samedi 30 juin 2018

En Martinique, plus de 90% de la population est contaminée au chlordécone

Syrian President Bashar Al-Assad Full Interview with Russian NTV (Les entreprises européennes font la queue pour la reconstruction de la Syrie avec Assad. note de rené)

Petite réflexion sur la Chine, mes chers cinq lecteurs.

La Chine redevient forte et son histoire de victime de l'occident reste imprégnée dans la mentalité de ses dirigeants et de son peuple. Le diable étranger reste le diable étranger surtout lorsque les USA cherche à leur imposer son hégémonisme et malgré des milliardaires chinois prêts à pactiser, le pouvoir ne laissera plus le pays être soumis quitte à assumer un conflit généralisé. Les dirigeants américains qui sont un peu incultes quant-à ce qui concerne l'histoire ferait bien de s'y pencher avant de prendre des décisions irréfléchies. Dans l'histoire, ils n'ont jamais agi comme des partenaires, plutôt comme des prédateurs.

réné

Les ministres de l'Intérieur allemand, autrichien et italien créent un "axe" contre l'immigration illégale
"A notre avis, il faut un axe des volontaires dans la lutte contre l'immigration illégale", a annoncé le chancelier autrichien Sebastian Kurz, mercredi. 
franceinfo avec AFP
France Télévisions
Mis à jour le 13/06/2018 | 16:21
publié le 13/06/2018 | 16:00 
Le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, a annoncé mercredi 13 juin la création d'un "axe" entre les ministres de l'Intérieur autrichien, allemand et italien pour lutter contre l'immigration illégale dans l'Union européenne, alors que les Européens se déchirent sur cette épineuse question.
"Je suis heureux de la bonne coopération que nous voulons bâtir entre Rome, Vienne et Berlin" dans ce domaine, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Berlin. "A notre avis, il faut un axe des volontaires dans la lutte contre l'immigration illégale", a ajouté le chancelier autrichien à l'issue d'un entretien avec le ministre de l'Intérieur allemand, Horst Seehofer.
"Il y a de plus en plus d'arrivées en Grèce, de nouvelles évolutions sur la route albanaise. Je pense qu'il est important de ne pas attendre la catastrophe, comme en 2015, mais d'agir à son encontre à temps", a précisé Sebastian Kurz, qui a fait de la lutte contre l'immigration la priorité de sa présidence de l'UE, qui débute le 1er juillet. Il faisait référence à l'afflux migratoire de 2015, lorsque des centaines de milliers de demandeurs d'asile ont traversé l'Europe à pied. Angela Merkel et le chancelier autrichien de l'époque avaient ouvert leurs pays à ces migrants originaires pour la plupart de Syrie, d'Irak et d'Afghanistan.
Merkel vise un accord sur un système d'asile européen fin juin
Sebastian Kurz a été élu à la chancellerie en Autriche à la fin 2017, en s'alliant avec l'extrême droite et en portant un projet anti-immigration. Depuis, l'Italie s'est dotée aussi d'un gouvernement, réunissant extrême droite et anti-système, qui souhaite restreindre l'arrivée d'immigrants. Les ministres italien Matteo Salvini et autrichien Herbert Kickl sont tous deux membres d'un parti d'extrême droite. Quant à leur homologue allemand, Horst Seehofer, il est issu du parti CSU (droite bavaroise), et est actuellement en conflit avec la chancelière Angela Merkel, cette dernière ayant rejeté son projet de durcissement de l'accueil des demandeurs d'asile.
L'annonce d'un axe Berlin-Rome-Vienne sur ces questions vient affaiblir la position d'Angela Merkel. La chancelière allemande cherche à arracher un accord sur un système d'asile européen en vue du sommet de l'UE de la fin juin. Mais nombre de pays, notamment dans l'est de l'Europe, s'y opposent car ils ne veulent pas d'une répartition européenne des réfugiés ou ne souhaitent pas en accueillir. 
Sebastian Kurz a souligné que, "Dieu merci", de nombreux pays de l'Union européenne sont désormais pour des solutions de fermeté face à l'immigration clandestine, citant en particulier les Pays-Bas et le Danemark. La Hongrie, la Pologne et la République tchèque sont aussi opposées aux idées de la chancelière allemande.
(L'immigration a fini par inconscience de la réaction populaire par mettre l'extrême droite en avant en Europe. Cela ne veut pas dire qu'ils vont s'opposer aux oligarchies financière et industrielles qui l'oppriment au contraire. Mais, les positions morales basées sur des considérations humanitaires de la gauche et des Ong les disqualifient vis-à-vis d'une population qui ressent l'immigration massive comme une agression alors que seuls, ils veulent requestionner l'ordre injuste imposé par les acteurs financiers et industriels. Ils voulaient porter cette revendication et certains d'entre-eux l'ont trahis comme le premier ministre grec, tsipras, rejetant les aspirations populaires en faveur de l'extrême droite. note de rené)

