vendredi 31 janvier 2014

The Corporation (vostfr)

Rapports que de la fausse neige en « plastique » tombe aux USA et au Canada

Rapports que de la fausse neige en « plastique » tombe aux USA et au Canada
(blog à finir et à corriger)

Mes chers cinq lecteurs, ILS NOUS EMPOISONNENT !
Dites-moi, quand allez-vous, vous réveillez et leur réclamer des comptes ?
A la saint glinglin ?

(source : wikistrike)

Vendredi 31 janvier 2014
 Les pesticides jusqu'à «mille fois plus toxiques» qu'annoncé selon une étude
 
 
 
 
MonsantoBtcorn_thumb.jpg
 
Le professeur Gilles-Eric Séralini, auteur d'une étude controversée sur des effets d'un OGM et du pesticide Roundup sur des rats, persiste et signe avec un nouvelle étude montrant selon lui que les pesticides sont «deux à mille fois plus toxiques» qu'annoncés.
«Nous avons étendu les travaux que nous avons faits avec le Roundup et montré que les produits tels qu'ils étaient vendus aux jardiniers, aux agriculteurs, étaient de 2 à 1.000 fois plus toxiques que les principes actifs qui sont les seuls à être testés in vivo à moyen et long terme», a-t-il déclaré jeudi à l'AFP.
Avant mise sur le marché, seuls les effets de la substance active sont évalués et non ceux des produits commercialisés auxquels ont été ajoutés des adjuvants.
«Il y a méprise sur la réelle toxicité des pesticides», a insisté le professeur Séralini, précisant qu'il y a toxicité «quand les cellules commencent à se suicider» au contact du produit et «qu'elles meurent en quantités beaucoup plus significatives que les cellules contrôles».
L'étude, publiée il y a quelques jours dans la revue Biomed Research International (groupe Hindawi) à comité de lecture, est signée du professeur Séralini ainsi que d'autres membres de l'université de Caen, où se trouve son laboratoire, et du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen).
Elle a été réalisée in vitro sur cellules humaines sur neuf des «principaux» pesticides utilisés dans le monde: trois herbicides (Roundup, Matin El, Starane 200), trois insecticides (Pirimor G, Confidor, Polysect Ultra), et trois fongicides (Maronee, Opus, Eyetak).
Elle conclut que sur 9 de ces pesticides, «8 formulations sont clairement en moyenne des centaines de fois plus toxiques que leur principe actif», et pointe du doigt les adjuvants qui «sont souvent gardés confidentiels et sont déclarés comme inertes par les fabricants».
Les conclusions de l'étude choc du professeur Séralini sur les effets des OGM et du Roundup sur des rats, publiée en 2012, avaient été contestées par l'Agence européenne de sécurité des aliments (Efsa) et l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).
La revue Food and chemical toxicology (groupe Elsevier), qui l'avait publiée, a retiré l'article en novembre dernier. Le professeur Séralini avait relié cette décision de retrait à l'arrivée dans le comité éditorial de la revue de Richard Goodman, «un biologiste qui a travaillé plusieurs années chez Monsanto».
Conduite en secret pendant deux ans, l'étude démontrait, selon son auteur, un risque accru de tumeurs mammaires et d'atteintes hépato-rénales pour les rats nourris avec le maïs OGM, associé ou pas à l'herbicide Roundup, deux produits du fabricant Monsanto.
 
La nouvelle étude du Pr Séralini a été saluée jeudi par l'ONG Générations Futures. «Nous demandons que des tests sur les effets chroniques de ces formulations de pesticides soient rendus obligatoires au niveau national et européen au plus vite, c’est une exigence de santé publique!», a déclaré son porte-parole, François Veillerette, dans un communiqué.
 

Et, ils ne nous lâcheront pas, nous sommes de trop bon pigeons pour eux.

(source : les Moutons Enragés)

Monsanto se met au bio, Le Foll s’inquiète de ses intentions

De plus en plus d’agriculteurs ont recours à des produits naturels, dits de biocontrôle, pour réduire l’usage de produits chimiques. Ce qui aiguise l’appétit de Monsanto.
Une militante anti-OGM dénonce les pratiques de Monsanto. (PASCAL PAVANI/AFP)
Une militante anti-OGM dénonce les pratiques de Monsanto. (PASCAL PAVANI/AFP)
Les grands de l’agrochimie comme Monsanto s’intéressent de plus en plus aux solutions de « lutte biologique » dans les champs, sous le regard inquiet du ministre de l’Agriculture qui veut préserver le savoir-faire français dans ce domaine.
Pour réduire l’usage de produits chimiques (pesticides, herbicides, fongicides) et doper les productions végétales, de plus en plus d’agriculteurs ont recours à des produits naturels dits de biocontrôle. Loin du purin d’orties, il s’agit de solutions difficiles à produire à grande échelle comme des insectes (les coccinelles mangent les pucerons, le trichogramme lutte contre la pyrale du maïs…), des champignons, bactéries ou phéromones.

