allemagne, la Russie et la Chine, ce qui permet de se connecter et de développer de nouveaux marchés le long de la route, en particulier en Asie centrale, où ce nouveau projet apportera économique et politique stabilité, et dans les provinces de l'Ouest de la Chine, où "nouveaux domaines" de développement seront créés. La première sera la Nouvelle Zone de Lanzhou dans le nord-ouest la province du Gansu en Chine, l'une des régions les plus pauvres de la Chine.



"Lors de sa visite à Duisburg, le président chinois Xi Jinping a fait un coup de maître de la diplomatie économique qui va directement à l'encontre de l'effort du Washington néo-conservateur faction d'apporter une nouvelle confrontation entre l'OTAN et la Russie." ( appuyez sur TV, 6 Avril, 2014)

«Utilisation du rôle de Duisburg, le plus grand port intérieur du monde, une plaque tournante du transport historique de l'Europe et du centre de l'industrie de l'acier de la Ruhr en Allemagne, il a proposé que l'Allemagne et la Chine coopèrent sur ​​la construction d'une nouvelle" Silk économique route »entre la Chine et l'Europe. Les conséquences pour la croissance économique à travers l'Eurasie sont énormes."
Curieusement, les médias occidentaux ont jusqu'ici été insensible à ces deux événements. Il semble que le désir d'étendre la fausseté de notre illusion occidentale et de l'arrogance - aussi longtemps que le silence peut supporter. Allemagne, le moteur économique de l'Europe - la quatrième économie du monde (US $ 3,6 trillions PIB) - à l'extrémité ouest de les nouveaux axes commerciaux, seront comme un aimant géant, attirer d'autres partenaires commerciaux européens de l'Allemagne à la Nouvelle Route de la Soie. Ce qui ressemble à un gain futur pour la Russie et la Chine, également mise sur la sécurité et la stabilité, serait une perte mortelle pour Washington . Par ailleurs, les BRICS se préparent à lancer une nouvelle monnaie - composé d'un panier de leurs monnaies locales - à être utilisé pour le commerce international, ainsi que pour une nouvelle monnaie de réserve, le remplacement de la dette monté dollar plutôt inutile - un exploit accueil pour le monde. Avec les nouveaux BRICS (A) monnaie viendra un nouveau système de règlement des paiements internationaux, remplaçant les échanges SWIFT et IBAN, brisant ainsi l'hégémonie de la monnaie infâme privée et manipulateur d'or, la Banque des règlements internationaux (BRI ) à Bâle en Suisse - aussi appelé la banque centrale de toutes les banques centrales. Pour être sûr - la BRI est une entreprise privée pour institution sans but lucratif, a été créé dans le début des années 1930, au milieu de la grande fusion ralentissement économique du 20e siècle.La BRI a été formé précisément à cette fin - de contrôler le système monétaire du monde, avec la FED a également privé et les banksters de Wall Street -. L'incarnation de la propriété non réglementée privé La BRI est connu pour contenir au moins une demi-douzaine de réunions secrètes par année, en présence de l'élite du monde, décider du sort des pays et des populations entières. Leur disparition serait un nouveau développement positif. Comme la nouvelle route de système commercial et monétaire auront prise, d'autres pays et nations, autant dans les griffes de la dépendance des États-Unis, se précipiteront vers le «nouveau système», isoler progressivement militaro-industriel économie de Washington (sic) et sa machine à tuer de l'OTAN. Cela économique Sea Change peut apporter l'empire à genoux, sans répandre une goutte de sang. Une zone d'un nouvel espoir pour la justice et plus d'égalité, une renaissance des États souverains, peut aube et tourner la spirale de l'obscurité dans une spirale de lumière. Peter Koenig est un économiste et ancien personnel de la Banque mondiale.Il a beaucoup travaillé dans le monde entier dans les domaines de l'environnement et des ressources en eau. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, la Voix de la Russie et d'autres sites Internet. Il est l'auteur de Implosion - fiction basée sur des faits et sur ​​30 ans d'expérience dans le monde entier. . 