 L’intrusion des ONG dans la politique des États


La multiplication des articles offensifs sur Georges Soros est révélatrice d’un changement de paradigme et de la mise en place d’un vrai affrontement idéologique au niveau mondial avec d’un côté les partisans d’un libéralisme libertaire et de l’autre les partisans d’un conservatisme étatique.
Longtemps Soros via sa fondation Open Society Foundations (OSF), créée en 1993 en référence à l’ouvrage de Popper « La Société ouverte et ses ennemis » a été dominant dans la diffusion de la pensée libérale libertaire et presque sans opposition du point de vue de la guerre informationnelle.
Mais cette emprise de Soros liée à une parfaite maîtrise des médias et à une utilisation optimale des organisations non gouvernementale comme arme métapolitique est en recul du fait d’une convergence d’éléments :
  • les révélations de Wikileaks et DCleaks,
  • l’accroissement de la méfiance des populations vis-à-vis des médias mainstream,
  • l’émergence de médias alternatifs influents,
  • le Brexit,
  • l’élection de Donald Trump
  • ainsi que les résurgences nationalistes des pays d’Europe de l’Est.
Les tensions récentes sur l’immigration au sein de l’union européenne semble cristalliser cette fracture idéologique.
Si l’enjeu de ce combat est d’abord une lutte pour l’avènement d’un modèle, les intérêts de l’industrie financière américaine des hedges funds à la globalisation d’une Union Européenne qui ne maîtrise plus sa dette pourraient être dévastateurs.
Il est détaillé par la suite d’une part l’installation de l’idéologie libérale libertaire et son infiltration via les ONG européennes, d’autre part les réactions parfois radicales des peuples et des Etats.

La fin de la position dominante de Georges Soros dans le débat

RUSSIE Sergei Stankevich f57cebd387e6db_57cebd387e720.thumble politologue et historien russe Sergei Stankevich 
L’objectif de Soros est expliqué par le politologue et historien russe Sergei Stankevich dans un entretien publié sur le site internet de l’agence de presse RIA Novosti accordé au chroniqueur Russe Vladimir Ardaev
« Léon Trotsky voulait une révolution mondiale, il croyait que le temps était venu d’unir l’humanité sous des valeurs communes, une idée commune et un gouvernement uniqueTrotsky considérait les états nationaux comme obsolètes …George Soros part d’une idée très similaire: il croit que les États nationaux sont un anachronisme et il est convaincu que le moment est venu d’unir l’humanité sous des valeurs démocratiques et libérales et sous une seule direction libérale et démocratique ». 
Le but affiché de l’OSF est d’accompagner partout l’avènement d’une « société ouverte », littéralement sur son site internet[1]
« construire des démocraties vivantes et tolérantes dont les gouvernements sont responsables devant leurs peuples, et ouverts à la participation de tous ».
Ses opposants dénoncent un concept libéral-libertaire de déconstruction des nations, des souverainetés démocratiques, des religions et des structures familiales.
USA SOROS 1527618216_174528_1527618344_noticia_normalGeorges Soros
Afin de bien comprendre l’influence que Georges Soros exerce sur le paysage médiatique américain et européen, il faut sonder autant le champ des médias de masse que celui d’internet et des médias. L’un des objectifs de la stratégie média de l’OSF étant la formation et le soutien de nombreux journalistes présentés comme indépendants et aptes à créer un réseau d’influence médiatique informel dans un but politique. Soros met sa puissance financière au service de l’influence via l’OSF.

Les dépenses totales effectives de l’OSF depuis sa création ont été de 13 milliards de dollars pour 33 années d’activité et le budget de l’OSF est en hausse à plus de 930 millions de dollars en 2016.

