lundi 29 avril 2024

Journal de guerre: Jour 206 (Liban)

Outrageous excess deaths (England)

Russia Captures Village Near Avdiivka, Bombards Poltava Oblast; Mass Dro...

US, UK urge Hamas to accept Israeli truce proposal in war on Gaza (Je traduis, les complices du génocide demande au hamas de se coucher. note de rené)

SCOTT RITTER / LIVE

Empêcher la destruction de la France ? François Asselineau, le grand ent... (France - L'Otan ne peut pas accepter la neutralité de l'Ukraine alors qu'elle l'a enlevée à la Finlande et à la Suède. note de rené) )

‘If Europe does not wake up, you will all be dead,’ says Naomi Wolf, aut... (USA)

This is Putin’s Nuclear RED LINE and they we about to cross it. | Morris... (USA)

Top U.S. & World Headlines — April 29, 2024 (USA)

Full, Gempur Habis Posisi Musuh, Militer Rusia Menggila di Arah Zaporozhye

 La Vie Hospitalière

GPA et marchandisation des corps

Entretien avec Olivia Maurel, née par GPA







Alors qu’elle est elle-même née d’une Gestation pour autrui (GPA), Olivia Maurel a rejoint la Déclaration de Casablanca qui réunit plus d’une centaine d’experts de nationalités différentes, qui militent auprès des états pour l’abolition universelle de ce marché de la maternité qu’est la GPA, et appellent à sa criminalisation à l’échelle mondiale.







Pour suivre la vidéo (sur le site de France Soir)



La jeune mère de famille accepte de témoigner, pour France-Soir, du douloureux parcours qui l’a amenée à combattre une pratique à laquelle elle doit pourtant la vie, et nous raconte son combat. Un combat qui l’amène à faire le tour des institutions nationales et internationales, et l’a poussée, alors même qu’elle se déclare « athée et féministe », a interpelé le Pape qu’elle a rencontré le 4 avril dernier. Une rencontre dont elle dit garder une très bon souvenir, face au souverain pontif qu’elle qualifie de « très rigolo », très bien informé et « très ouvert ». 

Auteur(s)

Laurence Beneux, France-Soir




Source : francesoir.fr

Pour plus d'informations 

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/gpa-et-marchandisation-des-corps-entretien-avec-olivia-maurel






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LUNDI 29 AVRIL 2024  la vie hospitalière

Le rapport explosif COMPLET de Sasha Latypova

 Intention de nuire


Sasha Latypova exprime le détail de son rapport complet sur le complexe militaro-industriel et Big Pharma, nous donnant une perspective irréfutable de la félonie qui sévit aujourd'hui sur Terre, incarnée par les entreprises de Biotechnologie, des services de renseignement US et d'ailleurs.







Pour suivre la vidéo (sur Odysee)

  

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Des scientifiques affirment que quelque chose semble s'être détaché de la Lune au niveau de ce cratère

Des scientifiques affirment que quelque chose semble s'être détaché de la Lune au niveau de ce cratère

 (Le truc énorme se détache de la Lune, arrive à s'arracher au peu de gravité et va se balader dans l'espace, ils nous prennent pour abrutis. note de rené)

«Les médias essaient de cacher au public: la faillite générale des banqu... (France - Respect à la femme.)

 (Un course aux armements ou à l'espace, ça peut s'entendre, conre 1 adversaire, mais contre 2, en plus des adversaires performants, c'est même pas la peine. Mieux vaut s'entendre et trouvez des créneaux de partenariats sur des projets en commun. Il serait peut-être temps pour les américains d'arrêter les guerres incessantes pour nourrir quelques milliardaires. Ce que je dis, n'est pas nouveau, c'est ce que poutine faisait avant que le deep state ne se transforme en terminator. note de rené)


US Space Force General Says China's Military Developing Space Assets At "Breathtaking Speed"

Tyler Durden's Photo
BY TYLER DURDEN  zerohedge
MONDAY, APR 29, 2024 - 06:05 AM

Authored by Frank Fang via The Epoch Times,

Gen. Stephen Whiting, commander of U.S. Space Command, recently warned about China’s “breathtakingly fast” development of space military capabilities, following his trips to South Korea and Japan.

