vendredi 21 octobre 2011

Salut à tous ceux qui me ressemblent, "Sommes-nous des victimes ou des gens qui allons nous battre ?"

Bon, un mot pour kadhafi, il est mort comme un bédouin, en combattant, dans l'honneur.
Ce n'est pas pour cela que je dirais "paix à son âme".
Il était pourri jusqu'à l'âme, mais, il a su se battre. Et, de ce combat, sans doute, une légende naîtra.
En attendant, le printemps arabe s'étend jusqu'au Malawi, finira-t-il par atteindre le Zimbabwe et marquera la fin de son président "à vie", Robert Mugabe ?

(source : Irin news)

Analyse: Un « printemps arabe » au Malawi ?
Photo: US Embassy in Malawi
Le Président malawite Bingu wa Mutharika
JOHANNESBOURG, 26 juillet 2011 (IRIN) - La crainte de voir un Etat à la démocratie balbutiante retomber dans un régime à parti unique a provoqué la semaine dernière au Malawi deux jours de manifestations qui se sont soldées par la mort d’au moins 18 personnes, ont indiqué des analystes à IRIN.
La réaction brutale des forces de sécurité aux manifestations – celles-ci auraient utilisé des tirs à balles réelles – à Lilongwe, la capitale, à Blantyre, la deuxième ville du pays, et à Mzuzu, la plus grande ville du nord, ne sont pas sans rappeler le « Printemps arabe » de 2011, mais « le contexte est entièrement différent », a dit à IRIN Judy Smith-Höhn, directrice de recherche sur l’Afrique australe à l’Institut d’études de sécurité (ISS), un groupe de réflexion sud-africain basé à Pretoria.
(...) Les griefs des manifestants malawites concernaient notamment la législation répressive sur les médias et la médiocrité de la gestion de l’économie. L’analyste politique de Lilongwe, Augustine Magolowondo, a parlé à IRIN du « sentiment de trahison » éprouvé par l’électorat quand les élections de 2009 ont vu le Président Bingu wa Mutharika très majoritairement soutenu pour un deuxième mandat.
« Une majorité de Malawites font le lien entre ce qui se passe actuellement et l’époque de l’autoritarisme à parti unique ; ce qui est en train d’apparaître, c’est la résistance du peuple contre ce genre d’évolution »
« Une majorité de Malawites font le lien entre ce qui se passe actuellement et l’époque de l’autoritarisme à parti unique ; ce qui est en train d’apparaître, c’est la résistance du peuple contre ce genre d’évolution… [face à M. Wa Mutharika] qui restreint les droits civiques et politiques et mine de plus en plus, pour ne pas dire suffoque, les institutions démocratiques qui l’obligent à rendre des comptes, » a t-il dit."

En tout cas, il se rapproche du Zimbabwe, mais, en Afrique noire, il a fort à faire.
A part, cela et pour finir, il paraît que les banques françaises ne rencontrent aucun problème de fond propre.
Alors, là, mes quatre chers lecteurs, je suis mort de rire.
Prenons, l'exemple de la BNP.
Il y a pas très longtemps, les clients qui avaient perdu leur carte bleu, même avec leur carte d'identité ne peuvent plus retirer de l'argent dans une autre agence que la leur.
A ce moment, j'ai dis "Bizarre".
Désormais, les clients de la BNP ne peuvent plus payer des achats en ligne avec leur carte de crédit.
Alors, là, je dis, "Au secours !"
Pourquoi ?
Parce cela signifie que cette banque essaie de conserver un maximum ses liquidité.
Cela signifie qu'elle est proche de la faillite.
Et, que, si, j'étais, vous, je me tirerais de cette banque, vite fait.
Mais, non, je plaisante, il paraît que ce ne sont que des rumeurs, même, si, les personnes qui m'ont en parlé sont bien réelles.
Ah, oui, j'oubliais, le gouvernement a négocié un plan secret pour refinancer les banques à hauteur de 15 milliards d'euros avec notre argent.
Pourquoi secret ?
Parce qu'en période d'élection, c'est un truc à couler sarko.
Et, pourtant, ils vont le faire....en secret.
Et, nos camarades socialistes feront la même.
Alors, la question est, "Combien l'aide au banques va coûter d'emplois dans les services publics, dans les hôpitaux, l'éducation nationale, dans le salaire des chercheurs, des policiers, des gendarmes et tutti quanti, sans compter la réduction des petites retraites.
Ben, moi, bêtement, je vais vous le dire, la Grèce est leur laboratoire, alors, ils vont baisser les salaires et le reste.
Vous, ne me croyez pas, tant pis, pour vous, mes quatre chers lecteurs, surtout, si, vous faites parti de la classe moyenne. Parce que, de toute façon, vous êtes sacrifiés.
Demain, je vous expliquerais pourquoi.
A bientôt.
René.

PS : de toute façon, j'ai un compte à régler avec les banques, je compte bien racheter ma banque, le crédit lyonnais, lcl, pour un euro symbolique.

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