lundi 30 juillet 2007

L'ours blanc n'est qu'un gros con. Il n'a qu'à se transformer en ours brun pour survivre

Salut à chaque rebelle dans sa tête. Un jour, il faudra nous rencontrer.

Qu'est-ce être rebelle ? C'est ne pas accepter ni pour soi, ni pour l'autre un état de fait que l'on considère comme insupportable et pour sa conscience et pour son intégrité. Est-ce se mettre dans une posture de refus ?
Non, cela est plus que refuser parce que l'on peut refuser et subir malgré tout.
Se mettre en position de rebelle, c'est mettre en place les termes de son opposition, c'est combattre ce pourquoi on se situe en posture de rebelle. L'agir dans cette position, c'est mettre en place en solo ou en collectif les conditions de sa mobilisation.
Être rebelle, c'est agir à l'intérieur du système pour l'amener à changer le pourquoi pour lequel on n'est pas d'accord. Ce n'est pas être révolutionnaire en faisant de la violence le premier terme du changement. C'est utilisé, les mécanismes inclus dans tous systèmes démocratiques. C'est vivre tous les jours dans des attitudes qui marquent son opinion de rebelle. En clair, c'est la "Rebelle attitude".
Cela peut passer par des tee-shirts qui disent simplement, "Je suis pas d'accord !"
Et, si, nous sommes des centaines de milliers à porter ce tee-shirts, ce sera un signe de reconnaissance qui nous permettra de nous reconnaître, de nous contacter pour nous organiser et définir ensemble les termes de la "Rebelle attitude". Afin d'amener notre gouvernement à entamer des réformes plus justes pour l'ensemble et non pas pour un quarteron de priviligiés.
Alors, voilà, je vous livre cette réflexion.
Maintenant, passons à autre chose.
Je vous communique un extrait du quotidien les Nouvelles Calédoniennes de la semaine dernière à propos de légumes contrôlés positifs aux pesticides :
"Que choisir a fait analyser six échantillons de fruits et légumes provenant du marché municipal de Nouméa. Sur ces différents prélèvements, les salades, persil, chou de chine, tomate et orange sont issus de cultures locales et sont censés, comme les produits importés, respecter la LMR, la fameuse limite maximale de résidus. En clair, il s'agit de la quantité maximum de pesticides qui ne doit pas être dépassée pour un produit alimentaire. Elle repose sur des normes européennes, légèrement modifiées en Nouvelle Calédonie.
Les résultats de ces analyses réalisées en Nouvelle Zélande, rendus publics il y a quelques jours sont clairs : deux anomalies ont été trouvées sur les 220 molécules testées, et c'est le chou de chine qui est clairement montré du doigt. On y a retrouvé des teneurs en Carbendazime, un fongicide, supérieure à la LMR. Mais, le plus étonnant, c'est la présence d'Heptachlore époxyde, un termicide très toxique dont l'usage est interdit en agriculture depuis 1986 et qui n'est même plus homologué en Nouvelle Calédonie.
"Le résultat de ces analyses soulève le problème plus général des pesticides en Nouvelle Calédonie qu'il serait criminel de passer sous silence plus longtemps" affirme l'union des Consommateurs soutenus par le Collectif Ensemble pour la Planète. Mais, le problème des pesticides est vaste et tout reste à faire. D'autant qu'en matière de normes européennes, la Calédonie est encore un peu à la traîne. "
Ce qui se passe en Nouvelle Calédonie nous amène à nous poser une question, Est-ce que cela n'es pas possible en France, surtout quand les fruits et légumes proviennent d'ailleurs ?"
Un laboratoire indépendant de l'industrie agro-alimentaire et chimique ne pourrait-il pas procéder à des contrôles déjà au niveau de la grande distribution ?
Parce qu'entre-nous en parlant des OGM, ce sont des céréales dont les graines sont stériles. Donc, les agriculteurs devront acheter de nouvelles graines à la multinationales qui les aura fourni. Si, nous considérons l'homme, alors parlons des futurs humains OGM, ceux dont la vitalité des spermatozoïdes aura été bouffée par les fongicides, termicides, pesticides et autres joyeusetés. Ceux-là, à qui s'adresseront-ils ?
A leur créateur ?
Sauf que le créateur en question depuis ce qu'on lui a fait à son fils, il s'est inscrit aux abonnés absent.
Alors que faire ?
Moi, je vous conseille d'investir dès maintenant dans les banques de spermes parce que bientôt, il ne restera plus qu'elles pour se reproduire !
Alors, réfléchissez et envoyez-moi vos suggestions.
A bon entendeur, salut.
René.

dimanche 29 juillet 2007

Le chat s'amuse avec la souris et la souris lui crie, "Je ne suis pas à la sécurité sociale, alors, fais gaffe !"

Salut aux indiens de l'amazonie. Les brésiliens affirment qu'ils ne détruiront pas la forêt pour planter des cultures pour les biocarburants. Faut-il les croire ?