Au lieu de faire chier les peuples de la planète, le gouvernement des States feraient mieux de s'occuper de protéger ses propres citoyens des méfaits des multinationales pétrolières notamment qui au Wyoming ont peut-être réveillé avec les mini séismes dû à l'extraction de gaz de schiste, la caldera de Yellowstone.

(source : Wikistrike)

JEUDI 10 AVRIL 2014
Les USA retirent 50 missiles de leur arsenal nucléaire, ceux de la région du parc Yellowstone 


748d2fc3b99f325061b2aac5933bac84.jpgUne nouvelle intriguante en provenance du Yellowstone qui fait décidément beaucoup parler de lui en ce moment. Les USA ont pris la décision de retirer son arsenal nucléaire situé dans la région du supervolcans.
Cette décision gouvernement accentue les spéculations sur son réveil imminent et il est vraisemblable que certaines infos ne parviennent pas au grand public.

Marc Bildermann pour WikiStrike


----------------------

The U.S. will keep its current force of 450 land-based nuclear missiles but remove 50 from their launch silos as part of a plan to bring the U.S. into compliance with a 2011 U.S.-Russia arms control treaty, the Pentagon said Tuesday.
The resulting launch-ready total of 400 Minuteman 3 intercontinental ballistic missiles would be the lowest deployed ICBM total since the early 1960s.
The decisions come after a strong push by members of Congress from the states that host missile bases - North Dakota, Wyoming and Montana - to not eliminate any of the silos from which the missiles would be launched. Fifty silos will be kept in “warm” status - empty of missiles but capable of returning to active use.
Sen. John Tester, a Montana Democrat, called the Pentagon’s announcement “a big win for our nation’s security and for Malmstrom Air Force Base,” home of the 341st Missile Wing with 150 Minuteman 3 missiles.
“ICBMs are the most cost-effective nuclear deterrent, and keeping silos warm is a smart decision and the kind of common sense Montanans expect from their leaders,” Tester said.
The decision to put 50 of the missiles in storage but not eliminate any of their launch silos meant the Pentagon had to make steeper reductions in the Navy’s sea-based nuclear force in order to comply with the New START, or Strategic Arms Reduction Treaty, by 2018. The Navy will reduce the number of deployed and non-deployed submarine-launched ballistic nuclear missiles to 280 from the current 336.
The Navy has 14 Ohio-class submarines armed with missiles but only 12 will count as deployed because two will be undergoing long-term maintenance at a given time during the 10-year lifeof the New START treaty. The Navy is embarking on a multi-billion dollar program to build a replacement for the current fleet.
The other “leg” of the U.S. nuclear force, the Air Force strategic bombers, will be trimmed from the current deployed total of 93 to 60, with an additional six available in a non-deployed status. The 60 will be comprised of 19 B-2 stealth bombers and 41 B-52H Stratofortress heavy bombers.
Thus the administration will remain within the New START limit of 700 deployed strategic nuclear weapons with 400 ICBMs, 240 sub-launched missiles and 60 bombers. Russia already is well below the 700-deployed weapon limit; at the most recent reporting period, last October,Russia had 473; the U.S. had 809.
The 400 deployed ICBMs would be the lowest total since 1962, according to a history of the force by Hans Kristensen, a nuclear weapons expert at the Federation of American Scientists. He says the U.S. had 203 deployed ICBMs in 1962, with the force expanding rapidly to 597 the following year and topping 1,000 in 1966. It has been between 550 and 450 since 1991.
The Obama administration spent months figuring out how to apportion the reductions required to comply with the New START treaty. In the meantime, the ICBM force came under heavy scrutiny for a variety of problems, including low morale, leadership failures and in estigations over exam-cheating and drug use among launch officers.
Some question the value of retaining ICBMs, although President Barack Obama has committed to keeping them as part of the nuclear “triad” of forces that can be launched from land, sea and air. In addition to the 450 ICBM silos currently in use, the Air Force has four at Vandenberg Air ForceBase, Calif., used only for test launches. They will remain.
The Pentagon said Tuesday it probably will cost about $300 million to implement all the announced changes required to comply with New START by 2018. About two-thirds of the cost will be for altering some of the missile tubes aboard Navy submarines so they can no longer launch ballistic missiles.
The nuclear sub fleet is far more costly to operate than either the land-based missiles or the bombers, but its strategic advantage is the relative invulnerability of the submarines while at sea, and thus their ability to survive a first strike.
The New START treaty also requires both Russia and the U.S. to reduce to 1,550 the number of nuclear warheads associated with the deployed missiles and bombers. The Pentagon has not spelled out how it will do that, but analysts have said they believe the breakdown will be: 1,090 warheads aboard subs, 400 on land-based missiles and the 60 bombers counting as one warhead each.
Obama announced last summer that the U.S. would be ready to reduce its total warheads by another one-third, to about 1,100, in a new round of negotiations with Russia. But there is scant chance of that happening anytime soon, especially with the crisis over Russian intervention in Ukraine.