Il a surtout transféré 18 milliards de dollars à sa fondation fin 2017.

Ce dernier a soutenu le parti démocrate puis la candidate Hillary Clinton pour au moins 25 millions de dollars au cours des dernières années et a injecté 103 millions de dollars entre 2000 et 2014 dans des groupes médiatiques proches du parti démocrate et de ses objectifs politiques.
Sur ces 103 millions investis dans les médias libéraux, 61 millions financent neuf groupes médiatiques qui ont soutenu directement la candidate Hillary Clinton.
George Soros a aussi directement aidé des centaines de médias, d’associations, d’écoles de journalisme aux États-Unis et à l’étranger avec des dons allant de 5000 $ à 32 millions de dollars. Dans le détail aux US, il a aidé
  • le Center for Investigative Reporting[2] (CIR) à hauteur de 3 millions $, ONG californienne ouvertement opposé à Trump qui rassemble tout un ensemble de micro-médias qui diffusent leur contenu en ligne, à la radio ou par écrit ;
  • le New America Media[3] à hauteur de 3 millions $, réseau de médias en ligne et de journaux se présentant comme le rassemblement de 3 000 agences d’informations ethniques à travers les US. Ce réseau médiatique multiculturaliste s’est spécialisé dans le lobbying visant à libéraliser la politique d’immigration aux US ;
  • The American Prospect Revue[3] à hauteur de 1,4 millions $ située à gauche du camp démocrate et fortement opposé à Trump.
  • Le Media Research Center[4] a précisé
    • « les solides liens financiers, honorifiques et personnels avec Columbia. Les fondations Open Society de Soros ont donné 9 708 486 $ à l’Université Columbia depuis 2000»
    • et pour plus de 400 millions de dollars au financement de collèges et d’universités dans le monde entier. Avec son influence considérable, la Columbia est devenue une force pour l’OSF afin d’orienter les lignes éditoriales du journalisme de demain.
  • Free Press[5] qui œuvre pour la neutralité du web jour Free Press est l’un des outils des groupes de Soros les mieux financés car il est relié au Center for American Progress[6] (CAP), un influent think-tank de gauche soutenu à hauteur de 7,3 millions de dollars par George Soros.
Le New York Times a également révélé[7] via la journaliste Asra Nomani que George Soros soutient financièrement plus de 50 « partenaires »de la Marche des femmes qui a lieu à Washington le jour de la prise de fonction du nouveau président américain.
  • Pour le journal, cette marche de protestation présentée comme une « marche des femmes » est en fait une marche des femmes qui sont anti-Trump.
  • L’OSF a aussi financé aussi le Media Development Investment Fund [8]à hauteur de 32 millions $, fonds qui investit dans les médias indépendants à travers le monde principalement dans des pays où l’accès à « des médias libres et indépendants est menacé ».
Le MDIF a ainsi investi plus de 153 millions de dollars dans plus de 100 entreprises d’information indépendantes dans 39 pays depuis 1996.
  • L’ONG internationale de cyber militantisme Avaaz [9] lancée en 200a été financée par Soros jusqu’en 2009 à hauteur de 1,2 million $, le journaliste américain John Hanrahan ancien journaliste du Washington Post précise dans un article concernant Avaaz intitulé « Duping progressive into War »[10], l’ONG avait joué un rôle important dans la mobilisation en faveur d’une zone d’exclusion aérienne en Lybie dont les conséquences ont été une guerre civile, une montée de l’extrémisme et un afflux de migrants sur le continent européen.

  • De même sur son site internet Avaaz a à nouveau publié le 14 mars 2018 une pétition [11] signée à ce jour par 888 000 personnes pour un boycott de la coupe du monde en Russie
    • « En tant que citoyens du monde entier, nous vous exhortons à ne pas participer à la Coupe du monde en Russie tant que les bombardements d’enfants syriens n’auront pas cessé. Aucun pays, aucune équipe, aucun joueur ne devrait cautionner cette violence en chantant les louanges du régime russe pendant la Coupe du monde. Nous vous demandons de veiller à ce que le sport soit au service de la paix, pas de la guerre».

