samedi 31 décembre 2011

Salut à mes potes des coopératives européennes de Longo Maï. N'oubliez pas, l'Utopie ne peut mourir, vous êtes aussi là pour qu'elle perdure. Salut et fraternité, plus, bon réveillon !

Encore désolé, mes quatre lecteurs, hier, je me suis accordé un break. Trop de choses à faire, sans compter que j'ai une toilette qui a rendu l'âme après mon électricité, ma vertèbre, bref, je finis bien l'année et il reste encore cette journée avant la nouvelle.
sans compter que tous les présidents de pays chrétiens vont nous faire le discours de fin d'année en nous disant, "cela a été chaud, mais, les perspectives s'éclairent".
Hélas, hélas, à part l'Allemagne qui croit au père Noël en annonçant la reprise pour 2012, je ne vois pas ce qui va changer. A part une mobilisation populaire de plus en plus forte partout dans le monde.
Mobilisation ne signifiant pas révolution, nos gouvernants seraient trop contents de pouvoir déchaîner leurs forces répressives.
Mais, nous ne leur ferons pas ce plaisir là, sauf peut-être en Russie et en Chine.
En tout cas, en ce qui concerne la Côte d'Ivoire, un signe tangible du retour à la paix semble pointer le bout de son nez.

(source : Irin News en ligne)

"CÔTE D'IVOIRE: Retour progressif des enfants à l’école.

ABIDJAN, 3 novembre 2011 (IRIN) - La rentrée scolaire a eu lieu fin octobre en Côte d’Ivoire, mais la reprise se fait lentement en raison des difficultés rencontrées par de nombreux élèves pour retourner à l’école après les violences postélectorales qui ont perturbé les cours durant plusieurs mois dans de nombreux établissements.

À l’ouest du pays, le long de la frontière libérienne, les établissements situés entre les villages de Blolequin et de Toulepleu sont encore fermés, et de nombreux enfants ayant fui vers le Libéria ou d’autres régions du pays avec leur famille ne sont toujours pas rentrés chez eux, a dit Paul Yao-Yao, coordonnateur du programme pour l’éducation de Save the Children à Abidjan.
Même à Abidjan, la capitale commerciale, le taux de présence était faible au moment de la réouverture des classes le 24 octobre. À l’école primaire de la banlieue nord d’Abobo Baole, seuls 60 élèves se sont présentés sur les 500 attendus ; certains professeurs ont fait classe devant 10 élèves seulement. Parmi les quatre écoles primaires et secondaires visitées par IRIN à Abidjan, toutes affichaient un taux de présence inférieur à 50 pour cent des élèves attendus.
La plupart des élèves d’Abobo Baole sont issus de familles pauvres et leurs parents prévoient de les renvoyer à l’école à partir du mois prochain, a dit Raoul Glao, le directeur de l’école primaire. Les écoles publiques sont gratuites en Côte d’Ivoire, de même que l’inscription et les fournitures, mais l’uniforme obligatoire et certains documents administratifs requis pour l’inscription, tels que le certificat de naissance, demeurent à la charge des parents.
Jennifer Hofmann, coordonnatrice de la section éducation (le cluster éducation) pour le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) à Abidjan, a dit qu’il n’était pas rare que la rentrée des classes se fasse lentement, et qu’elle pouvait s’étaler sur deux à trois semaines. Cette année toutefois, de nombreux élèves ont déjà pris du retard en raison des violences postélectorales qui ont éclaté en décembre 2010."

Espérons, mes quatre chers lecteurs que la paix va revenir et que les leaders ivoiriens feront passer l'avenir de leurs concitoyens avant leurs intérêts.
Par contre, ailleurs, rien n'est joué, rien n'est gagné.
Que les printemps arabes aient permis aux mouvances islamistes d'accéder au pouvoir, rien de plus normal puisqu'elles ont occupé le terrain du social duquel les états s'étaient retirés. Ils ont fait un travail de fond depuis des années, leurs militants sont motivés, ils ont emporté les élections par le jeu démocratique.
Souhaitons seulement qu'ils respecteront ce jeu démocratique qui les a amené au pouvoir.
Mais, après tout, c'est la majorité qui décide, ils feront ce qu'ils voudront.
Mais, si, ils ne fournissent pas du travail à leurs citoyens, ils devront mettre en place des pouvoirs forts pour se maintenir en place.
Et, cela sera 'rebelotte".
Ils ont deux exemples à considérer, la manière à la turc et la manière à la Mollah d'Iran.
Perso, je préfère la turc.
En attendant, où toutes nos garanties étatiques vacillent sous les coups de boutoirs de nos gouvernants à la grande satisfaction des marchés, de petites "choses" avancent.
Ainsi, au Paraguay, le gouvernement rend des terres à une communauté indienne. Pas beaucoup, vous me direz, sauf, qu'il faut un début à tout.
Cela sera toujours un bout de terrain où Mosanto ne pourra pas faire planter ses OGM et pourrir la terre de ses produits toxiques.

(source : Survival International, 12 Décembre)

"Le Paraguay restitue des terres aux Indiens. 12 Décembre

Le gouvernement paraguayen a signé la semaine dernière un accord avec les Indiens enxet pour leur restituer 1 000 hectares de leur terre ancestrale.
Cette décision fait suite à une longue bataille judiciaire entre les Indiens et l’Etat devant la Cour interaméricaine des droits de l’homme (CIDH).
Les Enxet de la communauté de Kelyenmagategma, au nord du Paraguay, se sont battus pour leur terre pendant plus d’une décennie et ont été victimes d’évictions forcées, d’intimidations et de menaces violentes.
Depuis qu’ils ont porté l’affaire devant la CIDH, les Enxet ont reçu 8 748 hectares de leur terre ancestrale en août dernier.
Conformément à l’accord passé cette semaine, le gouvernement doit fournir aux communautés de nouvelles maisons, des postes de santé, des écoles et une subvention de plus de 500 000 dollars pour des projets communautaires.
Le leader enxet Celso Benítez Zavala a accueilli la décision avec satisfaction mais a averti qu’il resterait vigilant pour s’assurer que le gouvernement tiendra ses promesses, après ‘des années de profond désintérêt de la part de l’Etat’."

Petite victoire pour un peuple toujours soumis à l'arbitraire, symbole d'espoir pour cette nouvelle année.
Pour moi, en tout cas, l'année finit mal, la prochaine, souhaitez-le moi, mes quatre chers lecteurs, ne pourra être pire.
A moins, à moins, que, comme le conseille des chercheurs de l'université de l'Oregon, je ne me mette à un régime alimentaire qui me permette de conserver et de stimuler mes petits neurones, histoire d'être plus intelligent que notre président national, malgré le régime que lui fait subir sa femme.
Pourtant, dans mes souvenirs, cette brillante recherche semble confirmer toutes celles qui ont tourné autour du régime alimentaire crétois qui date, qui date de....l'origine.
Enfin, un truc qui dure depuis des siècles.
Ce qui pourrait signifier que les crétois ont une grande intelligence. A mon avis de la vie, puisqu'ils se contentent de la leur.
Alors, un tel régime, non seulement devrait maintenir la capacité intellectuel, sinon, permettre de la développer, mais, peut-être et Oh, grand peut-être permettrait-elle d'accéder à la sagesse. Ce qui entre-nous serait une grande première scientifique.
Et, qui pourrait satisfaire notre président et Angela Merkel pour qui les français et les allemands devraient arrêter de rêver à ce qu'ils ont eu et se contenter de ce qu'ils vont avoir.

(source : Sciences et Avenir en ligne)

Le régime qui booste le cerveau.
Mis à jour le 30-12-2011. Par Joël Ignasse.

Les personnes âgées avec des niveaux élevés de vitamines et d’oméga 3 dans le sang ont de meilleures performances intellectuelles et une meilleure mémoire que celles qui ont un régime alimentaire déséquilibrée.

Une étude de l’université de l’Oregon est l’une des premières qui a mesuré spécifiquement un large éventail de nutriments dans le sang de sujets plutôt que de se fier à un questionnaire sur leur régime alimentaire. Elle relève les effets positifs d’un taux élevé de vitamines B, C, D, E et d’oméga 3 dans le sang. Les résultats détaillés sont publiés dans la revue Neurology et « montrent clairement que l’activité biologique et neurologique est associée à des taux de nutriments dans le sang » explique Maret Trabet, principal auteur de l’étude.
Les tests ont été menés sur 104 sujets âgés de 87 ans en moyenne sans facteur de risques particuliers, ils ont permis de quantifier une trentaine de biomarqueurs sanguins et la moitié des participants a également eu une mesure du volume du cerveau par IRM. Parmi les constatations et observations, les auteurs expliquent que les personnes avec les meilleurs résultats cognitifs consommaient régulièrement des acides gras d’origine marine et des fruits et légumes apportant des vitamines B, C, D et E.
A l’inverse, un taux élevé d’acides gras trans (insaturés) produits lors de la friture des aliments et présents en quantité dans les aliments vendus dans les chaines de restauration rapide est associé aux plus mauvaises performances cérébrales. Si une grande partie de la variation de la performance mentale dépend de facteurs comme l'âge ou l'éducation, le niveau et la nature des nutriments influent pour 17 pour cent dans les scores de mémoire et 37 pour cent dans la variation de la taille du cerveau."

En tout cas, la sagesse, il faudrait l'exporter massivement au Sud Soudan, ce nouveau pays qui n'arrête pas de subir les remous de conflits tribaux. La population sort d'une guerre longue et meurtrière et pourtant, les trafiquants d'armes s'en servent comme vaches à lait.
Juste terme pour ce qui va suivre.

(source : le Soir.be, samedi 31 décembre 2011)

Les Casques bleus renforcés au Sud-Soudan.

Les Nations Unies ont renforcé le contingent de Casques bleus aux environs de Pibor, dans l’Etat de Jonglei, où des violences tribales ont fait des milliers de déplacés.

Nous avons déployé un bataillon à Pibor pour aider le gouvernement à protéger les civils », a déclaré la coordinatrice de l’action humanitaire de l’ONU au Soudan du Sud, Lise Grande, ajoutant que les Nations unies avaient commencé à larguer de la nourriture par avion au-dessus de cette ville. « Nous sommes très inquiets face aux jeunes (de la tribu) Lou Nuer qui se rassemblent » et se dirigent vers Pibor où vit la tribu des Murle, a-t-elle expliqué. Vendredi, l’ONU avait affirmé que 500 des 6.000 jeunes Lou Nuer armés étaient déjà dans les faubourgs de la ville.
« Depuis hier (vendredi), il n’y a plus de nourriture à Pibor », a-t-elle dénoncé, précisant que le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies avait dû annuler des vols vendredi faute de sécurité avant de pouvoir larguer samedi de la nourriture. « Nous allons essayer d’aider des milliers de personnes pendant deux semaines, mais cela dépend bien sûr de la sécurité », a-t-elle ajouté, précisant que 100 civils « hautement vulnérables », notamment âgés et malades, étaient toujours bloqués dans la ville. « Nous cherchons à les évacuer. C’est notre principale priorité », a-t-elle déclaré. L’ONU avait annoncé vendredi que deux transports de troupes blindés étaient parvenus à atteindre Pibor, précisant que l’accès était quasiment impossible
Un groupe se faisant appeler l’Armée blanche de la jeunesse Nuer avait publié le 26 décembre un communiqué dans lequel il s’engageait à « éradiquer toute la tribu Murle de la surface de la terre, car c’est la seule solution pour assurer la sécurité à long terme du bétail des Nuer ». Le groupe accusait les Murle d’avoir volé des animaux et tué des membres de sa tribu depuis 2005, année où un accord de paix a mis fin à deux décennies de guerre civile au Soudan, aboutissant à la partition du pays et à l’indépendance du Soudan du Sud en juillet.
Ni les Nations unies ni les ex-rebelles sud-soudanais de la SPLA (Armée de libération populaire du Soudan) n’ont protégé les Nuer, accusait le même groupe, s’engageant à lutter contre « les Murle, la SPLA et l’ONU ». Les Nations unies avaient déjà tiré la sonnette d’alarme en septembre au sujet de vols d’animaux qui avaient fait plus de 1.000 morts depuis juin, soulignant que la crise, impliquant des assaillants équipés d’armes récentes et de téléphones satellitaires, risquait « d’engloutir tout le pays »."