“We are seriously focused at U.S. Space Command on our pacing challenge, which is the People’s Republic of China,” Gen. Whiting told reporters during a call from Japan on April 24.

“The People’s Republic of China is moving at breathtaking speed in space, and they are rapidly developing a range of counter-space weapons to hold at risk our space capabilities,” he added.

“They’re also using space to make their terrestrial forces—their army, their navy, their marine corps, their air force—more precise, more lethal, and more far-ranging.”

Gen. Whiting was on his first Indo-Pacific trip after becoming the head of U.S. Space Command in January, succeeding Army Gen. James Dickinson. During his trip, he met with top military leaders from South Korea and Japan, including Adm. Kim Myung-Soo, chairman of South Korea’s Joint Chiefs of Staff, and Japanese Defense Minister Minoru Kihara.

One particular concern was the number of Chinese satellites in orbit, Gen. Whiting said.

“Over the last six years, they have tripled the number of intelligent surveillance and reconnaissance satellites on orbit, and they have used their space capabilities to improve the lethality, the precision, and the range of their terrestrial forces,” he said.

“And so that obviously is a cause for concern and something that we are watching a very, very closely.”

China’s satellite fleet stood at 359 systems as of January, according to his prepared remarks for a hearing of the Senate Armed Service Committee in February. He also noted that Beijing is developing hypersonic glide vehicles along with other advanced space weaponry to “overcome U.S. traditional missile warning and ballistic missile defense systems.”

China’s ambitions with regard to the Moon are also among Space Command’s concerns.

“We’ve seen the announcements of China’s ambitions to go to the Moon. And those appear to be exploratory and scientific on the surface, but the Chinese aren’t very transparent with what they do in space,” he said.

“And so we hope there’s not a military component to that, but we would certainly welcome more transparency.”

A U.S. military report published in January warned that China and Russia are putting up dual-use satellites in space while hiding their military applications. One example is a Chinese satellite equipped with a giant robotic arm, which could be used to grapple other satellites in the future.

China is aiming to put its astronauts on the moon by 2030. Pakistan, South Africa, Belarus, and Nicaragua are among a group of nations that have signed up for a planned moon base led by China and Russia. The moon project is officially known as the International Lunar Research Station.

Gen. Whiting said he visited Japan’s Space Operations Group and emphasized the importance of the two nations working together in space.

“Their focus on space domain awareness along with ours to keep track of those threats in space that we see—and many of those are emanating from China—has put an impetus on us developing improved space domain awareness capability,” he said.

Japan is working to bring on board a deep-space radar, Gen. Whiting said, adding that the radar will benefit both nations once it archives initial operational capability.

“We expect that will provide both of our countries an enhanced understanding of what China is doing in space,” he said.

Japan and the United States are also partners in launching new satellites that will be used to conduct space domain awareness missions, according to Gen. Whiting.

In November last year, the United States, Japan, and South Korea agreed on a mechanism to share missile warning data to better track North Korea’s missile launches. The mechanism went into effect in December.

“We need to continue the excellent work in the trilateral agreement between the United States, the Republic of Korea, and Japan to share missile warning information so that that all three countries fully understand anytime North Korea launches a missile where that missile is headed, and we can provide warning to our national leadership, to our military forces, and to our populations,” Gen. Whiting said.

VILLAGE RUSSIE - 300 MILLIARDS D'AVOIRS RUSSE ... L'UE N'EN TROUVE QUE 3...

