mercredi 30 novembre 2016

JE VEUX COMPRENDRE : LE PROBLÈME DE L'ADJUVANT À BASE D'ALUMINIUM DANS LES VACCINS
source : site.generationscobayes.org
De plus en plus de voix s'élèvent pour critiquer les vaccins contenant un adjuvant à base d'aluminium. Pourquoi ? En se basant sur le film L'aluminium, les vaccins et les deux lapins de Marie-Ange Poyet, on fait le point sur ce qu'il en est à l'heure actuelle.
Nous avons assisté à la projection du film L'aluminium, les vaccins et les deux lapins de Marie-Ange Poyet, sorti le 15 octobre 2016 dans le cadre de l'évènement national du 15 au 22 octobre organisé par l’association E3M1 : “Pour des vaccins sans aluminium : 7 jours pour agir”.Cet article est donc basé sur ce qui est montré dans ce documentaire.
Quelques rappels concernant les adjuvants dans les vaccins : 2/3 des vaccins tout public aujourd’hui contiennent un adjuvant nommé l'hydroxyde d’aluminium (par exemple les vaccins contre les hépatites A et B, le tétanos, le charbon/anthrax, le papillomavirus, etc.), qu'on soupçonne être la cause du développement d'une myofasciite à macrophages chez certains patients. Attention la vaccination est très importante malgré tout ! C’est l’adjuvant aluminique qui est toxique.


La vaccination : un geste indispensable pour sauver des vies, mais qui pourrait aussi en détruire... - Crédits : Pixabay

LA MYOFASCIITE À MACROPHAGES
La maladie qui révèle le plus l’impact de l’aluminium des vaccins dans le corps est la myofasciite à macrophages. Elle concernerait un millier de personnes aujourd’hui en France et une dizaine de milliers en Occident, sans prédominance de sexe ou d’âge malgré une majorité d’adultes. Des lésions ont été repérées dans le muscle des malades où le vaccin a été injecté. Ces lésions ont été examinées et des experts ont découvert des particules d’aluminium en leur sein. Le seul diagnostic possible se réalise par biopsie 18 mois minimum après l’injection d’un vaccin. En effet, les lésions musculaires sont normales à la suite d’un vaccin mais elles décroissent avec le temps. C’est cette persistance anormalement prolongée qui est détectée chez les malades.
Les symptômes de cette maladie se présentent sous plusieurs formes : fatigue chronique, douleurs chroniques, problèmes cognitifs (problème de mémoire, de concentration par exemple), maux de tête, etc. Ils peuvent se déclarer plusieurs mois ou années après une vaccination. De plus, il est noté une augmentation de l’immunoglobuline E (un anticorps) chez les personnes atteintes ; cet anticorps est déjà élevé chez les personnes allergiques. C’est une maladie très dure à soigner et très invalidante dans la vie quotidienne, pour les malades comme les proches : vie sociale détruite, isolement, gestes et loisirs fortement impactés comme lire un livre ou marcher. Cette maladie a été découverte pour la première fois en 1993.

EXISTE-T-IL D'AUTRES IMPACTS ?
Les pathologies imputables à l’aluminium dans les vaccins sont entre autres la maladie d’Alzheimer,la maladie de Parkinson, la maladie de Crohn, la sarcoïdose,le syndrome de fatigue chronique, la sclérose en plaques. Le vaccin du papillomavirus est accusé de favoriser la stérilité féminine en dégradant ou détruisant la maturation des ovules. L’adjuvant à l’aluminium déclencherait même la destruction des neurones induisant des altérations du comportement, ce qui met en lumière un lien entre les vaccins et l’autisme.

L'ÉTUDE DES DEUX LAPINS
On a injecté de l’aluminium isotopique dans le muscle de deux lapins (uniquement). L’étude a duré 28 jours. Résultat : au bout de 28 jours, il s’est avéré que seulement une minorité de cet aluminium avait été éliminé par les urines, c’est-à-dire que la majorité de l’aluminium est resté dans le corps. Par la suite, aucune étude n’a été réalisée sur le muscle ni dans les os de ces lapins (ils ont été “perdus”). Seul l’argument contribuant à dire que très peu d’aluminium avait été retrouvé dans le cerveau a été retenu. À ce jour, cette étude est la seule référence affirmant que l'ajout d'aluminium dans les vaccins est sans effet sur notre corps, référence totalement tronquée.