Et, sur cette très mauvaise nouvelle, je me permets de vous dire à demain.
Et, bon réveillon, si, vous êtes en capacité financière de le subir ou de le faire partager à vos familles et à vos amis.
René.

jeudi 29 décembre 2011

Salut à tous les surendettés de France et de Navarre, sarko finit de vous passer la corde au cou. Bientôt, vous dormirez dehors avec vos enfants, comme ceux qui installer à demeure dans les camping vont se voir jeter dehors. Eh, oui, avec ce gouvernement, c'est toujours les pauvres qui trinquent.

Mais, qu'est-ce donc là, mes quatre chers lecteurs, avant l'élection présidentielle dans quatre mois, notre président national place partout des hommes de confiance à lui.
Pourquoi, dieu, fait-il cela ?
Alors, comme, je suis un esprit pervers dont vous avez pu éprouvé la malignité, mes chers quatre lecteurs, je le dis vertement et droit dans mes hommes bottes, placer ses mecs à la justice et à la police pourrait servir à dissimuler quelques petites fraudes électorales à la marge, mais, suffisantes, pour le faire réélire.
Oh, mon dieu, sans doute, allez-vous suggérer, avec raison d'ailleurs, il n'oserait pas !
Sauf, qu'il faut dire qu'il est prêt à tout pour être réélu en sachant parfaitement qu'une majorité de français ne le veulent plus comme président.
Pourtant, il va y aller et à mon avis, il mettra toutes les cartes de son côté.
Après tout, son homologue russe a fait de même qui ne compte pas lâcher le pouvoir.
Même aux Etats-Unis, il y eut un bisbille lors de l'élection présidentielle qui vit la réélection de Bush junior.
Et, cela était passé quand même.
Et, il s'agissait aussi de cette marge qui a fait que l'élection a basculé en faveur de Bush. Un petit rien finalement qui peut donner lieu à des batailles pour annulation qui n'aboutissent jamais. L'homme fort restant au pouvoir.
Alors, est-ce cela qui nous attend ?
A voir, mes quatre chers lecteurs, parce qu'entre-nous, placer ses hommes liges partout, il aurait pu le faire avant.

(source : Libération, Mis à jour à 20:30)

«Sarkozy place ses hommes» : le PS s'insurge
«Magistrats, policiers, préfets, patrons: Nicolas Sarkozy poursuit son verrouillage de l'Etat»: l'enquête de «Libération» de ce mercredi a provoqué de multiples réactions au PS. Où des ténors s'insurgent contre «des nominations en série à des postes-clés de l'Etat».
"Sarkozy place ces hommes". C'est la manchette de Libération de ce mercredi, qui rappelle dans un événement de quatre pages, qu'"à la veille d'entrer en campagne, le chef de l'Etat a installé des intimes et des hommes de confiance aux postes-clés de la justice, de la police et de la finance". Dans la foulée, plusieurs ténors socialistes ont accusé aujourd'hui Nicolas Sarkozy d'avoir engagé "des nominations en série à des postes-clés de l'Etat".
Ils y voient un signe de "fébrilité" de l'Elysée et une volonté de "verrouillage", à l'approche de la présidentielle. "Magistrature, police, préfectorale, les nominations des amis de Nicolas Sarkozy aux postes-clés de la République s'accélèrent", a ainsi estimé dans un communiqué François Rebsamen, chef de file des sénateurs PS et responsable de la sécurité dans l'équipe de François Hollande. "C'est sans doute le signe de sa fébrilité face à l'échéance de mai 2012, mais c'est aussi l'expression de sa conception de la République", ajoute le sénateur-maire de Dijon, critiquant un Nicolas Sarkozy qui "joue au DRH de l'Etat"."

Ah, le pouvoir, surtout lorsque l'on se prend pour le messie. Parce qu'à mon avis, sarko est passé à la vitesse supérieure, de super héros, il est passé à messie.
C'est cela, grimper l'échelle sociale en France et ce n'est plus donné à grand monde.
En tout cas, ce qui n'est pas donné à tout le monde, c'est son caractère obstiné et mégalo. Pourtant, pourtant, de plus en plus de voix annoncent que ses interventions avec Angela Merkel ne vont pas dans le bon sens.
Mais, il n'écoute pas, il est persuadé d'avoir raison et tous ses ministres doivent être au diapason, même, si, ils ne sont pas d'accords. Ils nous font le choeur des perroquets.
Alors, je dirais encore, bis répétitas, il faut geler le remboursement de la dette et réinjecter cet argent dans les économies nationales.
Cela n'est quand même pas dur à comprendre. A moins qu'ils n'attendent tous, d'avoir liquidé définitivement la protection sociale, les services hospitaliers, l'enseignement, le système de retraite, le droit du travail et j'en passe et des meillleurs.
Là, on peut comprendre ce qui les motive, l'intérêt du marché, pas plus, pas moins.

(source : Alternatives économqie, art :Guillaume Duval
Article Web - 12 décembre 2011

"Le piège des « règles d’or »

La généralisation de la règle d'or budgétaire, prévue par l'accord européen du 9 novembre, ne résoudra rien à la crise de l'euro. L'austérité budgétaire généralisée empêcherait au contraire toute politique de relance et menacerait la cohésion de la zone euro.
Le 9 décembre 2011, les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro se sont mis d'accord pour intégrer à leurs constitutions nationales des « règles d'or » prévoyant que le déficit budgétaire ne devrait pas à l'avenir excéder 0,5 % du PIB. Est-ce de nature à résoudre la crise de la zone euro ? Non, pas vraiment.
Tout d'abord cela ne règle en rien le problème immédiat de la zone : si la crise des dettes publiques s'est aggravée ces derniers mois, c'est surtout parce que la zone est en train de retomber en récession et que, dans un tel contexte, il est impossible de réduire l'endettement public. Au contraire celui-ci s'accroît rapidement comme l'illustre de façon spectaculaire le cas de la Grèce qui est en récession depuis trois ans maintenant. Or aucune mesure de nature à soutenir l'activité n'a été annoncée, ni même d'ailleurs envisagée, lors de ce sommet (...)."

En attendant, tout ce que notre président national est capable pour s'occuper des français, c'est encore et encore de s'attaquer à tous ces salauds de pauvres. En l'occurrence, il s'en prend aux personnes surendettés. Les plus fragiles, merci, sarko !

(source : Agoravox)

"Le cadeau de Noël de Sarkozy aux surendettés !
Même pendant la "trêve des confiseurs" Sarkozy et l'Union pour le Mépris du Peuple prennent des décisions anti sociales....

Ce sont là les surendettés qui "trinquent" !

Le président de la République vient de donner un « cadeau royal » non aux surendettés et notamment aux plus pauvres qu'il n'oublie pas dans ses prières, mais à tous les créanciers aux aguets prêts à envoyer les huissiers.

Ces surendettés, victimes de la crise et surtout de la politique sociale et économique du gouvernement sont de plus en plus nombreux ….
218 102 dossiers ont été déposés auprès des commissions surendettement de la banque de France et 2010....
Ce sont aujourd'hui 950 000 ménages qui seraient surendettées avec en moyenne une dette de 35 000 €.
(...) Un tout petit décret va modifier tout cela et modifier la vie des familles surendettées....Ce n'est pas grand chose « une broutille, une bricole, un détail, une babiole », jugez vous en vous mêmes :
Lors d'une saisie sur salaire, la loi interdit au créancier de prendre la totalité de la rémunération du débiteur afin que celui-ci continue à percevoir un minimum vital pendant le remboursement de son arriéré : le "reste à vivre".
Désormais, la fraction insaisissable est fixe, peu importe le nombre de personnes composant le foyer du salarié, elle dépend des revenus dans le cadre d'un tableau progressif mais ne tient pas compte du nombre de personnes vivant sur les revenus de la famille."

Ah, ces salauds de pauvres, il finira bien un jour par les parquer pour que l'on ne puisse plus les voir Et, sans doute, j'en ferais parti, vu que mon salaire n'est pas élevé et que le travail aujourd'hui est devenu une valeur rare et que surtout, il s'appelle "siège éjectable".
Mais, pas éjectable pour tout le monde, car, pour nos eurocrates, la crise connait pas.
Non seulement, aucune commission anti-corruption n'est mise en place pour ce qui les concernent, alors que beaucoup sont liés à des lobbies. Ils continuent benoîtement à s'accorder des augmentations de salaire.
Avec eux, on ne peux pas dire, la solidarité, ils ne connaissent pas, alors, que ce sont nos impôts qui les "engraissent".

(source : le Soir.be,jeudi 29 décembre 2011)

"L’augmentation du salaire des eurocrates dérange Vanackere

jeudi 29 décembre 2011, 12:03
Le ministre des Finances estime « dérangeant » que les eurocrates bénéficient d’une augmentation de salaire en cette période de crise, rapporte le Standaard.

La Commission européenne veut augmenter les salaires de 44.000 de ses fonctionnaires de 1,7 % en janvier prochain. Les pays européens s’érigent contre cette augmentation, estimant qu’en cette période de crise économique tout le monde doit fournir des efforts.
Le ministre des Finances, Steven Vanackere a directement réagi à ces informations sur les ondes de Radio 1, rapporte le Standaard. Il a trouvé cette augmentation « dérangeante », même s’il affirme que la demande des pays européens de geler les salaires des eurocrates ne peut pas être démontrée légalement.
« Au moment où tellement de personnes se serrent la ceinture, il aurait été préférable que la Commission européenne adopte des mesures adaptées. » Steven Vanackere entend par là, des mesures à prendre sur l’augmentation automatique de salaire dont bénéficient les eurocrates."

Et, cela sera tout pour aujourd'hui, mes quatre chers lecteurs.
A demain.
René.

PS : Merci, sarko et Jospin, aussi, un peu moins.

(source : AFP : 29/12/2011 à 12:07)

"Les mutuelles redoutent une "explosion" du système de santé
Le président de la Mutualité française Etienne Caniard s'est dit jeudi "inquiet" pour le système de santé français, estimant que "tous les ingrédients étaient réunis" pour qu'il "explose à plus ou moins court terme".

"Nous sommes inquiets. Quand on regarde la situation financière de l'assurance maladie aujourd'hui (...) tous les ingrédients sont réunis pour avoir un système qui explose à plus ou moins court terme", a déclaré M. Caniard sur France Inter.
Le président de la Mutualité française, qui fédère la quasi-totalité des mutuelles de santé en France, soit près de 600, s'est également dit préoccupé par les difficultés d'accès aux soins: "Le taux de renoncement aux soins - le nombre de Français qui diffèrent des soins pour des raisons financières - augmente d'année en année. C'est préoccupant parce qu'on sait très bien qu'un système de santé ne se détruit pas en six mois mais se détruit petit à petit"."

mercredi 28 décembre 2011

(blog à finir)

Décidément, mes quatre chers lecteurs, l'année se termine mal pour moi. Après, m^être retrouvé à l'hôpital pour cause de vertèbre cervical endommagé, le panneaux électrique de la maison a fondu.
Donc, deux jours sans électricité et sans chauffage, à part deux à gaz.
Je ne vous dis pas le froid dans les os.
Madre de mia, cela n'a pas été pour arranger mon état de santé.
Faut dire que c'est mon papa qui a fait l'électricité et justement l'électricien qui est venu, par chance, a levé les yeux aux cieux pour me dire que l'installation était très dangereuse, que l'on a évité le feux, encore par chance, et qu'il fallait tout refaire.
Il nous a donc fait une réparation pour que l'on puisse avoir de la lumière, de l'eau chaude, mais, pas de chauffage d'appoint électrique.
Je ne vous dis pas le froid humide, c'est pas bon pour les os.
Voilà, voilà et je me dis que l'année n'est pas encore terminée.
L'angoisse !
Mais, passons, parce la planète tourne pendant ce temps. D'ailleurs, j'ai vaguement remarqué pour le deuil du dictateur nord coréen des milliers de personnes pleurant de joie à la vue de sa dépouille mortelle promenée à travers Pyongyang dans une limousine.
Finalement, il était pas trop aimé ce rustre sans éducation.
La question demeure sur la longévité de cette dynastie.
A mon avis, son fils ne mourra pas dans son lit.
Mais, il faut dire, que la question de la Corée du Nord est plutôt exotique pour le français lambda.
Sa préoccupation majeur restant son pouvoir d'achat que les plans de rigueur du gouvernement français continue à rogner.
Pourtant, il est des gens qui pensent que l'austérité n'est pas la bonne solution. Et, là, je suis d'accord, la relance économique est la seule voie.
L'un de ces gens est Joseph Stiglitz, voyons ce qu'il en pense?