Et, pendant ce temps, au Québec, ils continuent à supprimer tous les acquis sociaux.

(source : Le Hufffington.post)

RECEVEZ LES NOUVELLES DE JACQUES LÉTOURNEAU

Les «vautours» sont déjà sur la branche

Publication: 12/04/2014 09:04

2
6
Les députés élus le 7 avril n'ont pas encore fini de célébrer leur victoire que, déjà, les «vautours» se posent sur les branches autour de l'Assemblée nationale, attirés par l'odeur de réformes qui augmenteraient le rapport de force du patronat devant les travailleuses et les travailleurs et qui ratatineraient les fonctions fondamentales de l'État. Le Conseil du patronat (CPQ) vient de publier sa plateforme 2014-2017 qui ne laisse aucun doute sur les espoirs qu'il fonde sur le nouveau gouvernement libéral.
Tout y passe : Code du travail, normes du travail, dispositions anti-briseurs de grève, cotisations syndicales, santé et sécurité du travail, régimes de retraite, programmes sociaux, services publics. Tous les acquis des 50 dernières années qui ont établi un minimum de droits et une plus grande équité sont revus, voire abolis. Comme si ce qui définit le Québec moderne, tel que nous le connaissons, jouait en défaveur des patrons, des banquiers, des entrepreneurs et des commerçants.
Le CPQ dit notamment rechercher «souplesse et flexibilité» dans l'organisation du travail, alors que les entreprises multiplient déjà les emplois précaires et les recours à la sous-traitance ainsi qu'aux agences de placement. C'est indécent, d'autant plus que le Canada figure deuxième parmi les 10 pays étudiés par KPMG en Europe, en Amérique du Nord et l'Australie, où les coûts d'exploitation des entreprises sont les moins élevés. Toujours selon cette étude, Québec et Montréal se classent d'ailleurs respectivement au premier et au troisième rang parmi plus de 20 grandes villes du nord-est des États-Unis et du Canada à cet égard.
Nous savons pourtant que ce que d'aucuns qualifient de «modèle québécois», avec les lois ouvrières et les programmes sociaux qui ont permis au Québec de se sortir des dernières crises mieux que n'importe quel autre État en Amérique du Nord, n'est pas sans faille sur les questions d'emploi, de conditions de travail et de services publics accessibles. Nous voyons bien, aussi, que la richesse qui est créée ici n'est pas équitablement partagée.