 

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    Les États-Unis tentent de tuer les troupes russes avec l’IA, mais la guerre électronique de Moscou les gêne

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    par Drago Bosnic

    En décembre de l’année dernière, les États-Unis ont annoncé qu’ils voulaient déployer des «armes de type Skynet» contre leurs adversaires géopolitiques. Les rapports pertinents ont révélé que le Pentagone utilise même une nouvelle nomenclature militaire pour un tel système, l’appelant ADA2 ou armes autonomes attritables dans tous les domaines (ADA2 or all-domain attritable autonomous weapons ; à ne pas confondre avec le même nom A2/AD ou armes anti-accès/déni de zone). À l’époque, j’avais soutenu que lorsque de tels programmes avaient une nomenclature avancée, cela impliquait clairement que lesdits systèmes d’armes étaient déjà profondément ancrés dans la stratégie américaine émergente. Les dernières révélations du tristement célèbre porte-parole néolibéral, le New York Times, viennent de confirmer mon hypothèse en révélant que le Pentagone utilise une IA avancée (intelligence artificielle) pour «tuer les troupes russes». Précisément en ces termes.

    Dans un article intitulé «En Ukraine, la nouvelle technologie américaine a gagné, jusqu’à ce qu’il soit dépassé», David E. Sanger, journaliste à la Maison-Blanche et chargé de la sécurité nationale, révèle les détails troublants du projet Maven qui était «destiné à révolutionner la guerre moderne». Sanger a remis en question la capacité du programme à «inverser la tendance», mais a tout de même expliqué comment il fonctionne. En effet, en 2018, Google a lancé un projet de 9 millions de dollars visant à développer un système d’IA avancé qui aiderait l’armée américaine à mener des guerres en utilisant des images de drones pour déterminer facilement les positions ennemies. Sanger poursuit ensuite en lançant un discours risible sur les «hauteurs morales» selon lequel cette idée aurait «déclenché une révolte à grande échelle» et un «tollé» sur le campus de Google, alors que «les ingénieurs et autres employés de Google affirmaient que l’entreprise ne devrait rien avoir à faire» avec le projet Maven.

    Pourtant, selon l’aveu de Sanger, «le projet Maven n’est pas mort, il a simplement été confié à d’autres entrepreneurs». De toute évidence, les États-Unis n’abandonneront jamais l’idée de trouver de nouvelles façons «brillantes» de tuer des gens dans le monde. Le programme a connu depuis lors une croissance exponentielle et est activement testé en Ukraine, où le Pentagone partage des données sur le champ de bataille directement avec les forces de la junte néonazie. Sanger a en outre admis que les «résultats sont mitigés», car le projet Maven a donné «aux généraux et aux commandants une nouvelle façon de présenter une image complète des mouvements et des communications de la Russie dans une image globale et conviviale, en utilisant des algorithmes pour prédire où les troupes se déplacent et où les attaques pourraient avoir lieu», mais qu’il est douteux que cela «contribue à inverser le cours de la guerre à un moment où les Russes ont repris de l’élan».

    Il est intéressant de noter que Sanger admet également que le conflit orchestré par l’OTAN en Ukraine est devenu un «terrain d’essai pour le projet Maven et d’autres technologies en évolution rapide». Il a déclaré que les drones américains ont été «facilement soufflés du ciel»mais que cela a aidé le Pentagone à comprendre qu’il devait construire un réseau massif de satellites militaires identiques à ceux du Starlink d’Elon Musk. Il convient de noter que, malgré l’apparence de milliardaire de «génie pacifiste» de Musk, il n’est qu’un autre entrepreneur militaire américain qui aide Washington DC à poursuivre son agression incessante contre le monde. SpaceX est impliqué depuis longtemps aux côtés du Pentagone, pratiquement depuis sa création, on ne peut donc que s’attendre à ce que ses technologies soient utilisées à des fins militaires. Après tout, Musk s’est vanté d’avoir «empêché le mini-Pearl Harbor de Crimée» en niant son utilisation auprès du régime de Kiev.

