vendredi 30 octobre 2009

"Dieu a dicté l'univers mais ne l'a pas signé". Proverbe Américain. Pour une fois, ils ont raison, vu son état.

Salut aux parents qui s'inquiètent de leur avenir en contemplant leurs enfants. Je suis avec vous, mais, sans pouvoir vous aider.

Décidément, la région Asie Pacifique ne fait que subir les intempéries, les séismes et désormais, la pollution au pétrole.
(Source Les Nouvelles Calédoniennes de ce jour)

"La nappe de pétrole continue de s’étendre
Une nappe de pétrole provenant de la fuite d’une plateforme pétrolière au large des côtes d’Australie-Occidentale répand des milliers de litres chaque jour depuis plus de deux mois maintenant. L’incident date du 21 août dernier. Le ministre de la Défense australien, John Faulkner, a déclaré que la nappe n’a pas encore atteint les eaux territoriales indonésiennes. Les médias indonésiens ont rapporté que des pêcheurs du Timor Leste ont découvert des milliers de poissons morts en mer de Timor. L’opérateur de la plateforme pétrolière, la société PTTEP, a essayé à plusieurs reprises et sans succès de colmater la fuite, mais une quatrième tentative devrait être effectuée avant la fin de la semaine. Le principe est d’utiliser une plateforme mobile dépêchée sur place pour injecter de la boue dans le puits".

Autre information :

Australie : pollution pétrolière
Source: CCTV.com | 08-23-2009 10:12

"Les autorités australiennes ont envoyé des avions pour déverser des produits chimiques sur une nappe de pétrole. La pollution est due à une fuite sur une plate-forme de forage du Nord-Ouest du pays. Le personnel en a été évacué dès que la fuite a été remarquée. On ne compte aucun blessé.

Ce samedi, une nappe d'environ 30 mètres de large s'étendait sur 15 kilomètres à la surface de l'océan au Nord-Ouest de Kimberley. Quelque 40 barils de pétrole se seraient déversés dans la mer. Du fuel condensé, un sous-produit du pétrole brut utilisé dans les mélanges, aurait également fui, de même que du gaz. Australasia, propriétaire de la plate-forme pétrolière, a indiqué qu'elle tentait toujours de colmater la fuite".

Rédacteur: Baiyun


Si vous considérez, la distance entre l'Indonésie et l'Australie, il y a de la marge. Ce qui signifie que cette pollution est majeure.
Qu'il y a donc une nappe de pétrole qui se balade quelque part dans l'océan en face des Territoires du Nord austalien bordés au nord-ouest par la mer de Timor, au nord et au nord-est par la mer d’Arafura et le golfe de Carpentarie.
Je ne vous dis pas la catastrophe écologique qui a lieu actuellement.
Car, entre-nous, en plein océan, comment font-ils faire pour récupérer tout ce mazout. A mon avis, si la nappe atteinds les eaux territoriales indonésiennes et les côtes par la suite, ils se mobiliseront vraiment.
En ce moment, personne n'en parle, alors que nous faisons face sans doute à une grande pollution maritime.
Je vous laisse imaginer les milliers, sinon les millions d'espèces pélagiques déjà mortellement engluées dans cette soupe mazoutée. Les dauphins, les tortues, les requins, les thons, plus.....le plancton.
A mon avis, le crime écologique devrait être institué dans tous les pays du monde.
Parce qu'il va y avoir des victimes. A mon avis, les pêcheurs indonésien n'ont plus qu'à se rhabiller et changer de métier ou finir à mendier dans les rues de Djakarta.
Alors, mes trois chers lecteurs, je vous demande de vous renseigner au sujet de cette horreur majeure et d'être prêts à pétitionner pour faire pression sur la compagnie pétrolière responsable pour l'obliger à nettoyer l'océan.
A part ça, il y a quelque chose qui se passe à l'UMP et je dois dire, j'en tombe le cul par terre. Mais, qu'est-ce que c'est que cette histoire à la con ?
L'UMP a signé un mémorandum avec le Parti Communiste Chinois ?
Un accord de parti ou un accord de gouvernement en sous main d'ailleurs ? Je vous dis, je ne comprends pas.

(source Rue 89)

"Le ton est encore monté d'un cran entre parlementaires UMP. Après les écrits de Frédéric Mitterrand, la promotion du fils Sarkozy, le protocole signé le 22 octobre entre l'Union pour un mouvement populaire et le Parti communiste chinois fait se fissurer un plus encore la majorité.
Au point que le député des Alpes-Maritimes et président du groupe d'amitié France-Tibet, Lionnel Luca, s'est mis en congé de son parti, se retirant du conseil national et de la commission d'investitures électorales de l'UMP, après avoir ouvertement critiqué le secrétaire général Xavier Bertrand, mardi, lors de la réunion hebdomadaire de son groupe à l'Assemblée nationale :

« Notre électorat de droite anticommuniste ne va pas apprécier, ni les bobos dont on veut avoir les voix. On n'a pas à s'afficher du côté des tyrans. Le PCC est un parti totalitaire avec la responsabilité de millions de victimes innocentes en Chine. »


Ce « mémorandum d'entente » est de portée « très générale », selon Le Figaro qui « a eu une copie » et qui le détaille jeudi dans ses colonnes :

« Il précise que les deux partis se sont mis d'accord sur des principes, en particulier celui de “non-ingérence dans les affaires intérieures d'autrui” (ce qui déplaît fortement aux défenseurs de la cause tibétaine comme Luca), qu'ils “organiseront un dialogue une fois tous les deux ans, alternativement dans leur pays respectif”, ainsi que “des échanges de délégations”. »

Tout ce que j'arrive à dire, tellement, je suis sidéré, c'est "N'importe quoi !"
Bon, décidément, le monde tourne pas rond.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous laisse pour retourner au boulot.
A bientôt.
René.

jeudi 29 octobre 2009

Salut aux justes. Notre époque réclame encore plus votre présence.

Bon, aujourd'hui pour commencer, je vous renvois au site d'Amnesty International Il dénonce la punition qui est infligée aux membres de la tribu Meshud dans les zones tribales par l'armée Pakistanaises. Et, là, il est indéniable que l'armée fait payer à cette tribu les attentats meurtriers qui ensanglante le pays. Surtout, que l'un de ses chefs est considéré comme l'instigateur desdits attentats.

"L’armée pakistanaise doit cesser de harceler les civils membres de la tribu des Mehsud qui fuient la dernière offensive du gouvernement contre les talibans pakistanais dans le nord-ouest du pays, a déclaré Amnesty International ce jeudi 22 octobre 2009.

L’armée a interdit aux membres de la tribu des Mehsud, dont sont issus plusieurs hauts commandants des talibans pakistanais, d’emprunter les routes principales en vue de fuir les zones de combat, ont rapporté des témoins à Amnesty International.

« Les membres de la tribu des Mehsud, dont des femmes et des enfants, sont pris pour cibles sur les routes alors qu’ils tentent de fuir, uniquement en raison de leur appartenance tribale, a indiqué Sam Zarifi, directeur du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International. Il pourrait s’agir d’une sanction collective, ce que le droit international prohibe en toutes circonstances. »

Près de la ville de Tank, un homme de la tribu des Mehsud a expliqué à Amnesty International qu’il avait quitté sa région avec sa famille, l’armée l’ayant bombardée la semaine précédente.

Il faisait partie d’un groupe de cinq familles, composées d’environ 20 hommes, 15 enfants et 17 ou 18 femmes, avec leurs bagages, qui se déplaçaient à dos d’âne. Ils souhaitaient se rendre chez des parents à Tank, mais avaient peur de l’armée, qui a interdit aux membres de la tribu des Mehsud de circuler sur les routes.

Voici le témoignage de cet homme :

« Nous n’avons pas le droit de circuler sur les routes, l’armée ne laisse pas les Mehsud utiliser la route pour avancer… Lorsque nous avons quitté notre maison, nous avons emporté de la nourriture, que nous avons consommée les deux premiers jours. Depuis, nous n’avons plus rien et tout ce qui reste nous l’avons donné aux enfants. Nous n’avons bu que de l’eau et du thé. Nous avons dû dormir à la belle étoile. Ne pouvant emprunter la route, nous avons cheminé dans la montagne et nous nous sommes égarés deux fois ».

« Lorsque nous sommes arrivés dans le secteur de Murtuza, nous avons loué un pick-up pour continuer par la route, car les femmes et les enfants, épuisés, ne pouvaient plus guère marcher. Mais à notre arrivée près de Korr, nous avons été stoppés à un poste de contrôle militaire. Les soldats nous ont demandé ce que nous faisions là, rappelant que la route était interdite aux Mehsud. Ils nous ont obligés à revenir en arrière à pied et à quitter la route. Ils ont également frappé le chauffeur, qui appartenait pourtant à la tribu des Marwat. Après l’avoir roué de coups, ils lui ont ordonné de ne jamais emmener aucun membre de la tribu des Mehsud ».

« Le gouvernement pakistanais doit immédiatement enquêter sur la discrimination qu’inflige l’armée aux membres de la tribu des Mehsud et y mettre fin, a déclaré Sam Zarifi. Ils ont déjà subi des années de peur et d’oppression sous le régime des talibans. Le gouvernement doit les aider à cheminer vers la sécurité et à trouver une solution à leurs problèmes – et non les exacerber ».

Par contre, loin de là, dans l'océan Pacifique, le Vanuatu va bénéficier de l'aide de l'AMCC.
Bon, vous me direz mes trois chers et uniques lecteurs que cela est passé du coq à l'âne, mais,je vous répondrais que l'actualité n'attend pas.