L’américain Monsanto place ses pions

De quoi aiguiser l’appétit des fabricants de produits phytosanitaires qui se lancent dans le secteur. En 2012, l’allemand Bayer s’est ainsi emparé de l’américain AgraQuest, spécialiste des pesticides biologiques. La même année, son compatriote BASF a acheté Becker Underwood, qui produit et vend des technologies de semences enrobées de micro-organismes.
Le suisse Syngenta est quant à lui présent sur ces produits depuis 25 ans avec Bioline mais « depuis deux ans, ils le développent très fort », commente Charles Vaury, secrétaire général d’IBMA, association qui regroupe tous les acteurs du biocontrôle en France.
En décembre, l’américain Monsanto a lui aussi posé ses pions, en s’alliant au danois Novozymes, numéro un mondial des enzymes alimentaires et industrielles.
Il faut dire que c’est un marché juteux, qui affiche des croissances à deux chiffres. Selon Monsanto, l’industrie des produits biologiques agricoles représente aujourd’hui environ 2,3 milliards de dollars par an (1,6 milliard d’euros).

Demain des géants du biocontrôle ?

L’arrivée de ces géants inquiète Stéphane Le Foll. « Face aux géants de la chimie, il faut qu’on crée des géants du biocontrôle », ambitionne-t-il.
Car dans ce domaine, la France a une longueur d’avance avec une vingtaine de petites et moyennes entreprises très innovantes sur le sujet comme Goëmar (qui travaille avec des algues notamment), Biotop (fabrication industrielle d’insectes auxiliaires de culture) ou encore Agrauxine qui a mis au point un bio-fongicide contre les maladies du bois de la vigne.
« La France a un atout très fort sur le biocontrôle », assure Charles Vaury. Et le secteur emploie déjà plus de 4.000 personnes dans l’Hexagone, selon lui.
« Comme les groupes tels que Monsanto ont une surface financière plutôt importante, ma crainte, c’est qu’ils viennent avaler ceux qui sont en train de créer des choses nouvelles », explique le ministre de l’Agriculture.
« Je sens énormément d’appétit des grands groupes. Ça bruisse de rumeurs », confirme Charles Vaury.

« Une démarche cosmétique ou véritable ?

Dans ce contexte Stéphane Le Foll a décidé de réunir en mars tous les acteurs français du biocontrôle. « Je veux voir ce qu’on peut faire pour mieux se coordonner, pour mieux se soutenir, pour leur apporter un relais au niveau international », détaille le ministre qui souhaite faire de la France un leader du biocontrôle et de l’agroécologie.
« Il faudrait que cette réunion se traduise en actes concrets », plaide le secrétaire général d’IBMA France.
Source et fin de l’article sur Tempsreel.nouvelobs.com

Pour changer de sujet, signalons la fin d'une époque.....la fin de la Sibérie, telle que nous la connaissons et son avenir industriel avec tout ce gaz et tout ce pétrole qui permettra à la Russie de se rire du gaz et du pétrole de schiste, sans compte le bitumineux.

(source : Survival International)

 

Les Nenets de Sibérie

Au nord-ouest de la Sibérie, un bébé mammouth a récemment été découvert émergeant du sol gelé en permanence par un gardien de troupeau de rennes. Mais à présent le pergélisol (ou permafrost) est en train de fondre et les industries se lancent dans l’exploitation des riches gisements de pétrole et de gaz naturel que recèle cette région.
 

© Steve Morgan
La péninsule de Yamal est une vaste région de tourbière qui s’étend du nord de la Sibérie à la mer de Kara, bien au delà du cercle arctique. Elle est mouillée à l’est par le golfe de l’Ob et à l’ouest, par la baie Baïdaratskaïa, couverte de glace la plupart de l’année.
Yamal qui, dans la langue des Nenets, signifie ‘extrémité du monde’, est une péninsule reculée, battue par les vents, au pergélisol entrecoupé de rivières sinueuses. Elle est le territoire des Nenets depuis plus d’un millénaire.

© Steve Morgan
Les éleveurs Nenets se déplacent avec leurs rennes selon les saisons en suivant d’anciennes routes migratoires.
Durant l’hiver, alors que la température peut descendre jusqu’à -50°, les Nenets font paître leurs rennes sur les pâturages de mousse et de lichen des forêts du sud, ou taïga. Durant les mois d’été, lorsque le soleil de minuit transforme la nuit en jour, ils laissent derrière eux les mélèzes et les saules pour migrer vers le nord.
Après avoir traversé les eaux gelées de l’Ob et atteint la toundra dénuée d’arbres sur les rives de la mer de Kara, ils ont parcouru près de 1 000 km.

© Steve Morgan
Les routes migratoires des Nenets sont maintenant affectées par les infrastructures liées à l’extraction des ressources, les routes représentent des obstacles difficiles à franchir pour les rennes et la pollution menace la qualité des pâturages.
Les préparatifs du mégaprojet Yamal (un projet d’exploitation à long terme de gaz naturel de la péninsule, développé par le géant gazier russe Gazprom) ont été amorcés dans les années 1990. En mai 2012, le premier gisement de gaz naturel du vaste champ Bovanenkovo sera exploité. Chaque année, des milliards de mètre-cubes de gaz seront acheminés vers l’Europe occidentale.
Ce qui arrive à la terre est très important pour nous, a récemment confié à Survival Sergei Hudi, un éleveur nenets. Nous craignons qu’avec toutes ces nouvelles industries nous ne puissions plus effectuer nos migrations saisonnières. Et si nous ne sommes plus en mesure de migrer, notre peuple pourrait bien disparaître.