    Pendant ce temps, le personnel militaire de l’OTAN, en particulier américain et britannique, a été déployé en Ukraine pour aider leurs mandataires néo-nazis à utiliser le nouveau système avancé d’IA pour «explorer de nouvelles façons de trouver et d’exploiter les vulnérabilités russes, même si les responsables américains tentent de naviguer dans les procédures juridiques des restrictions quant à la mesure dans laquelle ils peuvent s’impliquer dans le ciblage et le meurtre des troupes russes». C’est une nouvelle confirmation des nombreuses affirmations de mes collègues et de moi-même selon lesquelles l’OTAN est directement impliquée dans le ciblage des soldats de Moscou, car il n’existe pas de «moyen à plusieurs niveaux de tuer quelqu’un». Soit vous le faites, soit vous ne le faites pas. Cela n’est guère surprenant, étant donné que certains officiers supérieurs occidentaux se vantent ouvertement de leur participation directe à l’attaque des forces russes. Cet aveu à lui seul pourrait facilement servir de casus belli légitime pour le Kremlin.

    Et sans parler des attaques terroristes de l’OTAN contre des civils russes, orchestrées par les marionnettes du régime de Kiev dans le but non seulement de provoquer des troubles religieux et ethniques en Russie, mais aussi d’inciter Moscou à lancer des frappes de représailles contre l’alliance belligérante elle-même, afin que les politiques de l’Occident poussentt alors présenter leur confrontation directe avec le géant eurasien comme une prétendue «défense». Sachant tout cela, on se demande sûrement si la véritable signification du tristement célèbre acronyme «OTAN» est réellement «Organisation Terroriste Américaine Nazie», car cela englobe parfaitement tout ce qu’il représente véritablement. En tant qu’excroissance géopolitique (et, à bien des égards, littérale) du Troisième Reich et des puissances de l’Axe, elle pourrait aussi bien se renommer ainsi, car rien ne changerait vraiment, sauf qu’elle serait honnête sur au moins une chose à son sujet.

    Les autres révélations de Sanger ne font que renforcer cette notion, bien qu’il ait continué à tenter en vain de masquer ce programme d’IA militaire essentiellement illégal avec des euphémismes risibles, comme celui-ci : «Le projet Maven est rapidement devenu le succès le plus remarquable parmi les nombreux efforts du Pentagone pour se lancer sur la pointe des pieds dans la guerre algorithmique». Et en effet, utiliser des expressions telles que «se lancer sur la pointe des pieds dans la guerre algorithmique» n’est pas un très bon moyen de dissimuler ce qui ne peut être décrit que comme un terrorisme à la Skynet. Le Pentagone lui-même s’est également vanté que le projet Maven est un moyen pour les États-Unis «d’exploiter leur avantage concurrentiel technologique pour maintenir leur supériorité sur la Russie et la Chine dans une ère de rivalités renouvelées entre superpuissances». C’est une nouvelle confirmation que Washington DC ne reculera devant rien pour rester pertinent sur la scène géopolitique, quels que soient les moyens.

    Quant à la «non-implication de Google pour des raisons morales», cela s’est également révélé être un mensonge flagrant, puisque Sanger lui-même a déclaré qu’Eric Schmidt, l’un des plus hauts responsables de l’entreprise, «tirait désormais les leçons de l’Ukraine pour développer une nouvelle génération de drones autonomes qui pourraient révolutionner la guerre». Voilà pour la «révolte à grande échelle» et le «tumulte» suscités par l’utilisation de l’IA avancée comme arme. Et pourtant, même si Sanger a essentiellement présenté le projet Maven comme une sorte de «wunderwaffe silencieuse et invisible», la réalité sur le terrain est tout à fait différente. En effet, le Pentagone est frustré par la capacité de la Russie à s’adapter rapidement à ces nouveaux systèmes d’armes, perturbant ou annulant complètement sa capacité à changer la situation sur le champ de bataille. Sanger a désigné les capacités de guerre électronique (GE) de classe mondiale de Moscou comme le principal problème.