Bon, que devient notre gouvernement ?
Sarko récupère la négociation instaurée par l'Union Européenne avec la Lybie pour une histoire de récupération médiatique et il fait ça en ménage. Un peu cavalier quand même.
Kouchner veut poser langue avec la Syrie qui réarme le Hezbollah. Pourquoi pas ?
Il vend une centrale nucléaire à Khadafi qui n'a jamais respecté sa parole. Tout ça pourquoi, on se le demande ?
Il intervient près ou au Darfour alors que les arrières de la force d'intervention ne sont pas assurés. Il faut être téméraire parfois. Là, encore, ça pourrait se faire sauf que les milices se vengeront encore plus sur les civils pouvant accentuer encore plus la crise humanitaire. Mais, je ne dis pas qu'il faut pas le faire, sauf qu'il faut bien calculer comment on y met nos pieds.
Maintenant, il veut faire intervenir l'ONU en Somalie alors que l'Erythrée surarme les milices islamistes pour les préparer à leur prochaine offensive.
Au Liban, il s'imagine qu'il va réussir à faire discuter les adversaires alors qu'eux mêmes n'y arrivent pas et que surtout la Syrie n'y a pas intérêt. Pourtant, il a été à Damas, alors quoi ? Pour offrir un coup médiatique à Sarko ? Avec les manières d'agir de celui-ci et maintenant de sa femme, on ne sait plus vraiment quoi penser.
Par contre, la ministre de la justice a ses deux frères soupçonnés de trafic de drogue (nouvel obs, 25 juillet 2007) et voit ses collaborateurs la quitter les uns après les autres. Je veux pas dire, mais son maintien dans les murs soulève quand même un problème, celui du respect de la fonction.
François Fillon quant-à lui, fait voter les 12 ou 13 milliards de cadeaux fiscaux aux revenus les plus riches et la ministre de l'éducation pousse à l'autonomie des universités ce qui aura pour résultats de générer des études universitaires à deux vitesses. Des universités riches et d'autres moins, donc moins cotées comme au USA.
Le ministre de la santé va mettre en place les franchises, ce qui aura pour effet de ponctionner le portefeuille des plus précaires et les exclura pratiquement des opérations chirurgicales à coût trop élevée.
Décidément, ce gouvernement prend une étrange tournure. C'est carrément la posture de la tortue ninja. On fonce en gesticulant le plus possible.
Mais, nous l'avons voulu, nous l'avons élu.
Tout ça me rend dubitatif. Changeons plutôt de sujet.
Ah, oui, une réflexion, ce n'est pas la mondialisation qui va obliger les nations et les peuples à se comprendre et à partager. Parce ce créneau, c'est pour les friqués, il s'agit là de se partager les profits entre grandes entreprises multinationales.
"S'installer là où il y a une pépinières de cerveaux à moindre prix, produire là où les coûts de production sont les moins élevés et vendre là où le profit est le meilleur", telle est la définition de la mondialisation d'un industriel indien.
Après ça, on parle de préserver un minimum les politiques sociales, ça fait carrément bidon parce que les industriels sont tous d'accord sur cette vision de la mondialisation.
Et, vous, mes chers amis, vous comptez sur Sarko pour sauver les meubles ? Même ce qui reste des classes moyennes va y laisser sa peau.
Alors, je lance un cri :
"Pour survivre, il faudra être rebelle ! Se mobiliser ! S'opposer à la grande distribution qui participe par sa politique de bas-prix à la mise sur le marché de denrés de mauvaise qualité. Il faudra que le consommateur, l'utilisateur de service, en partenariat avec les prestateurs de services, les producteurs conscients des enjeux, se mobilisent ensemble. Ils doivent donner un avertissement à tous ceux qui veulent nous réduire à la misère en descendant tous le même jour dans la rue. Le danger se précise, il faut s'organiser dès maintenant et non pas au dernier moment comme en on l'habitude les syndicats et les partis politiques. Parlons entre-nous, discutons, prenons la température par le mail et lançons des appels à la mobilisation à travers des coordinations de quartiers, de copains. Que chaque coordination se donne une dénomination et se coordonne sur une adresse mail où nous pourrons tous nous rejoindre. Simple péquins, groupes de copains, associations, partis politiques, ONG, syndicats, nom de dieu, levons-nous !" Levons-nous maintenant pour une première démonstration à la rentrée avec ce seul mot d'ordre : "Non à l'abandon et à la déchéance des services publics, non à la précarité organisée et annoncée !"
Voilà, cet appel est mon acte rebelle à moi.
Soyons tous rebelles, à tous les niveaux. Même sur notre pallier, il y a sûrement quelque chose à faire.
Alors, réfléchissez et appellez-moi.
René.

jeudi 26 juillet 2007

Tout ça me fait rire mortel, comprenne qui pourra

Rien à dire.

A part que je propose qu'une pétition soit lancée pour que Sarko soit le premier français qui pose son pied sur la lune.
A part ça, mort de rire Kouchner vend une centrale nucléaire à Khadafi.