Voici l'intégralité des cobayes de l'étude servant à nier les effets nefastes de l'aluminium sur notre corps... - Crédits : Pexels

HISTOIRE DE L'ALUMINIUM DANS LES VACCINS
La révolution industrielle présente l’aluminium comme le métal de l’avenir. Il est utilisé dans tous les domaines, de la cuisine à la médecine. En 1891, une controverse naît aux Etats-Unis sur l’utilisation de levure chimique contenant des dérivés de l’aluminium considérant l’aluminium comme dangereux dans l’alimentation car il migre dans les aliments. Les enjeux économiques opposant les industriels aux scientifiques commencent. La mise en circulation prime sur les dégâts potentiels d’un procédé controversé et dont les preuves ne sont pas suffisantes. C’est l’instrumentalisation du doute.
En 1926, l'aluminium est utilisé pour la première fois comme adjuvant dans les vaccins.
En 1974, l’institut Pasteur retire l’aluminium de ses vaccins et le remplace par le phosphate de calcium, qui est un composant naturel de l’organisme. Mais en 1986 l’institut Pasteur est racheté par l’institut Mérieux (Sanofi2) qui décide de réutiliser l’aluminium pour des raisons de “simplification des méthodes de production”, parallèlement à la falsification d’une étude sur le phosphate de calcium, l'accusant d’être allergène.
En 1994, une anomalie est mise en évidence pour la première fois lors d’une biopsie musculaire. On met également en évidence la migration de l’aluminium dans le cerveau des années après l’injection, et la formation de lésions organiques dans le cerveau est confirmée par IRM. En 2008, on prend conscience des méthodes empiriques sur la question des vaccins, car l'effet d’empreinte à long terme n'est ps connue. En 2012, les vaccins étaient à l’ordre du jour dans les programmes à la présidentielle de M. Hollande, mais ils ont été malheureusement très vite oubliés par le ministère de la Santé et Marisol Touraine. La relation aluminium-maladie est reconnue mais aucune indemnisation n’est accordée. En 2013, l’association E3M et une vingtaine de malades entament grève de la faim pour se faire entendre. Le ministère de la Santé débloque 150.000€ de fonds pour la recherche.Les résultats ont été transmis au ministère en 2015 mais depuis plus rien, aucune nouvelle.

ET MAINTENANT ?
Les choses comment à bouger aux USA car cela représente un coût toujours plus élevé pour les assurances. D’ici 2 ou 3 ans, la technique de diagnostic pourrait être différente : l’IRM pourrait remplacer la biopsie dans le cas de la myofasciite à macrophages. D’ici 2, 3 ou 4 ans, E3M espère un changement et une prise de conscience réelle, mais seul un mouvement citoyen peut faire changer les choses. C'est donc à nous tous de nous mobiliser sur le sujet et de partager l'information !
Pour plus d'informations, n'hésite pas à faire un tour sur le site d'E3M, vaccinssansaluminium.org.

Article : Sandra



1  E3M : association accompagnant les personnes atteintes de myofasciite à macrophages, maladie liée à l’aluminium utilisé dans les vaccins.

2  Sanofi est un partenaire commercial de l’Oréal et Nestlé, qui sont les groupes internationaux n°1 en matière de cosmétiques et d’alimentation. Tous les domaines sont regroupés pour avoir un pouvoir industriel et économique sans précédent. Les lobbys n’ont donc aucun intérêt à ce que l’aluminium soit enlevé en vue du chiffre d’affaire produit - le marché du vaccin représente des milliards de dollars,  alors que le DTPolio est moins cher avec le phosphate de calcium qu’avec l’aluminium en adjuvant. L’industrie et la finance semblent plus importantes que la santé publique... Aucune étude sur les bienfaits de l’aluminium n’a été réalisée. La majorité des experts sont en conflit avec les industriels. Aucun expert de l’aluminium n’a été contacté, même pas durant les campagnes sur le papillomavirus. Ceux qui démontraient la toxicité de l’adjuvant ont été traîtés de charlatan, rabaissés, inconsidérés par la profession. L’autorisation clinique a été donnée aux vaccins mais jamais à l’adjuvant lui-même, comme c’est le cas pour les pesticides (ex : glyphosate) : l'autorisation clinique porte sur le principe actif mais pas sur les adjuvants.

Pierre Le Corf sur la libération d’une partie d’Alep-Est : “Une vraie bo...