(source : le Monde, Mis à jour le 26.05.10)

"Joseph Stiglitz : "L'austérité mène au désastre"

Le professeur Joseph E. Stiglitz, chercheur associé à l'OFCE, Prix Nobel d'économie.AFP/PIERRE VERDY

LONDRES CORRESPONDANTE - Joseph Stiglitz, 67 ans, Prix Nobel d'économie en 2001, ex-conseiller économique du président Bill Clinton (1995-1997) et ex-chef économiste de la Banque mondiale (1997-2000), est connu pour ses positions critiques sur les grandes institutions financières internationales, la pensée unique sur la mondialisation et le monétarisme. Il livre au Monde son analyse de la crise de l'euro.

Vous avez récemment dit que l'euro n'avait pas d'avenir sans réforme majeure. Qu'entendez-vous par là ?

L'Europe va dans la mauvaise direction. En adoptant la monnaie unique, les pays membres de la zone euro ont renoncé à deux instruments de politique économique : le taux de change et les taux d'intérêt. Il fallait donc trouver autre chose qui leur permette de s'adapter à la conjoncture si nécessaire. D'autant que Bruxelles n'a pas été assez loin en matière de régulation des marchés, jugeant que ces derniers étaient omnipotents. Mais l'Union européenne (UE) n'a rien prévu dans ce sens.

Et aujourd'hui, elle veut un plan coordonné d'austérité. Si elle continue dans cette voie-là, elle court au désastre. Nous savons, depuis la Grande Dépression des années 1930, que ce n'est pas ce qu'il faut faire.

Que devrait faire l'Europe ?

Il y a plusieurs possibilités. Elle pourrait par exemple créer un fonds de solidarité pour la stabilité, comme elle a créé un fonds de solidarité pour les nouveaux entrants. Ce fonds, qui serait alimenté dans des temps économiques plus cléments, permettrait d'aider les pays qui ont des problèmes quand ceux-ci surgissent.

L'Europe a besoin de solidarité, d'empathie. Pas d'une austérité qui va faire bondir le chômage et amener la dépression. Aux Etats-Unis, quand un Etat est en difficulté, tous les autres se sentent concernés. Nous sommes tous dans le même bateau. C'est d'abord et avant tout le manque de solidarité qui menace la viabilité du projet européen.

Vous prônez une sorte de fédéralisme ?

Oui. De cohésion. Le problème, c'est que les Etats membres de l'UE n'ont pas tous les mêmes croyances en termes de théorie économique. Nicolas Sarkozy a eu raison de faire pression sur (la chancelière allemande) Angela Merkel pour la forcer à payer pour la Grèce. Nombreux sont ceux qui, en Allemagne, s'en remettent totalement aux marchés. Dans leur logique, les pays qui vont mal sont responsables et doivent donc se débrouiller.

Ce n'est pas le cas ?

Non. Le déficit structurel grec est inférieur à 4 %. Bien sûr, le gouvernement précédent, aidé par Goldman Sachs, a sa part de responsabilité. Mais c'est d'abord et avant tout la crise mondiale, la conjoncture, qui a provoqué cette situation.

Quant à l'Espagne, elle était excédentaire avant la crise et ne peut être accusée d'avoir manqué de discipline. Bien sûr, l'Espagne aurait dû être plus prudente et empêcher la formation de la bulle immobilière. Mais, en quelque sorte, c'est l'euro qui a permis ça, en lui procurant des taux d'intérêt plus bas que ceux auxquels Madrid aurait eu accès sans la monnaie unique. Aujourd'hui, ces pays ne s'en sortiront que si la croissance européenne revient. C'est pour cela qu'il faut soutenir l'économie en investissant et non en la bridant par des plans de rigueur.

La baisse de l'euro serait donc une bonne chose ?

C'est la meilleure chose qui puisse arriver à l'Europe. C'est à la France, et plus encore à l'Allemagne qu'elle profitera le plus. Mais la Grèce et l'Espagne, pour qui le tourisme est une source de revenus importante, en seront également bénéficiaires.

Mme Merkel, pourtant, sait que la solidarité peut être importante. Sans cela, il n'y aurait pas eu de réunification allemande.

Oui. Mais, justement, il a fallu plus de dix ans à l'Allemagne pour absorber la réunification. Et d'une certaine manière, je pense que les ex-Allemands de l'Ouest estiment qu'ils ont déjà payé un prix élevé pour la solidarité européenne.

Pensez-vous que la viabilité de l'euro soit menacée ?

J'espère que non. Il est tout à fait possible d'éviter que la monnaie unique ne périclite. Mais si on continue comme ça, rien n'est exclu. Même si je pense que le scénario le plus probable est celui du défaut de paiement. Le taux de chômage des jeunes en Grèce s'approche de 30 %. En Espagne, il dépasse 44 %. Imaginez les émeutes s'il monte à 50 % ou 60 %. Il y a un moment où Athènes, Madrid ou Lisbonne se posera sérieusement la question de savoir s'il a intérêt à poursuivre le plan que lui ont imposé le Fonds monétaire international (FMI) et Bruxelles. Et s'il n'a pas intérêt à redevenir maître de sa politique monétaire.

Rappelez-vous ce qui s'est passé en Argentine. Le peso était attaché au dollar par un taux de change fixe. On pensait que Buenos Aires ne romprait pas le lien, que le coût en serait trop important. Les Argentins l'ont fait, ils ont dévalué, ça a été le chaos comme prévu. Mais, en fin de compte, ils en ont largement profité. Depuis six ans, l'Argentine croît à un rythme de 8,5 % par an. Et aujourd'hui, nombreux sont ceux qui pensent qu'elle a eu raison.

Propos recueillis par Virginie Malingre."

Et, voilà, plan de rigueur anti-social et anti-relance, défaut de paiement, nous sommes d'accord. Sarko nous enfonce dans la récession au lieu de dire aux pays qui n'en peuvent plus d'assurer un service de la dette draconien d'arrêter de payer.
Oui, arrêter de payer pour assurer la relance par l'investissement.
Mais, allez donc expliquer cela à sarko qui continue à privilégier ses amis banquiers en faisant racheter leurs créances par la BCE.
Question, "Est-ce que les banques continuent à soutenir l'économie ?"
Pas sûr, vu le nombre de petites entreprises à qui elles refusent des crédits.

lundi 26 décembre 2011

(blog à finir)

Bon, je ne voudrais pas dire, mes l'équipe à sarko, c'est des neuneus.
Prenons, par exemple, l'éducation nationale.
Comme, aux States, non seulement, ils réduisent l'école publique à un passage obligé, mais, non formateur en tournant le dos à l'école de Jules Ferry qui prônait la culture générale avant la spécialisation. Tout en lui enlevant tout moyen comme aux States.
Donc, plus de notion d'économie, de sociologie, même d'histoire supprimée en terminale.
Ce qui entre-nous supprime encore plus toute possibilité de sortir de son milieu, ne laissant qu'à ceux qui accèdent à l'enseignement privé la possibilité de se maintenir dans ce que l'on appelle la classe moyenne.
Donc, en prive l'adolescent de la capacité de se forger les outils de son libre arbitre.
Eh, oui, mes quatre chers lecteurs, le libre arbitre sur lequel j'insiste encore et toujours qui permet à l'individu de réinterpréter à travers son expérience de vie ce qui est bon ou mauvais pour lui en dépassant les rumeurs ou les tentatives de manipulations des médias ou même de la publicité.
Qu'est-ce qu'ils veulent l'équipe de pingouins de sarko, générer de futures victimes du systèmes qu'ils veulent mettre en place ?
C'est bien de copier bêtement vouloir faire un copié-collé de la société américaine sur la société française. Alors, qu'il est de plus en plus limpide que la démocratie américaine est une démocratie confisquée.
Bon, monsieur veut faire son grand projet, déréguler, déréguler, façonner les générations à venir pour en faire de bons petits soldats qui fermeront leur "gueule"
Grand bien lui fasse, lui et sa clique à la Milton Friedman.
Et, qu'allons-nous devenir avec des fonctionnaires qui ne seront plus là que pour nous tirer nos revenus sans que l'état mette à notre disposition les services primaires, l'éducation et la santé.
Déjà, dans les hôpitaux les listes d'attente s'allongent, comme en Angleterre à l'époque de Tatcher.
Sauf, ce qu'il n'a pas compris notre président national, c'est que l'époque de Tatcher, Reagan, Bush est derrière nous. Que ce qu'il a en face de lui, ce sont les français qui ont en marre !
Bizarrement et pour la première fois, le gouvernement ne lance pas d'appel à l'inscription sur les listes électorales alors que cela était une tradition avant la moindre élection faisant appel au suffrage populaire.
Eh, oui, bizarrement, cette année, le gouvernement n'appelle pas les jeunes à s'inscrire sur les listes électorales.
Pourquoi ?
Simple, il sait que le petit pourcentage de jeunes qui le soutiennent de toute façon s'inscrira. Les autres, tous les autres, ce sont des racailles qui voteront contre sarko.
En tout cas, il est à espérer que l'UMP ne tente pas comme Poutine en Russie de pratiquer la fraude électorale. A mon avis, certains dirigeants pourraient en avoir la tentation.
Que ne ferait-on pas pour conserver le pouvoir, surtout, si, l'on s'imagine sorti de la cuisse de Jupiter.
Sauf que, sauf que, je ne pense pas que sarko passera le premier tour, d'où cette possible tentation à bourrer les urnes, en toute discrétion, cela va sans dire.
A mon humble avis, le deuxième tour pourrait se jouer entre Jean Luc Mélenchon et François Hollande ou avec François Bayrou et François Hollande.
La guerre des deux François en quelque sorte.
Et, que cette fois-ci, Bayrou fera plus attention à ses prestations télévisuelles. Mais, surtout, qu'en face, Hollande ne fera pas le poids. Ni d'ailleurs qu'avec Mélenchon.
Le rejet n'est pas grand en France, je dirais qu'il est immense à l'encontre de sarko. Et, comme, il invente les données pour satisfaire à sa démonstration, il suffira, lors d'un débat, de le coincer deux ou trois fois, pour le dé-cribiliser définitivement.
Le culot, c'est une chose pour convaincre, plus, lorsqu'il est de notoriété publique.
En plus, notre président national, sidéré par son déficit d'amour des français à l'encontre de sa personne va accumuler connerie sur connerie.
Et, là, je parle de son mic-mac par rapport au génocide des arméniens turcs. Il veut nous sortir une loi, qui entre-nous ne sera jamais appliqué contre les négationnistes de celui-ci.
Mais, mon pauvre monsieur, le premier des négationnistes, c'est l'Etat Turc.
Sans doute, va-t-il envoyer Interpol pour en arrêter son premier ministre.
L'Allemagne a admis le génocide contre les juifs. Mais, pour cela, il a fallu passer par une défaite militaire et l'effondrement de l'état nazi.
Ce qui entre-nous, n'est pas le cas de la Turquie, qui, je le rappelle a battu à plate couture le corps expéditionnaire français à l'époque d'Ataturk, sans compter les anglais et les grecs.
Juppé a raison en condamnant l'initiative sarkozyste.
Il ferait bien de le remplacer comme candidat, si, les députés Ump veulent avoir une chance d'être réélu. Autrement, cela sera un tsunami en leur défaveur.
Bon, mes quatre chers lecteurs, je sens que vous commencez à en avoir assez que je ne parle sans cesse de la France. Effectivement, il se passe des évènements hors de notre hexagone.

dimanche 25 décembre 2011

Désolé, mes quatre chers lecteurs. Aujourd'hui, j'ai fait des travaux ce qui n'a pas arrangé mon histoire de vertèbres cervicales.
Je préfère me reposer et ne pas écrire.
René.

samedi 24 décembre 2011

Salut à la planète financière, vous vous faites rouler par plus gros que vous.