La montée des résistances aux ONG intrusives

RUSSIE Sergei Stankevich f212cea143e17ea36f20226ceda276f3             Sergei Stankevich 
Dans l’entretien de Vladimir Ardaev Sergei Stankevich indique
«toutefois, ses activités font face à une résistance de plus en plus féroce des gouvernements nationaux. Ce qui s’est passé en Russie se passe aujourd’hui dans beaucoup d’autres pays, et le nombre de ces pays est en croissance».

En Russie, OSF depuis 2015 est considéré comme indésirable et ses activités ont été interdites. 

Son implantation avait eu lieu dans les années 1990, lorsque le pays s’était engagé sur la voie des réformes libérales et démocratiques. 
En Israël, le ministère israélien des Affaires étrangères a publié une déclaration en rapport avec Soros, déclarant que
« cet homme a encore et encore essayé de saper le gouvernement démocratiquement élu d’Israël en soutenant diverses organisations qui répandent des mensonges contre lui…et essayer de le priver du droit de légitime défense».
En Hongrie, une loi sur l’éducation a été adoptée, qui a permis la fermeture de l’Université d’Europe centrale (CEU), fondée et parrainée par Soros. Malgré des manifestations, la loi a été promue par le premier ministre hongrois Viktor Orbán, qui avait accusé à plusieurs reprises des dizaines d’institutions financées par l’OSF d’essayer d’influencer la politique de son pays, en particulier sa position son programme sur l’immigration.
Par ailleurs, les autorités polonaises ont décidé de bloquer les transferts du fonds Batory, financé par Soros, qui implantée Norvège ONG polonaises pour parvenir à un changement de gouvernement d’ici 2020. Rien qu’en 2014 Batory a distribué parmi les institutions en Pologne environ 31,7 millions d’euros.
Les autorités polonaises soulignent que malgré la «promotion de la démocratie parlementaire» comme objectif, ces ONG attaquent les valeurs catholiques traditionnelles qui sont soutenues à la fois par la majorité de la population et par le gouvernement.
REPUBLIQUE TCHEQUE Milos Zeman,4991400_milos-zeman-prezident-v0                               Milos Zeman,
À son tour, le président de la République tchèque, Milos Zeman, a accusé l’OSF de tentatives d’interférer dans les affaires intérieures du pays européen.
En Roumanie, les fondations Soros financent environ 90 organisations engagées dans des activités politiques douteuses et organisent des manifestationsÀ cet égard, le Parti socialiste de Roumanie appelle déjà à des contrôles plus stricts sur les organisations non gouvernementales.
Des politiciens de Bulgarie, de Serbie et de Slovaquie ont également fait des déclarations similaires.
En Israël, la Knesset, débat actuellement d’un projet de loi que les médias locaux appellent la «loi Soros». S’il est approuvé, il bloquera le flux d’argent vers plusieurs organisations à but non lucratif de l’OSF.
En Italie, le Président du Conseil Giuseppe Conte a annoncé qu’une enquête allait être menée sur le financement des ONG pro-immigration, notamment par l’OSF.
Les dernières élections américaines ainsi que le Brexit ont montré que l’influence de l’OSF est moins efficace car les révélations récentes de Wikileaks et DCleaks et l’écho des médias alternatifs ont affaibli leur crédibilité.

Le contre-pouvoir aux ONG et à la globalisation se met donc progressivement en place mais l’Union Européenne est déjà fracturée.

USA SOROS open-society-migrants-cmap
Fabien Denis

vendredi 29 juin 2018

Scandale de la Dépakine : l’État va négocier avec Sanofi pour indemniser les victimes (France)


Source : PHOTOPQR/LE REPUBLICAIN LORRAIN/Julio Pelaez

Le scandale de la Dépakine, est la suite de plusieurs autres, dont le Médiator, mais aussi le Requip, le Vioxx, Distilbène, et Thalidomide. Au lieu de faire cesser les agissement ce Big Pharma, l’État va quémander un geste de la part de cette même industrie pharmaco-chimique qui va continuer à produire ses médicaments aux effets secondaires. Nous renvoyons aux lecteurs au livre d’Antoine Béguin et de Jean Christophe Brissard : « Effets secondaire – Le scandale français«  aux éditions First Éditions.