L’OPEP trouve un accord historique à Vienne, le pétrole repasse la barre des 50 dollars

L’OPEP trouve un accord historique à Vienne, le pétrole repasse la barre des 50 dollars
(Agence Ecofin) - A Vienne, les 14 pays membres de l’OPEP viennent de convenir d’un gel concerté de la production à 32,5 millions de barils de pétrole par jour comme décidé à Alger. C’est le premier accord de réduction de la production depuis 2008 et chacun des pays membres a lâché du lest pour ce succès historique malgré les désaccords qui régnaient dans le groupe.
La production actuelle de pétrole du cartel est de 33,7 millions de barils de pétrole par jour. Il y aura donc un abattement de 1,2 million de barils par jour. L’OPEP va demander aux pays non membres de consentir à une réduction de 600 000 barils par jour. D’ailleurs, la Russie, qui a été sur tous les fronts dans les efforts préalables pour arriver à ce résultat, a décidé de réduire sa production de 300 000 barils sur une base quotidienne.
L’Arabie Saoudite, le principal producteur du groupe, a accepté de réduire de 500 000 barils par jour sa production, la ramenant à 10 millions de barils par jour. Dans un geste de bonne volonté, elle aurait accepté que l’Iran pompe jusqu’à 3,8 millions de barils, soit le niveau que la République islamique avait atteint avant l’embargo occidental décrété en 2012 pour la sanctionner à propos de son programme nucléaire, indique Le Monde.
L’Irak, les pétromonarchies du golfe arabo-persique, l’Algérie, l’Angola ou le Venezuela devront également contribuer aux efforts. Cependant, La Libye et le Nigéria sont exemptés de tout gel de leurs productions.
A l’annonce de la nouvelle, confirmée par M. Barkindo, le secrétaire général de l’OPEP, le pétrole a bondi de 8% pour atteindre la barre des 50 dollars.
Olivier de Souza
Une initiative populaire entend interdire les pesticides en Suisse

source : RTS.info

Un agriculteur déversant des pesticides sur l'un de ses champs (image d'illustration). [Patrick Peul - AFP]
Une initiative populaire réclamant la prohibition des pesticides de synthèse dans l'agriculture et les produits alimentaires a été validée mardi par la Chancellerie fédérale.
L'initiative veut bannir  l'utilisation de pesticides de synthèse dans l'agriculture, dans la transformation des produits agricoles mais aussi pour l'entretien du paysage.
Elle souhaite également interdire en Suisse les aliments qui contiennent des pesticides ou pour la production desquels des pesticides ont été utilisés.
Délai fixé au 29 mai 2018
En cas de oui, et en attendant la mise en oeuvre du texte, ce type de denrées alimentaires ne pourra être importé que si elles sont indispensables pour "repousser une menace fondamentale pour les hommes ou la nature", comme une grave pénurie.
Quelques citoyens neuchâtelois, certains actifs dans le bio, sont à l'origine de l'initiative. Parmi ce comité apolitique figurent notamment un professeur de l'Université de Neuchâtel, un vicitulteur bio ou encore les gérants de Label Bleu, un magasin bio qui livre également des paniers à domicile.
Les initiants ont jusqu'au 29 mai 2018 pour récolter les 100'000 signatures nécessaires.
ats/kg

Publié hier à 10:21 - modifié à 13:06
Bonjour, mes chers cinq lecteurs. 

J’ai comme une envie de parler sur l'état de la nation vu ce que déclarent certains candidats à l’élection présidentielle d'un affligeant dogmatisme.
Peut-être que je ne vais pas cibler des mesures comme l’augmentation des heures travaillées ou l’augmentation de l’âge de la retraite tellement, cela me semble ridicule.
Faire de l’être humain un travailleur corvéable à merci en lui donnant juste de quoi renouveler quotidiennement sa force de travail tout en laissant les inutiles au système mourir dans la misère, me semble non seulement réducteur, mais, ringard et réactionnaire. Ce qui entre-nous ne sont pas des critères d’efficacité.
Il y a crise, mais de quelle crise parle-t-on ?
De celle d’une classe politique pervertie qui se conduit à l’instar d’une caste au service de ceux qui leur permettent de générer du privilège. Ce phénomène de caste, contrairement à celui de classe, bloque ce que l’on appelle l’ascsenceur social, les places étant réservées à la progéniture.
De celle d’une caste dominante composée d’une petite coterie disposant de tous les leviers économiques et les utilisant indépendamment des uns et des autres pour imposer l’idée d’une diversité qui n’existe pas. Cette même coterie qui manoeuvre pour étouffer les démocratie au nom d’une mondialisation qui ne dissimule que l’élimination des états à leur profit.
Ou de celle d’une mouvance des règles économiques qui accompagnent la mutation de ses acteurs dont les plus importants deviennent des états fantômes, plus puissants que les états réels s’appuyant sur des entreprises nomades délocalisant là où le rapport profit est le plus rentable et dirigées par des managers mercenaires. De fait, rien qui évoque la nation et sa puissance et qui d’ailleurs veuille participer à ce genre de film.
Ces gens ne se situent plus à un niveau national, je dirais même que le national est leur ennemi à partir du moment où cela signifie entrave. A contrario, si, il n’y a plus d’entraves, donc plus de national, donc, plus d’état, les corporations (quelques familles) devront en établir entre elles où nous entraîner dans une guerre. 
En cela, rien ne changera.