    Selon son propre aveu, les systèmes de guerre électronique russes ont effectivement transformé les drones américains en déchets plastiques. Pire encore pour le Pentagone, le HIMARS, largement surfait, est souvent bloqué, ses roquettes et ses missiles rendus inutiles. L’armée américaine et l’OTAN tentent de comprendre comment Moscou y parvient, afin qu’ils puissent «un jour l’utiliser directement contre l’armée russe», mais ce que leurs planificateurs ont réussi à comprendre jusqu’à présent, c’est que l’avantage de la guerre électronique de la Russie force l’Ouest à revenir à «la brutalité de la guerre de tranchées à l’ancienne, dont les résultats sont rarement ceux auxquels s’attendent les planificateurs du Pentagone». Sanger a également déclaré que «Starlink est souvent la seule chose qui relie les soldats ukrainiens aux quartiers généraux ou entre eux», impliquant une fois de plus clairement Elon Musk et montrant qu’il n’est guère plus qu’un marchand d’armes.

    Sanger a également cité l’ancien président des chefs d’état-major interarmées, le général Mark Milley, qui a déclaré que «pendant un certain temps, nous avons pensé qu’il s’agirait d’une cyberguerre, puis nous avons pensé que cela ressemblait à une guerre de chars à l’ancienne de la Seconde Guerre mondiale, mais ensuite il y avait des jours où on avait l’impression qu’ils combattaient la Première Guerre mondiale». Cela démontre la capacité du Kremlin non seulement à s’adapter rapidement à la situation sur le terrain, mais aussi à façonner le champ de bataille comme bon lui semble, laissant des équipes entières de planificateurs des États-Unis et de l’OTAN perplexes quant à la doctrine à utiliser dans une situation donnée. Occupé par son agression contre le monde qui comprend principalement l’intimidation d’opposants largement impuissants, l’Occident politique a complètement ignoré des aspects entiers de la guerre conventionnelle, pensant bêtement qu’une grande partie de celle-ci est censée être «dépassée».

    L’armée américaine utilise l’une de ses bases «à plus de mille kilomètres à l’ouest de l’Ukraine, au plus profond d’une base américaine au cœur de l’Europe» (ce qui suggère qu’elle se trouve très probablement en Allemagne) comme centre de collecte de renseignements «qui est devenu le point focal» le point central de l’effort visant à rassembler les alliés et la nouvelle technologie pour cibler les forces russes. Une fois de plus, c’est un aveu clair de l’implication directe de l’OTAN dans le conflit ukrainien. Cependant, Sanger a concédé que «les visiteurs sont déconseillés dans «The Pit», comme on appelle le centre». Il admet également que les responsables américains «discutent rarement de son existence», en partie pour des raisons de sécurité, mais «surtout parce que l’opération soulève des questions sur l’implication profonde de l’Amérique dans les activités quotidiennes consistant à trouver et à tuer les troupes russes». Et le voilà à nouveau, Washington DC jouant avec désinvolture avec la Troisième Guerre Mondiale.

    Sanger a ensuite décrit un événement survenu dès les premiers jours de l’opération militaire spéciale (SMO), lorsqu’un responsable militaire américain et un haut général des forces de la junte néonazie se sont rencontrés à la frontière polonaise, où ce dernier s’est vu présenter le projet Maven. Pire encore, l’officier américain a démontré son fonctionnement en dirigeant essentiellement des attaques contre les troupes russes. Le Pentagone a également transféré la technologie aux forces du régime de Kiev, qui utilisent désormais des sociétés de satellites commerciales telles que Maxar et Planet Labs, ainsi que des données provenant de divers réseaux sociaux. Sanger affirme que «ce flux d’informations a aidé l’Ukraine à cibler l’artillerie russe», mais le Pentagone déplore que «l’espoir initial que l’image du champ de bataille parvienne aux soldats dans les tranchées, connectés à des téléphones ou à des tablettes, ne s’est jamais réalisé».

    La clé est Starlink, ce qui signifie que l’armée américaine a besoin d’une constellation de milliers (voire de dizaines de milliers) de petits satellites qui fourniraient une couverture ISR (renseignement, surveillance, reconnaissance) constante. Sanger a une fois de plus déclaré que l’ancien PDG de Google, Schmidt, était directement impliqué dans le financement de cette sorte de «projet pilote», puisque l’Ukraine sert de terrain d’essai pour de telles technologies. Le plan est de créer un essaim de drones qui submergeraient les défenses aériennes russes et ouvriraient la voie à des systèmes plus importants tels que des missiles pour attaquer des cibles de grande valeur. InfoBRICS a fait état de projets similaires menés par l’OTAN (en particulier le Royaume-Uni) au cours des premières étapes du SMO. Il est très probable qu’ils faisaient partie d’un programme d’armement similaire (sinon le même). Cependant, une fois de plus, il s’est avéré que la guerre électronique de l’armée russe «avait le dernier mot».