© Steve Morgan
Sous le régime stalinien, les communautés nenets étaient séparées en groupes connus sous le nom de brigades et étaient forcées de vivre dans des fermes collectives et des villages appelés kolkhozes. Chaque brigade était assujettie à un impôt en viande de renne.
Les enfants étaient séparés de leurs familles et envoyés dans des internats gérés par le gouvernement où il leur était interdit de parler leur propre langue.
Avec l’effondrement du communisme, les jeunes adultes commencèrent à quitter leurs villages pour les villes, une tendance qui continue aujourd’hui. Dans un environnement urbain, il leur est quasiment impossible de s’adapter à une vie étrangère aux rythmes cycliques de la toundra ; ils souffrent d’un taux élevé d’alcoolisme, de chômage et de dépression.
Pour les Nenets qui sont restés nomades, leurs terres et leurs troupeaux de rennes demeurent des éléments essentiels à l’identité collective. La terre est tout pour nous. Tout, dit Sergei Hudi.

© Steve Morgan
Le renne est notre maison, notre nourriture, notre chaleur et notre moyen de transport, rapporte Sergei.
Les manteaux des Nenets sont faits de peaux de renne, la fourrure garnissant l’intérieur, et sont cousus avec les ligaments de l’animal.
Les lassos sont fabriqués avec le tendon du renne; les outils et certaines parties des traîneaux avec des os. La toile des tentes de forme conique – appelées chum ou mya – est aussi confectionnée avec la peau de renne et montée sur de lourds mâts.
Chaque Nenets possède un renne sacré qui ne doit être ni harnaché ni abattu tant qu’il est en mesure de marcher.

© Steve Morgan
La viande de renne constitue la part la plus importante de l’alimentation des Nenets. La viande est consommée crue, congelée ou bouillie, mélangée à du sang d’un renne tout juste abattu, riche en vitamines.
Les Nenets mangent également du poisson tel que le saumon blanc ou le muksun, un poisson blanc à la teinte argentée, et ils cueillent des canneberges de montagne durant les mois d’été.

© Steve Morgan
Sous un ciel de plomb, une famille nenets est sur le départ: les femmes préparent les traîneaux dans lesquels ils vont transporter leur biens.
La nuit, les traîneaux sont placés en demi-cercle autour du chum.

© Steve Morgan
De nos jours, les gazoducs et oléoducs, les puits de gaz et de pétrole, les routes goudronnées sont en train de transformer la toundra. Début 2011, a été ouverte une ligne ferroviaire de 523 km reliant Obskava à Bovanenkovo – la ligne la plus au nord du monde.
Nous demandons que les entreprises prennent notre avis en considération lorsqu’elles prospectent, a déclaré Sergei Hudi. Et il est important que les gazoducs ne nous empêchent pas d’accéder à nos pâturages.
Sophie Grig, chargée de campagne à Survival International, s’indigne : Sur son site internet, Gazprom annonce solennellement que la péninsule de Yamal est une région stratégique riche en pétrole et en gaz naturel en Russie. La compagnie oublie qu’il s’agit des terres ancestrales des Nenets!

© Steve Morgan
Cependant, l’Arctique change rapidement. En raison du réchauffement climatique, la fonte du pergélisol va provoquer des émissions dans l’atmosphère de grandes quantités de méthane, un gaz à effet de serre bien plus puissant que le dioxyde de carbone, lui aussi présent.
Avec la fonte des glaces qui a lieu bien plus tôt au printemps et qui dure bien plus tard en automne, les éleveurs sont forcés de modifier leurs circuits migratoires centenaires, puisqu’il est difficile pour les rennes de progresser sur une toundra dénuée de neige. La hausse des températures affecte également la végétation de la toundra, seule source d’alimentation des rennes.
Les scientifiques craignent que si des milliards de tonnes de gaz à effet de serre s’échappent massivement du pergélisol dans l’atmosphère, ce sera catastrophique pour le système climatique mondial.

© Steve Morgan
La fonte du pergélisol a entraîné l’assèchement de certains lacs d’eau douce de la toundra, réduisant considérablement le stock de poissons sur lesquels les Nenets dépendent étroitement.
Avec la fonte de la banquise autour de la péninsule, l’océan s’ouvre au trafic maritime. Les couloirs de l’océan arctique sont des portes d’entrée potentielles au commerce entre l’Asie, l’Europe et l’Amérique du Nord. En 2011, le pétrolier Vladimir Tikhonov fut le plus grand navire à traverser le passage du nord-est de l’Arctique.