Bien le bonjour chez vous. rêne


Ukrainian army deploys four Grad MLRS to frontline area near Gorlovka – Basurin

NOVEMBER 29, 2016 14:54 source : Donetsk news agency
Donetsk, Nov 29 – DAN. Ukrainian forces deployed multiple launch rocket systems to Gorlovka axis and mortars to Donetsk and Mariupol areas, DPR Operations Command deputy commander Eduard Basurin told a news briefing at Donetsk News Agency on Tuesday.
“Our intelligence keeps recording the strengthening of Ukrainian army’s positions near the contact line. The location of four BM-21 Grad MLRS was revealed in the area of Dzerzhinsk (called Toretsk by Ukrainian authorities),” Basurin said.
In Krasnogorovka, three kilometres west of Donetsk, firing positions of 20 82mm and 120mm mortars were spotted. Four 120mm mortars were revealed in Kiev-controlled Vodyanoye village area in DPR south, he said.
DPR intelligence reports Kiev’s regular deployment of military equipment to the conflict zone. Under The Package of Measures for the Implementation of the Minsk Agreements signed by the Contact Group on February 12, 2015, the sides have to withdraw their artillery systems of 100 mm calibre or more to a distance of 50 kilometres apart from each other, multiple launch rocket systems Tornado, Uragan and Smerch to a distance of 70 kilometres and Tactical Missile Systems Tochka to a distance of 140 kilometres. The Addendum to the Minsk Agreements signed in September provides for the parties’ withdrawal of their artillery systems of a calibre less than 100 mm, as well as tanks and mortars.
(Ah, c'est pas interdit par les accords de Minsk ? Ils comptent s'en servir (question naïve) ? note de rené)
Ukraine : chaud devant…

Kiev fait des efforts désespérés pour provoquer la Russie avant l’intronisation de Trump. Les deux mois à venir seront très dangereux


Par The Saker – Le 25 novembre 2016 – Source Russia Insider
Tout d’abord, cela semblait être un hasard : cet été, le régime ukrainien a envoyé une petite unité terroriste en Crimée, chargée de faire sauter plusieurs cibles (voir ici pour plus de détails). Ils ont été arrêtés par les services de sécurité russes. En novembre, deux autres saboteurs ont été capturés par le FSB (voir ici).


Et maintenant, il s’est passé quelque chose de vraiment remarquable. Le service de sécurité Ukronazi a enlevé deux citoyens russes en plein jour et les a accusés d’être des déserteurs. Il s’avère que les deux hommes enlevés sont Maksim Odintsov et Alexander Baranov et que les deux sont de jeunes militaires dans l’armée russe (aux grades d’enseigne et de sous-sergent).
Apparemment, voici ce qui s’est passé : Odintsov et Baranov ont servi dans l’armée ukrainienne – au moins selon les revendications du Service de renseignement ukrainien, le SBU, mais quand la Crimée, où vivaient Odintsov et Baranov, est retournée à la Russie, ils ont fait ce qu’ont fait des dizaines de milliers d’Ukrainiens, ils se sont joints à l’armée russe.
Les deux ont été attirés dans la zone neutre entre la Crimée et l’Ukraine par des hommes qui leur ont promis qu’ils pourraient leur donner des diplômes prouvant qu’ils avaient une éducation supérieure dans des institutions ukrainiennes. Vous pouvez regarder cette vidéo pour voir ce qui s’est passé ensuite (pas de traduction nécessaire) :