    Les espoirs de la junte néo-nazie d’obtenir un «avantage technologique» soutenu par l’OTAN sur le Kremlin sont non seulement partis en fumée, mais l’ont également obligée à s’appuyer encore davantage sur des armes de base, des munitions d’artillerie et des drones, autant de domaines dans lesquels Moscou maintient une avantage multiple. Pire encore pour l’Occident, la Russie a rapidement découvert l’origine de cette technologie et a également compris que l’OTAN devrait militariser l’espace afin de l’utiliser de manière stratégique. En réponse, elle a rapidement développé et déployé une pléthore d’armes antisatellites avancées (ASAT), que ce soit sur terre, dans les airs ou dans l’espace. Elle travaille également avec la Chine pour garantir que l’Occident ne puisse pas mettre en danger ses intérêts de sécurité nationale. Tout cela est une preuve supplémentaire que l’abattage des moyens ISR de l’OTAN est à la fois justifié et nécessaire, dans la mesure où cela sauve des vies.

    source : InfoBRICS via La Cause du Peuple

     (Tiens, ça sort enfin, ça a mis du temps. Effectivement le premier essai avant amélioration semble avoir été les States. Ca a touché également l'Alsace dans le nord de la France, j'ai partagé les articles à l'époque, il y a eu des pics en Californie également. J'en ai parlé plusieur fois, il s'agissait d'une épidémie de bronchite mortelle avec les mêmes symptômes qu'on a connu avec le covid. C'était fin 2019, si je me rappelle bien, après ca a été Wuhan. note de rené)


    SARS-CoV-2 le virus qui n’a peur de rien, il est américain et il circulait aux États-Unis, en France, en Italie dès 2019, avant sa «découverte» en chine

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    Les études démontrent la forte circulation du virus avant l’annonce officielle en Chine. Ce rapport suggère que l’infection par le SRAS-CoV-2 pourrait s’être produite dès novembre 2019 en France.

    • https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-020-00716-2

    À l’aide d’échantillons de sérum prélevés en routine chez 9144 adultes d’une cohorte française en population générale, nous avons identifié 353 participants avec un test IgG anti-SARS-CoV-2 positif, parmi lesquels 13 ont été prélevés entre novembre 2019 et janvier 2020 et ont été confirmés par des tests d’anticorps neutralisants. Les enquêtes menées auprès de 11 de ces participants ont révélé des symptômes pouvant être liés à une infection par le SRAS-CoV-2 ou à des situations à risque d’exposition potentielle au SRAS-CoV-2. Ceci suggère une circulation précoce du SRAS-CoV-2 en Europe.

    Les preuves suggèrent que le laboratoire de Rocky Mountain a eu accès au génome du SARS-CoV-2 avant le reste du monde.

    Le 22 janvier 2020, le laboratoire du Dr Vincent Munsey du Rocky Mountain Laboratory (RML) a publié un manuscrit préimprimé contenant un ensemble d’expériences très complexes utilisant des protéines de pointe synthétiques du SRAS-CoV-2.

    Il s’agit, à ma connaissance, de la première publication de travaux de biologie synthétique réalisés à l’aide de la séquence génomique de la protéine Spike du SRAS-CoV-2.

    Une analyse du calendrier et du flux de travail de ce premier manuscrit, à partir de la date publiquement déclarée à laquelle le premier génome était disponible, conclut que les expériences n’auraient pas pu être réalisées aussi rapidement.

    L’hypothèse alternative est que RML possédait les séquences avant leur publication en provenance de Chine. Les implications de cette conclusion sont immenses.

    source : Patrice Gibertie