mardi 22 mai 2012

Salut peuple de France ! Souviens-toi des corsaires qui naviguèrent sur toutes les mers du monde. Voilà, l'esprit que nous devons nous ré-approprier, l'esprit "CORSAIRE" et prendre aux riches le surplus qui ne leur ait pas nécessaire, NOM DE DIEU !
Mais, non, je plaisante. Ah, le mec, il allait y croire !

Voyons, mes cinq chers lecteurs, si, nous faisons appel à notre libre arbitre plutôt que suivre les injonctions de nos dirigeants politiques quelques qu'ils soient.
Prenons par exemple le parti socialiste, injonction, "voter socialiste pour que le président dispose à l'assemblée d'une majorité qui lui accorde les coudées franche pour sortir la France du puisard".
L'Ump, quant-à-elle annonce, "voter Front National, c'est donner un blanc seing aux socialistes".
Aucun des deux, ou des autres, notez le bien, mes chers cinq lecteurs, ne dit, "Parmi nos candidats, il y en a qui sont nuisibles pour le bien être de nos citoyens". 
Et, pourtant !
Oh, combien, ils sont !
Cependant pour nourrir notre argumentation, nous nous contenterons de nous limiter aux deux partis phares, le PS et l'Ump. Autrement, il faudrait un roman.
Donc, pour le PS, personnellement, j'abhorre  les anciens lieutenants de strauss kahn, tendance ultra-libérale du parti socialiste, qui ont d'ailleurs dernièrement participé à l'anniversaire de Julien Dray avec lui en très bons copains. Des affidés, comme leur patron, des marchés financiers quoiqu'ils disent prudemment maintenant. 
Ils sont et seront toujours des ultra-libéraux !
Pour l'Ump, la droite populaire autoritaire qui veut soumettre le peuple à la volonté d'une élite non pas internationale, mais, nationale. Tout dans le répressif et dans la stigmatisation de l'autre.
Aussi, des gens comme François Coppé qui est plus dans le genre à mettre les capacités de l'état au service du capital. Même ligne que sarko dans un autre registre.
Voilà, vite dit.
Donc, si, nous voulons exercer notre libre arbitre à l'intérieur de nos propres partis en exprimant nos désaccords sur des personnes investis par les partis et imposés par les listes uniques de façon à réorienter la politique de ceux-ci, dans nos arrondissements respectifs, il faut refuser de voter pour eux.
Si, je prends Manuel Valls, député en Essonne, Pierre Moscovici dans le Doubs et qu'en tant que militant socialiste, vous n'êtes pas d'accord sur leur crédo ultra-libéral, notamment pour Moscovici, actuel, ministre de l'économie, vous n'avez qu'à ne pas voter pour lui lors des prochaines législatives.
Voter, je ne sais pas, disons pour un autre candidat, blanc ou abstenez-vous.
Comme cela, vous serez sûrs que les lieutenants de strauss kahn disparaîtront de la photo gouvernemental et que si, le message est bien compris de Hollande, il choisira un ministre plus préoccupé de nous que cette personne. 
Evidemment, de même à l'Ump et dans tous les autre partis.
Cette manière de faire permettra à chaque électeur, militant ou simple français de reprendre un peu le contrôle sur des dirigeants politiques qui promesses à part restent loin de leurs préoccupations quotidiennes.
Voilà, et cela, vaut pour ma première proposition. Passons à la seconde :
En fait, il s'agit d'une vieille proposition que je remets sur le tapis de temps en temps. Il s'agit de permettre aux personnes qui touchent l'allocation chômage, le Rsa ou tout autre allocation de pouvoir aller à l'étranger, tout en continuant à en bénéficier.
Alors, dit comme cela, évidemment, cela fait tousser les acharnés du travailler plus pour gagner plus ou  des dénonciateurs de l'assistanat et des aides sociales.
Alors, disons-le autrement.
Si, une personne se présente avec un projet, il lui sera accordé le bénéfice de l'allocation pendant une absence de six mois à l'étranger.
Lorsque cette personne revient sans éléments pertinents pour la mise en place du projet, un nouveau départ avec bénéfice de l'allocation sera refusé.
Par contre, si, il présente les garanties de la mise en place du projet, une prolongation de six mois lui sera accordé, en comptant un temps nécessaire sur le territoire pour qu'il puisse finaliser les dossiers administratifs (statut de nouvel entrepreneur, par exemple), dossiers d'aides nécessaires à travers l'économie sociale.
Lorsque le projet démarre, les délais et jusqu'à ce qu'il puisse voguer de ses propres ailes, l'allocation lui reste acquise.
Et, voilà, j'ai rendu au peuple immense des sans emplois français intégré ou pas dans les statistiques, l'envie de redécouvrir, l'envie d'essayer, l'envie d'y aller, l'envie de fureter, l'envie de réaliser, l'envie de s'en sortir, même en s'inscrivant dans des pays aux contraires différentes des nôtres.
Bref, à ce peuple là, je viens de lui faire redécouvrir l'envie.
Et, vous, mes chers cinq lecteurs, quelles envies vous habitent....encore ?
A bientôt.
René.

 

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