(Source les Nouvelles Calédoniennes de ce jour)

"Vanuatu premier bénéficiaire de l’AMCC
Le Premier ministre du Vanuatu, Edward Natapei, devient le premier bénéficiaire de l’Alliance mondiale contre le changement climatique.
L’AMCC devrait débloquer un peu plus de trois millions d’euros (357 millions) pour faciliter la mise en application du Programme d’action national d’adaptation au changement climatique de cet archipel mélanésien.
Edward Natapei s’est rendu la semaine dernière en Suède pour parafer l’accord.
Il a souligné que son pays ressent déjà les conséquences du changement climatique avec des terres inondées d’eau de mer, des périodes de sécheresse et un déclin des pêcheries.
« Une action urgente est nécessaire pour éviter l’impact génocidaire sur les petits États océaniens et nous ne pouvons pas affronter tout seuls les défis du changement climatique », a ajouté Edward Natapei".

Eh, oui, mes chers trois lecteurs, je vous disais bien qu'il y avait urgence. Déjà, plusieurs îles du Pacifique ne peuvent plus pratiquer leur cultures traditionnelles sur des terrains saturés d'eau salée.
Sauf, qu'il paraît qu'ils rêvent ces gens là. En tout cas, si l'on en croit Claude Allègre, ex-ministre de l'éducation de Jospin, lui même ex-ancien premier ministre.
Donc, selon notre futur ministrable de Sarkozy (que dieu nous en protége)le niveau de la mer ne monterait que de 2 mm par an et le changement climatique n'est qu'un cycle de l'évolution terrestre. Donc, en aucun cas accélérer pas l'activité humaine.
Sauf que, sauf que, les iliens du Pacifique confrontés à ce phénomène ne sont pas du même avis.
La mer monte et quand elle monte, ça mouille les pieds. Sauf que lui, Allègre, c'est son cerveau qui est mouillé.
Bon, sur cette dernière parole infamante, je vous dis, à bientôt.
René.

mercredi 28 octobre 2009

Aujourd'hui, juste cette réflexion : La spéculation sur les subprimes aux States a atteint son niveau de 2006 selon ce que j'ai entendu à la radio BFM.
Et, après que se passe-t-il ?
Même si ces valeurs ex-toxiques sont mieux encadrées. La bulle se reforme à nouveau.
Je vous laisse donc le soin de vous renseigner en vous conseillant dans un futur proche de garder votre fric à la maison. Parce que n'oubliez pas, il n'y aura plus de fric pour sauver les banques.
A bientôt.
René.

mardi 27 octobre 2009

Bonjour l'espérance. Il semble que ta dernière pétale me dise "Pas du tout !"

En fait, pas très inspiré aujourd'hui. A part avoir entendu que notre président prépare un plan de sauvetage pour les agriculteurs empoisonneurs qui va encore nous coûter des tunes, bof ! Rien ne m'inspire.
Mise à part la grand messe de Copenhague qui va en direct vers un échec annoncé, je ne vois pas grand chose à dire.
Oui, bon, peut-être, parler encore et encore de la francafrique qui devait disparaître et ne disparaît pas. le dernier exemple étant le Niger où un président se pose en président à vie après avoir modifier la constitution.
C'est finalement amusant parce que l'Afrique francophone malgré tous les discours des présidents de rupture, le premier étant François Mitterand, rien n'ait changé sous le soleil des tropiques.
Il ne reste plus que le Mali et le Sénégal.
Encore qu'au Sénégal, l'actuel président commence à dérouler le tapis rouge pour son fils, exactement comme le fait Sarko pour le prince Jean.
Mais, vous me direz que la France n'est pas le Sénégal. Et, que le Sénégal n'est pas une république bananière puisque la France ne l'est pas.
Donc, tout va bien dans le meilleur des mondes, n'est-ce pas mes trois chers et uniques lecteurs ?
Elle le sera sans doute, le jour où le prince Jean pourra acheter ses diplômes universitaires. Avant, cela n'est pas possible et ne peut être qu'affubulation.
Bon, peut-être me direz-vous, mais, que se passe-t-il dans le monde ?
Simple, Jacques Lang est parti en Corée du Sud pour parler de l'amélioration des termes avec la Corée du Nord.
Sans doute prépare-t-il une récupération médiatique en faveur de Sarko qui va se risquer à faire entendre qu'il a été un facteur déterminant alors que c'eet la Chine qui fait le boulot.
Celui-là, je me demande encore pourquoi le PS ne l'a pas encore viré. Je parle de Jacques Lang évidemment.
Ah, oui, mes trois chers lecteurs, je vous entends soupirer, Il FAIT PARTIS DES ELEPHANTS !"
Et, il est vrai que Martine Aubry réintègre les éléphants dans la direction. Sans doute a-t-elle à craindre des jeunes loups.
Sauf que tout ça ne me dit pas, "Qui a tort ou qui a raison".
En tout cas, le camarade Besancenot continue de faire chambre à part. De plus en plus, son parti, le NPA reproduit le sectarisme de la LCR.
Des fois, je me demande, "Mais, qu'est-ce qu'il croit ?" ou "Qu'est-ce qu'il se croit ?"
Que les camarades du NPA aillent faire du raffut dans les usines qui ferment, je veux bien. Sauf, qu'elles ferment quand même.
Que les camarades du NPA exigent de meilleures conditions de licenciement, je veux bien. Sauf qu'ils n'ont pas été les premiers à y penser.
Alors, ma question est "Que veulent-t-ils ?"
Simplement dépasser le FN de quelques milliers de voix aux élections ?
Ça me paraît un peu léger.
Se situer dans la posture des pures ?
Ca me paraît également un peu léger.
Ce qui au final me fait me demander, "Est-ce que ce mouvement a une vraie utilité dans le paysage politique français".
En tout cas, sans doute, je voterais pour le Front de Gauche.
Même si, même si, je me demande si ce n'est pas Sarkozy qui a raison, ceux qui l'emporteront, seront ceux qui présenteront une liste unique aux régionales.
Et, peut-être faut-il mieux dans les régions des gens de droite qui sabrent dans les aides sociales que des gens de gauche, vu que les ressources ne seront pas les mêmes. A moins que Sarko, après avoir récupéré des régions ne rétablisse une taxe aux entreprises. Il en est bien capable !
Et, à part ça, faites un tour à séisme sur le net et vous vous apercevrez qu'ils ont tendance à augmenter.
Pourtant, en ce qui me concerne, ce qui n'augmente pas, c'est mon salaire et ce qui a tendance à continuer à baisser, c'est mon pouvoir d'achat.
Merci, Sarko.
Surtout qu'il va continuer sur la lancée.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.

lundi 26 octobre 2009

Salut les trois petits cochons, dites-moi, le grand méchant loup ne serait-il qu'un fantasme érotique ?

Ah, ce que nous ne savions pas, l'afganistan n'est pas le seul producteur d'opium au monde. Il existe un autre pays qui est performant sur ce créneau. Et, croyez moi, jamais, vous ne devinerez lequel.
(source, les Nouvelles Calédoniennes de ce jour)

"Guerre de l’opium médicinal
L’État australien de Tasmanie pourrait bientôt perdre le monopole international particulièrement lucratif d’approvisionnement de pavot médicinal et c’est la Nouvelle-Zélande qui s’emparerait alors de ce marché. Toutefois les cultivateurs sont déterminés à combattre l’initiative de la société Tasmanian Alkaloids qui veut mettre en place des cultures commerciales de cette plante médicinale de l’autre côté de la mer de Tasman. L’enjeu est de taille puisque les cultivateurs tasmaniens répondent chaque année à la moitié des besoins opiacés de la planète, ce qui représente dans les 100 millions de dollars américains par an (près de huit milliards). Après des inondations et d’abondantes chutes de pluie, Tasmanian Alkaloids commence à se tourner vers la Nouvelle-Zélande".

Donc, le changement climatique, si, l'on en croit l'article pousserait la société qui a le monopole de cette culture à.....délocaliser.
Oh, mon dieu, mais, pourquoi ne va-t-elle pas au....Pakistan.
Pourquoi au Pakistan, me direz-vous, mes trois chers lecteurs ?
Ben, tout simplement, pour aider les paysans à améliorer leur revenu et ne plus dépendre d'une aide d'associations caritatives islamistes par trop "zarbis". Zarbis, évidemment pour nous autres occidentaux et pas pour tout islamiste qui se respecte.
Mais, passons. En attendant, les séismes se multiplient dans l'Océan Pacifique. Ce qu signifie que les plaques terrestres commettent une accélération de leur confrontation. L'une glisse sous l'autre et l'autre glisse sous l'une.
Donc, attention, danger dans la zone Indo-Pacifique !
Pourquoi danger ?
Simple parce que la ceinture du feu du Pacifique risque de se réveiller méchamment. Voilà, pourquoi !
Et, si, elle se réveille, je ne vous dis pas les dégâts qui se produiront même à San Francisco en Californie.
Mais, des séismes, nous en avons même en France où le ministre de l'immigration provoque un tsunami en voulant redéfinir la nationalité française. Tout ça pour se rendre intéressant et montrer à son maître qu'il est OP (opérationnel) pour le poste de premier ministre. Cette personne qui a été débauché du PS par Sarko pour un poste ministériel, n'a pas finalement le profil du traître comme une fois, j'ai osé le dire. Finalement, après mûre réflexion, il a le profil du félon.
A mon avis, même le fis du président, le prince Jean, devrait s'en méfier.
En tout cas, ce qui m'a fait rire au sujet du prince Jean, c'est qu'il est devenu administrateur de l'Epad sans aucune protestation ce qui le conduira sans doute bientôt à la présidence.
Il n'y a pas eu abandon, il y eu simplement changement de stratégie.
Bon, désolé, je dois retourner au boulot.
A part que, à part que, dans une précédente lettre, je vous ai annoncé les résultats de la réunion de Copenhague. Comme ça, nous pouvons constater si pour ce genre de grand messe, elle est dite longtemps en avance.
Donc, peut-être à plus tard et excusez moi, je n'ai pas eu le temps de faire la correction orthographique.
René.

vendredi 23 octobre 2009

"On gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus". Napoléon. Demandez à Sarko, il connaît.