© Steve Morgan
Les Nenets ont subi les épreuves de l’intrusion colonialiste, de la guerre civile, de la révolution et de la collectivisation forcée. Aujourd’hui, leur mode de vie d’éleveurs nomades est une fois de plus gravement menacé.
Pour survivre en tant que peuple, les Nenets ont besoin d’un accès libre à leurs pâturages et d’un environnement indemne de déchets industriels.
_ Les Nenets ont vécu dans la toundra et ont pris soin de son fragile écosystème depuis des siècles,_ explique Sophie Grig of Survival. Aucun projet de développement ne devrait être mis en place sur leurs terres sans leur consentement et ils devraient recevoir des dédommagements pour les dégâts causés à leur environnement.
Confrontés au front pionnier des Etats et des multinationales qui rivalisent pour un bout d’Arctique, à celui des scientifiques qui affluent pour étudier les effets du réchauffement climatique et à l’annonce de Gazprom que de nouveaux gisements de gaz naturel seront prêts à être exploités en 2019, leurs préoccupations deviennent de plus en plus urgentes.
La toundra est notre foyer et les rennes sont notre vie et notre avenir, disent les Nenets.
 

vvvvv

jeudi 30 janvier 2014

Salut aux nouvelles générations, l'école républicaine vous a excellemment préparer à devenir des victimes !

Désormais, ils ne nous laisseront plus le choix. Ainsi, ils pourront nous inoculer ce qu'ils veulent.
Vive les républiques des grandes multinationales !

(source : wikistrike)
MERCREDI 29 JANVIER 2014
Australie: Vaccination de masse par voie aérienne autorisée



644-420x210.jpgEn Australie, une célèbre multinationale pharmaceutique  a été autorisée à pulvériser les deux tiers du territoire australien avec un agent pathogène, du choléra génétiquement modifié. Mais les nouvelles sont plutôt inquiétantes, car la menace pèse par ce biais.

Le 4 Décembre,  les médias australiens ont en effet annoncé que le PaxVax, une industrie pharmaceutique bien connue spécialisée dans l'étude et la production de vaccins et ayant son siège social à Menlo Park, en Californie, a demandé et obtenu du ministère de l'Office de la santé de l'Autorité de la technologie génétique (ministère de la santé en charge de la technologie génétique australien), d’effectuer un essai à grande échelle une sorte de vaccination par voie aérienne.

Les journaux ont décrit l’essai ainsi :
Comme le rapportent les journaux, l’essais concerne l’utilisation d’avions équipés d’une technologie d'aérosols. L’objectif officiel étant le test  d'un vaccin contenant la bactérie du choléra bactérie génétiquement modifiée. Celui-ci  servirait à lutter contre le choléra.
Vibrio cholerae est l'agent causal de la gastro-entérite connu comme le choléra, une maladie généralement liée à la consommation d'eau contaminée. On le trouve habituellement dans les milieux aquatiques des zones tropicales et semble avoir été isolé dans certaines régions du nord de l'Australie. Cependant, ce pathogène a été détecté en Australie, et aura une incidence sur les états du Queensland, en Australie du Sud, et en Victoria, en Australie occidentale, ces deux états représentant plus des deux tiers de l'immense territoire australien. En fait, resteraient exclus de l'essai les États de la Nouvelle-Galles du Sud et le Territoire du Nord, fait intéressant, ce sont ces deux régions où le Vibrio cholerae a pourtant été identifié.
Le test durera un an tandis que la presse australienne tente de rassurer la population déclarant que PaxVax fournira un certain nombre de mesures de contrôle pour limiter la propagation et la persistance du vaccin GM afin de ne pas endommager la flore et la faune des zones concernées. "

Nous ne sommes pas dans de la science-fiction, malheureusement, il s'agit bien d'une réalité inquiétante…  vouée à l’exportation.

Marc Biledermann pour WikiStrike

Et, oui, mes chers cinq lecteurs, vous n'avez plus rien à dire parce qu'élection après élection, vous continuez à voter pour les mêmes. Démocrate ou républicain aux States, UMP ou socialistes en France, tous représentant de la même classe sociale, celle qui fréquente les banquiers et les représentants des multinationales. Blanc bonnet ou bonnet blanc !
Si, vous ne voulez pas présenter des listes locales aux élections, vos voix et vos intérêts locaux sont méprisés et balayés.
Vous n'avez pas d'affiche, faites les vous mêmes avec ceux qui marcheront avec vous.
Distribuez des tracts et faites vous connaître par les réseaux sociaux avant qu'à leur tour, ils ne soient bâillonnés.
En France, n'oubliez pas que les maires élisent les sénateurs qui peuvent bloquer ou sérieusement amender les textes de lois et réglementations proposés par le pouvoir.
Mais, PUTAIN, bougez vous avant qu'il ne soit trop tard)

(source : Inform'Action)

Noam Chomsky : « Les démocraties européennes sont parvenues à l’effondrement total »

Portrait de Renaud Schira

Date: 
28/01/2014
Selon le linguiste et militant Noam Chomsky, les démocraties européennes sont parvenues à un effondrement total, indépendamment de la couleur politique des gouvernements, parce que les décisions sont désormais prises à Bruxelles.

