mardi 1 mai 2012

Salut, les pollueurs, lisez donc cet article d'Agoravox.

Allons messieurs, un peu de décence, s'il vous plaît dans vos estimations chiffrées sur la mobilisation de vos militants que chacun d'entre vous a pu réaliser ce premier mai.
Là, où je trouve le chiffre carrément ridicule, c'est l'estimation de françois copé, 2OO.000 personnes, place du Trocadéro à Paris.
Bon, déjà, la place du Trocadéo et oh, combien plus petite que celle de la Bastille, Nation ou la Concorde. Bastille, bien tassée, contient 50.000 personnes. Disons, 80.000 pour la place de la Concorde.
Alors, pour la place du Trocadéro, il faudrait que toutes les rues et avenue à proximité soient pleines au moins sur 200 mètres de long chacune.
Alors, arrêtons, parce que même si le ridicule, il dénote une petitesse d'esprit.
Et, de toute façon, ce ne sont pas des chiffres annoncés qui vont persuader les électeurs qui n'ont pas voté sarko au premier tour d'y aller pour le second.
Allons, allons messieurs, vous êtes nos représentants politiques et non pas des marionnettes de bazar.
Comme qui dirait, moi en l'occurrence, "L'esprit ne tue pas la raison, mais, une raison peut tuer l'esprit".
Euh, aucun rapport avec ce que je disais avant, mais, cela n'a aucune importance puisque notre président est prêt à dire n'importe quoi pour faire croire qu'il dit quelque chose.
Mais, passons, car, pour aujourd'hui, ce seul article :


La fondation Agoravox
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Moteurs : quand l’eau permet de remplacer l’essence

Il est possible de couper son essence avec de l’eau. Mais nombreux sont les lobbies industriels qui n’ont pas intérêt à répandre la nouvelle. L’association lorraine La pierre angulaire, spécialisée dans la maîtrise de l’énergie et basée à Courcelles-sur-Nied, travaille sur une modification de la ligne d’échappement, mais le moteur reste classique.
L’idée est d’utiliser la chaleur des gaz d’échappement pour produire de la vapeur qui est ensuite transformée et injectée dans le moteur. Il s’agit en réalité d’un complément à l’essence, c’est pour cela que l’on appelle cela du « dopage à l’eau ». Le procédé n’a rien de révolutionnaire. La sidérurgie lorraine se servait déjà de la vapeur d’eau pour augmenter la température de ses fonderies.
En 2007, la commune de Vitry-sur-Orne, en Moselle, donnait sa chance à l’association en l’autorisant à équiper un petit véhicule utilitaire municipal. Depuis, deux camions et la balayeuse ont également été dopés à l’eau. L’agent technique continue à remplir le réservoir de carburant, mais il remplit aussi de temps en temps un bidon d’eau de pluie récupérée. Si bien que les véhicules consomment moins d’essence et recrachent 50 % à 80 % de particules en moins dans l’air. Comme elle fonctionne plusieurs heures d’affilée et reste chaude, la balayeuse communale permet au système de fonctionner à plein régime et de diminuer par trois la consommation à la pompe. Cette solution est écologique et économique. Sur un an, Vitry-sur-Orne réalise 1 200 euros d’économie de carburant.
Certes, le procédé est expérimental et non standardisé. Mais les membres de l’association équipent les véhicules au cas par cas. Cela ne modifie en rien le comportement de ces derniers. Il faut compter deux jours d’immobilisation et 2 000 euros pour équiper votre véhicule du système de dopage à l’eau. 
La commune de Vitry-sur-Orne a permis à l’association de crédibiliser son procédé. Depuis, les villes de Jœuf, Hayange, Guénange, Cahors et Besançon ont suivi. De même que des agriculteurs.
Après la prime à la casse, il serait peut-être temps d’accorder une prime dopage à l’eau et de créer une filière industrielle.
A bientôt.
René.

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