Bon, en cette veille de Noël, mes quatre chers lecteurs, je souhaite à tous les habitants de la terre qui se sont levés pour que leur situation s'améliore un heureux Noël pour les chrétiens et que l'espérance se lève à nouveau sur l'année qui vient pour les autres.
Alléluia !
Inch'Allah !
Et, pour les non monothéistes, je ne sais pas.
Par contre pour unir les religions qui divisent les hommes, je vais par exemple procéder à un syncrétisme en life.
Donc, pour ce qui concerne les boudhistes, hindouistes et les chrétiens, je leur propose de revisiter l'accès au paradis et au nirvana, histoire de les mettre d'accord une bonne foi pour toute.
Donc, nous sommes d'accord, le paradis ou le Nirvana est l'étape suprême de l'aventure individualiste humaine. Chacun accède à la route, seul.
Ce qui entre-nous est un mauvais début pour rendre les hommes plus solidaires entre-eux.
Mais, passons.
Nous disions que le Nirvana se gagne sur terre en devenant un boudha ou un cakya pour les hindouistes. Ce ne vous alignerait pas les macérations mentales et physiques que cela exige parce que je veux faire court.
En tout cas, c'est un truc de fou, très respectable par ailleurs, mais, quand même un truc de fou.
Après, on attend le Nirvana en passant par des degrés de connaissance que je ne vous décrirais pas également.
Chez les Hindouistes, boudhistes et chrétiens ou musulmans, nous restons sur une démarche typiquement individualiste. Notez-le mes quatre chers lecteurs.
Chez les chrétiens, l'accès au paradis où il n'y aura que peu d'élus, il faut le noter, c'est le bien que l'on fait à l'autre qui permet d'accumuler les points pour franchir la porte du paradis.
Eh, bien, moi, pour réconcilier au moins deux courants religieux importants, je suggère que les pêchés commis sur terre déterminent, comme les boudhistes et hindouistes, un éloignement proportionnel au paradis ou au Nirvana.
Que tous font des allers retours sur terre jusqu'à ce qu'ils prennent, d'une façon non consciente, que leurs précédentes vies ont été nuisible pour tout ce qui est vivant.
Et, que plus leur vie devient consciente au fur à mesure des allers-retours qui correspondent à des étapes, plus, ils se rapprochent des portes.
Le paradis, peu d'élu, le Nirvana, peu de Boudhas. Au moins, il y a là, un accord entre trois religions différentes.
Bon, mise à part cela, ce serait donc, l'amour, non pas seulement de l'humanité qui déterminerait un tel accès, mais, l'amour de tout ce qui habite et construit la planète bleu, notre planète.
La compréhension que nous ne formons qu'un tout.
Et, c'est là, la difficulté puisque nos religions privilégie chez l'homme l'individualité comme je viens de le démontrer avec cette histoire de paradis.
Seulement, et, c'est là que je différer de ces religions, le paradis ou le Nirvana ne sont que des étapes permettant d'arriver à un niveau de conscience de "sainteté" autorisant l'accès à d'autres niveaux de conscience.
Qui se jouent là en dehors du corps physique.
Et, c'est pour cela que déjà l'accès au paradis ou au Nirvana peut prendre plusieurs vies ou ne jamais arriver d'ailleurs.
Parce qu'il ne faut pas quand même déconner, 9 milliards d'humains, sans compter les autres avant et les animaux et les moucherons et les vers de terre, cela ferait désordre au nirvana ou au paradis, comme un lundi matin à Gare de l'est lorsque la fournée des banlieusards débarquent à Paris pour aller travailler.
Enfin, je ne vais pas vous ennuyer plus, voilà, ma réflexion en cette veille de Noël.
Mais, arrêtons les balivernes. Il est temps de s'occuper de notre monde à nous.
Ah, Ah, la BCE, banque centrale européenne a inondé les banques de millions d'euros. Les banques, oui, mais, pas la relance économique.
Jouer au père Noël, à quatre jours de la fête, c'est, peut-être éviter aux banques de ne pas pouvoir faire face aux retraits d'argents massifs à l'occasion de l'achat des cadeaux et la préparation du repas.
En tout cas, jamais, la BCE n'a fait un tel cadeau pour la relance économique. Il y a peut-être des questions à se poser sur sa fonction réelle.

(source : la Tribune)

BANQUES - 21/12/2011
"Pour Noël, la BCE prête 489 milliards d'euros aux banques européennes

La Banque centrale européenne a alloué 489 milliards d'euros à 523 banques lors de son opération exceptionnelle de prêts à trois ans annoncée début décembre. Un montant plutôt supérieur aux attentes des marchés.

Avec 523 banques participantes, c'est une véritable ruée vers le guichet de la BCE qui a eu lieu ce matin sur les marchés. Les banques ont ainsi emprunté 489,1 milliards d'euros à la BCE, contre des actifs élligibles confiés à la BCE, et pour un faible taux de 1%. La BCE a également prété 29,7 milliards d'euros à 72 banques pour une durée de trois mois.
Par ailleurs, la BCE a prêté 33 milliards de dollars à 34 banques européennes dans le cadre de ses accords de "swap" avec la Fed. Ces accords permettent à Francfort de refinancer les banques en devise américaine de façon illimitée. Ces prêts se portent désormais sur une échéance de 14 jours et à un taux d'intérêt fixe de 0,58%. La semaine dernière, la BCE avait alloué 5,1 milliards de dollars lors de son appel d'offre hebdomadaire.

870 milliards d'euros de prêts aux banques

Il s'agit d'un record pour ce type d'opération, dont le record jusque là était de 442,24 milliards d'euros en juin 2009. Au total, cela porte le montant globale des refinancements de la BCE à plus de 870 milliards d'euros, dont 700 milliards à long-terme. Du jamais vu depuis la création de l'euro."

Bon, je m'arrêterais là. Sauf, que lorsque je me trouvais à l'hôpital, mon voisin a reçu la visite de son fils. Manifestement, c'était ce que l'on appelle communément et sans mépris, de petites gens.
Le fils déclara à son fière qu'il avait quand même acheté un gâteau et qu'il avait fait un crédit.
Alors, vous qui avez plein de fric de ces gens-là, vous n'en avez rien à faire. Un jour, votre mépris vous sera compté !
A bientôt.
René.

vendredi 23 décembre 2011

Salut aux paysans des anciennes coopératives ukrainiennes. Comme nous, ils vous ont bien baisé !

Et, voilà, mes quatre chers lecteurs, partout les tenants du pouvoir politique entament la chasse aux indignés.
A New york, à Oakland, à Paris, à AIx en Provence en France et tant d'autres endroits, les pouvoirs politiques élus par les peuples, mais, ne les représentant plus, s'attaque à ce mouvement qui pourrait risquer de faire comprendre à l'ensemble des citoyens que les politiques les ont vendus comme une simple marchandise aux places financières et à des industriels corrompus.
Donc, ils gênent.
Et, si, ils gênent, c'est qu'il y a une part de vérité dans ce qu'ils disent.
Ou alors, ils ne disent que la "VERITE !"
Sinon, pourquoi les matraquer, alors, qu'ils n'empêchent même pas la sacro sainte voiture de circuler.
Ils ne sont pas anti-consuméristes, ils ne sont pas communistes, ni anarchistes, enfin, tous ces vieux clichés, non, ils veulent juste défendre leur démocratie contre des intérêts prédateurs qui ont acheté leurs représentants politiques afin de construire un monde où le citoyen n'est plus rien, qu'une marchandise bonne à jeter lorsqu'elle n'est plus utile.
Car, c'est ce qu'ils font en ce moment, aux Etats-Unis, en France, en Russie, en Grèce, en Espagne. Leur arme absolue, "le CREDIT !"
Eh, oui, messieurs dames, ce fameux crédit qui devait vous permettre d'atteindre un niveau de vie enviable.
Eh, bien, ce crédit, ils l'ont retourné contre nous et contre nos états.
Mais, pour qu'ils réussissent, il faut avancer masquer.
Et, c'est là que les indignés du monde entier les dévoilent et cela les gênent parce qu'ils ne nous ont pas encore ôter le dernier barrage à leur domination, le "VOTE CITOYEN !"
C'est bien pour cela qu'il faut s'indigner, mes quatre chers lecteurs.

(source : Médiapart en ligne)

"Le samedi 10 décembre, Journée mondiale des Indignés et des Droits de l'Homme et week-end mouvementé entre manifestation, évacuation, arrestations.

C'est dans cette ambiance de convivialité et de paix, que le week-end des 10 et 11 décembre et son lot de violence a rappelé brutalement aux Indignés que l'état sécuritaire est de plus en plus féroce et anti-démocratique et qu'il suffit de très peu (comme le dit si bien Miguel Benasayag) pour faire l'expérience de cette violence et de l'absence totale de Démocratie dès qu'on passe de l'autre côté du décor et des apparences convenues. Il suffit de manger et de faire de la musique ensemble et de penser un peu pour être considéré comme un personnage gênant, dangereux, voire terroriste, et qui mérite d'être traité avec brutalité. Il suffit de suivre les évènements de ce week-end pour en être convaincu.
Samedi dernier donc, après avoir participé au Cercle de Silence et tenu leur Assemblée devant la Cathédrale, les Indignés Aixois ont voulu être solidaires et soutenir les Indignés Marseillais, qui avaient décidé d'installer leur campement le soir au cours Julien. Cette fois c'était les Marseillais qui avaient fait la cuisine. Le repas était bon, festif, musique et percussions étaient au RV. Les Indignés étaient alors au nombre de 200 et encerclés par des forces de l'ordre déployées en nombre. Et là, brusquement, la soirée tourne au cauchemar : ils font l'objet de deux premières charges, la seconde, devant déloger le campement établi à la hâte, particulièrement violente. Un de leurs amis marseillais, d'un certain âge est traîné sauvagement sur les cailloux. Trois Indignés aixois, heureusement plus jeunes, subissent le même sort. Nous avons une Indignée aixoise en pleurs et en rage au téléphone : « Tout était calme, nous ne faisions rien que d'être bien ensemble, et ils nous tapent dessus. J'essaie avec d'autres d'évacuer la cuisine, sinon ils vont tout embarquer. Les Droits de l'Homme sont bafoués. Ce sont des comportements fascistes »
Plus tard, dans la soirée de samedi, vers 23h30, une troisième charge vise à disperser la centaine de personnes encore présente à coups de matraque et de gaz."

Eh, oui, s'ils en sont même à réprimer par la violence un mouvement fondamentalement pacifique, c'est que ces messieurs ont quelque chose à se reprocher.
Parce que c'est vrai que nos représentants politiques, élus par nous, trafiquent en faveur de ces réseaux d'influence financiers et industriels derrière notre dos et contre nos intérêt.
Comme en France ou aux Etats-Unis, lorsque les grands semenciers veulent nous interdire d'utiliser nos propres graînes pour faire pousser "nos" légumes.

(source : le Monde en ligne)

"Agriculture : la réutilisation des semences sera sanctionnée
LEMONDE.FR Avec AFP | 29.11.11 | 10h27 • Mis à jour le 29.11.11

La proposition de loi devrait aussi, selon ses concepteurs, favoriser la conservation de variétés anciennes en constituant une collection nationale.D.R.

Le Parlement a adopté, lundi 28 novembre, une proposition de loi UMP sur "les certificats d'obtention végétale". Il devrait simplifier l'utilisation de semences de variétés protégées. Une simplification contestée par certains syndicats professionnels, qui estiment qu'elle "bafoue" des pratiques agricoles ancestrales.
Le texte du sénateur UMP Christian Demuynck a été adopté par le Sénat en première lecture le 8 juillet et transpose une convention internationale pour la protection des obtentions végétales de 1991. Voté dans les mêmes termes par l'Assemblée, lundi soir, le texte est donc adopté par le Parlement définitivement.
Il conforte les spécificités du "certificat d'obtention végétale", un droit de propriété intellectuelle original créé par la France pour les semences afin d'éviter le recours aux brevets mis en place notamment aux Etats-Unis pour le vivant. Le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, a défendu devant les députés le certificat d'obtention végétal, sinon "le modèle du brevet prendra le pas, c'est-à-dire la captation de toutes les nouvelles variétés performantes".

"SITUATION DE NON-DROIT"

Le texte est contesté par des syndicats agricoles et collectifs car les agriculteurs devront désormais payer une indemnité, sous conditions, lorsqu'ils réutilisent leurs semences d'une année sur l'autre. Plusieurs dizaines de personnes, dont des militants de la Coordination rurale, se sont rassemblées devant l'Assemblée lundi pour protester."