René.

mardi 24 juillet 2007

Il reste toujours à la main qui a cueilli la rose l'odeur de parfum. Confucius

Bien le bonjour à tous les gueux de la terre, la nouvelle cour des miracles est à fonder.

D'abord, reparlons du changement climatique. Reparlons également de la bio-diversité.
Les espèces disparaissent soit à cause d'une ponction trop importante de leur population, ce qui empêche le renouvellement de l'espèce, soit que leur milieu disparaît. Ou l'espèce s'éteint incapable de s'adapter comme les ours blancs ou elle mute. Peu, d'espèce en sont capables, à part les insectes, les virus et les bactéries. Les autres sont condamnés à moins de survivre dans des zoo.
L'espèce humaine, elle, devra subir ces deux facteurs en même temps, le changement climatique et la raréfaction de la bio-diversité. Dans quelle mesure pourra-t-elle s'adapter ?
Nous pensons ingénument que notre espèce a vocation à s'inscrire sur la durée. Mais, cela est-il vrai ou réalisable ? Et pour quel échantillon d'ailleurs ?
Qui nous dit que le changement climatique ne va pas ruiner nos cultures. Nous disons, les cultures du sud remonteront vers le nord et que les cultures du nord remonteront plus haut vers le nord. Mais, qui nous dit que les tempêtes, que le gel, que les inondations, que le froid ou la chaleur précoce ne détruiront pas les récoltes, surtout celles dédiées aux biocarburants
Nous allons tuer la bio-diversité pour cultiver des céréales qui seront utilisés pour les bio-carburants. Des surfaces immenses seront colonisés pour mettre en place ces types de cultures. Au nom du nouvel Eldorado, nous allons accélérer la mise à mort de la bio-diversité accélérant ainsi le changement climatique. Au Chili, les pêcheurs se sont plaints des effets collatéraux de El Nino, car le changement de température de la mer a fait disparaître certaines espèces de poisson. Tout est lié et au nom du fric roi, nous allons perturber violemment les facteurs climatiques qui s'entre-influencent au niveau de la planète.
Un jour, les japonais se ramasseront les pluies acides venant de Chine et partout la désorganisation du système climatique engendrera une désorganisation de la stratosphère. Et, un jour nos enfants le paieront chèrement.
La science a tendu a améliorer les conditions de vie de l'homme sur notre planète. Aujourd'hui la science crée les conditions de sa souffrance. Saura-t-elle pallier ces effets collatéraux aussi vite que ceux-ci se manifesteront ?
Le Mahtma Gandhi avait raison de se méfier d'une science qui sous prétexte d'un mieux être provoquait de la souffrance. Il n'imaginait pas à quel point.
Ne pourrions-nous pas rediscuter au niveau de la planète les limites d'un développement scientifique respectueux des grands équilibres naturels. Un développement qui respecte, dirons-nous, un cahier des charges qui le cadre dans des innovations ne provoquant pas de bouleversement de nos environnements.
A mon avis, il est temps de rediscuter de la finalité du progrès scientifique. Non pas qu'il faille le mettre au rebut, mais, lui donner un cadre qui nous permette de vivre dans un environnement équilibré. Tant que cela ne sera pas fait, on pourra toujours discuter d'interventions ponctuelles comme les gaz à effet de serre, nous n'aurons pas parlé de l'essentiel.
Pour moi, les bio-carburants vont avoir des effets pire que l'exploitation des énergies fossiles. Ce n'est pas parce que le Brésil s'est embourbé dans une erreur de direction qu'il faut faire la même. Toucher à l'alimentaire en plus, c'est touché à l'essence même de l'homme. C'est le renvoyer au temps des cavernes quand il cherchait à manger, alors qu'aujourd'hui, il est dans la caverne et autour de lui, il y aura plein de cultures qu'il ne pourra plus consommer.
Il est temps de se réveiller et de prendre le problème par le bon bout et non pas par tous les bouts.
Ah, une autre chose, les africains vont souffrir d'une sécheresse pire que ce qu'ils n'ont jamais connu. A cause de qui ? A cause des démocraties occidentales industrialisées.
Et, nous, nous leur fermons notre porte et nous allons les regarder mourir en versant des larmes de crocodile. Ce ne sont pas eux qui ont bousillé la planère. C'est nous. Alors, prenons nos responsabilités et ouvrons leur nos frontières.
Voilà, ce que aujourd'hui, j'avais à vous dire. Alors, je vous souhaite une bonne réflexion.
René.

lundi 23 juillet 2007

Rien ne sert de courir dit la tortue au lapin qui l'attendait à l'arrivée un whisky à la main et un cigare au bec.

Salut à tous les consommateurs qui se font avoir par l'industrie agro-alimentaire et l'industrie chimique.