La vidéo montre également l’un des deux hommes, avec un superbe œil au beurre noir, admettant qu’il avait servi dans l’armée ukrainienne et qu’il est coupable de trahison. Ce qui est remarquable ici, c’est que les Ukronazis ont enlevé ces deux hommes en plein jour, dans un endroit qui était clairement sous surveillance vidéo, et qu’ils ont ensuite montré un des otages avec un signe évident des coups qu’il a reçus.
Peu importe l’incompétence de la SBU, ils ne sont pas incompétents au point de ne pas réaliser la nature incroyablement provocante de leurs actions. Il s’agissait d’une provocation absolument délibérée, dont le but était d’obtenir une sorte de réaction russe, soit en Crimée, soit ailleurs.
Qu’espéraient-ils vraiment?
Probablement une réaction russe qui passerait la frontière : une attaque contre le poste frontalier ukrainien, ou peut-être une frappe d’artillerie. Peut-être même une tentative pour libérer les deux hommes, ou même un contre-enlèvement de représailles. Ce qu’ils savaient, c’est que toute réaction russe à travers la frontière aurait été accueillie par un chœur hystérique d’indignation des dirigeants politiques occidentaux et de leurs médias aux ordres.
Pour le moment, le site internet – horriblement maladroit et mal mis à jour – du ministère des Affaires étrangères n’avait rien à dire. Le site Web – un peu mieux – du Président russe a proposé cette réaction :
Question : Monsieur le Président, je voudrais clarifier la situation au sujet des militaires russes détenus par les Ukrainiens. Quelles mesures prenez-vous ?

Vladimir Poutine :
Je ne peux rien dire maintenant sur ces mesures et je ne peux dire que ce que nous savons actuellement, à savoir que ces militaires ont servi dans les forces armées ukrainiennes et, après la réunification de la Crimée avec la Russie, ont décidé de servir dans les forces armées russes.
À cet égard, permettez-moi tout d’abord de dire que nous avons toujours eu grand respect et confiance envers le personnel militaire ukrainien et que nous leur avons donc proposé de continuer à servir dans nos rangs.
Deuxièmement, ils voulaient obtenir une confirmation de l’éducation dans l’un des établissements d’enseignement supérieur de l’Ukraine, et c’est pourquoi ils sont allés à la frontière. Ils ont été attirés quelques mètres plus loin et détenus.
Je pense que ce genre de trahison se retournera finalement contre ceux qui mènent de tels actes. C’est le même genre de chose que la mise hors tension de l’alimentation électrique en Crimée en hiver, juste avant le Nouvel An. Si les gens en Ukraine pensent qu’ils peuvent gagner la sympathie des habitants de la Crimée de cette façon, cela revient à une attaque avec utilisation de moyens inappropriés, pour employer le langage juridique.
En d’autres termes : à part l’émission d’une condamnation verbale, la Russie ne réagira pas de façon dramatique. C’est évidemment la bonne décision, surtout maintenant que Trump devrait remplacer les néocons par des responsables patriotes et mentalement sains. Mais il y a aussi un risque inhérent à cette attitude russe : elle invite les Ukronazis à intensifier encore leurs provocations.
Considérez ceci : pendant que la junte à Kiev a constamment pilonné le Donbass, le Kremlin n’a rien fait pour l’arrêter. Lorsque les hauts responsables de la Novorussie, comme Motorola, ont été assassinés par quelqu’un recruté par la junte, les Russes n’ont rien fait. Les représailles de Moscou n’ont pas non plus eu lieu lorsque les Ukronazis ont envoyé des saboteurs en Crimée. Ce que je crains, c’est qu’ensuite, les Ukronaziscombineront ces deux provocations en une seule et attaqueront directement la Crimée, soit en lançant une frappe de mortier directement par dessus la frontière, soit même en attaquant une ville du nord de la Crimée.
Alors que d’un point de vue militaire une réponse de la Russie est une évidence, du point de vue politique, cela pourrait être beaucoup plus difficile.
Imaginez ça :
Le SBU cache une seule pièce d’artillerie dans une ville juste au nord de la frontière entre la Crimée et l’Ukraine et commence à bombarder, la nuit, bien sûr, des positions militaires russes ou la ville, dans le nord de la Crimée. Plusieurs soldats russes ou civils sont tués, d’autres sont blessés.
Les radars russes de contre-batterie détecteront immédiatement et facilement le lieu d’où ces attaques sont venues, mais nous savons tous, depuis le drame de l’avion MH-17, que les enregistrements des radars russes sont considérés comme sans valeur par les médias aux ordres occidentaux. Et si la contre-frappe russe atteint une ville, cela sera présenté comme une autre agression contre l’Ukraine souveraine et libre.
Les Russes se rappellent tous que le 08.08.08 c’est la Russie, pas la Géorgie, qui a été déclarée l’agresseur et comment, lorsque des mois plus tard, les comités d’enquête de l’UE ont déclaré que non, ce sont les Géorgiens qui ont attaqué les soldats russes, personne en Occident n’y a porté attention.
La réalité est que l’Ukraine, par ailleurs faible et militairement incompétente, détient les cartes dans l’escalade contre la Russie, en particulier en Crimée. Oui, à tous les degrés de l’escalade, la Russie est beaucoup plus capable et puissante que l’Ukraine, mais c’est l’Ukraine qui peut choisir jusqu’à quel point engager la Russie. Paradoxal, non ?
C’est parce que, comme je le répète depuis des années maintenant, le but du régime de Kiev n’est pas de gagner un conflit qui ne peut pas être gagné contre la Russie, mais seulement d’attirer la Russie en Ukraine. La Russie devrait avoir la maîtrise sur l’escalade en Ukraine, mais en réalité, c’est l’Ukraine qui va choisir l’échelon à partir duquel Russie sera forcée de réagir. C’est un cas typique où «l’action est dans la réaction».
Et soyons honnêtes, avec les néocons américains hors du pouvoir très bientôt, au moins temporairement, la junte à Kiev n’a absolument rien à perdre d’une attaque directe, flagrante, sur la Russie. Pensez-y : les dirigeants de l’UE et de l’OTAN en Europe sont absolument horrifiés par la victoire de Trump et ils sont désespérément à la recherche d’une crise qui leur donnerait un sens, une finalité, une justification devant l’opinion publique européenne.
Quant aux Américains, Trump ne deviendra président que le 20 janvier, ce qui leur laissera assez de temps pour réagir à toute crise, même artificielle, de manière à éviter toute tentative de la nouvelle administration d’améliorer les relations avec la Russie.
Certes, il me semble que les néocons, les élites vendues de UE / OTAN et les Ukronazis à Kiev ont tous exactement les mêmes intérêts : déclencher une crise avant que Trump ne prenne le pouvoir.
Entre-temps, le ministre de la Culture de l’Ukraine a déclaré que les habitants du Donbass étaient «génétiquement impropres» à accepter la culture ukrainienne – certains se demandent-ils encore pourquoi j’appelle ce régime ukronazi et non  ukrainien ? Le Parlement européen a déclaré que l’UE est dans un état de «guerre d’information» avec la Russie et que l’UE doit «répondre» à l’attaque russe.
Quant à la Lettonie, la Lituanie et l’Estonie, ces pays se préparent à une invasion russe imminente. Les Polonais, eux, sont occupés à exhumer le corps de Lech Kaczynski, dans l’espoir de prouver que les Russes ont abattu son avion en 2010.
Les deux prochains mois seront très dangereux.
The Saker
Traduit et édité par jj, relu par Cat pour le Saker Francophone