La Dépakine a provoqué des malformations et des troubles neuro-développementaux chez des dizaines de milliers d’enfants dont les mères étaient sous traitement…
L’Etat discutera avec le groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis sur les montants d’indemnisation face aux malformations et troubles de développement causés par le valproate. Cette substance prescrite pendant un demi-siècle contre l’épilepsie et les troubles de l’humeur mais dangereuse pour les fœtus, a annoncé lundi la ministre de la Santé, Agnès Buzyn.
La ministre était interrogée sur France Inter au sujet de la  Dépakine de Sanofi et d’autres médicaments responsables depuis 1967, selon l’Assurance maladie et l’Agence du médicament (ANSM), de malformations chez 2.150 à 4.100 enfants, et de troubles neuro-développementaux chez 16.600 à 30.400 enfants.

Source : 20minutes.fr

Citibank, Arab Bank stop money transfers to Palestine NGO after pressure from Israel lobby

source : Middle East Monitor
June 28, 2018 at 12:24 pm | Published in: BDSEurope & RussiaInternational OrganisationsIsraelMiddle EastNewsPalestineUK

Citibank logo


UK Lawyers for Israel (UKLFI) announced on Tuesday that their group had succeeded in stopping Citibank and the Arab Bank from allowing donations to be transferred to the NGO Defence for Children International Palestine (DCI-P).
UKLFI hailed the move, claiming that DCI-P had some members who were also connected with the Popular Front for the Liberation of Palestine (PFLP), a leading member of the Palestinian Liberation Organisation, considered a terror organisation by Israel.
“UKLFI wrote to Citibank and to Arab Bank in May 2018, highlighting DCI-P’s links to the terrorist groups, and requested that Citibank and Arab Bank withdraw their banking services to DCI-P. Now these banks no longer provide banking services to the terror linked NGO,” UKLFI said in a statement.
DCI-P is an NGO that provides free legal aid for Palestinian children arrested by the occupation and documents Israeli human rights violations in the occupied territories. Established over 20 years ago, the organisation holds consultative status on the United Nations Economic and Social Council, UNICEF, UNESCO and the Council of Europe.
The group is also a long standing member of the Boycott, Divestment and Sanctions (BDS) campaign, a non-violent means of protest against the occupation, which Israel has deemed anti-Semitic, despite the movement’s sole focus on Israel’s human rights violations.
This is not the first time that organisations outside of Israel have withdrawn support from infrastructure projects in the occupied territories, alleging that Palestinian institutions support terrorism.
In November last year, the Belgian Foreign Ministry announced that it had suspended funding for a Palestinian school in the occupied West Bank after it changed its name to honour a Palestinian resistance fighter.
In August, Switzerland revealed that it had stopped funding a Palestinian NGO after it emerged that the organisation had provided funds to the Women’s Affairs Technical Committee, a group that endorses the Boycott, Divestment and Sanctions (BDS) campaign, and had also named a youth centre after resistance fighter Dalal Mughrabi.
Israeli lobby groups have often been behind such action, after convincing policymakers and businesses that any attempts at Palestinian resistance, including support of the non-violent BDS movement, equates to terrorism. In May 2017, Israel pressured the Danish government into suspending support and funding to groups that advocated for a boycott of Israeli goods.
The Israeli government has also repeatedly claimed that independent organisations and the Palestinian Authority providing crucial subsidies to the families of those impacted by the occupation, are rewarding “terrorists”. Palestinian officials have said the payments support relatives “who lost their breadwinners to the atrocities of the occupation, the vast majority of whom are unduly arrested or killed by Israel”.
(Israël veut étrangler économiquement les palestiniens tout en s'arrogeant le droit de les massacrer. note de rené)

 US threatens India with sanctions
source : Middle East Monitor
June 28, 2018 at 3:47 pm | Published in: Asia & AmericasIranMiddle EastNewsUS

US President Donald Trump [Wikipedia]