Quelle «réconciliation» ?
Le soir de sa victoire, le premier ministre Philippe Couillard a appelé à la « réconciliation ».Nous estimons que cette réconciliation doit se faire avec l'idée d'un État social, qui est porté vers l'avenir, et avec la classe moyenne, celle des travailleuses et des travailleurs, des plus démunis de notre société, et non seulement avec une certaine droite économique qui, comme le CPQ, cherche à obtenir plus de déréglementations, de libre-échange et à diminuer le rôle de l'État.
En campagne électorale, Philippe Couillard a parlé de création d'emplois. Mais de quels emplois s'agit-il ? Il y a de plus en plus d'emplois atypiques et précaires. Ce n'est pas ce que nous voulons. Nous aspirons à des emplois de qualité avec des conditions de travail et un salaire décents.
Le PLQ a aussi parlé de relance de l'économie. De quel type d'économie est-il question ici, au juste ? D'une économie qui fonce tête baissée dans le développement du pétrole et du Plan Nord, sans étude ni consultation, ou plutôt d'une économie qui est respectueuse des enjeux environnementaux et du développement durable ? Il devra répondre à ces questions.

Le recul de la gauche politique...
Le soir du 7 avril, la gauche politique a indéniablement reculé à l'Assemblée nationale, tout comme le projet d'indépendance, malgré l'élection de députés progressistes du Parti québécois et de Québec solidaire. Près de 65 % de l'électorat qui s'est exprimé a voté pour le PLQ et la CAQ.
Des énergies doivent sans attendre être déployées pour réformer le mode de scrutin afin de permettre à tous les points de vue de trouver leur place à Québec. Le bipartisme n'existe plus depuis longtemps et la proportionnelle permettrait de favoriser un plus haut taux de participation aux élections.
Le résultat électoral aurait-il pu être différent si le PQ, QS et Option nationale s'étaient alliés, lors de l'appel qui leur avait été lancé au Congrès de la convergence nationale, au printemps 2013, afin de favoriser le vote souverainiste et de bloquer l'élection de candidatures libérales et caquistes ?
Enfin, nous ne pouvons aussi que déplorer le recul de la place des femmes à l'Assemblée nationale, qui est passée du tiers au quart de la députation.

... mais pas une défaite pour le mouvement syndical
Le mouvement syndical québécois fait face à de grands défis. Attaqué sur sa pertinence, voire sur sa légitimité, par des chantres de la droite et du patronat, et ce, depuis les dernières années, il devra inviter ses membres à se serrer les coudes pour affronter la tourmente qui s'annonce. Les travailleuses et les travailleurs de la construction en négociation dans les secteurs industriel, commercial et institutionnel, voient actuellement leurs conditions de travail menacées par l'ampleur des demandes des entrepreneurs.
Dans quelques mois, le renouvellement des conventions collectives des 500 000 employé(e)s de l'État sera une autre occasion où la solidarité devra être sans faille.
Au-delà de ces négociations majeures, dans tous les milieux de travail, qu'ils soient du secteur privé ou public, les syndicats devront débattre avec leurs membres de l'importance de maintenir un État social fort et s'engager à améliorer les conditions d'existence des travailleuses et des travailleurs et de la population en général. Devant la voracité des «vautours», c'est là notre défi."

De toute façon, c'est clair mes chers lecteurs, ils veulent faire partout ce qu'ils ont réussi en Grèce.

(source : Libération)

·       Accueil Économie
La grande purge de la Grèce en quatre graphiques
FLORENT LATRIVE 11 AVRIL 2014 À 12:38