 (C'est une dizaine de bombes atomiques qu'il faudrait balancer sur la Galicie pour supprimer une région dévouée au nazisme. Naturellement, je plaisante, je traduis ce que les galiciens pensent des habitants du Donbass. note de rené)

Les fonctionnaires de l’UE gratifiés avec une augmentation de 3,3 %

Jean-Claude Juncker
5.9k
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Bruxelles a mis 18 millions d’euros de côté pour accorder une augmentation de 3,3 % avec effet rétroactif sur les salaires des mois de juillet de cette année à ses 47 000 fonctionnaires.

Jean-Claude Juncker, le président de la commission européenne, recevra une augmentation de 15 543 € sur l’année prochaine, dont 5 200 € de salaire rétroactif. Ainsi, son salaire annuel  sera porté à 324 377 €, auxquels il faut ajouter une indemnité d’expatriation de 48 656 €.
L’augmentation des salaires est calculée sur la base des hausses salariales moyennes dans un certain nombre de pays européens. Elle tient compte en outre du coût de la vie à Bruxelles et au Luxembourg.

Marianne Thyssen

Cette revalorisation des salaires porte le revenu annuel des commissaires, y compris celui de Marianne Thyssen, à 276 437 € par an, plus une indemnité d’expatriation annuelle de 41 465 €. Par comparaison, la Commissaire belge gagne moins que notre Premier ministre Charles Michel, mais beaucoup plus que le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, le président français François Hollande, le Premier ministre britannique Theresa May, ou le Premier ministre japonais Shinzo Abe.
L’augmentation s’applique à l’ensemble du personnel de l’UE. Les employés aux échelons les plus bas perçoivent désormais au minimum 29 766 € par an. Le salaire maximum atteint 62 465 € pour un employé de l’UE.