June 28, 2018 at 3:47 pm

President Trump has threatened to impose sanctions against India if it continues to import oil from Iran. Issuing a strict warning yesterday, the US said that there is a “zero waiver on any nation dealing with Iran”.  A state department official who was prompted by a reporter to clarify if that would include New Delhi and Beijing said “on China and India, yes, certainly”.
The official, Indian sources reported, further warned New Delhi of secondary sanctions for going against the ban. He added that Indian and Chinese companies would be subject to the same sanctions as those in other countries.
This is a blow to India. Iran is a major source of oil for the country which is the third biggest market for petrol, behind the US and China.
Trump’s reluctance in giving any concession is likely to infuriate the Indians further. Soon after US President Donald Trump announced that he would be pulling out of the Iran nuclear deal in May, External Affairs Minister Sushma Swaraj said: “India follows only UN sanctions and not unilateral sanctions by any country.”
Trump’s withdrawal from the nuclear deal known as the Joint Comprehensive Plan of Action (JCPOA) was a major setback for India’s Prime Minister, Narendra Modi. The leader of the right-wing Bharatiya Janata Party (BJP) party had manged to make significant political gains due in large part to cheap oil price. Iran has been a major source of oil for Delhi, which requires uninterrupted supply of energy to meet its goal of bringing electricity to 300 million Indians living in rural parts of the country.
Analysts have pointed out that this strategy is a matter of survival for the BJP, and that a huge party governing 1.3 billion people isn’t going to sacrifice its electoral strategy for the sake of Trump’s pique and his national security advisor John Bolton’s war-mongering.
(Il se rend pas compte que les pays vont s'organiser pour échanger en s'en foutant des sanctions américaines. Par exemple, en n'utilisant dans leurs produits finis aucun composant d'origine américaine, en se passant du dollars pour les transactions commerciales, et en créant leurs propres outils pour les investissements financiers. note de rené)


Ireland to discuss bill banning Israel settlement produce

source : Middle East Monitor
June 28, 2018 at 11:46 am | Published in: Europe & RussiaIrelandMiddle EastNewsPalestine


Ireland’s parliament will discuss a bill promoting a ban on Israeli settlement goods next month, after a postponement in January, reported Haaretz.
In a tweet posted yesterday, Irish Senator Frances Black announced “on July 11th, my bill to ban illegal #SettlementGoods is in the Seanad”.
Black added: “We’re close to a historic move for justice in #Palestine, but I need your help! Plz take 2m to ask your TDs & Senators to support the bill.”
The senator also posted a video urging Irish citizens to tell their lawmakers to back the initiative to boycott produce made in Israel’s illegal settlements in the occupied Palestinian territory.
Haaretz notes that “the discussion at the Irish senate regarding the bill was postponed in January after Ireland’s Ambassador to Israel, Alison Kelly, was summoned for a talk at the Foreign Ministry to clarify the legislative initiative at the demand of Prime Minister Benjamin Netanyahu.”
Kelly told Netanyahu that the Irish government actually opposed the bill, and subsequently informed Rodica Radian-Gordon, the Israeli Foreign Ministry’s deputy director-general for Western Europe, “that the bill was not a Boycott, Sanctions and Divestment movement-linked initiative”.
At the time, slamming the bill, Netanyahu said its sole purpose was to “support the BDS movement and hurt the State of Israel”. The Prime Minister’s Office stated that the bill “backed those who wish to boycott Israel and completely opposes the guiding principles of free trade and justice”.
As recalled by Haaretz, “a group of Israeli activists, among whom were former Knesset members, lawyers, former ambassadors, artists and academics, penned a letter asking Irish lawmakers to support the bill” in January.
(Tous les pays du monde devrait adopter le boycott contre Israël pour l'obliger à arrêter son massacre des palestiniens. note de rené)

Refuzniks : ces Israéliens qui refusent de rentrer dans l’armée

Refuzniks : ces Israéliens qui refusent de rentrer dans l’armée
À LA UNEECONOMIEPOLITIQUE— 20 octobre 2017
Rothschild en Ukraine: Main mise sur le hub gazier de l’Europe.

Rothschild décroche un appel d’offres pour privatiser le système de transport de gaz en Ukraine:  

« main mise sur le hub gazier de l’Europe »


