lundi 30 avril 2018

US has regressed to developing nation status, MIT economist warns
Peter Temin says 80 per cent of the population is burdened with debt and anxious about job security 



America is regressing to have the economic and political structure of a developing nation, an MIT economist has warned. 
Peter Temin says the world's’ largest economy has roads and bridges that look more like those in Thailand and Venezuela than those in parts of Europe. 
In his new book, “The Vanishing Middle Class", reviewed by the Institute for New Economic Thinking, Mr Temin says the fracture of US society is leading the middle class to disappear. 

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Volunteers from the Midnight Mission help feed the homeless and poor during its annual Easter/Passover celebration at Skid Row in Los Angeles, California (GettyImages)
The economist describes a two-track economy with on the one hand 20 per cent of the population that is educated and enjoys good jobs and supportive social networks. 
On the other hand, the remaining 80 per cent, he said, are part of the US’ low-wage sector, where the world of possibility has shrunk and people are burdened with debts and anxious about job security. 
Mr Temin used a model, which was created by Nobel Prize winner Arthur Lewis and designed to understand developing nations, to describe how far inequalities have progressed in the US. 
When applied to the US, Mr Temin said that “the Lewis model actually works”
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Homeless men try to stay warm in a Manhattan church on an unseasonably cold day in New York City (Getty Images)
He found that much of the low-wage sector had little influence over public policy, the high-income sector was keeping wages down to provide cheap labour, social control was used to prevent subsistence workers from challenging existing policies and social mobility was low. 
Mr Temin also claims that this dual-economy has a “racist” undertone. 
“The desire to preserve the inferior status of blacks has motivated policies against all members of the low-wage sector.
“We have a structure that predetermines winners and losers. We are not getting the benefits of all the people who could contribute to the growth of the economy, to advances in medicine or science which could improve the quality of life for everyone — including some of the rich people," he writes. 
Commenting on Mr Temin’s findings, Lynn Parramore, senior research analyst at the Institute for New Economic Thinking, writes: “Without a robust middle class, America is not only reverting to developing-country status, it is increasingly ripe for serious social turmoil that has not been seen in generations.” 
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Female jail inmates are chained together as they bury cadavers at Maricopa County's pauper's graveyard in Phoenix, Arizona (Joe Raedle/Liaison)
Mr Temin says that education is the solution to offer everyone in society better opportunities and calls for investments in public schools and public universities. 
He says: “Knowing how to think, how to get on with people, how to cooperate. All the social skills and social capital … [are] going to be critically important for kids in this environment." 


(Et, voilà, les States considérés par le MIT comme un pays sous-développé. C'est ça, un pays dominé par les oligarques. C'est ce que macron veut pour la France, un peuple de serfs au service d'une élite dominante dont lui. note de rené)

Archéologie interdite 2016 - Civilisation ancienne du bresil - documenta...(On commence à être d'accord, estimation de 30 à 40.000 ans, les hommes de caverne au Brésil plutôt que 15.000 ans comme continuent à l'affirmer les américains. Encore un petit effort et nous serons d'accord. note de rené)

Poutine et Macron rappellent leur attachement à l'accord sur le nucléaire iranien (VIDEO)

Poutine et Macron rappellent leur attachement à l'accord sur le nucléaire iranien (VIDEO)© Ian Langsdon Source: Reuters
Le président français Emmanuel Macron et son homologue russe Vladimir Poutine à Hambourg le 8 juillet 2017. (image d'illustration)
Les présidents français et russe ont de nouveau affirmé leur attachement à l'accord sur le nucléaire iranien de 2015. Emmanuel Macron souhaite néanmoins l'adoption de trois nouveaux «piliers», dans l'espoir de maintenir Washington dans l'accord.
Le président français Emmanuel Macron et son homologue russe Vladimir Poutine se sont accordés, lors d'une conversation téléphonique ce 30 avril citée par le Kremlin, sur la nécessité de préserver et de mettre pleinement en œuvre l'accord sur le nucléaire iranien de 2015. Ils en appellent, une fois encore, à son maintien et à sa «stricte application», alors que le président américain Donald Trump n'a pas encore annoncé s'il décidait de sortir de cet accord.

Donald Trump doit décider le 12 mai si les Etats-Unis sortent de l'accord 

Selon un communiqué du Kremlin, cet appel a eu lieu à l'initiative de l'administration française. Les services de l'Elysée ont quant à eux publié sur Twitter une vidéo tournée dans l'avion présidentiel au moment où le chef de l'Etat entame sa conversation avec Vladimir Poutine. 
«L'Iran ne doit jamais posséder l'arme nucléaire. La stabilité de la région et la sécurité internationale en dépendent. Nous y travaillons, comme nous devons aussi œuvrer pour une paix juste en Syrie», peut-on lire en commentaire de ce tweet-vidéo.
Lors de sa récente visite aux Etats-Unis, Emmanuel Macron avait formulé une série de propositions à Donald Trump pour tenter de préserver l'accord sur le nucléaire iranien, signé par Téhéran, l'Union européenne et six Etats dont les Etats-Unis. Selon la proposition française, l'accord actuel deviendrait le premier des «quatre piliers» d'un futur texte. Les autres «piliers» concerneraient l'après-2025, quand certaines clauses sur les activités nucléaires expireront.
L'Iran a pour sa part fait savoir qu'il n'accepterait «aucune restriction au-delà de ses engagements» actuels, battant en brèche l'offre française. La Russie, de son côté, a déclaré qu'elle ne voyait «pas d'alternative» à l'accord.
Donald Trump doit annoncer le 12 mai prochain s'il maintient son pays dans l’accord signé en juillet 2015, après de longues négociations entre les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, ainsi que l'Union européenne et l'Iran.