Libre-échange : 450 organisations demandent le rejet du Ceta par Erwan Manac'h | Politis

Libre-échange : 450 organisations demandent le rejet du Ceta par Erwan Manac'h | Politis

«Ils violeront nos femmes» : un politicien ukrainien conteste une proposition d’accueil des migrants

Des migrants © Pascal Rossignol Source: Reuters
Des migrants
Le leader d'un parti nationaliste, Oleg Liachko, a violemment pourfendu la proposition du vice-ministre ukrainien de la Justice d’accueillir des migrants en échange d'un régime sans visa avec l’UE. Cela serait une très mauvaise idée selon lui.
«Quels idiots dirigent notre pays ! Maintenant ils veulent que nous ayons autant de réfugies qu’en Allemagne et qu’ils commettent des attentats et violent chaque jour nos femmes», s’est insurgé Oleg Liachko sur sa page Facebook.
Selon l’homme politique ukrainien cette décision «tournera mal dans 10-20 ans». «On verra les Ukrainiens seulement dans des réserves comme pour les Indiens ou dans des musées près des dinosaures», poursuit le dirigeant politique dans son texte empli d’émotions.
Ce post véhément est une réponse à un autre post Facebook du vice-ministre ukrainien de la Justice, Sergueï Petoukhov, qui a proposé de loger des migrants du Moyen-Orient en Ukraine, si l’UE offrait un régime sans visa en retour. «Je pense que notre pays pourrait prendre le quota [de répartition de migrants] des Pays-Bas, par exemple», a-t-il écrit en ajoutant que dans ce cas-là, Kiev pourrait aussi réclamer «un financement supplémentaire de l’UE».
L’Ukraine espère de l'UE un régime de circulation sans visa, mais les autorités européennes ne semblent pas pressées de l’introduire. Ainsi, le président du Parlement européen Martin Schulz a expliqué le 24 novembre que Bruxelles n’avait pas encore mis en œuvre cette mesure en raison de l'opposition de pays tels que la France, la Belgique, la Hongrie, l’Italie et l’Allemagne.
Lire aussi : «Il n’y a pas de place pour l’Ukraine dans l’UE», estime le Premier ministre des Pays-Bas

(Un idée d'angela merket ? note de rené)

Un scientifique iranien présente son invention : une voiture qui fonctio...

Trump considère un candidat au Trésor qui veut abolir la FED et retourner à l'étalon-or


John Allison en compagnie du vice-président Mike Pence à la sortie d'un rendez-vous  avec Donald Trump à New York, lundi 28 novembre. Il serait candidat pour le poste de secrétaire au Trésor© Lucas Jackson Source: Reuters
John Allison en compagnie du vice-président Mike Pence à la sortie d'un rendez-vous avec Donald Trump à New York, lundi 28 novembre. Il serait candidat pour le poste de secrétaire au Trésor
Les pronostics se poursuivent sur la composition de la future administration Trump. Le président-élu a reçu lundi 28 novembre John Allison, un libertarien critique notoire de la Réserve fédérale, comme possible candidat au Trésor, selon Bloomberg.
La course au secrétariat au Trésor américain est en train de prendre une tournure inattendue. Si le ministère clé semblait promis il y a quelques jours encore à Steve Munchins, ancien de Goldman Sachs et proche du sulfureux Georges Soros, Bloomberg rapporte qu'un nouveau candidat a émergé ces derniers jours.
John Allison a en effet rencontré Donald Trump lundi 28 novembre et serait en lice pour le prestigieux ministère selon des sources qui ont connaissance du processus de sélection, citées par le média américain.
Allison, 68 ans, a un profil atypique par rapport à ses concurrents. Pas tant par son parcours professionnel, il a dirigé dans sa carrière la banque BB&T ainsi que la banque d'investissement Moelis & Co, mais par ses idées. Il pilote le think tank libertarien Cato Institute à travers lequel il a notamment violemment critiqué la Réserve fédérale (FED), militant pour son abolition.
«Je me débarrasserai de la Réserve fédérale parce que la volatilité de l'économie est principalement causée par la FED» a t-il écrit en 2014 dans une publication de l'institut. En défenseur du marché libre, il explique dans son article qu'il est préférable de laisser le marché s'auto-réguler, et que selon lui, la FED nuit à la stabilité du système financier. «Le marché crée des bulles, mais la Fed les aggrave», conclut-il son pamphlet.
Dans sa logique libertarienne, il suggère d'abandonner l'assurance par le gouvernement des comptes bancaires jusqu'à 250 000 dollars et développe l'idée que le système bancaire soit soutenu par l'étalon-or.
Alors que la candidature de Munchins peut être considérée comme étant dans la lignée de ses prédécesseurs, celle d'Allison sort notablement des conventions établies outre-atlantique. L'imprévisible milliardaire, qui ne s'est pas privé de critiquer l'action de la FED durant sa campagne électorale – l'accusant entre autres d'être trop «politique» en gardant les taux d'intérêts bas – avait peut-être de la suite dans les idées.
Lire aussi : Le conseiller de Trump assure être un «nationaliste économique»