Salut à ceux qui font que le travail de mémoire perdure au sujet des camps d'extermination nazis. Votre rôle reste essentiel !

Alors, paraît-il que la France a perdu de la place concernant la liberté de la presse sur l'échelle de classement de Reporters Sans Frontière. Qu'elle se rassure, elle n'est pas la seule. Ce qui pose entre autre la question, "La mondialisation encourage-t-elle la censure et le contrôle des médias ?"
Ce qui nous amène à nous demander, "Est-ce que les décideurs (OMC ou autres) ont-ils des choses inavouables à dissimuler ?"
Genre, on est en train de vous baiser dans les grandes largeurs, mais, on ne veut pas que vous le sachiez.
Qu'en dites-vous, mes trois chers lecteurs, "La mondialisation est-elle un moyen pour les multinationales de nous réduire à l'état d'esclave inconscient ?"

(Source, un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour)

"Liberté de la presse : Fidji plonge
Fidji est le pays qui a le plus reculé dans le huitième classement mondial 2009 de la liberté de la presse par Reporters sans frontières, publié le 20 octobre. Les restrictions imposées aux médias de l’archipel ont fait perdre 23 places à Fidji, qui se retrouve maintenant à la 152e place sur les 175 pays répertoriés dans cette liste. La France est 43e et c’est le Danemark qui occupe la première place.
La Nouvelle-Zélande a perdu six places pour tomber à la 13e du classement, mais reste en tête de tous les pays de la région Asie-Pacifique. L’Australie est à la 16e place juste devant le Japon".

D'où cette réflexion, si la liberté de la presse recule dans tous les pays occidentaux, du fait que les multinationales rachètent les médias, c'est qu'il y a anguille sous roche, ne croyez-vous pas ?"
Bon, mes trois chers lecteurs, je vois que cette réflexion ne vous inspire pas. Dommage, parce que la profusion des sociétés de sécurité type de celles qui interviennent en Irak ou en Afganistan devrait finir par vous poser un questionnement.
Pourquoi ?
Parce qu'un jour, elles risquent d'intervenir sous le contrôle des multinationales pour vous faire fermer votre gueule.
Car, entre nous, ces gens là ne sont que des mercenaires de la pire espèce, pas plus, pas moins. Et si un jour, ils sont payés pour intervenir aux States ou en France pour nous faire fermer notre gueule, ils le feront sans état d'âme.
Et, même avec l'argent qu'ils manipulent, ils peuvent dès à présent provoquer des situations chez nous qui exigeront leur intervention afin que les armés nationales n'aient pas à flinguer leurs propres concitoyens.
Aussi, je demande solennellement au président des Etats Unis de passer une loi pour les dissoudre avant que le scénario décris ne devienne réalité.
Sans compter que dans les pays concernés, ils ne font que de la "merde" puisqu'ils se prennent pour des cow boys au dessus des lois et tuent en toute impunité.
Bon, mise à part ça et pour revenir en France, je vous propose de boycotter Auchan.
Donc, mes trois chers lecteurs, veuillez relayer cet appel au boycott sur internet.
Car, je vous explique, Auchan comme tous les distributeurs nous vole en s'arrangeant avec les autres pour maintenir les prix des produits à une hauteur insoutenable pour assurer des dividendes aux actionnaires.
Sauf que, sauf que, le fondateur d'Auchan vit en Belgique pour éviter les impôts en France évitant ainsi l'effort nécessaire que les nantis doivent faire pour aider la nation.
Donc, il nous tire notre fric en France et il se planque fiscalement en Belgique.
C'est pour ça que je dis qu'il faut réagir. Où il revient en France participer à l'effort de solidarité nationale ou nous partons ailleurs nous faire voler pour le même prix chez d'autres distributeurs.
Voilà, ce que je propose et que vous devez renvoyer à vos connaissances sur le net.
N'oubliez pas, nous pouvons agir parce qu'en bout de chaîne, nous, consommateurs, nous sommes ceux à qui appartient la décision finale.
Naturellement, je continue à dire, "Il faut toujours boycotter Carrefour !" Ceci, de façon, qu'au final par notre décision de boycott, des distributeurs soient éliminés afin d'obliger les survivants à tenir compte de nous dans la fixation de leur prix. Par exemple à travers des cellule de consultation comprenant producteurs, industriels, distributeurs, consommateurs. Pourquoi pas ?
On a le droit de rêver, ne croyez-vous pas ?
Voilà donc, ce que je vous propose au final mes trois chers lecteurs, que nous reprenions le contrôle de notre vie sur tous les salopards qui nous prennent pour des pompes à fric tel l'actuel gouvernement.
Réfléchissez et écrivez moi.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.

jeudi 22 octobre 2009

Comme aujourd'hui, j'ai été mangé à midi, seulement deux articles des Nouvelles Calédoniennes pour réfléchir. Dont l'un sur le changement climatique.

"Des habitations menacées par les flammes en Australie
Des centaines de personnes ont reçu mardi la consigne d’évacuer leur domicile dans le nord-est de l’Australie, où des incendies font rage.
Des flammes jusqu’à quatre mètres de hauteur se dirigeaient vers la banlieue de Rockhampton, au nord de Brisbane, depuis le parc national du mont Archer, où un incendie fait rage depuis onze jours. « 25 équipes et des avions bombardiers d’eau sont mobilisés pour contenir ce feu mais les pompiers ne seront sans doute pas en mesure de protéger toutes les propriétés et les habitants doivent savoir qu’il n’y aura pas un pompier derrière chaque porte », a averti le service anti-incendie de l’Etat du Queensland. Une dizaine de feux font rage à travers le Queensland depuis plus de trois semaines".

Et, l'autre sur un risque qui naturellement ne menacera pas la France puisque nous avons un président tellement trop intelligent.

"Risque d’inflation en Australie
L’Australie est confrontée à un risque croissant d’inflation après son redressement spectaculaire, a prévenu la banque centrale. L’inflation n’a pas baissé autant que prévu au début de la crise et pourrait repartir d’ici 2011, a affirmé la Banque centrale d’Australie (RBA)".

Et, j'en rajoute un autre pour les fans d'ouragans.

L'été sera chaud
Après deux ans de présence, la Niña laisse la place à El Niño, exceptionnellement synonyme de fortes chaleurs cette saison. Cette hausse de température tire son cortège de risques. Des professionnels, à l’image des éleveurs, imaginent déjà des mesures.

Le climat change de commandant de bord. Après deux ans de présence, la Niña s’est effacée et a confié les manettes à El Niño, déjà repéré sur les ordinateurs des centres météorologiques calédonien, tahitien, tongien, ou encore fidjien et américain... Les indications ne trompent pas, les températures de surface de la mer sont plus élevées qu’à l’ordinaire en certains points du bassin Pacifique, et un affaiblissement des alizés est pointé sur la bande équatoriale. « El Niño persisterait et s’intensifierait pour atteindre un stade modéré », sur une échelle de trois, allant de « faible » à « fort », note Alexandre Peltier, responsable de la division climatologie à Météo France Nouvelle-Calédonie. « L’enfant Jésus » n’est pas, pour autant, un tendre. Si aucun scénario n’est privilégié au chapitre des précipitations pour le dernier trimestre 2009 sur le territoire - les logiciels présentant des avis divers -, les experts sont formels sur une tendance : la saison des pluies pourrait être sensiblement atténuée et différée. En clair, de l’eau, oui, mais bien au-delà de janvier et en moins grande quantité. Problème, « étant donné le déficit pluviométrique actuel sur le Nord et les îles Loyauté, il est raisonnable de s’attendre à la persistance de conditions sèches en moyenne sur le Nord et les îles Loyauté jusqu’au premier trimestre 2010 », souligne le spécialiste de la station au Faubourg-Blanchot. Une perspective bien embêtante pour les tenues maraîchères et autres exploitations d’élevage. Le risque d’un coup d’arrêt sur ces activités est réel.

La température moyenne journalière, établie à 26°C environ, risque d’être dépassée

Contrairement à l’herbe, le mercure va, lui, pousser dans le tube de verre. Fait peu habituel en Nouvelle-Calédonie en phase El Niño, et en raison de combinaisons atmosphériques, la température va être, en moyenne, supérieure à la normale durant la saison 2009-2010 : soit au-dessus de la minimale établie à 22-23°C et de la maximale à 29-30°C classiquement enregistrés en ces mois. Indéniablement, il va faire chaud, plus chaud que d’ordinaire, selon les prévisions. De combien de degrés ? Météo France ne dispose pas visiblement aujourd’hui d’éléments chiffrés fiables. Quoi qu’il en soit, la température moyenne journalière en cette période en Nouvelle-Calédonie, établie à 26°C environ, risque d’être dépassée. Les conséquences seront multiples, tant sur les plans sanitaire, industriel, que de la sécurité incendie.
Qui dit saison chaude, dit activité cyclonique. Les logiciels prévoient une tendance « proche de la normale », le risque moyen dans la région se situant à 2,6 phénomènes - la science a de l’humour -, ou entre deux et trois dépressions tropicales, de décembre à avril. Le phénomène El Niño n’a pas d’incidence reconnue sur la zone calédonienne, déjà fortement exposée à ces formations cycloniques. En revanche, cette fois, le risque est accru « à l’est de la ligne de changement de date », soit des îles Tonga, Tuvalu... L’été sera chaud.