DÉCRYPTAGE
Le gouvernement se réjouit d'avoir pu emprunter 3 milliards d'euros sur les marchés. Un signe positif très ténu alors que le pays vit un cauchemar social depuis cinq ans.
C’est une nuance positive sur fond de drame social: ce jeudi a marqué le retour de la Grèce sur les marchés financiers internationaux. Le pays est parvenu à vendre pour 3 milliards d’euros d’obligations à cinq ans, une première alors qu’aucun investisseur ne voulait prêter au pays depuis le début de la crise. «Les marchés internationaux ont exprimé d’une façon incontestable leur confiance dans l’économie grecque, l’avenir de la Grèce et la capacité de la Grèce à sortir de la crise», a claironné le Premier ministre Antonis Samaras, qui veut voir là le signe d’une sortie de crise possible, alors que la chancelière allemande Angela Merkel est en visite ultrasymbolique à Athènes ce vendredi.
Parmi les signaux mis en avant par le gouvernement pour se réjouir: un retour prévu à la croissance en 2014, avec 0,6% d’augmentation du PIB en ligne de mire, un budget en excédent primaire (hors charge de la dette). Et  cet emprunt de 3 milliards, donc, pourtant très modeste à l’échelle des 240 milliards d’euros prêtés par l’Union européenne et le Fonds monétaire international depuis 2010 pour soutenir le pays. Des éléments positifs qui ne sauraient masquer la violence de la purge subie par le pays depuis 2008. Six ans d’une descente aux enfers illustrée ici en quatre indicateurs.
UN TAUX DE CHÔMAGE EN HAUSSE CONTINUE
C’est l’indicateur le plus net de la souffrance grecque: le taux de chômage s’est envolé depuis 2008, quasiment multiplié par 4 et affichant le plus fort taux de l’Union européenne. Les nombreuses faillites et les faibles investissements expliquent cette poussée du chômage. Tout comme la réduction du nombre de fonctionnaires, difficile à chiffrer précisément.
UN PIB EN BERNE
Année après année, le PIB grec a plongé, symbole de la façon dont le pays s’enfonçait dans la crise. 2014 devrait marquer le retour de la croissance, avec 0,6% espéré par le gouvernement. Un taux encore bien insuffisant pour escompter réduire le chômage.
UNE DETTE QUI S’ENVOLE
Malgré les prêts accordés (240 milliards de l’Union et du FMI)  et les abandons de créances du privé (plus de 100 milliards), rien à faire: la dette publique grecque atteint des niveaux impressionnants, à plus de 177% du PIB - la France dépasse à peine les 90%. Un niveau jugé insoutenable et que personne n’imagine possible à rembourser, sauf à empêcher tout retour à la croissance ou à plonger un peu plus le pays dans la misère. A terme, il y a donc des chances qu’il faille en passer par un effacement d’une partie de cette dette.
LE REVENU DES GRECS EN BAISSE
C’est la courbe qui met en lumière la chute des revenus des Grecs, à la fois sous l’effet du chômage et la réduction des salaires, dans le privé comme dans le public.



Des fois, mes chers lecteurs, je me demande ce que veulent ceux qui contrôlent le gouvernement américain......UNE GUERRE ?

(source : Les Moutons Enragés)