Question : "Que fait Obama aux Etats-Unis pour empêcher de telles lois d'être votées, sinon, appliquées, à part laisser sa femme faire joujou avec le jardin potager qu'elle a planté à la maison blanche ?"
Rien !
Pourquoi ?
Parce que l'industrie agro-alimentaire américaine finance sa future campagne pour la prochaine présidentielle !
Est-il corrompu ?
Non, à mon avis, il ne se pose pas de question parce que cela ne fait pas parti de ses centres d'intérêt et qu'il s'imagine utiliser le système pour se faire réélire alors que c'est le système qui l'utilise pour finir de mettre la main sur l'appareil administratif et judiciaire d'état.
Ce qui était en train de se finaliser au moment du réveil des indignés.
Faut dire qu'ils en ont trop fait avec leurs crises à répétition pour accélérer le mouvement pour détruire les états providences d'Europe.
Bientôt, nous serons tous comme les citoyens grecs. A moins que sarko et sa clique disparaisse. Mais, si, c'est pour la remplacer par celle d'Hollande, cela ne vaut pas vraiment la peine.
A bientôt.
René.

jeudi 22 décembre 2011

Aujourd'hui, peu de mots. En fait, j'ai passé ma journée à Paris pour m'inscrire à une mutuelle et à trouver porte close à la sécurité sociale. Du coup, mon cou en a pris un coup avec le froid.
Aussi, un seul mot pour dire que comme aux Etats-Unis, les grands groupes bancaires américains placent partout leurs hommes à des postes clés en Europe.....avec la complicité de nos élus politiques.
Et, même, si, vous pensez que Lehman Brothers a fait faillite et bien, elle est comme le phénix, elle se rétablit grâce à l'argent des contribuables américains.

(source : fr.euronews.net)

"Espagne: un ancien président de Lehman Brothers au ministère de l’Economie
21/12

Espagne : Rajoy annonce d’importantes coupes… 19/12/2011 13:13 CET
Les enjeux pour Mariano Rajoy 20/12/2011 15:18 CET
L’Espagne déjà sous la pression des marchés 22/11/2011 02:14 CET
Espagne : les députés élisent Mariano Rajoy chef du… 20/12/2011 18:15 CET
Mariano Rajoy tente de rassurer les marchés financiers 19/12/2011 18:38 CET
Les Espagnols connaissent désormais les visages du nouveau gouvernement de Mariano Rajoy. Le dirigeant conservateur en a dévoilé la composition ce mercredi soir. Le choix du ministre de l’Economie ne passe pas inaperçu, en raison de la crise économique, mais aussi de son parcours. Car Luis de Guindos, qui va porter le programme d’austérité, n’est autre que l’ancien président pour l’Espagne et le Portugal de Lehman Brothers, la banque d’affaires américaine qui a fait faillite en 2008 et précipité la crise financière mondiale."

Intéressant, n'est-ce pas mes quatre chers lecteurs. Ils prennent le contrôle pour empêcher les états européens de geler le remboursement de leurs dettes.
Et, en attendant, les promesses des politiques de réguler le marché ressemble de plus en plus à du pipo. Mais, cela ne doit pas gêner sarko, car, ses promesses ne l'ont jamais engagé.

(source : le Monde en ligne)

"La City retarde la régulation européenne des produits dérivés
LEMONDE.FR | 22.12.11

La nouvelle réglementation sur la régulation des produits dérivés doit se mettre en place avant la fin de l'année 2012.AFP/ANDREAS SOLARO

Les membres du G20 l'avaient présentée comme l'un des points essentiels du grand projet de régulation des marchés financiers, dont le manque d'encadrement est à l'origine de la crise de 2008, selon les dirigeants des grandes puissances économiques – Nicolas Sarkozy et Angela Merkel en tête. L'adoption de la nouvelle réglementation européenne visant à réguler les produits dérivés prend toutefois du retard en Europe. Pointée du doigt, leur négociation s'effectue de plus en plus souvent de façon opaque sur des plateformes alternatives (dark pools), c'est-à-dire avec des procédures de contrôle réduites au minimum.
Le projet, publié le 20 octobre par la Commission européenne, est en cours de négociation au Parlement européen. A l'instar du sommet européen du 9 décembre, le Royaume-Uni s'accroche fermement à l'indépendance, jugée cruciale pour sa survie économique, de la City. Quitte à faire patiner les négociations."

A bientôt.
René.

mercredi 21 décembre 2011

Salut aux indignés des Etats-Unis et que les victimes des exploitations de gaz de schiste vous rejoignent !

Ah, là, là, cette grande Amérique qui nous a tant fait rêver au point d'accueillir des dizaines de millions d'immigrés qui abordaient ses rives avec dans le coeur, l'espoir d'un avenir meilleur.
Eh, bien, mes chers quatre lecteurs, ce temps est, hélas, loin derrière nous.
Nous revenons dans les pays occidentaux, dits riches, à l'époque pré-industrielle où l'exploitation de la force de travail et la misère ouvrière était la seule norme acceptée d'un consensus social.
Les Etats-Unis, désormais, n'utilise le concept de démocratie que pour obliger les états récalcitrants à subir ou à accepter la pénétration de leurs industries prédatrices.
Mais, heureusement, parmi les pays émergents perdurent des résistances.
Ainsi, la République Indienne a refusé la pénétration de la grande distribution occidentale. Cela a été chaud parce que le gouvernement indien avait donné un accord de principe, sur lequel, sans doute, après des pressions venues de membres du Congrès, il a su revenir.
Eh, oui, mes chers quatre lecteurs, cela fait quelques années que les Etats-Unis n'ont de démocratie que le masque.
Ils ne servent que les intérêts de leurs places financières et de leur industries. Mais, cela n'est pas nouveau. Par contre, ce qui est nouveau, c'est que ces institutions privées se sont retournées contre le peuple américain.
Provoquant sur le terrain une misère qui les aligne sur les pays les plus pauvres.

(sources : Affaires.Stratégiques.Info en ligne)

"Les enfants de la rue aux Etats-Unis.
20 décembre

Ils sont 1,6 million, soit un enfant sur 50. C’est le dernier chiffre du rapport du National Center on Family Homelessness en 2010 qui est sorti ce 20 décembre. C’est une augmentation de 38% par rapport au chiffre de 2006. Presque la moitié de ces enfants ont 6 ans ou moins. Ils vivent en Louisiane, en Géorgie, dans l’Alabama, au Texas et en Californie. Pour 55% d’entre eux, ils sont Afro-américains. La moitié d’entre eux sont issus de familles monoparentales et dépendent de mères souvent souffrantes de maladies chroniques. Avec la crise économique, le chômage et les expulsions immobilières augmentent et fragilisent des foyers qui étaient déjà en situation précaire.

« Sans surprise, le risque pour un enfant d’être sans-abri a augmenté avec la crise économique, même si les capacités de logement ont augmenté de 15 000 unités au cours des quatre dernières années. »
Le rapport soulignent que ces enfants, vivant dans une situation extrêmement précaire, en viennent rapidement à se désocialiser, échouent à l’école quand ils n’en sont pas encore exclus. Un enfant sans-abri sur six souffre de perturbations émotionnelles. Plus que les autres, ils souffrent de la faim et sont plus exposés aux maladies.
Selon Ellen Bassuk, directrice du National Center on Family Homelessness, « Les enfants sans domicile sont des enfants apeurés, affamés, isolés et conduits à échouer à l’école. Sans action décisive, des millions d’enfants vont subir toute leur vie le fardeau d’avoir été sans domicile. Les conséquences pour notre société vont peser pendant des décennies. Alors qu’on est en train de subventionner le reste du pays, il est temps d’aider ces familles. »
Le rapport du National Center on Family Homelessness préconise une vingtaine de mesures dont notamment l’augmentation des crédits alloués aux familles à faibles revenus ou en instance d’expulsion, et l’investissement dans les soins pour les enfants sans abri."

Sources : Synthèse du rapport, France TV Info, Blog “Les mots ont un sens”

Vous me direz, mes chers quatre lecteurs, "Obama peut faire différemment et il le fera !"
N'oublions pas le fameux, "Yes, we can !"
Mais, ce cri d'espérance que vous jetez au ciel, je l'entends, mais, je ne le partage pas.
Pourquoi ?
Parce qu'actuellement et en prévision de la prochaine élection présidentielle, la machine à ramasser du fric démocrate pour sa future campagne marche à fond.
Et, toutes les institutions financières et industrielles du pays versent leur obole à coups de millions de dollars.
Alors, comment pourrait-il aller à l'encontre des intérêts qui le finance ?
Il est déjà pieds et poings liés.
De fait, il ne le peut pas.
Sans compter qu'il nomme auprès de lui des conseillers pour assurer et non pas rassurer ces gens-là.
Et, là, se trouve l'un des noeuds du problème qui a en fait diluer le rêve américain.
La présidence ne peut pas être assujettie aux puissances industrielles et financières, car, cela dénature la démocratie américaine et la pervertie, la transformant en quelque chose d'autre qui ne dit pas son nom.
Pour lui rendre son indépendance, seule garantie pour le citoyen américain, il faudrait, comme en France, même, si des tricheries se font jour, que les candidats ne puissent être financés par des intérêts privés, mais, qu'ils le soient à travers des enveloppes publiques calculées au pro rata de la représentation électives de leur parti.
C'est la condition sine qua non pour que la représentation politique conserve son indépendance vis-à-vis d'intérêts qui peuvent et jouent à l'encontre de celui du citoyen.
Il est urgent et indispensable de rendre leur indépendance aux candidats américains qui sollicitent le suffrage du peuple.
Car, en ce moment, la question est, "Combien coûte un élu ?"
Non, pas au niveau du budget de l'état, mais, plutôt, pour les lobbies divers et variés.
Ce que l'on appelle communément de la "corruption".
Parce que dites-moi, mes quatre chers lecteurs, et cela est valable pour la France, comment un élu peut-il défendre des intérêts privés lorsque ces intérêts menacent la santé et le bien être de ceux qui l'ont élu ?
Oui, dites-moi, parce qu'alors, vous comprendrez pourquoi les oripeaux de démocratie dont nos élus habillent la république correspondent à autre chose que cette fameuse démocratie dont ils se font les chantres pour mieux nous dépouiller.
Oui, les industriels souillent l'Amérique et la détruisent !
Oui, les intérêts de la finance dépouillent les citoyens américains de ses droits les plus élémentaires !
Oui, les Etats-Unis ne sont plus qu'une "Ploutocratie" comme aimait le dénoncer l'Union Soviétique à l'époque. Sauf, que maintenant, il faille inventer un nouveau mot pour désigner ce mode de fonctionnement d'un état assujetti au seul intérêt d'un faisceau d'intérêts industriels et financiers prédateurs de l'état de droit.
Une "entité" qui avance dissimulé sous ce que j'appelle les oripeaux de la démocratie en envoyant des messages subliminaux aux citoyens par les médias qu'ils contrôlent en totalité pour que les citoyens ne s'aperçoivent pas qu'ils ont kidnappés la démocratie à leur seul profit.
D'où un intérêt convergent de toutes ces chaînons d'influences de participer à l'élaboration d'un cahier des charges pour soustraire les états à leur devoir de protection du citoyen.
Donc, pour leur permettre d'accéder quelqu'en soient les conséquences pour le citoyen au meilleur ou au plus gros "PROFIT".
Et, cette course au profit à tout prix au dépend du citoyen se joue à tous les niveaux. C'est bien pour cela que je me posais la question dans l'une des dernière lettres non terminées suite à mon incident de vertèbres cervical, "Mais, quelle est cette mentalité ?"
Mentalité qui fait même que les fabricants de pâte nous sortent au même prix des pâtes de moindre dimension. Qui fait que le contenu des produits alimentaires diminuent dans les sachets, qui fait que les exploitants de gaz de schiste empoisonnent les paysages encore sauvages des Etats-Unis, qui fait que les laboratoires pharmaceutiques commercialisent des médicaments non adaptés, mais, aux effets secondaires redoutables en toute connaissance de cause.
Cette mentalité qui du haut en bas de la pyramide divinise le profit.
Donc, retour à la case départ du culte du veau d'or.
A mon avis, c'est là le fond du débat. Mais, aucun politique n'en parlera parce qu'ils ont tous participé aux jeux des dérégulations chère Milton Friedman et ses adeptes.
Bill Clinton aux Etats-Unis a entrouvert la porte, Pompidou en France pour servir ses maîtres vénérés, la famille Rothschild. Les socialistes en France avec Mitterrand ont continué le grand jeux avec leur Europe.
Les Reagan, les Bush aux Etats-Unis ont parachevé le travail.
Désormais, le marché est roi, les multinationales industrielles dirigent les agences de contrôle sanitaires en occident et l'on s'étonne hypocritement que des gens meurent de leurs abus.
Comme en France Xavier Bertrand, notre ministre de la santé dans le cas du médicament Médiator qui fait semblant d'être offusqué alors qu'il a toujours soutenu les remboursements élevés auprès de la sécurité sociale.
Sauf que, sauf que, le patron dudit laboratoire servier en l'ocurrence finançait largement son parti et faisait même partis du premier cercle des financeurs.
Et, à mon avis, les cris d'orfraie que le gouvernement a poussé ne sont là que pour mieux dissimuler le soutien dont ce laboratoire peut continuer à attendre de sa part pour payer le moins possible et le plus tard possible.
En tout cas, c'est ce que je pense.
Car, c'est comme cela que cela se passe d'un côté et de l'autre de l'Atlantique.
Le citoyen n'est plus considéré, même pas exploité, juste utilisé.
Et, ce qui va être le révélateur de l'abomination que je viens de vous décrire succinctement est le mouvement des Indignés.
Pourquoi ?
Parce que la force de la répression qui les frappera sera à la hauteur de la peur qu'ils auront provoqué chez les tenants de ce nouveau ordre mondial.
D'où mes quatre chers lecteurs, cette idée géniale de mondialisation.
Et, dites-moi, entre nous, puisqu'il n'y pas de micro, qu'à fait l'OMC, le FMI, la Banque Mondiale, à part affamer des peuples ?
Justement cela, "Leur mondialisation !"
Tout cela en nous faisant croire que c'était la panacée.
Maintenant, il nous faut avant soi-disant de moraliser la finance internationale, moraliser nos moeurs politiques. C'est-à-dire, contrôler nos élus pour qu'ils ne puissent plus être corrompus en s'imaginant que cela fasse partie de la société du spectacle qu'ils ont eux-même mis en musique.
Sans cela, le sang des indignés coulera par flot sur la terre.
Réfléchissez-y mes quatre chers lecteurs et je vous dis, à demain.
René.

mardi 20 décembre 2011

Salut, à ceux qui y croient encore. Sachez-le, ce n'est pas François Hollande qui va nous sortir de ce merdier. Il n'en a pas le courage !