Pour celles et ceux qui se demandent pourquoi le Maïdan, et la guerre en cours dans le Donbass ont lieu, l’un des motifs les plus évidents est le motif géopolitique des États-Unis, qui veulent couper l’Ukraine de la Russie (voir « Le Grand échiquier » de Zbigniew Brzezinski) et rapprocher ainsi encore un peu plus les bases, soldats et missiles de l’OTAN des frontières de cette dernière.
Mais il y a derrière toute cette géopolitique qui sert les intérêts américains, des intérêts financiers supranationaux évidents. Bien avant le Maïdan, et encore plus après, bon nombre de compagnies ont lorgné sur l’Ukraine.
  • De Monsanto qui rêve de racheter les terres agricoles ukrainiennes[1] à pas cher pour faire pousser des OGM sur le tchernoziom (cette terre très fertile qui se trouve en Ukraine, et qui en a fait historiquement le grenier à blé de l’URSS),
  • aux entreprises de gaz de schiste[2] (dont certains champs gaziers visés sont je vous le donne en plein dans le mille, dans le Donbass[3]),
  • en passant par ceux qui espèrent racheter les usines ukrainiennes pour une bouchée de pain une fois son industrie détruite par la rupture des relations économiques avec la Russie,
Il y a là de quoi s’enrichir sur le dos du peuple ukrainien. Et tant pis si celui-ci finit dans la guerre civile et la misère.
Il faut rajouter à ces cibles presque purement financières (car alimentation et énergie ont aussi une portée géopolitique évidente), une cible qui est à la fois lourde sur le plan géopolitique et sur le plan financier :

Le réseau de transport gazier.

Car l’Ukraine est un nœud gazier central pour la livraison du gaz russe à l’Europe, comme le montre cette carte du groupe Gazprom :
Gazoducs russes
carte à cliquer pour agrandir
C’est d’ailleurs cette position centrale dans la livraison du gaz, dont l’Europe a tant besoin (la Russie fournissant près du tiers du gaz consommé en Europe EN 2016[4]), et les conflits récurrents entre l’Ukraine et la Russie depuis le premier Maïdan de 2004, qui représentent un danger pour l’approvisionnement du continent.
Ce n’est pas pour les beaux yeux de Porochenko que Merkel et Hollande ont tant poussé pour la signature des accords de Minsk. Mais parce que l’Allemagne a vu là le risque de voir l’Ukraine s’effondrer totalement, et ses approvisionnements en gaz russe avec.
C’est aussi à cause de cela, que l’Allemagne pousse à présent pour la construction du gazoduc Nord Stream 2, qui lui permettra de continuer à recevoir directement le gaz russe, en contournant le nœud problématique que constitue l’Ukraine actuelle.
L’Ukraine exerce un chantage sur l’Europegrâce au fait qu’elle a la main sur le robinet et peut couper ou prélever une partie de l’approvisionnement en gaz de l’UE (il faut rappeler que l’Ukraine a ainsi volé jusqu’à 15 % du gaz destiné à l’Europe lors du conflit gazier qui a éclaté [5] après le premier Maïdan, la révolution orange). C’est ce qui explique les réactions hystériques de Kiev concernant les projets Turkish Stream et Nord Stream 2 [6], qui la priveraient de son pouvoir de nuisance, et donc de son poids géopolitique.
Une fois posé ce cadre, on comprend mieux l’importance de l’information qui a été publiée par Interfax le 13 octobre[7] (version anglaise disponible ici[8]), sur le fait que la banque Rothschild basée à Milan (Italie), a remporté l’appel d’offre pour fournir des services de banque d’investissement à Naftogaz [9] pour dégrouper les activités de transport gazier et trouver des partenaires pour gérer le système de transport de gaz en Ukraine.
Si la valeur du contrat de la banque Rothschild se monte à 98 millions de Hryvnias (soit 3,15 millions d’Euros), le coût total évalué pour ce travail est estimé à 193,3 millions de Hryvnias (soit 6,213 millions d’Euros), comme le montre la fiche de l’appel d’offre sur le site du système ProZorro.[10]
Tout ce charabia peut sembler un peu obscur, alors je vais expliquer un peu ce que cela recouvre et les implications de ce contrat.
  • Tout d’abord qu’est-ce que le dégroupage ?

Il faut savoir que Naftogaz (société détenue à 100 % par l’état ukrainien), comme indiqué sur son site [11], gère toute la filière du gaz, mais aussi du pétrole, de la production jusqu’à la distribution en passant par le transport. La partie gestion du réseau de transport gazier est dévolue à sa filiale Ukrtransgaz [12] (100 % détenue par Naftogaz et donc par l’état ukrainien).
Ça c’est la situation actuelle, en gros via sa filiale Ukrtransgaz, Naftogaz contrôle et gère les gazoducs qui parcourent le pays. C’est d’ailleurs Naftogaz qui paye Gazprom (le fournisseur de gaz russe), pour le gaz que reçoit l’Ukraine de son voisin (et les factures impayées de Naftogaz sont à l’origine des conflits gaziers entre les deux pays).
  • Alors qu’est-ce que cet appel d’offre va changer ?