Yann Mainguet

Le chiffre : 39,1
Le record absolu de la température maximale enregistrée en Nouvelle-Calédonie, est de 39,1°C à Bouraké le 1er janvier 2002.
« El Niño, c’est l’enfant terrible »
Questions à... Guy Monvoisin, président du syndicat des éleveurs.

Les Nouvelles calédoniennes : El Niño succède à la Niña. Quel est aujourd’hui l’état de vos exploitations ?
Guy Monvoisin : Le problème est là : nous avons eu un excès d’eau en début d’année, mais nous n’avons pas plus d’herbe que d’habitude, car nous n’avons pas pu gérer l’excédent, nous ne pouvions pas entretenir nos pâturages jusqu’au mois d’août-septembre, personne ne rentrait dans les champs avec les tracteurs. La sécheresse que nous avons aujourd’hui n’est pas exceptionnelle. Pour l’instant. Mais les six mois d’excédent ne vont pas remplacer six mois sans eau ! Non, ce serait trop réducteur ! Des gens situés sur les bords de mer, près de Poya par exemple, me disent que depuis deux mois-deux mois et demi, ils n’ont plus d’eau. Ils s’interrogent et se demandent s’il ne faut pas faire jouer déjà le réseau d’agriculteurs.

Comment la profession s’organise face à la prévision de sécheresse ?
La plupart font du foin. Nous sommes d’ailleurs en train de finir de le rentrer. Disons que, face à une sécheresse de trois-quatre mois, on sait faire. Chacun a sa petite formule magique. Mais ensuite, au bout de quatre-cinq mois, ça devient difficile : les réserves en eau sont épuisées, et les solutions s’amenuisent. Bref, c’est le sauvetage. Et là, ça risque de cogner. Il faut que les éleveurs prennent leurs dispositions.

Quand un éleveur entend le mot « El Niño », que voit-il ?
Avant, on ne le connaissait pas. Maintenant, c’est l’enfant terrible. C’est celui qui ne nous amène rien de bon, qui peut nous amener des chaleurs et pas de pluies. C’est le vilain petit canard. Aujourd’hui, le problème, c’est que l’on voit des saisons extrêmes, tout d’un côté ou tout de l’autre. La Niña, c’était les excès d’eau, bon... c’est mieux, dans tous les cas, que les « excès de sec ». Le sec, ensuite, c’est une question de capacité. Le problème d’El Niño, c’est qu’il peut ne pas pleuvoir dans le Nord, et pleuvoir dans le Sud. Un système de solidarité et d’échanges peut alors se mettre en place entre agriculteurs. Au niveau du syndicat, nous allons aujourd’hui réfléchir, voir à mettre des mesures en place.
Conséquences
Risque sanitaire
Qui dit hausse de température, dit prolifération des moustiques. Or aujourd’hui, la Nouvelle-Calédonie est déjà concernée par l’infection de dengue 1 et 4 : depuis le 1er janvier dernier, 8 566 cas ont été déclarés, dont en juillet, août et septembre. Le risque est alors présent qu’une saison particulièrement chaude suscite une seconde épidémie. Beaucoup de Calédoniens ne sont d’ailleurs pas protégés, n’ont pas accompli les mesures de précaution d’usage sur les eaux stagnantes autour de leur maison dans un rayon de 200 mètres. Objectif : détruire les gîtes larvaires potentiels, laver, se protéger des piqûres de moustiques.
Humidité et chaleur favorisent, de même, les cas de leptospirose, car les germes survivent dans ces conditions. La Nouvelle-Calédonie a connu depuis le début d’année 2009 une phase épidémique avec 156 cas. À ce jour, un décès est à déplorer. Vigilance.

Électricité
Qui dit hausse de température, dit pic de consommation d’électricité dû à l’utilisation de climatiseurs. Le phénomène est connu. Souci, la cote en eau du barrage de Yaté, système hydroélectrique géré par Enercal, est déjà basse. La société peut alors se tourner vers d’autres systèmes de production, telles la centrale thermique de Népoui ou les turbines à combustion de Ducos, pour subvenir aux besoins de la population.

Incendie
Qui dit hausse de température, dit risque d’incendie. Depuis le 1er octobre, plus de 1 000 hectares ont déjà brulé en province Nord. Cette saison, les pompiers disposent de deux hélicoptères bombardiers d’eau dans le Sud, de deux dans le Nord, à Koné, et d’un cinquième basé à Nandaï, de plus grosse capacité".

Et, souvenez-vous, mes trois chers lecteurs, en Australie, c'est pire. Comme dans toute la zone sahaliéne.

A bientôt.
René.

mercredi 21 octobre 2009

Salut compagnons du coquelicot,il va falloir vendre les bijoux de famille pour survivre.

Et, le Darfour, plus personne n'en parle. Pourtant, des bruits familiers d'armes se font entendre qui risquent de relancer le conflit.
(Source ONU)

"lundi 19 octobre 2009

L’ONU appelle au calme face à la recrudescence des tensions- La MINUAD appelle au calme face à la recrudescence des tensions au nord du Darfour en particulier de l’augmentation significative des activités militaires du gouvernement soudanais et des rebelles dans les zones de Sortony et de Kabkabiya. Selon un communiqué, « la MINUAD est sérieusement préoccupé par ces préparatifs qui pourraient indiquer le déclenchement imminent d’un nouveau cycle de confrontations armées dans la région ». Par ailleurs, le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, salue la libération hier de deux employées de l’ONG irlandaise GOAL. M. Ban déclare que « la sûreté et la sécurité des employés humanitaires et des Casques bleus est aussi la responsabilité du gouvernement soudanais ».

Donc, chaque partie du conflit se prépare et accumule l'armement. Le gouvernement masse ses troupes et les rebelles aussi.
A quand de nouveaux massacres ?
Et, que fait-on en attendant en France ?
Simple, le président Sarko fait son maximum pour étrangler électoralement l'opposition et protéger les élus de possibles déboires judiciaires.
Ainsi, il a étendu le secret défense à des bâtiments institutionnels bloquant ainsi les investigations des juges. Juges qui par ailleurs disparaissent du paysage judiciaire français.
D'un autre côté, il va étrangler financièrement les régions (de gauche) en leur imposant un super préfet afin de réduire leur autonomie administrative.
Donc, moins d'argent signifiant moins de prestations sociales et des impôts locaux en augmentation.
Ce que fait notre Sarko national, c'est revenir par la bande au centralisme étatique. Sa boulimie de tout contrôler l'amène à neutraliser tout ce qui peut lui apparaître comme contre pouvoir.
Ainsi, la justice devient à la botte.
Les institutions décentralisée perdent de leur consistance.
Il établit des taxes pour ne pas dire impôts.
Il privilégie les nantis.
Il prépare un futur statut répressif pour les contestataires en inventant une nouvelle problématique, "l'ultra gauche".
Et, en parallèle, il accentue les réglementations répressifs.
La dérive autoritaire ne semble pourtant pas inquiéter les véritables démocrates de droite. Et, moins, les élus de droite protesteront contre une dérive qui se fait sentir à tous les niveaux du corps social, moins la démocratie sera assurée.
Il ne s'agit plus de droite ou de gauche, il s'agit de préserver la république de toutes tentations absolutistes.
En tout cas, c'est mon opinion. Il y a dérive et dérive qui restreindra ou finira par annihiler jusqu'à notre libre arbitre.
Alors, je dis, "Attention, Danger !"
Car, notre président n'a de démocrate que l'apparence !
Quant-à l'avenir de la gauche, je vous livre mon avis pour les élections régionales.
Je verrais bien, une liste NPA-PC-Parti de gauche d'un côté, de l'autre le PS et les verts.
Je suis d'accord avec Mélenchon, il ne doit pas y avoir d'accord avec le PS au premier tour, ni d'ailleurs avec les verts.
Dans ce genre de configuration, je donnerais cette fois-ci mon vote à une union NPA,PC, Parti de gauche.
Par contre, si le PC s'allie avec le PS pour s'assurer les postes, il ne fera qu'accentuer la perte de confiance des électeurs et militants sincères.
En ce qui concerne le Modem, il ferait bien mieux de chasser sur les terres de l'UMP plutôt que sur celle du PS. Car, si Sarko continue, les vrais gaullistes finiront par prendre la tangente avant de perdre leurs âmes.

Bon,passons à autre chose. Il est vrai que crier au loup ne sert à rien quand le loup est déjà dans la bergerie. Aussi, quelques nouvelles du Pacifique nous fera un peu de bien.
(source:Nouvelles Calédoniennes de ce jour)

Des réfugiés climatiques dès 2020
Des îles du Pacifique pourraient être englouties sous les eaux plus rapidement que prévu et leurs dirigeants doivent anticiper l’évacuation des populations menacées, a averti un scientifique.

« D’ici 2100, je ne sais pas combien d’îles seront encore habitables », a déclaré le professeur Patrick Nunn, chercheur à l’université du Pacifique Sud de Fidji. M. Nunn préside la table ronde sur le changement climatique dans le Pacifique qui s’est ouverte lundi à Majuro, capitale des îles Marshall.
Quatorze pays et territoires participent à la réunion dans la perspective du sommet de l’ONU sur le climat en décembre à Copenhague.
L’expert a recommandé aux pays insulaires de la région de solliciter l’aide internationale.
De nouvelles projections scientifiques montrent que le rythme de l’augmentation du niveau de la mer est plus rapide que les prévisions faites en 2007 par le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), a affirmé le scientifique.
« On s’attend maintenant à une élévation de plus d’un mètre d’ici la fin du siècle », a-t-il déclaré.