Eh, oui, que nous dit Libération d'aujourd'hui à sa deuxième page ? Ceci, "Le prix des matières agricoles décolle, notamment grâce au succès des agrocarburants. Mais le consommateur risque de trinquer."
Ça, c'était couru d'avance à partir du moment où l'espace agricole dédié à la consommation est pris d'assaut par l'espace agricole dédié aux agrocarburants. Encore que nous, ce qui en ont pas beaucoup, nous allons le sentir sur le porte-monnaie, mais, je ne vous dis pas les pays émergents. Eux, ils vont trinquer grave. Et, naturellement, les stocks en surplus pouvant être dédiés aux régions du monde subissant la famine, vont se réduire drastiquement.
Donc, notamment au Darfour, ils vont avoir des problèmes de ravitaillement. Après tout, que tous ces gens là crèvent la bouche ouverte en avalant des mouches, c'est pas notre concerne ! De toute façon, ils ne rapportent pas un rond. Pourtant, des réseaux économiques se sont aperçus que les pauvres pouvaient dépenser de l'argent et que en ciblant certains créneaux, ça rapporte.
Eh, oui, messieurs, mesdames, on peut encore tirer du fric des pauvres. Sauf, qu'il faut leur envoyer des messages publicitaires subliminaux pour leur tirer du pognon. Mais, non, je mens ! En France et dans les pays développés, les messages subliminaux sont interdits.
Peut-être que si on envoyait des messages subliminaux aux intégristes islamistes, ils se contenteraient de cultiver du pavot, au lieu de prendre les armes.
Mais, revenons en à nos moutons; les denrées agricoles vont voir leurs prix à la consommation augmenter.
Sérieux, déjà que pauvre, c'est pas la joie, alors dans quelques temps, ça sera encore plus la misère. On sera plus pauvre que maintenant.
Et, ça même l'AKP, d'Erdogan en Turquie ne pourra le contrer. A moins que l'état ne se mette à contrôler les prix à la source et n'impose un code de bonne conduite aux intermédiaires. La question qui se pose alors est, "est-ce que la montée des prix agricoles ne va pas transformer les équilibres sociaux dans le monde, en amenant la mise en place de régimes plus autoritaires". Déjà, qu'il y a une dérive sur le respect des libertés fondamentales à cause du terrorisme, celle-ci va peut-être s'aggraver à cause des tensions provoquées par l'augmentation des prix agricoles ?
C'est une question et les projections que l'on pourrait en déduire pourraient dessiner une nouvelle donne des régimes notamment des pays émergents. Certaines situations pourraient être exploitées dans les pays musulmans par exemple pour renverser leurs régimes existant, là, je pense au Pakistan entre-autre.
Peut-être qu'un jeu vidéo pourrait être créé, histoire de faire de nouveaux paris en France. Par exemple, tel régime affrontera tels troubles qui donneront tel changement, en projection sur une année ou deux . Celui qui gagne a droit un séjour au Etats-Unie ou en Russie payé par la CIA ou le nouveau KGB russe.
C'est une proposition, alors, réfléchissez jusqu'à demain et vous me direz, si vous trouvez l'idée amusante. Autrement, si vous voulez vous lancer dans le pur économique, vous pouvez créer des panneaux en aggloméré de fibres de bambous croisées. Le bambou est imputrescible, il absorbe le bruit et est aussi solide que le béton. Il y a un brevet à déposer, car, j'avais vérifié, sur ce cas précis, il n'y en avait à l'époque aucun. Mais, le réaliser allait me coûter trop cher puique à l'époque, j'étais au RMI.
Donc, je vous laisse, réfléchissez et à demain.
René.

lundi 16 juillet 2007

L'indien dit. "Merci à dieu qui a crée la terre, merci au blanc qui nous a appri l'amour de dieu et donné l'eau de feu. On est vachement content !

Salut aux indiens tarahumaras du mexique.
Salut aux aborigènes de Tasmanie qui ont été massacrés jusqu'au dernier.