Selon lui, la destruction des démocraties en Europe conduit vers la dictature.

Il donne l’exemple de l’Italie, où la démocratie a cessé d’exister avec l’arrivée au pouvoir de l’ex commissaire européen Mario Monti en 2011, politique désigné par les bureaucrates de Bruxelles et non par les électeurs italiens.

Pour Chomsky, le phénomène existe au niveau mondial: « Même le Wall Street Journal a admis que les USA sont au bord de l’effondrement total puisque tous les gouvernements qu’ils soient de droite ou de gauche, poursuivent la même politique décidée par les banquiers et les bureaucrates »

Selon Chomsky, la politique ne sert qu’à enrichir les banquiers. Il a décrit le néolibéralisme comme une attaque de grande envergure contre les peuples du Monde, la plus grande depuis les 40 dernières années. »
Source: 
Blogapares.com

Merde !
Occupons de nous d'abord avant de s'occuper du sort des banquiers et d'enrichir les multinationales. Des initiatives peuvent être prises par vous, D'ABORD, dans vos communes et vos cités.

(source : Reporterre)

Cette commune n’utilise plus d’énergie fossile pour se chauffer

ENERZINE
jeudi 30 janvier 2014
Foussemagne, commune comptant 984 habitants dans le Territoire de Belfort, a déjà atteint les objectifs de 23% du Grenelle de l’environnement en termes de production d’énergie de source renouvelable. En conséquence, la commune n’utilise plus d’énergie fossile pour le chauffage - et ne paiera pas la taxe carbone.

Avant d’arriver à ce stade, la petite bourgade de Foussemagne a depuis 2004 présenté et mis en oeuvre des projets diversifiés dans le renouvable et l’efficacité énergétique. Voici le détail avec des chiffres à l’appui.
En 2004 :
Foussemagne devient la première commune de Franche-Comté à octroyer des aides à ses habitants lorsqu’ils s’équipent en énergie renouvelable (chauffage bois, eau chaude solaire, chauffage solaire, photovoltaïque, géothermie). Car d’après la municipalité, les économies d’énergie passent d’abord par une meilleure isolation, une sensibilisation aux économies et apprendre à consommer autrement.
En 2005 :
La Commune remplace tout d’abord la vieille chaudière au fioul de la Mairie par une chaufferie aux granulés de bois de 60 kW. Cette dernière chauffe le secrétariat de la Mairie, la salle du Conseil, les archives, la salle des associations et trois logements.
La consommation de bois en 2009 s’établit à 25,76 tonnes (coût financier : 3 939 euros). La réduction des émissions de CO2 est évaluée à 36 tonnes.
En 2006 :
La Commune souscrit avec EDF un contrat de fourniture d’électricité 100% d’origine renouvelable (contrat Equilibre +) pour La Maison des Arches et la médiathèque. Selon le maire, "en exigeant de s’alimenter en électricité renouvelable, vous faites croître la demande et favorisez ainsi le développement des énergies renouvelables et les investissements dans de nouveaux moyens de production".
Par ailleurs, depuis 2006, la Commune participe aussi au financement du programme CISEL qui s’active à faire baisser le coût de fabrication des panneaux photovoltaïques.
En 2007 :
En même temps que les travaux d’extension de l’école, la Commune installe une chaudière aux plaquettes de bois de 80 KW avec réseau de chaleur. Elle chauffe le groupe scolaire de 1.000 m² (maternelle et élémentaire) et l’atelier municipal.
La consommation de bois en 2009 s’établit à 38,75 tonnes (coût financier : 3 827 euros). La réduction des émissions de CO2 est évaluée à 41 tonnes.
Mais ce n’est pas tout. La municipalité de Foussemagne décide aussi de renforcer l’isolation de l’école maternelle construite en 1992, de remplacer les convecteurs électriques de l’école maternelle par un chauffage central alimenté par la chaudière au bois. L’eau de pluie est récupérée pour les sanitaires de l’école dans une citerne de 20 m3. Enfin, un chauffe eau solaire est installé sur le toit.
En 2009 :