Inéluctable évacuation à Tuvalu et aux Marshall

Les atolls coralliens à basse altitude, comme les îles Marshall, Tuvalu ou Kiribati, sont directement menacés.
« Le déplacement de populations est l’une des choses les plus difficiles, car il faut convaincre les gens que l’endroit où ils vivent depuis des siècles n’est plus viable », a déclaré Patrick Nunn, qui travaille sur cette question depuis vingt-quatre ans.
Des projets d’adaptation ont été proposés pour les zones de faible altitude afin qu’elles puissent résister à la montée du niveau marin mais, selon M. Nunn, dans certains territoires comme Tuvalu ou Marshall, il n’y a pas d’autre solution que d’évacuer la population.
Le scientifique a exhorté les dirigeants de ces pays à anticiper ces déplacements de populations qui pourraient intervenir d’ici 2050, voire dès 2020.

Ensuite, cette confirmation de l'Australie comme nouveau Qatar de Pacifique :

"Un gisement de gaz en Australie
Le groupe énergétique américain Chevron a annoncé la découverte d’un nouveau gisement de gaz naturel au large de l’Australie-Occidentale, qui servira à alimenter le gigantesque projet de gaz naturel liquéfié (GNL) Gorgon. Chevron a indiqué que du gaz avait été découvert à 160 kilomètres au large des côtes. Chevron, Shell et ExxonMobil se sont mis d’accord le mois dernier sur le développement du projet « Gorgon », investissant 43 milliards de dollars australiens, dans sa phase initiale de construction.
Il s’agit du plus vaste projet d’exploitation de ressources naturelles jamais lancé en Australie. La production deGorgon, qui entrera en phase de production en 2014, est destinée au marché asiatique. La Chine, le Japon, l’Inde et la Corée du Sud ont déjà signé des contrats d’approvisionnement d’une valeur totale de 145 milliards de dollars australiens".

A bientôt.
René.

mardi 20 octobre 2009

Bon, aujourd'hui, je me lâche. Je vous propose donc un susceptible scénario au sujet des nanotechnologies.
(sorti de La Tribune de ce jour)

"Quelques 800 produits incorporent aujourd'hui des éléments nanostructurés....Le formidable bond technologique de ces trente dernières années a permis de modifier l'agencement de la matière à l'échelle de l'atome (le nanomètre correspond à un milliardième de mètre). Un atome est 500.000 fois plus fin qu'un trait de crayon".

Donc, lorsque, désormais, vous voudrez assassiner votre belle mère ou votre femme pour récupérer l'héritage, vous n'aurez qu'à introduire dans sa part de tarte un élément nanostructuré qui la détruira de l'intérieur. Au moins le temps qu'elle mette à mourir persuadera tout le monde qu'elle est malade. Donc, impunité assurée !
Et, si, vous êtes dans les premiers à utiliser cette nouvelle technique criminelle, aucun expert de Miami ne pourra prouver quoi que ce soit parce qu'ils seront en retard d'un métro.
Du coup, nous les assassins du vendredi, crions, "Vive la Nanotechnologie".
A bientôt.
René.

lundi 19 octobre 2009

Salut messieurs de la haute finance. Trop parfois peut paraître abuser surtout si vous naviguez à nouveau en terrain hautement instable.

Bon, l'armée pakistanaise lance une offensive dans le Sud-Waziristan, fiel taliban et d'Al Quaida.
Au début de l'hiver, cela ne semble pas très opportun. A moins d'obliger les talibans à se réfugier dans la montagne pour qu'ils subissent la rigueur du climat, il me semble que les soldats pakistanais risquent aussi de souffrir.
Si, l'objectif de cette offensive d'hiver est de les obliger à se réfugier dans les montagnes, cela peut se comprendre. Il faudrait également que l'armée les empêche d'assurer leur approvisionnement alimentaire également.
Car, pour les affaiblir; il faut les affamer jusqu'à ce qu'ils soient obligés de se découvrir pour s'alimenter.
Donc les attendre là où ils pourraient chercher justement à se réapprovisionner.
Naturellement, ils vont forcer les paysans alentour à leur fournir des provisions. Sauf que ceux-ci ont en déjà un minimum pour assurer leur propre subsistance. Leur enlever le peu qu'ils ont pour nourrir des milliers de combattants les amènera peut-être à se retourner contre les talibans, surtout étrangers.
Et, à donner à l'armée les rennseignements nécessaires pour les déloger.
Aussi, si, j'étais l'armée pakistanaise, je tiendrais le terrain pour les empêcher de se ravitailler en les mettant en situation de souffrir du froid et j'attendrais qu'ils pèsent d'une manière insupportables sur les stocks paysans.
Puis, j'attendrais les renseignements de ceux qui les soutiennent, mais ne sont pas prêts à voir leur famille mourir de faim pour eux.
Des actions commandos en période hivernale en sus pour les obliger à se déplacer et éviter qu'ils ne s'enterrent dans les cavernes seront suffisantes avant une offensive de printemps bien préparée.
Donc, voilà pour l'armée pakistanaise qui devrait aussi éviter une offensive terrestre classique avec chars d'assauts et tutti quanti. Cibles trop facile en zone extrémement montagneuse.
Bon, pour aujourd'hui, comme je suis dans lieu où il fait frisquet, j'arrêterais mes délires à la mode napoléonniène.
Je vous salue bien.
René.

samedi 17 octobre 2009

"La pauvreté ne sera plus sédition lorsque l’opulence ne sera plus oppressive" Napoléon. A méditer par Sarkozy.

Salut à tous les razes moquettes de la vie. Combien de temps allons-nous supporter que le gouvernement n'agisse que dans le sens des riches ?

Parce qu'entre nous, lorsque notre brillant président décide de liquider la taxe professionnelle en s'arrangeant à court terme pour ne plus compenser cette perte sur le budget des régions, c'est qui, qui va payer au final, selon vous ?
Eh, bien, oui, c'est nous ! Vous avez gagné !
Donc, nous, simples citoyens lambdas, nous allons, non seulement payer notre part et payer en plus la part actuellement dévolue aux entreprises.
Tout en sachant bien sûr que notre surface financière n'est pas la même bien entendu.
Et, comme, il est évident que le gouvernement ment lorsqu'il assure qu'il compensera ad eternam, soyez en sûrs, nous sommes les victimes expiatoires.
Alors, soit les régions abandonnent une partie des prestations sociales qui sont actuellement assurées, soit, elles vont devenir un enfer pour ses habitants fiscalisables.
Donc, puisque les riches ne sont plus ponctionnés à hauteur de leurs avoirs, ce sont les faibles et moyens revenus qui vont payer.
Encore que, encore que, ils n'arriveront pas à couvrir avec leur écot l'ensemble des réalisations actuelles des régions.
Ce qui nous fait dire que l'état se désengage financièrement de ses devoirs vis à vis de "ses" citoyens en contribuant à étrangler tous les petits contribuables.
Petits contribuables dont il n'a rien à foutre puisqu'il s'est clairement positionné du côté des riches. Une première en France d'ailleurs.
Mais, une question se pose, "Que fera l'état de toutes ses économies ?"
Sans doute remboursera-t-il la dette publique, en tout cas, il faut l'espérer. Et, naturellement, il mettra le secteur industriel sous perfusion (avec notre argent) pour tenter de maintenir un tissu industriel à notre beau pays.
Donc, au final, les entreprises capitalistes vont parvenir à récupérer de la main gauche le salaire qu'elles nous donnent de la main droite.
Encore mieux que les Chinois.
Et, si la France n'arrive pas à se relever, ça ne sera pas la faute à Sarko, mais, aux trois petits cochons.
Et, à la fin des fins, il ne restera plus qu'à enterrer des régions insolvables et à restaurer l'autorité de l'état sur la France.
Napoléon, nous voilou-voilà !
En tout cas mes trois chers lecteurs, ce scénario, non pas catastrophe, mais, annoncé correspond tout à fait au sieur Sarko qui n'a de démocrate que l'apparence.
Même si cet avis vous parait outrancier, avouez qu'il est bizarre cet homme là qui n'arrive pas à la cheville d'un Obama. Ce qui entre nous doit lui donner des coliques frénétiques.
En tout cas, ce qu'il a en commun avec Napoléon, c'est d'avoir enterré un visage de la France. Napoléon a enterré la démocratie naissante et Sarko, la classe moyenne.
Il est vrai que plus rien ne l'arrête notre président national.
Sauf qu'il a fait vraiment fort avec son fils. "Mais, qu'a-t-il fait ?" me direz vous.
Simple, il a fait rire de la France partout dans le monde.
Même les talibans sont écroulés de rire, c'est pour dire.
Et, sur ces bonnes paroles, je m'en vais vous laisser à vos angoisses de lendemains qui ne vont pas chanter.
A bientôt.
René.

vendredi 16 octobre 2009

Salut les compagnons du coquelicot, le capitalisme financier prépare son enterrement.