Obama menace la Russie et l’OTAN

Voilà un article qui justifierait tout sentiment d’anti-américanisme! Mais il est vrai qu’à ce niveau là, les dirigeants et services américains, spécialisés dans la trahison de leurs citoyens comme de leurs partenaires diplomatiques, n’aident pas vraiment… Orgueil et suffisance, et nos dirigeants continuent à s’aplatir devant eux? Affligeant! 
russia_usa_400x233Le régime Obama a envoyé simultanément des menaces à la Russie qu’il est en train de se mettre à dos et à ses alliés européens de l’OTAN, sur lesquels il compte pour soutenir des sanctions contre la Russie. Cela ne peut que mal tourner.
Même les Étasuniens, qui vivent dans un environnement médiatique complètement contrôlé le savent : les Européens, les Sud-Américains et les Chinois sont furieux que la National Stasi Agency (NSA) espionne leurs communications. L’affront de la NSA contre la légalité, la Constitution des États-Unis et les normes diplomatiques internationales est sans précédent et pourtant, l’espionnage continue tandis que le Congrès se tourne les pouces et trahit le serment qu’il a fait de défendre la Constitution des États-Unis.
À Washington, le charabia de la branche exécutive au sujet de la « sécurité nationale » suffit pour remettre en cause la loi statutaire et les obligations constitutionnelles. Voyant que la Maison-Blanche, le Congrès et les tribunaux fédéraux sont impuissants et incapables de maîtriser l’État policier, l’Europe occidentale a décidé de créer un système de communication européen excluant les entreprises étasuniennes afin de protéger la vie privée des citoyens européens et les communications gouvernementales de la Stasi de Washington.
Le régime Obama, voulant désespérément s’assurer qu’aucun individu et aucun pays ne passe a travers les mailles de son filet d’espionnage, a dénoncé l’intention de l’Europe occidentale de protéger la confidentialité de ses communications comme étant une « violation des lois du commerce ».
Le représentant étasunien du commerce a négocié des « accords commerciaux » secrets en Europe et en Asie, immunisant les entreprises américaines contre les lois des pays qui signent ces accords. Il a brandi la menace de pénalités à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) si le réseau de communications européen exclut les entreprises étasuniennes qui servent d’espions à la NSA. Dans toute son arrogance, Washington a dit à ses alliés les plus nécessaires : si vous ne laissez pas la NSA vous espionner, nous utiliserons l’OMC pour vous sanctionner.
Voilà. Le reste du monde a désormais la meilleure raison de sortir de l’OMC et d’éviter les « accords commerciaux » transpacifique et transatlantique. Ces accords n’ont rien à voir avec le commerce. Le but de ces « accords commerciaux » est d’établir l’hégémonie de Washington et des entreprises étasuniennes sur les autres pays.
Dans une arrogante démonstration du pouvoir de Washington sur l’Europe, le représentant du commerce étasunien a averti les alliés de Washington : « Le représentant du commerce va surveiller attentivement le développement de telles propositions », visant à créer un réseau de communication européen séparé. http://rt.com/news/us-europe-nsa-snowden-549/
Washington se fie à la chancelière allemande, au président français et au premier ministre britannique pour que la servitude envers Washington passe devant la confidentialité des communications de leurs pays.
Le gouvernement russe a réalisé que participer au système monétaire lié au dollar étasunien, signifie que la Russie est ouverte au pillage des banques et des entreprises occidentales ou des individus qu’elles financent, que le rouble est vulnérable à la spéculation à la baisse dans les marchés de change, et que la dépendance au système de paiement international étasunien expose la Russie à des sanctions arbitraires imposées par le « pays exceptionnel et indispensable ».
Pourquoi le gouvernement russe a mis tant de temps pour comprendre que le système de paiement en dollar met les pays sous la férule de Washington? Cela est intrigant. Peut-être en raison du succès de la propagande étasunienne de la guerre froide? Cette propagande dépeignait les États-Unis comme étant le phare, le grand expert des droits humains l’opposant à la torture, le garant de la liberté, le défenseur des petits, l’amoureux de la paix et le grand bienfaiteur du monde. Cette image a survécu même lorsque le gouvernement étasunien empêchait la montée de tout gouvernement représentatif en Amérique latine et qu’il mettait en ruine une demi-douzaine de pays en les bombardant.