Désolé, mes quatre chers lecteurs, je n'ai pu finir la dernière lettre, ni réaliser celle d'hier, car, je me suis retrouvé à l'hôpital ayant succombé à une attaque d'une vertèbre cervicale usée.
Moi, je vous le dis, les vertèbre cervicale usée et le froid, cela ne va pas du tout ensemble.
Donc, je viens d'en sortir, m'ayant quand même évanoui deux fois, suite à la douleur intolérable que cela m'a provoqué.
Ah, vieillesse ennemie )
Il faut dire que dans ma jeunesse peu studieuse, j'ai soulevé mon content de sacs de ciment, en ai remplis des camions, sans compter les camions de sable ou de terre.
Souvent à la bétonnière, je n'ai jamais ménagé mes efforts.
J'en paie aujourd'hui le prix.
Et, d'ailleurs, je remercie sarko qui veut renvoyer ma retraite aux calendes grecques. Bref, ce jour là, je coûterais certainement pas cher à la sécurité sociales, vu, que sans doute, il ne me restera pas longtemps à vivre.
Mais, je préfère ma vie à celle, par exemple, du nouveau dirigeant de la Corée du Nord. Il ne ressemble ni à un coréen, ni à un japonais, plutôt à un mongolien.
A mon avis, ce ne va pas être un gentil.
Il va nous la faire à la Galigula, vous savez l'empereur romain qui avait pété une grosse durite.
C'est inscrit sur son visage.
Sans compter qu'il va s'imaginer entourer de traitres.
A vos plumes, messieurs les écrivains, il y a du William Shakespeare dans l'air.
Mais, passons, après tout, ce sont les coréens du nord qui meurent de faim, pas encore nous.
Nous, notre drame et ne s'appelle que sarko et sa clique qui coule la France et renvoient les français lambdas à la misère.
De toute façon, il n'y a rien à sauver, en tout cas, pas de la façon dont ils le font.
Les agences de notations les traquent dans tous les recoins. Et, personne se demandent pour qui, elles travaillent réellement.
Il est vrai qu'elles aident les politiques à liquider les protections sociales publiques, les codes du travail, les syndicats et le reste, je vous laisse le deviner.
C'est bien pour cela que nos politiques, malgré, leurs déclarations virulentes s'en accommodent et s'en servent pour justifier des politiques de rigueur insoutenables.
Il n'y a pas d'autre solution qu'affronter les marchés en gelant le remboursement des dettes publiques.
C'est la seule solution pour disposer des fonds nécessaires pour relancer les économies.
Pour le moment, dans les états en difficulté, le seul service de la dette absorbe toute la trésorerie des états.
Il faut arrêter.
Et, il faut que sarko arrête de se prendre pour un Napoléon. Tout ce qu'il fait, s'est finir de ruiner les états européens et ruiner la France.
Tout ce qu'il a raconté par exemple sur les paradis fiscaux, c'est du baratin. Effacer le Panam de la liste dite "noire" parce que des "grosses entreprises françaises" vont obtenir des contrats, c'est se foutre de la "gueule" du monde.
La pluspart de ces entreprises ne paient pas d'impôts en France.
Bon, je m'excuse, je suis encore fatigué et je vais m'arrêter là.
A demain.
René.

samedi 17 décembre 2011

(blog à finir)

Mais, quelle est donc cette mentalité, mes chers quatre lecteurs. Les industriels aux Etats-Unis détruisent leur pays et la vie des gens pour exploiter du gaz de schiste alors qu'il y en a encore plein dans le monde.
Les compagnies pétrolières souillent l'environnement et détruisent la vie des gens parce que c'est plus facile et moins coûteux que prendre des précautions environnementales.
L'agro-business impose ses semences et ses produits toxiques pour imposer un monopole sur les graines OGM, effaçant du coup des milliers d'années de bio-diversité et empoisonnant les gens à cause de la toxicité de leurs produits.
Les semenciers imposent leurs graines pour les potagers du quidam et font voter une loi qui met hors-la-loi, celui qui vendrait ses produits issus de ses propres graines.
L'industrie pharmaceutique fait passer des lois pour interdire l'utilisation des plantes traditionnelles en faisant des hors-la-lois, ceux qui continueraient ces pratiques.
L'industrie alimentaire nous vend les mêmes produits avec des quantités moindres, mais, au même prix. Ce qui au final est une augmentation des prix camouflés.
Vous voulez vraiment que je continue, mes quatre chers lecteurs, car, on pourrait rajouter les banques qui nous exploite, ou, préférez-vous continuer vous mêmes à lister toutes les saloperies qu'ils se permettent de nous faire avec l'aval des gouvernements.
Parce qu'il y a toujours les laboratoires pharmaceutiques qui imposent sur le marché des médicaments non adaptés.
Alles, mes quatre chers lecteurs, je vous laisse continuer.
Mais, je vous repose la question, "Qu'est-ce que c'est que cette mentalité des industriels, des financiers et de nos politiques ?"
Dites-le moi, comme dirait la chanson.

vendredi 16 décembre 2011

Salut au candidat Bayrou. Bienvenue dans l'arène où s'agitent les gladiateurs !

Bof !
Voilà, ce que m'inspire la future perte du fameux AAA+ de la France.
Et, maintenant, qu'est-ce qu'il va faire sarko ?
Courir après ?
Elle est passée par ici, elle repassera par là.
En tout cas, son nouveau traité européen va le concerner directement, puisque la France va être reconnue bientôt comme mauvais élève.
Heureusement pour lui et, surtout pour nous, avant qu'il ne soit officialisé l'eau de la récession va couler sous les ponts. Même pour l'Allemagne d'ailleurs qui commerce en majorité avec l'Europe du Sud, qui, justement n'a plus d'argent.
Alors, que va faire Merkel ?
Alors, que va faire sarko ?
Faire racheter de la dette souveraine par la BCE et son avatar, le Fonds européen de stabilité financière (FESF), à moins que cela ne soit par le MES, qui à mon avis va avoir des problèmes existentiels.
Mutualiser la dette, qu'elle drôle d'idée !
En embringuant les pays membres de l'UE qui se sont tenus éloignés de la zone euro.
Est-ce que la Suède va payer pour la zone euro au risque de mettre son modèle social en péril ?
Déjà, l'Angleterre qui n'en fait pas partie a dit, "NIET !"
Et, en considérant, les sommes astronomiques et les services de la dette qui coule d'office les pays en difficulté, je me manque à ce que veut dire mutualiser.
Payer pour les autres, à quoi cela servirait.
Jamais, ils ne pourront satisfaire aux exigences de leurs créanciers, nos braves banques que sarko défend si férocement.
Sans compter que cela risquerait de faire plonger les plus fragiles parmi les moins plombés, c'est-à-dire la France.
"Yes, we can !", sauf que là, cela devrait être, "A l'impossible, nul n'est tenu".
Surtout, si, l'on considère que l'Europe devra bien y venir à geler le remboursement d'une dette fabriquée par nos politiques sous l'impulsion des financiers qui leur ont fait pondre des réglementations qui leur faisait la vie belle au détriment des états, donc, des peuples soi-disant souverains.
Le schéma le plus pourri est bien celui que nous connaissons et subissons grâce à un président du nom de pompidou, ancien directeur de la banque Rotschild.
La banque centrale n'a plus le droit de prêter à l'état qui doit s'adresser aux marchés.
Les banques empruntent à un taux ridicule à la banque centrale pour prêter à un taux supérieur à l'état.
C'est ce que l'on appelle un "Hold-Up !" légal.
En plus, il a fallu que l'état français emprunte sur les marchés pour leur venir en aide. C'est quoi, ce grand n'importe quoi ?
Pourtant, notre président national ne parle pas de revoir cette règle, au contraire, il veut encore plus soumettre les états aux marchés.
Mais, qui va leur racheter leur dette ?
La France ?
Elle a plus de fric et bientôt ses taux d'intérêts vont grimper pour atteindre les 7%.
Qui va payer par une misère encore plus grande, je vous le donne en mille mes quatre chers lecteurs, et, bien, c'est NOUS !
Bingo !
Mais, bon.
Sauf, qu'aujourd'hui, je n'ai pas encore trop la forme. Le froid, sans doute.
Alors, je terminerais concernant le candidat socialiste, "Ce type ne se préoccupe pas de la vie des gens. En ce moment même, les grands semenciers ont fait voter une loi qui interdit d'utiliser ses propres graines, si, l'objectif est la vente.
Pour nous obliger à acheter chez eux.
C'est pourri, c'est dégueulasse !
Pas un responsable socialiste n'en a parlé. L'autre, là, Hollande, il plane à dix mille mètres d'altitude. Tout ce qui l'intéresse, c'est arrivé à prendre la place du vizir.
Nous, il n'en a rien à foutre, à part pour nous englober dans ses discours.
Réfléchissez mes quatre chers lecteurs, si, ils ne disent rien, c'est qu'ils ont voté la loi !
A bientôt.
René.

PS : ( source : l'Eveil 2011 en ligne)

Arctique, la découverte inquiétante de véritables fontaines de méthane d’1 km de diamètre
15 décembre 2011 | Auteur: Jo ^^


Le réchauffement global est peut-être en train de s’emballer. Une expédition scientifique russe a observé plus de 100 fontaines de méthane d’une ampleur jamais vue émergeant de l’océan Arctique, au nord de la Russie, rapporte le journal britannique The Dailymail.
Il faut rappeler que le méthane est un gaz à effet de serre 20 fois plus puissant que le gaz carbonique.

Dans le passé, nous avions déjà observé des structures comme celles-ci, mais elles ne faisaient que quelques dizaines de mètres de diamètre, a affirmé le chef de l’expédition, Igor Semiletov. Cette fois, nous en avons trouvé des beaucoup plus impressionnantes, elles font plus de 1000 mètres de diamètre.

Sur une superficie relativement petite, nous en avons trouvé plus de 100, à l’échelle de la région il doit y en avoir des milliers. Ces fontaines se sont formées avec la fonte des fonds marins de l’Arctique qui s’accélère à cause du réchauffement climatique.

C’est le navire de recherche Russe « Académie Lavrentiev » qui en a fait la découverte. Il a mené ses recherches dans un périmètre d’environ 10.000 miles carrés au large de la côte Est de la Sibérie .

« C’est terrifiant » explique le Dr Igor Semiletov

Nous supposons que les quantités qui s’échappent actuellement de la région sont équivalentes à celles que la totalité des océans mondiaux libèrent normalement.