A part ça que dire, que Sarko pédale dans la semoule ?
Il est vrai qu'il ne sait plus où donner de la tête à force d'accumuler les bourdes générés par une trop grande intelligence.
Son dernier geste de se rendre à Gandrange pour ne pas entacher son image de lâcheté est l'exemple même de ce qu'il ne faut pas faire.
Parce qu'est-ce qu'il a été faire à Gandrange ?
Il a été encore faire des promesses. Mais, le pire, c'est qu'il a promis à la municipalité d'installer une caserne pour compenser...un peu, plus d'autres projets générateurs d'emplois. Sans compter une promesse, encore une, de discussion avec Mital, le propriétaire indien.
Bon, pour la caserne, un régiment va s'installer. Très bien, cela va faire marcher le commerce alors que les ouvriers d'arcelor demandaient le maintien de leur emploi.
Ca, c'est pour que les commerçants se désolidarisent des ouvriers.
Ensuite, la caserne en question, elle va bien déménager de quelque part. D'une ville où il y a des commerçants qui comptent que les militaires participent à leur chiffre d'affaire.
Sauf, que Sarko dit, on prend une caserne à Pierre et l'on va habiller Paul.
Ca, c'est de la politique ou je ne m'y connais pas.
Quant-à Mital, je dois dire que Sarko a peut-être une toute petite chance puisque la nouvelle usine métallurgique que Mital devait installer en République Indienne ne se fera pas sur le site prévu. En effet, les fermiers se sont opposés à la vente de leurs terres et Mital, à priori, à renoncer.
Mais, est-ce que cela veut dire qu'il va se redéployer à Arcelor ?
Rien, n'est moins sûr !
Donc, à voir.
Et, pour le reste de ses promesses, si je continue à sourire, je vais me déchirer les lèvres, donc, motus.
Ce qui me fait redire, "Mais que font les gaullistes dans cette galère !"
Ah, au fait, j'ai signé la pétition contre la nomination de Jean Sarkozy à la tête l'EPAD.
Parce qu'entre nous, avec un gouvernement qui ressemble de plus en plus à la cour des miracles et un acte népotique ouvertement méprisant pour la démocratie, "Y'en a marre !" Sans compter le reste.
Ah, oui, un truc à dire et cela s'adresse au maire de Paris, bertrand Delanöe. Ma taxe d'habitation a doublé et je dois le crier haut et fort, je n'apprécie pas du tout, mais pas du tout. Parce qu'entre doubler et augmenter, il y a une marge. Et, si c'est pour payer les conneries des verts, alors, je dis, trop, c'est trop !
Parce qu'en attendant, mon salaire n'augmente pas, mon pouvoir d'achat diminue et il faut payer pour les délires d'écologistes qui ne sont pas capables de péréniser mon emploi.
Alors, merde, y'en a marre !
Qu'est-ce que veut Delanöe ? Que ce qu'il reste d'ouvriers et de travailleurs soient obligés de quitter Paris pour partir en grande banlieue.
Dans ces conditions, il n'a qu'à le dire franchement. Comme ça, au moins, on saura ce qui nous attend. Et, cela nous permettra de préparer notre départ.
Vous croyez pas que ça suffit avec votre taxe carbone à la noix. Tout ça parce que vous n'avez pas eu le courage de prendre le fric là où il est, dans la poche de ceux qui ont en trop.
Encore et encore, ce sont les petits et moyens revenus qui doivent payer.
Y'en a marre !
Vous êtes tous pareils !
Et, sur ce je vous quitte. Je ne corrige même pas l'orthographe tellement, je suis en colère. Tous pourris et tous vous en avez rien à foutre des petites gens et encore moins de pauvres.
Je ne vous salue pas.
René.

mardi 13 octobre 2009

"Le seigneur m'a promis un manteau de fourrure, et voici déjà que je transpire". Proverbe Polonais. L'âme polonaise est décidément insondable.

Salut à tous les ploucs du monde. Il n'y a qu'une façon de résister, le refus citoyen et l'action barbare de masse.

Bon, aujourd'hui sur le front de la grippe H1N1, quelle est la situation en Australie.
Article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.

"Le chiffre : 197
C’est le nombre de décès dus à la grippe A en Australie (180) et en Nouvelle-Zélande (17) depuis le début de l’épidémie. 722 patients pour lesquels l’infection à H1N1 a été avérée ont été hospitalisés".

Par contre, toujours en Australie, un nouveau Qatar est en prévision et les pépètes vont tomber comme neige au soleil.
Encore un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.

"Gaz australien : le plus grand site flottant du monde
Les projets des groupes pétroliers pour exploiter les réserves énergétiques australiennes sont gigantesques. Shell envisage de construire « le plus grand site flottant du monde » pour extraire du gaz naturel liquéfié (GNL).
Si le projet aboutit, le pays pourrait ravir au Qatar sa place de premier producteur mondial de GNL. Il est encore en phase de conception et d’ingénierie. Il s’agirait d’une plate-forme en forme de bateau, longue de 480 mètres et large de 75 et pesant près de 600 000 tonnes. Son coût est estimé à 5 milliards d’euros. Le site pourrait produire environ 3,5 millions de tonnes en moyenne par an sur vingt ans".

Mazette, voilà qui apportera des épinards à la dette extérieure australienne. Surtout, si l'on considère que cette manne améliore la capacité d'emprunt sur les marchés financiers internationaux de l'Australie.
Sauf, que ce n'est pas ça qui risque de la sauver du spectre de la sahélisation rampante qui s'annonce.
Eh, oui, mes très chers trois lecteurs, les fermiers australiens se sont toujours imaginés que l'eau était un élément immuable de leur paysage.
Sauf que, sauf que, à force de pomper, l'eau s'épuise.
D'ailleurs, si l'on prend en compte la pollution forcenée produite par nos industriels et par nos agriculteurs, l'eau, de source de vie se transforme en source de mort.
De la faute à qui, me direz-vous ?
Eh, bien, je dirais, de la faute à une productivité industrielle doublée d'un appât du gain qui est la résultante finale du taylorisme.
Et, qu'est ce que le Taylorisme.

"Le taylorisme est une méthode de travail dans l'industrie mise au point par Frederick Winslow Taylor (1856-1915). Elle consiste en une organisation rationnelle du travail qui est divisé en tâches élémentaires, simples et répétitives, confiées à des travailleurs spécialisés". (Pris sur le net)

Le final étant la société japonaise vieillissante qui compte remplacer les futures forces de travail manquantes par des robots humanoïdes.
Ce qui, entre autre, créera une force de travail qui se passera sans problème de ce qui va nous tuer par ailleurs, le manque d'eau potable.
Car, en effet, eux, ils carbureront à l'huile de moteur.
Vous ne me croyez pas ?
Alors, visionnez les indiens qui vont commettre leur bain rituel dans les eaux des fleuves complètement pollués.
Ce que j'aimerais que le gouvernement indien fasse, c'est dénombrer le nombre d'indiens atteints de maladies de peau et de cancers.
Il est vrai que dans leur masse, cela, sans doute, n'est pas flagrant.
Par contre, commencez à imaginer, l'absentéisme que cela va provoquer dans l'outil économique.
L'Inde et la Chine pris comme laboratoire des dégâts collatéraux sur l'organisme humain causer par une pollution maximum de l'eau.
Moi, à mon humble avis, les bretons devraient se bouger les fesses avant que leur région ne devienne un désert humain. Car, sans eau "potable", il n'y a plus de vie.
Alors, moi, je leur donne un bon conseil, "Virez les porcheries industrielles de votre paysage avant qu'il ne soit trop tard !"
Et, d'ailleurs se pose la question, "Mais que font les écologistes pour se battre et nous conscientiser dans un objectif de préservation d'une eau de qualité ?"
J'entends bien le son du canon de la purification de l'air respirable. Sauf que, sauf que, sans eau potable, un air pur ne me servira à rien, si d'un autre côté, je meurs faute d'eau potable.
Eh, oui, mes chers trois lecteurs, les écologistes ont un long chemin à faire. C'est bien pour cela qu'ils commencent par la prise du pouvoir. Et, croyez moi, ça doit chauffer dans la maison verte pour les places à prendre sur le cadavre exquis du PS.
Mais, une dernière question :
"Combien d'enfants a Sarkozy ?"
Et, sur ce, je vous dis, "A bientôt" car, je vais exercer ma langue de pute ailleurs.
René.

lundi 12 octobre 2009

"A quoi sert l'étendue du monde quand nos souliers sont trop étroits ?" Proverbe Serbo-Croate.

salut, camarades républicains, la France vous a préparé des camps de...concentrations pour vous accueillir !

Bon, il semblerait qu'en France après une ministre de la justice dont les deux frères étaient en prison, il y a un ministre de la culture soupçonné de pédophilie.
Ministre qui s'en est d'ailleurs défendu sur la 1er chaîne.
Sauf qu'il a argumenté en disant qu'il ne fréquentait en Thaïlande que des garçons de son âge, c'est à dire de quarante ans.
Quarante ans pour moi, c'est des hommes et non des garçons. Il y a eu là une erreur de sémantique qui me semble préjudiciable. Pour un homme de culture, il y a des erreurs qui ne se pardonnent pas.
Enfin, bref, je reste dubitatif.
Néanmoins, le gouvernement Fillon composé sur les injonctions de Sarkozy ressemble de plus en plus à une cour des miracles.
Sauf, que de miracles nous n'en voyons pas la couleur au niveau de notre pouvoir d'achat.
Car, ce gouvernement a ruiné et ruine la France sous la direction éclairé de son leader président. Ménager les riches en pressurant les pauvres n'est, à mon avis, qu'une pauvre vision de la relance économique.
D'ailleurs, réduire l'impôt des hauts revenus pour accentuer les taxes à tout va à l'ensemble de la population en sachant qu'elles ont plus d'impact sur les moyens et faibles revenus ne soulagera pas le simple service de la dette.

Article d'Alternatives Economiques,octobre 2009, p12.