Les Russes émergeant du communisme se sont naturellement alignés à l’image propagandiste de la « liberté étasunienne ». On a complètement négligé le fait que les États-Unis et l’Europe étaient aussi corrompus et avaient également du sang sur les mains. Durant les années de propagande antisoviétique, Washington assassinait des femmes et des enfants européens et blâmait les communistes. La vérité a vu le jour lorsque l’ancien président italien Francesco Cossiga a révélé publiquement l’Opération Gladio, une opération terroriste sous fausse bannière menée par la CIA et le renseignement italien pendant les années 1960, 1970 et 1980. Gladio ciblait des femmes et des enfants européens afin de blâmer les communistes et ainsi empêcher les partis communistes européens de faire des gains électoraux. Il s’agit de l’une des opérations sous fausse-bannière les plus connues de l’histoire, ayant entraîné des confessions extraordinaires de la part des services de renseignement italiens.
Maintenant que le gouvernement russe comprend que la Russie doit quitter le système du dollar afin de protéger sa souveraineté, le président Poutine a fait des accords pétroliers en roubles et sous forme de troc avec la Chine et l’Iran. Cependant, Washington s’oppose à ce que la Russie abandonne le système de paiement international en dollar. Zero Hedge, une source d’information plus fiable que les médias écrits et audio-visuels étasuniens, rapporte que Washington a menacé la Russie et l’Iran que tout accord pétrolier conclu dans une autre devise que le dollar mènerait à des sanctions des États-Unis.
L’objection de Washington à l’accord irano-russe a clairement démontré à tous les gouvernements que Washington utilise le système de paiement international basé sur le dollar comme moyen de contrôle. Pourquoi des pays devraient accepter un système international de paiement qui empiète sur leur souveraineté? Que se passerait-il si au lieu d’accepter passivement le dollar comme moyen de paiement international, les pays le laissaient tout simplement tomber? La valeur du dollar s’effondrerait ainsi que le pouvoir de Washington. À titre de réserve monétaire mondiale, le dollar confère à Washington le pouvoir de payer ses factures en imprimant de l’argent. Sans ce pouvoir, les États-Unis ne pourraient pas maintenir leur posture militaire agressive ou leurs pots-de-vin aux gouvernements étrangers pour donner leurs ordres.
Washington ne serait qu’un autre empire déchu, dont la population a de la difficulté à joindre les deux bouts, alors que le 1%, comprenant les mégariches, fait concurrence avec ses yachts de 200 pieds et ses fontaines à 750 000 dollars. L’aristocratie et les serfs. Voilà ce que sont devenus les États-Unis, retournés à l’ère féodale.
Ce n’est qu’une question de temps avant que l’on reconnaisse universellement que les États-Unis sont un État failli. Espérons qu’on le réalise avant que les arrogants habitants de Washington ne fassent exploser le monde à la poursuite de l’hégémonie.
Les actions provocatrices de Washington contre la Russie sont inconscientes et dangereuses. Le gouvernement russe trouve suspect le déploiement de forces aériennes, terrestres et navales de l’OTAN aux frontières de la Russie, en violation du traité Russie-OTAN de 1997 et de la convention de Montreux, surtout parce que ce déploiement est justifié par les mensonges voulant que la Russie soit sur le point d’envahir la Pologne, les États baltes et la Moldavie, en plus de l’Ukraine.
Ces mensonges sont évidents. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a demandé des explications à l’OTAN déclarant : « Nous attendons non seulement des réponses, mais des réponses entièrement basées sur le respect des règles sur lesquelles nous nous sommes entendus. »
Anders Fogh Rasmussen, la marionnette de Washington installée à la tête de l’OTAN comme homme de paille, n’est pas plus en charge de l’OTAN que je ne le suis. Sa réponse accroîtra certainement les craintes des Russes. Rasmussen a en effet rejeté la demande d’explication du ministre russe la qualifiant de « propagande et de désinformation ».
De toute évidence, nous sommes témoins de tensions croissantes causées par Washington et l’OTAN. Ces tensions s’ajoutent à celles qui se faisaient sentir depuis le coup d’État de Washington en Ukraine. Ces actions imprudentes et dangereuses ont totalement détruit la confiance du gouvernement russe en l’Occident et nous conduisent vers une guerre mondiale.
Les manifestants de Kiev, appelés à descendre dans les rues par les ONG de Washington, n’ont pas réalisé que leur stupidité a mis le monde sur la voie de l’apocalypse.