La Commune installe une centrale photovoltaïque d’une puissance de 32 KWc sur le toit du groupe scolaire qui fournira 30 000 KWh/an d’électricité revendus à EDF. L’installation permet d’éviter le rejet de 4700 Kg/an de CO2.
En 2010 :
Foussemagne installe une centrale photovoltaïque d’une puissance de 18 KWc sur le toit de la Maison des Arches qui pourra fournir 14 000 KWh/an d’électricité revendus à EDF. L’installation permet d’éviter le rejet de 2.200 Kg/an de CO2.
En février de la même année, le village met en place des horloges astronomiques contrôlant l’éclairage public et permettant de le couper entre 23H30 et 5H30 dans tout le village. Cette décision va faire économiser environ 40 000 KWh (50%) d’électricité par an (3 000 euros/an) et 6 450 kg/an de CO² pour un investissement de l’ordre de 4 000 euros amorti au bout d’un an et demi. La part du photovoltaïque couvrira alors 38% des besoins électriques totaux de la commune.
Un bilan global largement positif :
En ce qui concerne l’énergie électrique, la Commune consommait aux environs de 155 000 KWh par an. La part de l’éclairage public représente 80 000 KWh par an, soit 52% de la consommation électrique totale annuelle. Avec la mise en place des horloges astronomiques, une économie de 40 000 KWh d’électricité par an est envisagée ramenant la consommation annuelle totale d’électricité à 115 000 KWh environ.
La production d’électricité d’origine photovoltaïque couvre 40% des besoins électriques de la Commune. En tenant compte du contrat Equilibre + avec EDF, la part de l’électricité d’origine renouvelable est de 73%.
D’un point de vue financier. Auparavant, la facture globale annuelle d’électricité était de l’ordre de 19 000 euros pour les 155 000 KWh. Avec les coupures de l’éclairage public, la facture devrait être ramenée aux environs de 16 000 euros/an. Par ailleurs, la revente de l’électricité photovoltaïque à EDF devrait rapporter 26 470 euros par an, pendant 20 ans (prix d’achat par EDF = 0.60176 €/KWh).
D’un point de vue du gaz à effet de serre. En 2009, le village consommait 155 000 KWh d’électricité, ce qui générait 24 800 Kg de CO2. A partir de 2010 et en année pleine, elle devrait consommer 115 000 KWh d’électricité dont 44 000 KWh d’électricité "verte". Cela constitue une réduction de CO2 d’environ 13 440 Kg, soit 54% en moins par rapport à 2009.
Bien évidemment, les coûts financiers opérés dans la commune de Foussemagne ne sont pas neutres :
• Les 2 installations photovoltaïques : 249 230 euros HT.
• Aides obtenues : Région Franche-Comté (30 000 euros soit 12%), Etat/DGE (20690 euros soit 8%). Les aides de l’ADEME ont été supprimées en 2009.
• Durée d’amortissement des panneaux photovoltaïques : 20 ans
• Durée d’amortissement des onduleurs : 10 ans
• Financement : hormis les subventions de 50 690 euros, la Mairie a affecté un montant de 61 000 euros au titre du Fonds de compensation pour la TVA (FCTVA 2008) dans le cadre du plan de relance gouvernemental.
Par ailleurs, un emprunt de 140 000 euros sur 10 ans a été contracté. Le retour sur investissement attendu est de 5,4 ans. La commune affirme qu’il n’en coûtera rien aux contribuables.
Et maintenant ?
Les idées dans la mise en oeuvre de projets renouvelables et d’économies d’énergie ne manquent pas à Foussemagne. Son maire, Louis Massias prévoit encore d’optimiser le fonctionnement de sa petite localité.
Ainsi, il est prévu que le futur musée dans l’ancienne synagogue sera chauffé par la géothermie. Ensuite, viendra le tour de l’installation d’une éolienne à proximité du groupe scolaire (10 ou 20 KW). La commune fera également l’acquisition d’un véhicule utilitaire électrique en remplacement du C15 Diesel.
Et, en partenariat avec un bailleur sociaux, 18 logements sociaux seront isolés afin d’obtenir le label BBC. De même, le chauffage au gaz propane sera remplacé par une chaufferie au bois avec réseau de chaleur. Enfin, un projet de création d’une SEM (Société d’Economie Mixte) avec d’autres collectivités pour la production d’énergies d’origine renouvelable est aussi planifié.