« D’énormes panaches de bulles de méthane remontent des fonds marins à la surface dans des zone de plus d’ 1 Km de diamètre, c’est maintenant par de véritables cratères que s’échappe le méthane dans l’atmosphère . »

« C’est la première fois que nous observons des fontaines de bulles aussi impressionnantes, elles font plus de 1000 mètres de diamètre et recrachent du méthane gazeux en continu, c’est incroyable et terrifiant »

Nous craignons que ces quantités de méthane libérées transforment radicalement les modèles actuels de nos estimations sur le réchauffement climatique

Sources dailymail.co.uk trad Nature Alerte.

jeudi 15 décembre 2011

(blog à finir)

Bon, mes chers quatre lecteurs, pas eu le temps d'écrire aujourd'hui et ce matin parce que je réparais mes fenêtres qu'une mauvaise branche poussée par le vent a éclaté, faisant aussi tombé mon ordinateurs qui s'est éclaté par terre.
Donc, toute la journée à réparer et ce soir à retrouver la connexion internet. Alors, je ne vous dis pas, je suis fatigué.
Y' des jours comme ça où on n'a pas de bol.
Bon, donc, peu de mots aujourd'hui, simplement pour dire que les états européens les plus en difficulté devraient geler le remboursement de la dette, ce qui leur permettrait d'utiliser les sommes astronomiques dues au service de la dette, à relancer l'économie.
Et, que ces pays se disent bien que ce ne sont pas l'Allemagne et la France qui vont les aider, inféodés qu'ils sont aux marchés.
A bientôt.
René.

mardi 13 décembre 2011

Aujourd'hui, j'ai regardé le froid vif de l'hiver sur ma peau. Pas envie d'écrire.
René.

lundi 12 décembre 2011

Salut aux indignés américains, il est encore temps de changer les choses ! Courage, il faudra aller jusqu'à verser son sang, pour nos enfants !

Et, allons donc, mes quatre chers lecteurs, sarko se vante de cette nouvelle Europe.
Se vante même du fameux MES, idée française, précise-t-il, même.
Donc, la sienne, en bon français.
Son explication vaut d'ailleurs de l'or, tellement, il est clair que les marchés financiers et les banques l'ont sous contrôle.
Les états peuvent continuer joyeusement à emprunter sur les marchés et si, il y a un problème, c'est le mécanisme européen de stabilité qui financera leur service de la dette.
C'est ça ou je suis la moitié d'un abruti ?
Naturellement, à des conditions complètement défavorables aux-dits pays.
Un peu, comme l'a dit un commentateur, un FMI à l'européenne.
Ce qui me faisait dire qu'un schéma à la Milton Friedman avait été concocté pour liquider le mauvais exemple d'une Europe plus sociale que ce qui est pratiqué aux Etats-Unis.
Maintenant, nous allons tous nous ressembler, merci, sarko !

(source : le Monde en ligne)

"Nicolas Sarkozy : "C'est une autre Europe qui est en train de naître".
Le deuxième élément, c'est le renforcement de la solidarité européenne, avec la création d'un véritable fonds monétaire européen, le Mécanisme européen de solidarité [MES]. C'est un fonds destiné à venir en aide aux pays membres de la zone euro qui n'auraient pas un accès suffisant au marché pour financer leurs dettes. Ce fonds sera mis en place dès juillet 2012 et non en juillet 2013. Il décidera non plus à l'unanimité, mais à la majorité qualifiée de 85 %. Cela évitera qu'une petite minorité puisse bloquer les autres s'ils souhaitaient aller de l'avant."

Mais, pour revenir à Friedman, ses adeptes après les désastreuses expériences sud-américaines ont compris, que les dictatures militaires sanglantes ne sont pas la bonne porte d'entrée pour la mise en place d'une société dérégulée et privatisée à mort.
Depuis, les dictatures chiliennes et d'Argentine, ils ne se sont pas remis en question, mais, ont simplement reconsidéré la méthode pour y parvenir.
Sans doute, en analysant le cas soviétique, ils ont posé pour axiome que les peuples ne se révoltent pas, si, eux même, ont l'impression qu'il n'y a pas d'autres solutions.
Une adhésion forcée en quelque sorte, mais, une adhésion quand même.
La nébuleuse qui tourne autour de l'école de Chicago comprend les plus grands groupes financiers américains qui ont des intérêts croisés avec la majorité des entreprises et des groupes financiers internationaux.
Créer des crises monétaires, financières, économiques à répétition afin de reproduire la situation qu'ont connu les peuples soviétiques, c'est-à-dire, "Tout, plutôt qu'un présent sans avenir" leur a semblé la bonne posture.
Beaucoup ont perdu et perdront dans ces crises, sauf eux qui les ont nourri et s'en sont engraissé.
Comme, ils ont fait dans leur propre pays, les Etats-Unis.
C'est ce modèle là à la Milton Friedman qu'ils veulent nous imposer et qu'ils sont sur le point de réussir, si, les peuples européens ne se révoltent pas dans un sursaut citoyen.
Ils ont capté la démocratie américaine, ils veulent capter les nôtres.
Ceux qui sont à la source, sont tous dans des conseils d'administration de grandes sociétés multinationales ou groupes financiers dont ils utilisent les ressources pour mettre en place leur scénario. Ils sont américains, français ou européens.
Leurs disicples avancent masquer comme sarko et ses sarko'boys. Ils nous font des discours à connotation sociale ou économique pour nous éloigner d'un possible rapprochement et les émules de l'école de Chicago.
Et, c'est pour cela que nous ne comprenons pas où ils veulent nous entraîner.
En cela, le MES de sarko en est une éclatante victoire.
Pas pour les peuples européens, mais, pour les marchés, les banques et la finance internationale en général.
Pourtant, à leur décompte, il faut avouer que tout ce mic-mac remonte à loin. En France, de Pompidou exactement, ancien directeur de la banque Rotchild.

(source : le NouvelObs en ligne)

Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias.
Le journaliste Olivier Bonnet reproche aux médias de relayer la théorie libérale, sans s'interroger sur des étapes fondamentales comme celle de la loi Pompidou-Giscard en 1973.
> Par Olivier Bonnet Journaliste engagé
Edité par Hélène Decommer

C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En cause, la loi Pompidou-Giscard de 1973 sur la Banque de France, dite "loi Rothschild", du nom de la banque dont était issu le président français, étendue et confortée ensuite au niveau de l'Union européenne par les traités de Maastricht (article 104) et Lisbonne (article 123).
D'une seule phrase découle l'absolue spoliation dont est victime 99% de la population : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France".

Contraint d'emprunter aux banques privées

En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Depuis l'application de ce principe, la finance et son infime oligarchie donnent la pleine mesure de leur asservissement des peuples, en une spirale exponentielle d'accroissement des inégalités.

Le pouvoir est désormais aux mains des créanciers privés, qui l'exercent au bénéfice exclusif d'intérêts particuliers, quand la puissance publique a renoncé à son devoir de protéger l'intérêt général. La démocratie, étymologiquement pouvoir du peuple, est morte. On le voit en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, en France...

Qui gouverne ? "La troïka" - Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne - resserrant toujours davantage son emprise jusqu'à l'étranglement des peuples. Et l'on pérore sans fin sur les plateaux de télévisions, sur les ondes et dans les colonnes de la presse sur "l'insupportable fardeau de la dette", "la France en faillite", "les nécessaires sacrifices", que "nous ne pouvons pas continuer à vivre au-dessus de nos moyens" et que, d'ailleurs, "les Français l'ont compris".

Trop fatigué pour continuer. Et, si, le peuple américain veut continuer à être une victime, ça le regarde.
René.

dimanche 11 décembre 2011

Salut à tous les indignés. Faites entendre votre voix, car, les médias vous snobent pour continuer à nous faire croire que rien n'est possible, à part la voie des marchés....et des salauds.

Ainsi, donc, mes quatre chers lecteurs, "LEUR" Europe à travers les propositions complètement anti-démocratique, de sarko et merkel, pour devenir encore plus "libérale" et soumise aux marchés qu'elle ne l'a été jusqu'à présent.
La mise en place du MES, Mécanisme Européen de Stabilité, est une aberration et je ne suis pas le seul à le penser, un état dans l'Europe, avec immunité totale pour les gens qui y travaillent.
Immunité totale, on peut se demander pourquoi et se demander, quel danger cette application particulière dissimule.

(source : Rue89)

"Le MES, sorte de FMI européen.

(...) Désormais, on voit le dispositif au grand jour. En quelques mots, il s'agit d'une sorte de FMI européen qui lierait entre eux les dix-sept pays de la zone euro pour le meilleur et surtout pour le pire. L'inspiration est clairement néolibérale, faite de « programmes d'ajustement macroéconomique », de « privatisations », de « surveillance des politiques économiques », « de rétablissement de la dette publique sur une trajectoire fiable ».
Et ce MES, largement mieux doté en fonds que l'actuel Fonds européen de stabilité financière (FESF), a un objectif bien précis : « Mobiliser des fonds et fournir une assistance financière, sous stricte conditionnalité de politique économique » à ses membres.

Le MES prendra les manettes.

Autrement dit, ce seront les patrons de ce MES qui prendront les manettes économiques des pays qui connaîtraient des déficits importants. Tout comme, dans un passé pas si éloigné, le FMI en Amérique latine ou en Afrique. Bonjour la démocratie !
Le traité instituant le MES a déjà été paraphé, en toute discrétion, par les dix-sept ministres des Finances de la zone euro le 11 juillet dernier à Bruxelles. Mais pour entrer vraiment en vigueur, il demande davantage que l'onction que lui ont donnée Sarkozy et Merkel. Il requiert le vote de chacun des Parlements des dix-sept. Pour l'heure, c'est loin d'être acquis. La démocratie peut avoir encore de beaux restes…."

Bon, déjà avec cette première approche, cela ne sent pas bon du tout. On tente de nous faire prendre pour un progrès, ce qui à mon avis a été préparé par des experts convaincus qu'il faille aller plus loin dans la soumission aux marchés et non à la volonté des peuples européens.

(source : wikipédia)

"Le 11 mars 2011, lors du sommet européen de la zone euro, les représentants des États ont trouvé un accord pour signer traité séparé6 visant à doter ce mécanisme d'une capacité d'intervention de 500 milliards d'euro7. Lors du même sommet, il a été décidé que8 :
le MES pourra accorder des prêts ou acheter de la dette primaire des États sous réserve d'un accord unanime des pays et dans le cadre de strictes conditionnalités. C'est-à-dire que les États bénéficiaires devront s'engager à prendre des mesures précises qui conditionneront l'octroi du prêt ou l'intervention sur le marché primaire de la dette (c'est-à-dire sur les titres de dette nouvellement émis).
les prêts du MES bénéficieraient « du statut de créance privilégiée, qui ne sera inférieur qu'à celui du FMI »
un État insolvable devrait négocier un plan de restructuration global avec ses créanciers privés dans le cadre de clauses d'action collective (CAC) afin de revenir à un endettement supportable. La question de la solvabilité d'un État sera examinée sur la base d'analyses de la Commission européenne, du FMI et de la BCE
Le 23 mars 2011, le Parlement européen approuva l'amendement de l'article 136 du TFUE après avoir obtenu la garantie que la Commission européenne, et non les États membres, jouerait un « rôle central » dans le fonctionnement du MES9, en regrettant dans le même temps qu'elle n'ait pas été impliquée plus tôt10,11. Un troisième paragraphe a ainsi été créé12,13. L'ajout est le suivant :
« The member states whose currency is the euro may establish a stability mechanism to be activated if indispensable to safeguard the stability of the euro area as a whole. The granting of any required financial assistance under the mechanism will be made subject to strict conditionality. »
« Les États membres dont la monnaie est l'euro peuvent établir un mécanisme de stabilité qui pourra être activée, si indispensable, pour préserver la stabilité de la zone euro dans son ensemble. L'octroi de toute assistance financière requise en vertu du mécanisme sera soumis à une conditionnalité stricte. »

Et, enfin pour finir sur le MES et cette lettre, une opinion :

(source : T telos en ligne)

"Le problème avec le Mécanisme européen de stabilité.
PAOLO MANASSE, 12 avril 2011.