Heureusement que les tarahumaras habitent sur les hauts plateaux, là où la bonne terre le dispute aux terres caillouteuses. Au moins, les colons ne leur ont pas piqué leurs pauvres terres. Ah, oui, quel est le jeu le plus pratiqué par les tarahumaras. Ben, c'est jeté une balle devant eux et la poursuivre pendant des dizaines de kilomètres. Ce qui leur a valu le surnom de marathonien.
Moi, je veux bien, taper dans une balle pendant minimum 10 kilomètres pour les moins doués, car taper tout seul sous le soleil, ça doit être un sport qui trempe l'âme. Les mayas s'amusaient bien à faire passer une balle dans un trou et le malheureux qui perdait était sacrifié aux dieux.
Chez nous, au moins, la baballe, quelque soit l'objectif qu'on lui donne rapporte du fric. Et, en plus, à chaque fois, c'est un jeu d'équipe ou un duel entre deux personnes. Sans compter que l'on ne sacrifie personne aux dieux du cirque.
Même en politique, les candidats pousse une balle symbolique devant eux, mais, eux, toujours en jeu d'équipe, et ça rapporte.
Quoi ? Je ne sais pas, à vous de me le dire.
Les tarahumaras, eux, c'est des solitaires. Ils ne doivent pas aimer les lumières des médias et encore moins les magazines people.
Des fois, ils me font penser à Sarko qui même si il a une équipe, continue à courir tout seul. Eh, oui, c'est ce que l'on appelle la solitude du pouvoir.
Sauf que l'impression qu'il commence à donner, est d'être l'homme des coups médiatiques qui le place devant tout le monde.
Il est sur le coup de Bétancourt, sur le coup des infirmières bulgares en Lybie, sur le coup de la réconciliation au Liban, tout ça avec des effets médiatiques calculés.
Par contre, quand ça ne fonctionne pas, on laisse retomber la neige.
Par exemple, envoyer sa femme rencontrer Kadhafi alors que la négociation est pratiquement achevée, cela s'appelle de la récupération. La question qui se pose est, a-t-il vraiment besoin de ça ?
Quant-à chercher à neutraliser le PS en pensant courcircuiter la gauche, c'est vraiment un calcul à court terme. Parce que avec ceux qui viendront après, le jeu se fera différemment. Grâce à lui, le PS est obligé de se remettre en question et de se réorganiser.
Il est à espérer qu'il sera plus cohérent, plus solide et plus combatif en coordination avec les autres représentations de gauche.
Là, peut-être les altersmondialistes ont un rôle à jouer parce que la refondation de la gauche de la gauche ne viendra pas de la LCR qui malgré son score reste une pensée d'extrême gauche mal adaptée à notre réalité. Peut-être que Bové devrait revenir après avoir réfléchi à ce que sa candidature a pu impliquer comme participation au désordre ambiant à la gauche de la gauche.
De toute façon, si il n'y a personne en face, Sarko est parti pour dix ans.
Par contre, Hollande semble vouloir tenir un pari, le pari de tenir et d'apparaître comme un recours. Surtout, si il évite l'implosion du PS entre un parti dont les têtes sont à la dérive et une tentative de désir d'avenir de mettre en place un parti dans le parti à travers des jeunes militants peu ou prou politique. Ce qui serait le pire cauchemar du PS.
Un autre cauchemar, ça serait que le centre nucléaire japonnais qui a subi les effets d'un tremblement de terre recèle des fissures non décelées. Les moteurs se sont arrêtés automatiquement, d'accord, mais des dégâts existent sûrement.
Bon, vous me direz, ce n'est pas notre affaire. Alors, là, je vous donne raison. D'ailleurs, vu les vents, le Japon risque de se manger une partie de la pollution chinoise. Ce qui ne va pas les arranger.
Et nous ?
Nous, on se mange les tomates des serres espagnols et marocaines. Ce qui n'est pas vraiment mieux.
Bon, quand même, je ne vais pas vous prendre la tête avec tous ça. Aussi, je vous souhaite plus que le bonheur du monde, simplement le bonheur chez vous. A plus.
Réné.

jeudi 12 juillet 2007

héo, héo, matelot,matelot navigue sur les flots. Hollande prend l'eau de tous les bords. Qui restera-t-il sur le bâteau ?

Salut à tous les clowns qui rient, qui pleurent et particulièrement aux camarades du front du nord.

C'est bon de boire de l'eau de mer, ça purge. Ça, c'est un conseil que je donne au PS.
Eh, oui, la boîte de pandore a été ouverte et tous les diables quittent la maison. Selon le bon principe qu'on n'est jamais mieux servi que par soi-même, les poissons vont chercher l'hameçon.
Après tout, ils n'ont qu'à s'en prendre qu'à eux-mêmes. Un socialo à la tête du FMI. Ca fait quand même réfléchir.
Le FMI n'est-il pas cet organisme financier international qui a mis la moitié de la planète à genoux en imposant des plans de redressement structurels ?
Quant-à Jacques Lang dans une commission du gouvernement de droite, c'est pas banal non plus.
Après tout, tous ces gens là nous chantaient qu'ils voulaient nous rendre la vie plus belle et qu'en face, c'étaient des salopards.
Maintenant, ils se débandent en courant pour obtenir des postes. Comment, on appelle ça, des opportunistes ?
C'est l'histoire de pince mi et pince moi. Pince mi tombe à l'eau qu'est-ce qu'il reste, Hollande ou Ségo ? Le couple infernal du PS. Entre l'immobilisme et le boulangisme, que reste-il, la démocratie participative ?
Faudrait peut-être que mister plus immobile que moi, tu meurs, se décide à lancer son parti dans une introspection. Histoire de comprendre pourquoi il nage dans le marasme au plan des idées et de la mobilisation de l'opinion publique. Sarko avec son activisme lui en donne l'occasion. Alors qu'attend-il
A part ça, rien à dire. Peut-être que l'explosion que certains prédisent au Pakistan n'aura pas lieu. Une guerre civile, ça ne se décréte pas comme ça. En plus, ça risquerait de tourner en guerre tribale.
Alors, souhaitons que cela n'arrive pas.
Sur ces bonnes paroles, je vous salue.
René.

mardi 10 juillet 2007

Madame Soleil a dit, ta jouissance sera comme un puit sans fond. J'ai atteins le fond et je ne suis jamais remonté. Comprenne qui pourra

Ave à tous ceux qui rêvent des jeux du cirque, il n'y a qu'un seul gladiateur dans l'arène, Sarko.