Et, j'en ai marre qu'ils nous mentent tout le temps !

(source : Ria novosti)

International

Ukraine/troupes russes: les photos de l'Otan faites en août 2013 (Moscou)

Les photos satellite de l'Otan montrant des troupes russes massées à la frontière ukrainienne
21:09 10/04/2014
MOSCOU, 10 avril - RIA Novosti
Les photos satellite de l'Otan montrant des troupes russes massées à la frontière ukrainienne ont été faites en août 2013, a annoncé jeudi à RIA Novosti un officier haut placé de l'état-major général des forces armées russes.
"Sur les photos publiées par l'Otan, on voit des troupes de la Région militaire sud en train de participer aux manœuvres tenues l'été dernier, y compris à proximité des frontières ukrainiennes", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.
Il commentait ainsi la mise en ligne sur le site de l'Otan de photos satellite censées  démontrer que la Russie aurait déployé des effectifs supplémentaires forts de 30.000 à 40.000 hommes le long de sa frontière avec l'Ukraine.
A l'été 2013, l'armée russe a réellement effectué des manœuvres dans la Région militaire sud, y compris des exercices de troupes d'artillerie, ainsi que l'exercice international d'envergure Fraternité d'armes 2013 dont une étape s'est déroulée au mois d'août."















































Pour finir, dans la rubrique santé :

(source : anarchymedia.e-monsite.com)


Selon une série d’études publiées dans « Science de la vie », l’artémisinine, de la « Douce vermouth » du dérivé « d’Artemisia Annua », utilisée en herbologie chinoise depuis plus de 2 000 ans, réduirait les cellules cancéreuses du poumon jusqu’à 28%. Et combiner avec le fer, cette plante incroyable tue 98% des cellules cancéreuses en seulement 16 heures. Elle n’attaque sélectivement que les «mauvaises» cellules, sans affecter les tissus sains.
Déjà reconnue comme un remède antipaludéen puissant et contre la fièvre, son plus ancien usage formulé par écrit figure dans un texte appelé: Recettes pour cinquante-deux maladies (chinois traditionnel : 五十二病方 ; pinyin : Wǔshí’èr Bìngfāng) datant de 168 av. J.-C. et découvert, parmi d’autres textes ayant traits à 283 traitements médicaux différents, dans une tombe mise à jour sur le site de Mawangdui.
«En général, nos résultats montrent que l’artémisinine arrête le facteur de transcription ‘ E2F1′ et intervient dans la destruction des cellules cancéreuses du poumon , ce qui signifie qu’elle présente un moyen de transcription selon lequel l’herbe contrôle la croissance des cellules cancéreuses de la reproduction », a-t-on indiqué dans la conclusion des recherches menées dans le laboratoire du cancer à l’Université de Californie .
La Revue des Sciences de la Vie a présenté une étude de l’Université de Washington, menée par les Drs Narenda Singh et Henry Lai. Jusqu’à présent, cette étude est la plus vaste faite sur l’artémisinine aux États-Unis.
En utilisant une radiation de nature résistante au rayonnement des cellules du cancer du sein (qui avaient aussi une forte propension à accumuler le fer), l’artémisinine a fait ses preuves avec un taux de 75 % de destruction du cancer après seulement 8 heures et presque 100% de taux de destruction en seulement 24 heures.
Les dépôts de fer dans les cellules cancéreuses étaient faits avec des récepteurs spécifiques pour aider la division cellulaire. Les cellules normales ont également ces récepteurs mais les cellules cancéreuses en ont la plus grande quantité et en fonction de cela, les cellules cancéreuses peuvent être une cible de combinaison de fer et d’artémisinine.
De nombreuses expériences ont été menées jusqu’à présent et elles ont toutes prouvé que l’artémisinine combiné avec le fer pouvait effectivement détruire le cancer, et que cet extrait avait été utilisé en Chine depuis des milliers d’années comme remède contre le paludisme.
Le parasite du paludisme ne peut pas survivre en présence d’artémisinine car il est riche en fer. Les bio-ingénieurs Henry Lai et Narendra Singh de l’Université de Washington ont été les premiers scientifiques à le découvrir.
Le Dr Len Saputo appelle l’artémisinine une « bombe intelligente pour le cancer »
Dans cette vidéo en anglais, ce scientifique parle de ce sujet en concluant que «l’artémisinine et des composés transportant du fer marqué d’artémisinine pourraient être développés en de puissants médicaments anticancéreux ».

A bientôt.
René.