La guerre en Libye et les terribles catastrophes japonaises ont détourné l’attention du public des conclusions du dernier Conseil européen (24 et 25 mars 2011). La plupart des commentateurs ont souligné la portée limitée des décisions. Beaucoup de bruit pour rien, serait-on tenté de dire avec Shakespeare. Malheureusement, les décisions concernant le nouveau Mécanisme européen de stabilité ne sont pas rien, et elles pourraient nuire à la stabilité de la zone euro. Voici pourquoi.
La plupart des commentaires ont porté sur les mesures visant à renforcer le volet correctif du Pacte de stabilité et de croissance (les pays devraient réduire leur dette publique en proportion de sa distance avec la cible de 60% du PIB), son volet préventif (les pays devraient adopter des règles budgétaires nationales compatibles avec les objectifs du pacte), et les propositions visant à réduire les déséquilibres macro-économiques, comme de surveiller la compétitivité et la croissance de la productivité. Pourtant, ces questions sont à peine mentionnées dans les conclusions du sommet. Et ce pour une bonne raison : le processus législatif européen sur ces questions est toujours en cours, exigeant l’approbation, le cas échéant après d’importantes modifications, du Parlement européen. Le sommet a toutefois décidé de mettre en place le Mécanisme européen de stabilité.
À partir de juin 2013, le nouveau fonds va succéder au Fonds européen de stabilité financière et au Mécanisme européen de stabilisation financière, avec la tâche de fournir une aide financière aux membres de l’eurozone. Cela se fera grâce à des prêts (sous réserve de mesures d’ajustement) et, dans des cas exceptionnels, par l’achat direct de titres publics sur le marché primaire. L’architecture de l’ESM pose au moins quatre problèmes majeurs.
Le premier problème est que la dotation est trop faible et arrive trop tard. Elle s’élève à 700 milliards d’euros, ce qui donne une capacité de prêt de 500 milliards (pour obtenir des agences de notation un AAA). Les pays membres ne débourseront réellement que 80 milliards d’euros, en cinq versements annuels à compter de 2013. Le reste prendra la forme de garanties et de « capital exigible », autrement dit un engagement à verser en cas de besoin les sommes nécessaires. Trop peu, trop tard, peut-on dire, étant donné qu’en 2011 (et non pas en 2013 !) la dette de la Grèce, de l’Irlande, de l’Italie, du Portugal et de l’Espagne arrivant à échéance dépassera 502 milliards, et que pour la seule Espagne le gouvernement central et les collectivités locales devront rembourser 470 milliards d’ici 2013. L’accord prévoit la possibilité d’accélérer les paiements au cas où une crise survienne avant 2013. Pourtant, des retards peuvent se produire, voire durer, laissant les émissions de dette publique de la zone euro à la merci d’attaques spéculatives.
La deuxième faiblesse réside dans le système de financement. Puisque que le nouveau fonds est financé par des garanties qui seront appelées en cas de besoin, plutôt que par une dotation propre, l’activation de la garantie est susceptible de produire des effets multiplicateurs et de la contagion.
Prenez l’Italie. Pour chaque tranche de 100 milliards nécessaire pour « sauver » les autres pays de la zone euro, le budget italien sera grevé de près de 18 milliards (égal au pourcentage attribué à l’Italie dans la clé de répartition de la Banque centrale européenne), soit environ un point du PIB italien, et cela pourrait se produire au plus mauvais moment possible, lorsque les marchés exigeraient probablement des taux d’intérêt élevés et en hausse.
Le troisième défaut, et il est très grave, concerne le mécanisme de vote. Contrairement au FMI, dont les décisions sont prises à la majorité simple des actions détenues, la décision d’approuver un prêt, d’en déterminer le taux d’intérêt et les conditions requiert l’unanimité des ministres des Finances de la zone euro. Chaque pays dispose ainsi d’un droit de veto au sein du conseil d’administration. Il n’est pas difficile d’imaginer des scénarios comme celui-ci : le pays A, qui est en bonne santé financière, monnaye son consentement à prêter au pays I, celui-ci consentant à adopter une mesure politique qui profite principalement au pays A (par exemple, une augmentation du taux de l’impôt sur les sociétés).
Enfin, la loi exige que la Commission européenne procède à une évaluation de la viabilité de la dette publique du pays qui aurait des difficultés à accéder aux marchés financiers. Si la Commission européenne devait conclure que le pays est techniquement insolvable, alors le Mécanisme de stabilité financière ne fournira un prêt que dans la mesure où le secteur privé sera impliqué, ce qui signifie que les créditeurs absorberont des pertes, une manière élégante de parler de défaut. Notons d’abord que, pour des raisons économiques, si un pays a des difficultés à exploiter les marchés financiers, ce doit être justement parce que les investisseurs le perçoivent comme insolvable, et il n’est pas difficile d’imaginer que la Commission arrive à la même conclusion. S’il est compréhensible de ne pas récompenser la prise de risque excessive de la part des investisseurs, cette norme peut se révéler très dommageable. Imaginez ce qui arriverait si l’Europe devait déclarer aujourd’hui que tous les pays demandant (encore) des fonds européens après 2013 feront défaut (même partiellement), avec une certitude absolue, en 2013. Or c’est exactement ce que dit cette norme. À compter d’aujourd’hui, les marchés exigeront des taux plus élevés sur les nouvelles émissions des clients actuels et possibles du Mécanisme européen de stabilité, précipitant ainsi la crise d’insolvabilité. Exactement comme cela se passe aujourd’hui au Portugal.
En bref, la conception du Mécanisme européen de stabilité présente de graves lacunes. Le fonds n’a guère de chances de résister au choc d’une crise financière grave (concernant le Portugal et l’Espagne). En fait, il peut accélérer et même propager la crise à des pays fortement endettés, tout en laissant la zone euro sous l’emprise de dangereux droits de veto."

(Une version anglaise de ce texte est publiée sur le site de notre partenaire VoxEU VoxEU.)

Bon, j'espère que vous digérez le MES qui n'arrangent en aucun cas, notre vie à nous, simples citoyens.
A bientôt.
René.

samedi 10 décembre 2011

Salut à Guy Bedos pour son dernier spectacle.

Ah, mes quatre chers lecteurs, le monde est merveilleux.
Poutine a fait comme son homologue iranien, son parti est majoritaire alors qu'il a perdu les élections. Entre-nous, c'est la condition sine qua non pour que sa réélection comme président soit reconnue à l'interntional.
Notre sarko national avec Merkel nous enfonce d'avantage dans un monde à la gloire posthume de Milton Friedman. Evidemment, ce qui s'est passé à Bruxelles va à l'encontre du citoyen lambda européen, mais, pas des marchés.
Donc, allons-y, allons-ô.
La Grèce vit directement un scénario à la chilienne sans coup d'état, à part institutionnel, mais, c'est la tyrannie des marchés qui l'impose.
Milton Friedman avait dit que ce qu'il ne privatiserait pas, c'est l'armée, les tribunaux et certaines routes et autoroutes.
A mon avis, il avait oublié l'église, mais, à vrai dire cela fait longtemps qu'elle n'appartient pas au peuple.
Allez, allez, mes quatre chers lecteurs, je plaisante. Sauf, qu'avec Friedman, si, il avait pu privatiser le paradis, il l'aurait fait. Comme l'église catholique d'ailleurs, à une époque, avec les indulgences.
Donc, même le paradis peut être privatisé. Il faut juste avoir du fric pour y accéder.
Et, comme les manants n'en ont plus, on risque pas de s'y bousculer.
Mais, non, je plaisante encore, mes quatre chers lecteurs, je viens de vous le dire, le monde est merveilleux.
En tout cas, grâce à sarko et à Merkel, je prévois que mon pouvoir d'achat va encore en prendre encore un coup.
Ce qui est bizarre avec ce type là, c'est qu'il se prend à la fois pour reagan et tatcher réunis.
Ah, oui, c'est vrai, sa femme a dit qu'il avait deux cerveaux, en fait, ça correspond.
Sauf que, sauf que, il n'y aura pas de fric pour redresser la situation, même avec la nouvelle structure qui doit remplacer celle qui déjà est obsolète et n'a plus de fonds.
Mais, passons, sarko est un gros nul. Mais, Hollande le vaut bien.
C'est tout, je suis fatigué.
A bientôt.
René.

PS . Elle ne mérite pas ça.

Emilie, doctorante canadienne à Paris, menacée d'expulsion
(Source ; Le NouvelObs en lingen. Publié le 09-12-11 à 13:17

Les étudiants étrangers font les frais de l'objectif de réduction de l’immigration légale. Comme Emilie, brillante thésarde québécoise, privée de son visa étudiant. Portrait.

"Obligation de quitter le territoire français"

Après plusieurs allers-retours à la préfecture, le couperet tombe. Elle reçoit, datée du 8 novembre, une lettre de la Préfecture de police portant le sigle " OQTF ". Traduction : "obligation de quitter le territoire français". Dans un délai de 30 jours. Délai expiré, donc, depuis le 8 décembre. Mais le plus choquant, pour Emilie, est la violence du motif invoqué : "progression insuffisante de son cursus". On estime qu’elle met trop longtemps à achever ses travaux, alors même que tous les chercheurs de son domaine reconnaissent qu'une thèse de sociologie peut se prolonger, parfois, pendant dix ans.

Premier réflexe, Emilie pense aux entretiens de validation qu'elle doit encore mener avec des femmes en France pour confirmer ses analyses de thèse. "Je me suis effondrée. Une incompréhension totale. Je suis ici depuis six ans, j'ai une vie personnelle et professionnelle, un appartement. Je n'avais jamais imaginé qu'on puisse me refuser de finir mes études, je pensais avoir été un bon soldat."

"Je me mets à flipper quand je croise des policiers"

Emilie bascule dans une autre réalité : elle est désormais sans-papiers. "

vendredi 9 décembre 2011

(blog à finir)

Et, ainsi, mes quatre chers lecteurs, réapparaît Milton Friedman.
Je sais, je sais, il est mort.
Mais, celui qui a été le chantre de la période économique du Chili de Pinochet, projette son ombre sur l'Europe, avec la complicité de nos élus politiques, sarko et Merkel et la finance américaine.
Mais, qui était-il ?

(source : Wikpédia)

"Milton Friedman est un économiste américain né le 31 juillet 1912 à New York et mort le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle1. Titulaire du prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel (couramment appelé prix Nobel d'économie) de l'année 19762,3, il a été un ardent défenseur du libéralisme. Il a travaillé sur des domaines de recherche aussi bien théorique qu'appliquée, il fut à l’origine du courant monétariste ainsi que le fondateur de l'École monétariste de Chicago. Il est également un commentateur politique et essayiste à succès4,5.
Deux de ses œuvres ont particulièrement touché le grand public : d'abord son livre Capitalisme et liberté (1962) et ensuite sa série d'interventions télévisées réalisées en 1980 Free to Choose. Dans Capitalisme et liberté, il explique sa théorie selon laquelle la réduction du rôle de l'État dans une économie de marché est le seul moyen d'atteindre la liberté politique et économique. Plus tard, dans La liberté du choix, Friedman cherche à démontrer la supériorité du libéralisme économique sur les autres systèmes économiques.
Milton Friedman initia une pensée économique d'inspiration libérale dont les prescriptions s'opposent de front à celle du keynésianisme. En réponse à la fonction de consommation keynésienne, il développa la théorie du revenu permanent. Avec cette théorie et l'introduction du taux de chômage naturel, Friedman remet en cause le bien fondé des politiques de relance qui, pour lui, ne peuvent que provoquer de l'inflation contre laquelle il faut lutter. À cette fin, il proposa l'instauration d'un taux constant de croissance de la masse monétaire.
Ses idées se diffusèrent progressivement et devinrent populaires parmi les milieux politiques dans les années 1980, influençant profondément les mouvements conservateurs et libertariens américains. Ses idées économiques sur le monétarisme, la fiscalité, les privatisations et la dérèglementation ont inspiré les politiques économiques de nombreux gouvernements à travers le monde, notamment ceux de Ronald Reagan aux États-Unis, de Margaret Thatcher au Royaume-Uni, d’Augusto Pinochet au Chili, ou de Brian Mulroney au Canada."

Eh, oui, mes chers quatre lecteurs, ce que nous a fait subir sarko et ses sarko'boys, c'est parce qu'il est un apôtre de milton friedman.
Ouh, là, là, le vilain, il nous l'avait caché.
Sa vilaine pensée, il l'a dissimulée soit disant sur un discours de rupture.
Vu, l'état du Chili, après le passage des chigago'boys, bonjour la misère. C'est bien pour ça que j'ai toujours dit que ce type a été élevé en France, mais, n'a pas la culture française.
Vous me direz, tatcher en Angleterre, a fait la même. Donc, ce que je viens de dire n'a aucune signification.
Un mauvais point pour moi !
Mais, en tout cas, cet addiction de sarko aux théories du laisser faire de friedman explique toute sa politique sociale et économique et le fait qu'il ait fait exploser la dette pour nous obliger à passer par les solutions de son mentor.
Faire exploser la dette n'a été pour lui qu'un moyen d'obliger le peuple de France à avaler la couleuvre, pas plus, pas moins !
Vous voyez, mes chers quatre lecteurs, à force de réfléchir, nous approchons leur vérité.