(Comment, macron prend trump et poutine pour ses électeurs, il leur raconte ce qu'ils veulent entendre. Bref, il les prend pour des cons ! note de rené)

Syrie: combats meurtriers entre le régime et une coalition arabo-kurde dans l’est 

AFP SOURCE : LE JOURNAL DE MONTRÉAL
Dimanche, 29 avril 2018 08:45
MISE à JOUR Dimanche, 29 avril 2018 14:41

Des combats meurtriers ont éclaté dimanche dans l’est de la Syrie entre une coalition arabo-kurde soutenue par Washington et les forces de Bachar al-Assad, une confrontation rare malgré quelques incidents sanglants ces derniers mois.
Neuf combattants prorégimes, et six des Forces démocratiques syriennes (FDS), une coalition dominée par les Kurdes alliée des Etats-Unis, ont été tués dans ces affrontements dans la province de Deir Ezzor, frontalière de l’Irak, a précisé l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Les forces du régime ont conquis à la mi-journée quatre villages, selon l’agence officielle Sana, mais quelques heures plus tard les FDS reprenaient le contrôle de trois d’entre eux, a rapporté l’Observatoire.
La coalition internationale emmenée par Washington, qui soutient les FDS, a confirmé une «attaque» des forces prorégimes, précisant qu’elle avait oeuvré à une «désescalade de la situation», selon un communiqué en réponse à des questions envoyées par l’AFP, sans plus de précisions.
Riche en pétrole, la province de Deir Ezzor était autrefois tenue par le groupe jihadiste État islamique (EI), mais il a été chassé de la plupart des zones qu’il contrôlait à la suite d’offensives distinctes et concomitantes menées l’été dernier par les FDS et le pouvoir syrien.
L’armée syrienne soutenue par la Russie et les FDS appuyées par les États-Unis s’étaient fait la course pour contrôler les territoires de cette province.
Aujourd’hui, le régime tient la ville de Deir Ezzor, chef-lieu de la province, mais aussi toute la rive ouest de l’Euphrate, tandis que les FDS sont stationnées sur la rive orientale du fleuve.
«L’objectif du régime est de protéger la ville, en repoussant les combattants des FDS qui se trouvent sur la rive est en face de la cité», a dit à l’AFP le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane.
Autonomie kurde
Par le passé, plusieurs incidents meurtriers ont opposé les belligérants, même si une ligne dite de «déconfliction» avait été érigée pour éviter tout dérapage.
En février, une centaine de combattants prorégime avaient été tués dans des frappes de la coalition internationale à Deir Ezzor, Washington assurant que ces raids intervenaient après une offensive des forces loyalistes contre un QG des FDS.
En septembre 2017, les FDS avaient accusé la Russie d’avoir bombardé une de leurs positions tuant un de leurs combattants et en blessant d’autres.
A la faveur du conflit qui ravage la Syrie depuis 2011 et qui a fait plus de 350 000 morts, la communauté kurde, qui domine les FDS, a imposé une autonomie de facto sur les territoires sous son contrôle dans le nord du pays.
Mais le régime qui tient déjà plus de la moitié du territoire syrien grâce à l’appui militaire de Moscou, est déterminé à reconquérir l’intégralité du pays.
Dimanche, sur un autre front dans la périphérie sud de Damas, son aviation pilonnait le camp de réfugiés palestinien de Yarmouk, mais aussi le quartier voisin de Hajar al-Aswad, tenus par l’EI, selon l’OSDH.
Cette opération intervient après la reconquête totale des territoires rebelles dans la Ghouta orientale, près de Damas, annoncée à la mi-avril, après des semaines de bombardements meurtriers et des accords d’évacuation imposés aux insurgés.
«Ruelles étroites»
Des colonnes de fumée s’élevaient des abords de Yarmouk après des frappes aériennes, tandis que les tirs des francs-tireurs étaient entendus dans le secteur, a rapporté un correspondant de l’AFP qui participait à une visite de journalistes organisée par les autorités.
«L’opération ici est différente de celle de la Ghouta orientale», assure une source militaire. «Ici, les bâtiments sont collés les uns aux autres et les ruelles sont étroites, ce qui ne permet pas le passage des chars», poursuit-il.
Par ailleurs, un accord a été conclu entre le régime syrien et des rebelles pour leur évacuation de localités de la banlieue sud de Damas, adjacentes au camp de Yarmouk.

(Contrôlés par les américains les kurdes perdent leur chance d'obtenir une large autonomie. Le gouvernement syrien a un besoin vital de récupérer les champs pétrolifères pour financer la reconstruction. Les kurdes, entourés de pays hostiles ne pourront même pas l'exporter, surtout depuis que l'accès à Israël a été coupé. note de rené)

Petite réflexion sur l'Allemagne, mes chers cinq lecteurs.


La politique américaine de sanctions contre la Russie va mettre l’Allemagne à genoux, celle à prévoir contre la Chine va l’achever. Et, vu que merkel en est à négocier pour que ses exportations soient touchées à minima vers les States, elle va s’y soumettre. Bientôt, elle sera comme la France, un caniche courant derrière trump.
Cette formulation peut paraître « insane » comme disent les anglais, mais, elle me paraît juste.

rené