Source et photos : Enerzine

Mais, dites-moi, mes chers lecteurs, que diront les habitants de Foussemagne qui ont atteint l'indépendance énergétique, si, on leur impose des puits d'extraction de gaz de schiste ?
Le parti dans son ensemble bascule pour son exploitation.
Ce sont ces gens-là que vous voulez à la tête des municipalités en France ?
Ces gens-là ne vous protègent pas des multinationales ou de la finance internationale. Au contraire, ils vous vendent tous les jours, comme on vendait des esclaves à une époque.
Sauf que vous refusez d'ouvrir les yeux.
Un homme a ouvert les yeux. Lui, au moins, il a essayé......lui, pas vous !

(source : réseauinternational.net)

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LE DG DE TATA MOTORS SE ‘’SUICIDE’’ JUSTE AVANT LA SORTIE DE SA VOITURE À AIR



5 VOTES

Elle devait sortir fin 2013, elle arrive début 2014. Mais ne rêvez pas, certains pays ont déjà prévu de taxer l’air comme la Grande-Bretagne ou encore l’Australie. Pour info, lire plus bas, le PDG est mort il y a trois jours, il serait suicidé !
obpicnEd33ZUne preuve supplémentaire – si besoin en était – que les trusts pétroliers et le gouvernement nous prennent pour des cons !
ortie imminente des ateliers de Tata Motors en Inde !
Il s’agit d’un moteur automobile qui fonctionne avec de l’air. Seulement l’air qui nous entoure.
Tata Motors en Inde a prévu que la voiture à air pourrait sillonner les rues indiennes courant 2014.
La voiture à air comprimé, développée par l’ex-ingénieur de Formule 1 Guy Nègre de MDI basée au Luxembourg, utilise l’air comprimé pour pousser les pistons de son moteur et faire avancer la voiture.
La voiture à air comprimé, appelée «Mini CAT» pourrait coûter autour de 365757 roupies en Inde soit 8177 $ c’est à dire 5.225 €
La Mini CAT qui est un simple véhicule urbain léger, avec un châssis tubulaire, un corps en fibre de verre qui est collé pas soudé et alimenté par l’air comprimé. Un microprocesseur est utilisé pour contrôler toutes les fonctions électriques de la voiture. Un petit émetteur radio envoie des instructions à l’éclairage, clignotants et tous les autres appareils électriques sur la voiture. Qui ne sont pas nombreux.
La température de l’air pur expulsé par le tuyau d’échappement se situe entre 0 – 15 degrés en dessous de zéro, ce qui le rend approprié pour une utilisation pour le système de climatisation intérieur sans avoir besoin de gaz ou de perte de puissance.
Il n’y a pas de clé, juste une carte d’accès qui peut être lue par la voiture depuis votre poche. Selon les concepteurs, il en coûte moins de 50 roupies (1€ = 69 roupies) par 100 km, c’est à peu près un dixième du coût d’une voiture fonctionnant à l’essence.
Son kilométrage est d’environ le double de celui de la voiture électrique la plus avancée, un facteur qui en fait un choix idéal pour les automobilistes urbains. La voiture a une vitesse de pointe de 105 km/heure (c’est parfait puisqu’il ne faut pas dépasser le 90 voire le 70 Km/h et 50 en ville) ou 60 mph et aurait une autonomie d’environ 300 km ou 185 miles. Le remplissage de la voiture aura lieu dans les stations service adaptées avec des compresseurs d’air spéciaux. Remplir ne vous prendra que deux à trois minutes et coûtera environ 100 roupies (1€= 69 roupies) et la voiture pourra faire encore 300 kilomètres. Cette voiture peut également être remplie à la maison Il faudra alors 3 à 4 heures pour remplir le réservoir, mais cela peut se faire pendant que vous dormez.
Le réservoir se recharge sur une simple prise électrique en 4 h pour un coût de 1,50 € et permet une autonomie de 150 km.
TATA MOTORS se penche actuellement sur une pompe à air comprimé, ce qui permettrait de faire un plein du réservoir en 3 minutes chrono pour un coût d’environ 2,50 €.
Parce qu’il n’y a pas de moteur à combustion, le changement d’huile (1 litre d’huile végétale) n’est nécessaire que tous les 50.000 km ou 30.000 miles. Grâce à sa simplicité, il y a très peu d’entretien à faire sur cette voiture.
Cette voiture à air semble presque trop belle pour être vraie.
Les groupes de pression et les hommes de pouvoir auront-ils encore le dernier mot ?
Sans compter que nous respirerions "enfin" du bon air dans les villes !
Qu’en pense notre ministre improductif du redressement productif ?
Que feront les compagnies pétrolières pour l’arrêter ?
Les pouvoirs publics trouveront bien une parade pour ne pas homologuer ce véhicule en Europe et en Amérique du nord, et comme ça le tour sera joué ! Comme il l’est dit tout en haut, taxer l’air semble une jolie parade. Les dirigeants sont sans scrupule, la taxe, c’est l’existance… chez ces gens-là…
Autre parade, un tremblement de terre provoqué par HAARP comme au Japon où le séisme de mars 2011 a balayé le site japonais de construction automobile de voitures à eau qui se trouvait alors non loin de Fukushima et dont la mise sur le marché était là aussi imminente.
Mais pour commencer, il faut assassiné le PDG de Tata Motors, ce qui est fait.

L’étrange suicide du DG de Tata Motors à Bangkok

Karl Slym
Karl Slym
Au lendemain de la mort à Bangkok du directeur général du constructeurautomobile indien Tata Motors, qui a chuté du 22e étage de son hôtel, la policethaïlandaise a indiqué lundi avoir retrouvé ce qui ressemble à une lettre de suicide dans sa chambre.
Alors que Karl Slym, Britannique de 51 ans, se trouvait dans la capitale thaïlandaise pour assister à un conseil d’administration de Tata Motors Thailand Ltd, son corps a été retrouvé dimanche sur un balcon du 4e étage de l’hôtel Shangri-La où il séjournait. « Initialement, nous ne pouvons que présumer qu’il s’est suicidé, a déclaré le lieutenant-colonel de la police Somyot Boonnakaew. La fenêtre était petite et il a fallu qu’il fasse un effort pour passer à travers. » La lettre de suicide présumée, trouvée dans la chambre, a été envoyée pour analyse, pourvérifier qu’il s’agit bien de son écriture, a-t-il ajouté.
a police pense que la femme de Slym était dans la chambre au moment de sa mort, mais a précisé qu’elle était à ce stade trop « choquée » pour répondre aux questions des enquêteurs.
Dimanche, le constructeur automobile avait annoncé que son directeur général était mort lors d’une chute, tandis que la presse indienne indiquait qu’il avait perdu l’équilibre avant de tomber dans le vide. Karl Slym avait rejoint Tata Motors en 2012 et était chargé des opérations en Inde et sur les marchés internationaux, sauf pour Jaguar et Land Rover. Diplômé de l’université américaine de Stanford, il avait été auparavant vice-président d’une coentreprise de General Motors enChine, SGMW, et président de General Motors en Inde.
C’est lui qui a cherché à repositionner la Nano (la voiture à 2 300 dollars  de Tata Motors) comme une « deuxième voiture », voire une alternative bon marché aux scooters, après son échec commercial, rapporte Les Echos.
Et, pour finir, "VOICI L'AMERIQUE !"