Bien, nous allons continuer sur un extrait du même numéro de Valeurs mutualiste.
"Les chiffres font état d'un montant des dépassements de 2 milliards d'euros sur les 19 milliards d'honoraires engagés. Les deux tiers de ces 2 milliards pèsent directement sur les ménages, après intervention des organismes d'assurances complémentaires. Ces dépassements ont connu une inflation dangereuse au cours de la dernière décennie. Pour le secteur 2 (dit à honoraires libres) leur montant a doublé entre 1990 et 2004, passant de 763 millions à 1,578 milliards. Le taux des dépassements des spécialistes à honoraires libres a ainsi évolué de 25% en 1990 à 45% en 2005, soit une progression de 80% en 15 ans.
Dans certaines disciplines, la part des médecins installés en secteur à honoraires libres n'a cessé d'augmenter. En moyenne, 40% des spécialistes exercent dans ce secteur. Cette proportion monte même à 82% pour les chirurgiens. Pour le secteur 2, devenu majoritaire dans certaines spécialités, comme en ORL, en gynécologie et en ophtalmologie, le taux moyen de dépassement a atteint 48% en 2004. Aux disparités existant entre eux (le taux moyen des dépassement des chirurgiens est de 54%, des endocrinologues de 61% ou des neurochirurgiens de 72%) s'ajoutent des disparités régionales : le taux est de 25% en Poitou-Charente, mais de 53% en Rhône-Alpes, 57% en Alsace et 68% en Ile de France. Cette dernière région bat tous les records, puisque le taux moyen de dépassement y représente pour les neurochirurgiens 181% des tarifs conventionnels, 99% pour les chirurgiens, 87% pour les ophtalmologues, 86% pour les gynécologues, 79% pour les dermatologues et 73% pour les psychiatres !
(...) Est-il acceptable que l'ensemble des soins médicaux concernant la maternité ne soient plus aujourd'hui intégralement pris en charge comme le garantit l'assurance maladie obligatoire ?
Là comme ailleurs, des restes à charge existent aujourd'hui : pour un accouchement, c'est 74 euros en moyenne à l'hôpital et 178 euros en clinique. Le rapport d' IGA, l'Inspection Générale des Affaires Sociales multiplie ce type d'exemples (opération de la cataracte, chirurgie de la hanche, coloscopie), faisant la démonstration qu'il n'existe pas de lien entre les dépassements et la qualité des soins."
Jean-Pierre Fleury, responsable éditorial commençait ainsi son article :
"L'accès aux soins peut être entravé par la pénurie de médecins, leur inégale répartition sur l'ensemble du territoire français, avec pour conséquence de longs déplacement et des délais d'attente prolongés pour obtenir un rendez-vous. Un autre obstacle, tout aussi important est la dérive des dépassements d'honoraires médicaux, de toute nature, en ville ou à l'hôpital. Ces pratiques au départ marginales se sont accrues ces dernières années. A leur propos le verdict d'un rapport de l'Igas, publié fin avril est sans appel : elles conduisent à un recul de la solidarité nationale en pleine contradiction avec les principes fondateurs de l'assurance maladie."
Eh, voilà mes bons, nous sommes dans la prise en charge sanitaire à deux vitesse.
En plus, ce sont les malades qui coulent la sécu. Donc, ce sont eux qui vont payer.
A moins que l'on ne nous dise pas tout.
Mais, oui, mes bons, vous allez payer pour les mercedes de nos grands spécialistes qui n'en ont rien à foutre de la solidarité nationale. Pour eux, vous n'êtes que des vaches à lait, pareil pour l'état.
Je vous le rappelle, l'état ne nous transporte pas, il vous roule.
Qaunt-au file d'attente chez nos grands spécialistes, je peux vous assurer, n'attend pas qui a les moyens. Comprenne qui pourra !
L'état grignote 1 euro par ci, 2 à 3 euros par là pour sauver la sécu ou la caisse retraite pareillement. C'est quoi ces économies de bout de chandelle. Même si au bout, elles se traduisent en dizaine ou plus de millions. Pourquoi s'attaquer toujours à ceux qui n'ont rien. Arrêter plutôt les dépassements d'honoraires.
Et, si l'état veut faire des vrais économies, pourquoi ne fait-il pas comme au Japon. Là-bas, la caisse retraite grâce à une erreur informatique a perdu la trace de la moitié de ses affiliés. Là, c'est des vraies économies et pas des trucs riquiqui.
Et vu les difficultés qui se présentent aux retraités pour rentrer dans leurs droits parce que lorsque qu'ils présentent leurs anciens certificats de travail, la caisse leur répond qu'ils ne sont plus valables, ça risque de durer un bail, un bail d'éconocroc.
Sarko part voir les grands argentiers européen pour faire accepter tous ses cadeaux aux riches et il se permet de dire qu'il veut que la pauvreté diminue dans les trois ans. Ca veut dire quoi ? Que dans les trois ans, il nous fera revenir à notre niveau de vie d'aujourd'hui ?
Vraiment, c'est prendre les gens pour des cons et pendant ce temps le PS passe son temps à se mordre la queue. Mais, virez-moi ces vieux croûtons qui veulent travailler avec Sarko. Au moins, vous serez claire et putain de bon dieu, défendez-nous !
A la fin, y'en a marre de vos conneries !
Parce que se faire prendre pour des canards sauvages, ça va un moment. Sauf que faut pas que ça dure.
Bon, je vous laisse réfléchir, demain, il fera jour.
René.