"Au delà des difficultés croissantes pour équilibrer les finances de l'état et assurer les actions publiques indispensables, quel effet a eu le recul de l'impôt progressif ?
Il entretient un lien étroit avec la remontée spectaculaire des inégalités mise en évidence par l'économiste Camille Landais : Entre 1998 et 2006, les 90% de français "ordinaires" ont vu leurs revenus s'accroître de 4,6% seulement, inflation déduite, tandis que le millième le plus riche gagnait 32% de pouvoir d'achat"....."Aller dans ce sens impliquerait certes que Nicolas Sarkozy rompe avec ses promesses de campagne. Mais, l'effort qu'il faudra d'une façon ou d'une autre consentir après la crise pour faire baisser la dette publique pourra difficilement être compris si les plus riches ne sont pas mis à contribution les premiers. D'autant que, avec les actions engagées contre les paradis fiscaux, l'environnement international ne peut plus servir de prétexte pour refuser un impôt plus progressif".

Sauf que, sauf que Sarko privilégie encore et encore ses copains fortunés.
(Du même mensuel, p10-11)

"En juin 2008, Gilles Carrez, député UMP, rapporteur général du budget,et Didier Migaud, député PS, président de la commission des Finances de l'Assemblée Nationale, ont présenté un rapport : les 486 niches (fiscales) qu'ils ont repérées ont représenté en 2007 une perte de 73n milliards d'euros pour l'Etat, soit 27% de ses recettes fiscales ! En forte hausse depuis 2003, puisqu'elles ne représentaient alors "que" 50 milliards d'euros et 20% des recettes fiscales"

Il faut le dire, le gouvernement ne touchera pas aux petits copains de Sarko avant les élections de 2012. D'ici là, le déficit public filera comme une comète.
Et, c'est nous qui allons nous retrouver sur la touche comme les ouvriers de Gandrange.
Dommage pour eux. Je me souviens avoir été faire un stage à Sacilor à Rombas lorsque j'avais seize ans avec mon pote François Marchand. A l'époque, les usines de quatre à sept kilomètres de long se succédaient. Aujourd'hui, il n'y a plus rien et pas que de la faute de la droite.
Bon, sur ce, je dois retourner au travail.
A bientôt.
René.

jeudi 8 octobre 2009

Enfants du bon dieu, gardez vous à droite, gardez vous à gauche, le changement climatique s'accélère. Il n'y aura pas de retour en arrière !

Bon, quand même une bonne nouvelle. Le gouvernement indien s'est décidé à agir pour dépolluer le Gange.

Par Claude Sarles | Aujourd'hui l'Inde.com |

L'Inde résolue à assainir le Gange d'ici 2020

Un nouveau programme de nettoyage du Gange a été lancé lundi 4 octobre qui vise à réduire drastiquement la pollution du fleuve sacré dans les dix prochaines années. Reste à savoir si ces objectifs ambitieux seront tenus, alors que les missions se succèdent vainement depuis plus de vingt ans.
La mission « Clean Ganga » veut en découdre définitivement avec le problème de la pollution du Gange. Son principal objectif selon le quotidien The Hindu : d'ici 2020, les eaux usées des villes et des industries devront subir un traitement complet avant d'être déversées dans le Gange.

Les représentants des Etats les plus concernés, ainsi que la National Ganga River Basin Authority (NGRBA) se sont réunis lundi sous la présidence du Premier ministre indien, Manmohan Singh. Ils se sont mis d'accord sur le calendrier : d'abord, le ministre de l'Environnement Jairam Ramesh collaborera avec les Etats pour mettre en œuvre avant la fin janvier 2010 des actions ciblées contre la pollution industrielle. Puis, un plan global de gestion du bassin de la rivière devrait voir le jour en décembre 2010.

Cependant, les différentes autorités ne sont pas parvenues à s'entendre sur le partage du coût du projet, estimé à 150 milliards de roupies (plus de 2 milliards d'euros). Les chefs de gouvernement des Etats concernés, notamment du Bihar et de l'Uttarkhand, plaident en faveur d'une prise en charge totale du financement par l'Etat fédéral, alors que celui-ci voudrait n'en assumer que 70 %, rapporte The Indian Express.

Le gouvernement met tout en œuvre pour mobiliser des fonds. Il négocie actuellement un prêt d'un milliard de dollars avec la Banque mondiale dont le Président est attendu en Inde début décembre. L'organisme financier a déjà prêté 3 millions de dollars pour la préparation du projet.

La question financière est cruciale puisque depuis plus de 20 ans, les différents projets se succèdent et échouent face au manque d'argent des Etats. En avril 1985, un premier projet est lancé, Ganga Action Plan I, GAP 1, suivi par GAP 2 entre 1993 et 1996. Deux échecs, malgré la somme considérable de 30 milliards de roupies (plus de 400 millions d'euros) investie. « Tout l'enjeu est de savoir si le Gange est plus propre qu'il y a vingt ans. La réponse est un déprimant non », a du reconnaître le ministre de l'Environnement Jairam Ramesh en juillet dernier.

En 2008, l'association environnementale WWF a classé le Gange parmi les dix rivières les plus menacées au monde. Le rejet des eaux usées non traitées est responsable à 75% de la pollution croissante de la rivière sacrée, le reste étant causé par les industries. En effet, seulement 20% des eaux sales des villes bénéficient d'un traitement avant d'être rejetées dans le Gange. Les installations actuelles ne permettent de traiter que 1 000 millions de litres d'eaux usées par jour… Alors que les villes du Gange rejettent actuellement 3 000 millions de litres par jour.

La NGRBA attend beaucoup de « Clean Ganga », davantage centrée sur le traitement des eaux usées, alors que les programmes GAP se focalisaient plutôt sur la pollution industrielle. De plus la nouvelle mission adoptera une approche globale du bassin du Gange avec une prise en compte accrue des rives et des sources, et ne sera plus seulement centrée sur les villes.

Pour sensibiliser la société civile, le dauphin du Gange a été élu lundi l'animal aquatique national de l'Inde. Incongru symbole, pour sauver un fleuve dont dépend près de la moitié des Indiens".

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
René.

mardi 6 octobre 2009

"L'homme du désir périt avec ce qu'il désire". Proverbe Indien.

Salut les déspérados de la vie. Bientôt, il faudra faire comme Cochise, se défendre contre les méchantes tuniques en col blanc.

Alors, selon, les dernières nouvelles de la Dépêche de Kabylie, le gouvernement Serbe améliore ses relations avec le monde musulman. Vraiment, on ne peut pas dire que le monde musulman soit rancunier.

"Tikjda Visite de la ministre serbe de la Jeunesse et des Sports
Vers un jumelage entre El-Esnam et une ville serbe

Dans le cadre de la coopération bilatérale entre la Serbie et l’Algérie, la ministre de la Jeunesse et des Sports s’est rendu hier dans la wilaya de Bouira pour visiter la station climatique de Tikjda. Ainsi, en présence du maire d’El-Esnam, M. Hellal, du directeur du tourisme, de la directrice de la jeunesse et des sports de la wilaya de Bouira que Snezana Samadzic Markovic a visité le CNLST, l’hôtel Djurdura. Le Parc national du Djurdjura était aussi présent avec une exposition de différents animaux empaillés. Et c’est avec beaucoup d’attention que la ministre a écouté les intervenants. Pour la circonstance, des brochures en français, en anglais et en espagnol avaient été exposées pour sensibiliser les touristes sur la préservation de ce site naturel. C’est avec fascination et une émotion visible que la ministre serbe a découvert la région et d’après ses dires, il est fort possible que la commune d’El Esnam soit prochainement jumelée avec une ville serbe. Pour Snezana Samadzic Markovic l’amitié traditionnelle entre les deux peuples algérien et serbe doit continuer dans tous les domaines et notamment dans le secteur de la jeunesse et des sports. A la question de savoir pourquoi le choix s’est porté sur le site de Tikjda, la ministre a répondu que Tikjda est un site sportif de haut niveau. Situé en altitude, il offre beaucoup de possibilités pour les athlètes afin de s’entraîner dans leurs disciplines. La ministre, en jean et jogging, a dès son arrivée à Tikjda, reçu une robe kabyle en signe de bienvenue. Une robe qu’elle s’est empressée de vêtir avant de repartir sur Alger. La délégation serbe accompagnant la ministre était également subjugué par le charme féerique de Tikjda et selon l’un des membres de cette délégation, la coopération entre les deux pays est sur la bonne voie.

Hafidh.B"

Donc,je crie haut et fort, "Vive un monde de fraternité !"
Par contre en Australie, les français se plaçent en pool position pour la construction d'usines de désalement. Gageons que les espèces marines qui ne supporteront pas l'augmentation de la salinité fuiront vers d'autres tropiques. Mais, c'est ça ou l'avancée du désert comme au Sahel.
Sauf que l'océan à force d'être aggressé risque de perdre un jour tout son plancton. Donc, tout ce qui fait qu'il est source de vie.
Mais, j'aimerais bien voir ce que les verts français pourraient proposer pour éviter que l'Australie ne se transforme en désert ?
A mon avis, ils devraient faire des propositions pour l'Espagne qui en passe d'en prendre le chemin.

Donc, un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour :

"Le malheur des uns... et le bonheur des autres

La sécheresse qui sévit en Australie depuis plus de dix ans vide le grenier à blé du pays, mais les industriels spécialisés dans l’environnement, notamment français, en revanche, sont bien placés sur le marché de l’eau.