(source : le Monde Planète)

Comment des antibiotiques à haut risque sont autorisés dans les élevages américains

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Un élevage de poulets en batterie.

Ce sont des documents secrets qui lèvent un peu plus le voile sur le recours, excessif et souvent incontrôlé, aux médicaments dans les élevages. Aux Etats-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) a ainsi maintenu l'autorisation de plusieurs dizaines d'antibiotiques dans l'alimentation du bétail américain, même après avoir découvert « les risques élevés » qu'ils représentaient pour la santé humaine.

L'association Natural Resources Defense Council (NRDC), qui porte ces accusations dans un rapport publié lundi 27 janvier, s'est procuré des études internes de l'agence des produits alimentaires et médicamenteux, sur le fondement du Freedom of Information Act.
L'ONG a ainsi découvert que, pendant près de dix ans, de 2001 à 2010, la FDA a réexaminé la sécurité de trente additifs alimentaires à base d'antibiotiques appartenant aux familles des pénicillines et des tétracyclines. Ces molécules, pour certaines autorisées depuis les années 1950, ont été administrées au bétail pour des usages non thérapeutiques, c'est-à-dire pour prévenir des maladies mais surtout pour stimuler la croissance des animaux – une pratique interdite depuis 2006 en Europe.
BACTÉRIES RÉSISTANTES
Résultat : dix-huit des additifs étudiés entraînent un « risque élevé » d'exposer les humains à des bactéries résistantes aux antibiotiques par le biais de la chaîne alimentaire – en particulier de la consommation de viande, mais aussi par des contacts directs avec les animaux ou par la dissémination de ces pathogènes dans l'environnement. Partout des bactéries infectieuses parviennent à s'adapter, à un rythme de plus en plus soutenu, à de nouveaux traitements ou à de nouveaux milieux.
Quant aux douze autres médicaments passés au crible par la FDA, leur sûreté reste à prouver, faute de données suffisantes pour les évaluer.
Au final, aucun de ces trente médicaments ne pourrait aujourd'hui être approuvé comme additif pour le bétail en vertu des directives actuelles. Pis, vingt-six ne remplissaient pas les normes sanitaires établies en 1973.
TOUJOURS SUR LE MARCHÉ
« A l'issue de son étude, la FDA n'a pris aucune mesure pour révoquer les autorisations de ces antibiotiques », regrette le NRDC. Le centre, qui ne sait pas quelles quantités de ces additifs ont été administrées à des animaux, assure que neuf d'entre eux se trouvent encore sur le marché, tandis que les autres sont toujours autorisés, à l'exception de deux volontairement retirés par leurs fabricants.
L'agence sanitaire a de son côté rétorqué, dans un communiqué, poursuivre une« stratégie plus large pour essayer d'éliminer à terme les utilisations non thérapeutiques d'antibiotiques », au lieu de se concentrer sur des médicaments spécifiques.
Selon le NRDC, les antibiotiques à risque sont toujours autorisés par la FDA.
70 % DES ANTIBIOTIQUES DESTINÉS AUX ÉLEVAGES
Mais selon l'ONG, les risques ne s'arrêtent pas aux trente additifs alimentaires examinés. « Les pénicillines et tétracyclines représentent près de la moitié des antibiotiques utilisés dans l'alimentation animale, prévient Carmen Cordova, qui a mené l'étude pour le NRDC. Leur usage illustre le problème plus vaste du recours excessif aux antibiotiques. Ces documents sont autant de preuves accablantes que la FDA ne prend pas au sérieux la crise de la résistance aux antibiotiques. »
Aux Etats-Unis, 70 % des antibiotiques vendus sont destinés aux élevages. Conséquence de cette utilisation massive : deux millions d'Américains tombent malades chaque année et 23 000 meurent en raison d'infections liées à des bactéries résistantes aux antibiotiques telles que les staphylocoques dorés et les salmonelles, selon des statistiques publiées en septembre 2013 par le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies. De nouvelles résistances apparaissent régulièrement, au point qu'il pourrait être bientôt difficile de traiterefficacement certaines pathologies courantes.
Lire (édition abonnés) : Antibiotiques : gare à la surdose animale
Cette réalité n'est pourtant pas nouvelle. En 1977, la FDA avait proposé le retrait des autorisations d'additifs contenant de la pénicilline et la plupart des tétracyclines dans l'alimentation animale pour des usages autres que thérapeutiques. Mais cette intention n'a jamais été suivie d'effets.


A bientôt.
René.