vendredi 18 mars 2011

Salut à Longo-Maï ! Ils nous prennent pour des cons, voulez-vous être l'espoir ?

Bon, mes trois chers lecteurs, il apparaît de plus en plus que l'Europe n'est que celle des multinationales et des grosses fortunes. De toute façon, elle a été construite pour ça par sarko entre autre lorsqu'il n'a pas respecté la décision de la majorité des français en bidouillant les accords de Lisbonne.
Résultat, la commission européenne est dévolue aux désidératas des grandes multinationales, dont deux font beaucoup parler d'elles en ce moment, la pharmaceutique et l'agro-alimentaire.
Pour l'instant, mes trois chers lecteurs, nous qui ne sommes au courant que des nouvelles que veulent bien nous livrer les médias dépendants de la finance, nous planons complètement.
Bon, pour l'agro-alimentaire, je ne dis pas. Nous essayons de nous mettre au courant par le net.
Seulement, en douce, sans faire de bruit, le lobby pharmaceutique agit.
Et, cela avec la complicité des instances européennes, sinon de certains élus européens à "la botte" de ces lobby.
Mais, parlons d'abord de l'AESA qui pose problème. Et, il faudra bien un jour que les responsables européens rendent des comptes.

(source : Natura vox sur le net)

"Article publié le 16 mars 2011

Evaluation des pesticides : scandale à l’AESA (Agence Européenne de Sécurité Alimentaire, EFSA en anglais). L’agence continue de préférer les études fournies par l’industrie aux études indépendantes !
L’AESA a publié hier soir des recommandations sur l’utilisation des études scientifiques publiées dans les revues à comité de lecture dans le processus d’autorisation des pesticides. Le résultat est navrant : les études fournies par l’industrie sont mises en avant par l’agence et les études indépendantes de l’industrie ignorées !
« C’est une honte que l’AESA continue ainsi de favoriser les intérêts des industriels et continue d’ignorer les données scientifiques publiées indépendantes de l’industrie » déclare François Veillerette, porte-parole de Générations Futures. « Générations Futures et le réseau PAN Europe demandent instamment au Parlement Européen et au Conseil de ne pas accepter ces recommandations et de confirmer leur volonté de voir toute la science publiée prise en compte dans l’évaluation des pesticides. » ajoute t’il.

Sylvie Simon"

Bon, mes trois chers lecteurs, cela est un constat. Il est le même en France, d'ailleurs.
Sauf que, sauf que, le lobby pharmaceutique va plus loin. Il veut nous empêcher d'utiliser les plantes médicinales sous prétexte de bloquer les plantes médicinales chinoises.
D'ailleurs, si, j'étais au gouvernement chinois, je prendrais des mesures de rétorsions économiques pour faire disparaître cette réglementation européenne.
Donc, nous parlons de la directive européenne dénommé THMPD ou 2004/24/EC qui réglemente l'utilisation de plantes médicinales pour vous ou moi, même plantées dans mon jardin, à la condition de reconnaissance par un processus d'identification européen. Pour ne pas dire, qu'il va falloir passer par le labyrinthe du Minotaure et dépenser un tas d'argent pour faire reconnaître comme légal la moindre tisane calmante utilisée par nos grand-mères.
De fait, la captation du vivant, comme les molécules des plantes, au détriment du citoyen et des usages séculaires moins onéreux, sinon, moins toxique, est mort.
Disons que grâce à cette réglementation, au combien inique, vous n'aurez plus le contrôle de votre propre jardin. Et, si, j'ai envie de planter du thym pour faire une tisane pour soigner mon foie, c'est même pas la peine, des inspecteurs pourraient débarquer comme si je plantais du haschish. Même le GIGN pourra débarquer chez moi pour m'arrêter en me traitant de terroriste anti intérêt de société multi-nationale. Et, sarko, qui nous fait un cinéma avec la Libye est complice de tout ça. Lui, le candidat de la finance qui va se faire éjecter par un autre candidat de la finance, Strauss Kahn.
Interrogez-vous pourquoi les sondages le fixe comme favori, demandez-vous qui sont leur directeur qui systématiquement élimine Martine Aubry.
Et, après, demandez-vous de qui, il est le candidat.
Et, comme, je suis fatigué, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.

PS : Désolé, je ne corrige pas.

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