lundi 9 juillet 2007

Quand les 12 crânes de cristal mayas et les douze cavaliers de l'apocalypse seront réunis, plus besoin des industries chimiques. On sera mort

Salut à tous ceux qui croient que l'été est arrivé. Il arrivera l'année prochaine.

Bon que vous dire ? Commençons par les mauvaises nouvelles.
"Le nombre de substances chimiques présentes dans notre environnement n'a jamais été aussi élevé. Quelques 19 millions de produits chimiques sont répertoriés et, chaque année, un millier de nouvelles molécules sont mises sur le marché. En 2004, les résultats de l'enquête "Detox" menées par le Fond mondial de la nature (WWF) ont fait l'effet d'une bombe. Les prélèvements sanguins effectués auprès de 39 parlementaires européens ont révélé que leurs organismes étaient contaminés par une quarantaine de substances : phtalates, PCB1, pesticides.....L'année suivante WWF a réalisé une nouvelle campagne de prélèvements sanguins auprès de trois générations d'une même famille dans 12 pays européens. La présence de 73 produits chimiques différents a été décelée, les enfants en concentrant le plus avec 59 substances détectées en moyenne contre 49 pour les mères.
(...) Quel impact ?
On s'est aperçu que les facteurs d'environnement pouvaient créer de véritables épidémies (pics de pollution atmosphérique, maladie de Minamata....), mais aussi qu'ils pouvaient jouer un rôle plus insidieux comme cofacteurs de nombreuses pathologies chroniques (coronaropathies, neuropathies, cancer....explique William Dab, professeur au CNAM.
"Valeurs mutualistes, n°250 juillet/août 2007, p6"
Eh, voilà, patatras, nous sommes dans le caca jusqu'au cou. Finalement, le progrès tant vanté va finir par nous asphyxier. Et, en final, le progrès cherchera des solutions pour soigner les méfaits du progrès. La science cherche et les virus mutent beaucoup plus rapidement.
Est-il déjà trop tard ?
A mon avis pour la génération qui nous suit, il est trop tard. Pour celles à venir, peut-être que comme tous les êtres vivants, ils auront développé des mutations physiques afin de s'adapter.
Mais, tous cela n'a que peu d'importance en rapport à l'ouvrage de démolition que Sarkho a engagé avec le PS, renvoyant en même temps la gauche de la gauche à de lointaines chimères.
Si, il était aussi efficace dans la lutte contre le changement climatique, il deviendrait plus grand que les plus grand. A quand, un rendez-vous les yeux dans les yeux avec les dirigeants de Pékin pour leur dire que les femmes chinoises accoucheront bientôt d'enfants mal formés ?
Mais, ceux que je plains, c'est les athlètes qui vont participer aux jeux de Pékin. Moi, à leur place, je ferais un bilan de santé pointu à mon retour, d'ici qu'ils aient chopé une saloperie là-bas. En tout cas, moi, je ne bougerais pas. Je vous le dis en clair, je reste au pays.
Ah, au fait, pas de nouvelles de la femme riche à en mourir. Encore un rêve qui trépasse. Un autre rêve qui trépasse, c'est mon manuscrit a été refusé par l'éditeur. Si, au moins, je gagnais au loto, mais rien, pas un fifrelin.
Alors, je préfère partir dans une grotte pour discuter avec l'ombre. Et, sur ces bonnes paroles, je vous dit, cultivez votre jardin, un petit bonheur vaut mieux que deux, tu l'auras.
René.

lundi 2 juillet 2007

Le phénix renaît de ses cendres et la baudruche se regonfle. Comprenne qui pourra

Salut à tous ceux qui s'imaginent que le monde est merveilleux. Continuez comme ça. L'abattoir, c'est tout droit et après la première à gauche.