Georges Malbrunot : La politique française est humainement géniale mais ...

Erdogan : les forces turques sont en Syrie pour mettre fin au règne de Bachar el-Assad


Blindés de l'armée turque en direction de la ville de Jarabulus, sur la frontière turco-syrienneSource: AFP
Blindés de l'armée turque en direction de la ville de Jarabulus, sur la frontière turco-syrienne
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré que l'armée turque était entrée en Syrie pour mettre fin au mandat du président syrien Bachar el-Assad, qu'il a accusé de terrorisme et de la mort de milliers de Syriens.
«Nous sommes entrés [en Syrie] pour mettre fin au règne du tyran Assad», a déclaré le 29 novembre le président turc lors du Symposium de la Plateforme interparlementaire de Jérusalem, tenu à Istanbul.
Cité par le quotidien turc Hurriyet, Recep Tayyip Erdogan a exposé que la Turquie n'avait pas de revendications territoriales en Syrie, mais voulait «remettre le pouvoir au peuple syrien».
«Pourquoi sommes-nous entrés [en Syrie] ? Nous n'avons pas d’intérêts sur le sol syrien. La question est de donner les terres à ceux qui sont leurs vrais propriétaires. Nous sommes là pour rétablir la justice», a expliqué le président turc.
Le président turc a indiqué que d'après «son estimation», près d'un million de personnes seraient mortes en Syrie depuis le début du conflit. Pourtant, les derniers chiffres des Nations unies donnent une estimation de 400 000 personnes tuées au cours de la guerre civile.
Recep Tayyip Erdogan a par ailleurs déclaré que la Turquie ne pouvait pas «supporter» les meurtres ininterrompus de civils et qu'ellel «avait dû entrer en Syrie au côté de l'Armée syrienne libre».
Le chef de l’Etat turc a également accusé les Nations unies d'être dans l'incapacité d'influencer la situation en Syrie. «Le monde, c'est plus que cinq pays», a-t-il dit, en faisant référence au nombre de membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies. 

Regain de tensions entre Ankara et Damas

En octobre, 26 attaques aériennes menées en une seule nuit par l'aviation militaire turque avaient causé la mort de 160 à 200 combattants des YPG (Unités de Protection du Peuple) qui contrôlaient les cantons autonomes du Kurdistan syrien.
La campagne militaire turque en Syrie a conduit à l'aggravation des relations entre la Turquie et le gouvernement syrien, Damas accusant Ankara de violer sa souveraineté nationale. L'Etat turc a été contraint de mettre un terme à ses opérations aériennes lorsque la Syrie a promis d'abattre tout avion militaire turc qui s'aventurerait dans le ciel syrien.
Des soldats turcs ont été déployés en Syrie dans le cadre de l’opération «Bouclier de l'Euphrate», lancée par la Turquie le 24 août 2016. Ce déploiement de forces turques n’a pas été autorisée par le gouvernement syrien. 
Selon la Turquie, cette opération militaire a pour but de faire cesser les fréquentes attaques transfrontalières et «de repousser les groupes terroristes qui menacent constamment [la Turquie], tels que Daesh et le PYD [Parti de l’union démocratique kurde]».
De nombreux observateurs ont cependant précisé qu'Ankara avait pour objectif de supprimer les forces kurdes en Syrie et de les empêcher de réaliser la jonction entre trois zones kurdes autonomes de factoau sud de la frontière turque.

(Donc, il déclare la guerre à la Syrie, les souffrances des syriens ne sont pas finies. Et, il fait quoi avec les russes ? note de rené)