Le bassin de Murray-Darling est la principale région agricole d’Australie. Il s’étend sur quatre Etats. Cette région est arrosée par les deux plus grands fleuves du pays, le Murray et le Darling. Une région qui a longtemps offert des conditions idéales aux agriculteurs pour semer coton, fruits, ou blé. Et aujourd’hui, 40 % des fermes australiennes se trouvent dans ce bassin d’un million de kilomètres carrés. Mais, avec une sécheresse chronique qui frappe la région depuis dix longues années, le temps des récoltes fertiles semble terminé.
Au sortir de l’hiver, les réservoirs du bassin sont peu remplis, à un quart seulement de leur capacité. Et de nombreux fermiers sont contraints d’abandonner leurs terres et d’aller vers les villes chercher du travail.
« Jusqu’à maintenant, les gens se sont dit : on reste et on essaie de survivre en attendant la fin de la sécheresse. Mais là, ils sont désespérés, on se rend compte d’un changement d’esprit. Depuis deux mois, les fermiers veulent partir », confirme le maire de Wakool, en Nouvelle-Galles du Sud, une commune située dans l’un des départements ruraux du cœur du bassin, où la plupart des habitants vivent de l’agriculture. Ceux qui restent doivent limiter drastiquement leur consommation d’eau.

Degrémont et Veolia se sont imposés en matière de dessalement d’eau de mer

Des usines de dessalement se construisent. Car la sécheresse ne fait pas que des malheureux... A mesure que le niveau des réservoirs des villes diminue, les grands projets se multiplient pour trouver d’autres sources d’approvisionnement. Dans ce marché en expansion, les compagnies françaises Veolia et Degrémont, filiale de Suez-Environnement, se taillent la part du lion. Degrémont et Veolia se sont en particulier imposés à la tête du dessalement d’eau de mer. Le dernier grand contrat, une usine destinée à alimenter la ville de Melbourne, a été remporté, fin juillet, par AquaSure, joint-venture entre Suez-Environnement-Degrémont, Thiess et Macquarie Bank contre Veolia. L’usine devrait produire 150 milliards de litres d’eau potable par an, le tiers de l’approvisionnement de Melbourne. Degrémont dessert déjà en eau potable 20 % de la population du pays. Veolia assure, quant à elle, l’alimentation en eau de 2 millions d’Australiens. Le recyclage de l’eau pourrait maintenant être l’avenir, et les opérations se multiplient, comme l’immense projet du « Western corridor recycled water project », dans le Queensland, estimé à 1,2 milliard d’euros. Un projet remporté cette fois par Veolia. Conséquence : les Australiens peuvent s’attendre à voir leur facture d’eau augmenter, voire doubler.
Pour David Garman, le président de l’Association internationale de l’eau : « Il y a deux ou trois ans, nous payions un dollar pour mille litres d’eau. Nous pensons que nous paierons deux dollars pour la même quantité d’ici à cinq ans. »
Une augmentation du prix de l’eau bénéfique en terme de sensibilisation de la population pour Tom Mollenkopf, le directeur de l’Association de l’eau australienne : « Il est bon de voir le prix de l’eau augmenter afin de réaliser à quel point elle devient rare ! »

Et, si, nous en France, nous commencions par nous préoccuper du problème de l'eau. Parce que même si nos rivières coulent toujours, nos nappes phréatiques sont polluées au point que dans les villages, la seule eau potable est celle des eaux minérales en bouteille. Tout le monde parle du CO2, mais, ils feraient bien également de parler de H2O. Parce que déjà, l'un ne va pas sans l'autre.

Et, à part ça, une question que je me pose, "A quoi sert-il que la France soit à la pointe du combat pour une fiscalité verte, si personne ne suit derrière ?"
Ensuite, "est-ce que la fiscalité verte prônée par trois marsouins est-elle la solution ou est-elle simplement due à un manque d'imagination ?"
A moins qu'il ne soit en définitive plus facile de taper sur les petits parce que de toute façon, ils n'ont aucun pouvoir de se faire entendre ?
Bref, les verts commencent sérieusement à m'emmerder !
Surtout quand ils veulent que les petits revenus réduisent leur pouvoir d'achat, alors qu'ils ne peuvent même pas se payer le Bio que eux ils consomment.
Au final, ils finiront par faire participer même ceux qui vont se nourir aux restaux du coeur !
Bon, je vais arrêter là parce que ces gens m'énervent trop avec leurs réflexions de nantis.
Alors, je vous dis, bien le bonjour chez vous et pensez bien que ceux qui vous donnent des leçons ne mangent certainement pas pareil que vous.
A bientôt.
René.

vendredi 2 octobre 2009

"Aime-toi toi-même, et laisse la foule te haïr". Proverbe Polonais. Est-ce que ça ne vous rappelle pas quelqu'un ?

Salut à tous ceux qui croient que le ciel peut leur tomber sur la tête. Ils ne se rendent pas compte que c'est déjà fait.

Bon, je ne me souviens pas pourquoi j'étais en colère avant hier lorsque j'avais un tas de chose à dire, mais,que le temps m'a manqué.
Ah, oui, je disais, je ne parle pas des séismes parce que les séismes ne sont pas changement climatique. Encore que ?
A mon avis, vu que la pression de l'espèce humaine est trop forte sur la surface de la terre et que celle-ci est un organisme qui est en résonance avec l'univers, peut-être n'apprécie-t-elle pas et qu'elle réagit.
Et, comment, réagit-elle ? En doublant les séismes majeurs sur du très court terme par exemple ?
Car,selon les scientifiques, cela ne peut pas être parce que cela n'a jamais été.
Eh, oui, cela n'a jamais été. Sauf, que des bouleversements cataclysmiques inattendus sont à prévoir. Tels que les deux tremblements de terre majeurs qui se sont succédés dans l'océan pacifique et en Indonésie.
Et, pendant ce temps, nous et les autres, on se fait la guerre. La maison brûle et nous et eux, eux tous les autres, on se fait la guerre.
A la limite, si j'avais de l'humour, je trouverais ça comique.
Sauf que je n'ai pas d'humour.
Moi, à mon avis, plutôt que rechercher un fac similé du bing bang, les scientifiques d'Iter devraient chercher comment la terre est en résonance avec le cosmos. Et, comment la résonance du cosmos agit sur la terre, à travers quelles fréquences incommensurables. Car, le jour où ils auront identifié ces fréquences, ils découvriront comment se passer de la vitesse de la lumière.
Et, pan pour l'imbécillité des scientifiques !
Mais, basta, l'espèce humaine a ses limites qui l'engonce dans l'enveloppe de sa propre destruction.
Aussi, et en la circonstance, j'ai décidé, en prévision de ce temps futur, de me faire copain avec les fourmis.
Bien sûr, mes trois chers lecteurs, vous me direz, "Mais, pourquoi les fourmis ?" Tout simplement, et là, je vous remémore un passé pas si lointain à l'échelle de notre planète, que tout ce qui dépassait 0.005 mm de hauteur a été anéanti à l'époque des dinosaures. Et, comme les être humains dépassent au moins 1 mètres, nous sommes foutus !
D'où ma démarche en direction des fourmis parce que j'espère bien que si je deviens l'amant de leur reine, elles me permettront d'habiter la fourmilière. Comme ça, en hauteur, je ferais - 0.005 mm de hauteur. Donc, je survivrais en attendant l'arrivée des soucoupes volantes qui viendront de l'espace pour me sauver en tant que dernier représentant de l'espèce humaine. Comme ça, je finirais dans une cage sur la planète sirius.Mais,au moins, j'aurais à bouffer.
Et,c'est là que je vous pose la question mes trois chers lecteurs, "Qu'en pensez-vous ?" Ne suis-je pas un poéte ?
Et, peut-être que je devrais arrêter mon délire en m'esquivant benoîtement et en vous souhaitant bien le bonjour chez nous.
Sur ces belles paroles, je me permets de vous dire : A bientôt !
René.

jeudi 1 octobre 2009

Bonjour la foule. Heureusement que vous avez un gouvernement qui assure !

Bon, ces derniers temps, j'ai fait silence radio parce qu'il ne se passait pas grand chose dans le monde, à part les retondomades de notre très célèbres président national aux différentes réunions internationales puis tout de suite après en France.
A vrai dire, j'étais faitigué de ces effets d'annonces incessantes qui ne reposent sur aucune réalités. Par exemple pour les bonus, oui, c'est vrai, les banques, en tout cas françaises vont se contrôler d'autant plus qu'elles savent comment détourner ce qui aurait pu être une réglementation coercitive.
A part ça, l'annonce du déficit, me fait penser tout simplement que le gouvernement a ruiné la France. Oui, et là, encore, c'est vrai, tout le monde dit "La crise", sauf qu'il me semble que certaines banques françaises n'avaient pas besoin d'être sauvée et que l'on leur a fortement forçée la main.
Et, que trop d'argent a été investi pour sauver des entreprises qui n'en avaient nul besoin, tels que les mulitnationales françaises qui profitent à chaque fois des dispositions en faveur de l'emploi, on se demande pourquoi.
Mais, qui va s'en plaindre....Total qui finance la dictature birmane ?
Et, dont notre général Kouchner a sauvé la face dans un plaidoyer dont il ne se vante plus depuis longtemps. Mais, il est vrai, il a travaillé pour d'autres en Afrique. C'est bien pour ça qu'il est devenu ministre des affaires étrangères parce qu'il les connaissait tous.
De toute façon, ce type, il m'a toujours fait marré. En cela, il ressemble à son président.
Bon, désolé, je ne continue pas pour aujourd'hui. Du travail m'appelle. Dommage, j'avais un tas de truc à dire. Pas sur les dégâts climatiques parce que cela ne m'intéresse plus en ce moment, mais sur d'autres choses.
Aussi, à bientôt.
René.