Bon, mes bons amis, vous qui me lisez sans discontinuer depuis trois millions d'années. En fait, depuis que j'ai mis la main à la pâte et que je vous ai créé, vous l'humanité, vous me fatiguez grave.
Voilà, ce genre d'argument, c'est typique mégalo.
Donc, maintenant, je peux introduire le sujet du jour qui est l'auto dérision.
Donc, j'écris. En plus, je voudrais être imprimé et être vendu. Donc, je suis carrément mégalo. Aussi, pour soigner cet état d'humeur chez moi, je me dois de pratiquer l'auto dérision. Ce qui est un sport un peu comme le yoga, cela vous donne à réfléchir sur vous même.
Donc, devant vous et sans respirer, je vais m'adonner à ce sport à haut risque. Attention, prenez vos précautions, plongez vous la tête dans un sac.
J'y vais , que dise-je, je me lance : "Je suis un gros con !"
Ouf ! Voilà, c'est fait. Qu'est-ce que je me sent bien.
Alors, je vous dis, à votre tour. Car, si vous voulez une vie saine dans un corps sain, pratiquez l'auto dérision autrement vous resterez cons, dixit Léon des Batignolles.
Voilà, c'est tout ce que j'avais à vous dire pour aujourd'hui.
Je vous salue bien bas et occupez vous de votre femme que vous avez épousé il y a trente ans. Invitez la au restaurant et tout à trac dite-lui, "Je suis un gros con". Je suis sûr qu'elle va pleurer des larmes amères.
René.

dimanche 1 juillet 2007

Maintenant que les brebis pratiquent le kick boxing et que les poules ont des dents, le loup a intérêt a bien se tenir

Salut à celles qui n'ont que leurs yeux pour pleurer, le Smig n'a pas augmenté. Si de 15 euros.

C'est les vacances, c'est demain dimanche, youpii, youplaa, nous allons tous nous baigner à la piscine de la cité des Francs Moisins.
Je vous arrête tout de suite, y'a pas de piscine au Francs Moisins, cité qui se trouve dans la plaine Saint Denis. (excusez pour la prononciation)
Mais que fait Braouzec ? (excusez encore pour la prononciation, décidément, St Denis, c'est carrément l'étranger pour moi)
Ben, monsieur le maire, à part faire mumuse avec l'alter je trace ma route tout seul dit José Bové, que faites-vous ? Oui, que faites-vous les altersautrevoie, vous tentez de recoller les morceaux ?
Il est vrai que quand Bové cravache son fier destrier, l'herbe ne repousse pas derrière lui. Demandez à la Confédération Paysanne.
A votre place, je me méfierais parce qu'autrement vous allez voir les industriels américains construire votre rêve qui rapporte un max de fric là-bas. Et comme d'habitude, les industriels français sont en retard d'un train. Il est vrai que la plupart ne parle pas l'engliche, ce qui les empêche d'accéder à l'information internationale.
En tout cas, le gouvernement ferait bien de s'y mettre le plus tôt possible car c'est un créneau pour bloquer les exportations des pays émergents. En effet, si l'Europe décidait que pour combattre le changement climatique seuls les produits ayant un label écolo peuvent pénétrer le marché européen, les pays émergents seraient bien obligé de faire un effort pour lutter contre la pollution chez eux. En Chine, par exemple, cela permettrait aux pêcheurs de rivière de retrouver du poisson et de pouvoir à nouveau utiliser l'eau des rivières et des fleuves pour l'usage quotidien.
Donc, un label européen et comme cela coûte cher et que les pays émergents n'ont pas la technologie, à nouveau sous nos cieux refleurirait un tissu industriel. Au moins, jusqu'à ce qu'ils nous rattrapent et c'est pas demain la veille. Parce que si l'on ne fait rien dans le genre, la Chine va s'asphyxier et nous avec par la même occasion.
Et, par la même occasion, le gouvernement devrait obligé les agriculteurs empoisonneurs à n'utiliser qu'une certaine quantité de défoliant (je plaisante) par hectare en attendant que l'Inra trouve un produit biodégradables. Parce que pour l'instant les produits phytosanitaires sont biodégradables dans nos estomacs seulement.
Mais, ne vous inquiétez pas futurs mamans, vos bébés seront toujours nos têtes blondes, même si vous vous faites des petits Tchernobyl tous les jours avec la bouffe, car n'oubliez pas les agriculteurs vous nourrissent, ils ne vous empoisonnent pas. Par contre l'état vous transporte, il ne vous roule pas. (ancien slogan des années 68 parlant de la SNCF et de la RATP) Ah, oui, ces fameuses années qu'il faut supprimer de la mémoire collective.
Sous les pavés la plage, par exemple. Pan, supprimé !
C'est bien fait pour les années 68. Ah, peut-être faudrait-il supprimer aussi Charlie Hebdo et Libération, tout deux rebuts de ces années là ?
Encore que, encore que je trouve Libération de moins en moins intéressant. Parfois le Parisien l'est plus.
Mais, je ne vais pas m'étendre aujourd'hui, car nous sommes dimanche et c'est pas un jour à battre le beurre. Je vais tout simplement voir si la meuf qui se disait riche sur Obsrencontre m'a répondu et je vous donnerais la réponse demain.
A vous revoir.
René.