Dégrouper le système de transport du gaz en Ukraine signifie que ce dernier va s’ouvrir à la concurrence. En clair le système de transport du gaz (les gazoducs) contrôlé jusqu’ici par une entreprise d’état, va être vendu (d’abord partiellement, puis sûrement totalement par après) à des sociétés privées.
  • Et c’est là que Rothschild intervient en tant que « banque d’investissement ».

Le rôle de la banque va être de conseiller Naftogaz pour choisir la ou les meilleures sociétés à qui revendre des morceaux/parts du système de transport gazier qu’elle détient. En clair, comment privatiser le réseau public tout en retirant un maximum de bénéfices.
L’idée à terme c’est que le hub gazier ukrainien n’appartienne plus à l’État ukrainien, mais à une ou des entreprises privées, et donc finalement aux investisseurs et à des banques comme Rothschild, qui ne va certainement pas se gêner pour placer en avant comme acheteurs des sociétés qu’elle finance (via des prêts ou des actions/obligations) ou conseille, afin elle aussi d’en retirer un maximum de bénéfices.
Dès lors ce ne sera plus l’Ukraine en tant qu’état qui aura la main sur le robinet de gaz de l’Europe, mais des entreprises privées et des banques, dont certainement la banque Rothschild (dont le passif en terme d’investissements sanglants, dès le 19e siècle, est facile à trouver en ligne sur Investopedia [13] ou le site du Telegraph [14]).
L’Ukraine est en train d’être dépecée et vendue morceau par morceau sur le marché, pour le plus grand bénéfice des financiers. Et au vu de l’importance géopolitique, stratégique et financière du hub gazier qu’est l’Ukraine, il est plus qu’inquiétant de voir des banques d’investissement au passif aussi sanglant que celui de la banque Rothschild mettre la main dessus.
Il faut garder à l’esprit qu’à l’heure actuelle, la plupart des guerres des dernières décennies dans le monde, et celles qui se préparent, sont avant tout des guerres de ressources naturelles (pétrole, gaz, métaux précieux), et que ces guerres sont un marché très rentable pour ceux qui investissent dedans.
Certaines familles, comme celle des Rothschild, se sont ainsi énormément enrichies, sur le sang et la mort de soldats qui croyaient défendre leur patrie, mais n’étaient là que pour participer à l’enrichissement de quelques-uns.
Christelle Néant
hub-gazier-ukraine 2017.10.18
LIENS[]
  1. https://blogs.mediapart.fr/victorayoli/blog/291014/lukraine-selon-monsanto-et-consorts
  2. http://www.nytimes.com/2013/01/25/business/global/ukraine-signs-drilling-deal-with-shell-for-shale-gas.html
  3. https://www.reuters.com/article/ukraine-shalegas/emerstone-energy-wins-ukraine-shale-search-after-shell-pulls-out-idUSL8N1AD3EH
  4. https://francais.rt.com/economie/31357-gazprom-russie-a-couvert-tiers-consommation-europenne-gaz-2016
  5. http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/01/07/conflit-gazier-la-russie-va-rencontrer-les-partenaires-europeens_1138642_3234.html
  6. https://fr.sputniknews.com/presse/201706281032022850-ukraine-pont-kertch-gazoduc-nord-stream-armes/
  7. http://interfax.com.ua/news/economic/454793.html
  8. https://dninews.com/article/rothschild-manage-ukraines-gas-transportation-system
  9. https://fr.wikipedia.org/wiki/Naftogaz
  10. https://prozorro.gov.ua/en/tender/UA-2017-09-01-001547-c
  11. http://www.naftogaz.com/www/3/nakweben.nsf/0/B47EB440D5B8001CC2257F3800340536?OpenDocument&Expand=1&
  12. http://utg.ua/en/utg/company/ukrtransgaz-today.html
  13. http://www.investopedia.com/updates/history-rothschild-family/
  14. http://www.telegraph.co.uk/finance/personalfinance/investing/11961310/How-to-invest-like-the-Rothschild-dynasty.html
sansapriori | 18 octobre 2017