mardi 29 mai 2012

Salut à la compagnie pétrolière Total qui veut exploiter les gaz et l'huile de schiste en France. Dans vos bureaux, vous êtes bien tous des pourris !

Ben, alors, qu'est-ce qu'il se passe en Espagne ?
Une banque demande en masse l'argent du contribuable. Bon, elle vient d'être nationalisé. Malheureusement, l'état l'a fait en prenant le total, donc, aussi, les pertes sévères dues à la spéculation de ladite banque.
En fait, l'état espagnol a nationalisé sans savoir exactement l'état réel de la cette banque. Et, maintenant, ce sont les contribuables qui vont payer pour les conneries de dirigeants et de traders qui s'en sont mis plein les poches et qui sans doute à l'heure actuelle continuent à s'asseoir sur des matelas d'euros.
Est-ce normal, mon capitaine ?
Perso, j'étais d'accord avec le président Bush qui a laissé lehman brothers faire faillite.
L'état espagnol aurait dû faire pareil pour cette banque.
Ce n'est pas le rôle de l'état de couvrir tout le secteur bancaire. Il peut nationaliser une banque pour qu'elle prenne la place des autres sur les comptes courants.
Parce que moi, si, le secteur bancaire en France périclite et que l'état garantisse une banque nationalisé, j'y vais en direct pour y verser mon salaire.
Que les autres après fassent faillite pour leurs pertes sur des placements spéculatives, j'en ai rien à battre, c'est l'argent de ceux qui en en avaient assez pour spéculer. Donc, c'est du surplus !
Moi, c'est mon salaire qui me nourrit au quotidien et croyez-moi, ce n'est pas des milles et des cents.
Dans le cas de l'Espagne qui emprunte difficilement sur les marchés à des taux faramineux, injecté des milliards pour couvrir des pertes dues à la spéculation avec l'argent des citoyens qui subissent une réduction des aides sociales, c'est........complètement pourri !

(source : LaLibre.Be)


Espagne: la banque Bankia demande 19 milliards à l'Etat

AP
Mis en ligne le 26/05/2012
La situation financière des banques européennes est au cœur des craintes liées à la crise dans la zone euro.
La situation financière des banques espagnoles suscite de plus en plus d'inquiétude: Bankia vient de demander à l'Etat 19 milliards d'euros alors que le gouvernement espagnol, qui a nationalisé de fait l'établissement au début du mois, a déjà injecté 4,5 milliards d'aide.
Samedi, le président de la banque José Ignacio Goirigolzarri, a présenté les plans de restructuration et de recapitalisation de Bankia, prévoyant le début de l'injection des fonds de l'Etat fin juin. Il a ajouté que l'une de ses priorités était de "renforcer la gouvernance du groupe" et assuré que les 19 milliards demandés assureraient la solidité de Bankia qui n'aurait plus besoin ensuite de nouvelle recapitalisation. (...) "
Sauf que, comme le disait le père sarko, il faut préserver le secteur bancaire parce que c'est lui qui est à la source de l'investissement des entreprises et l'investissement, comme chacun sait, est pourvoyeur d'emploi.
Il oubliait le coco que les banques n'injectent pas les sommes astronomiques prêtées à 1% dans le secteur économique. Beuh, cela ne rapporte plus assez par en rapport au rapport que peut  rapporter la spéculation.
D'ailleurs, on attendant que la finance internationale reparte comme en quarante, elles ont planqués leur fric en le reprêtant à la BCE à 2%.
Certaines,  comme la BNP vont concurrencer les banques brésiliennes en prêtant l'argent de la BCE à des taux en dessous de ceux pratiqués au Brésil.
Et, si, les banques ne prêtent pas, les entreprises ne peuvent pas investir, ne peuvent pas prendre de marchés, ne peuvent se projeter sur le futur et comme dit sarko, ne créent pas d'emplois.
Alors, la question est, "Pourquoi, le gouvernement espagnol sauve une banque qui a participé joyeusement à la bulle immobilière et à la spéculation internationale ?"
En sachant que le secteur bancaire refuse de moraliser ses pratiques, alors, pourquoi le sauver ?
A mon avis, il faut nationaliser une banque, pas trop plombé par des pertes qui peuvent sortir à tout moment des tiroirs, traînés les comptes courants des citoyens pour qu'ils aient une garantie sur l'une d'elle, assurer les prêts qu'aux entreprises nationales de dimension locales ou hexagonales et laisser tomber toutes les autres.
Voilà, ce qu'il faut faire pour moraliser le secteur, "Tout virer !"
Qu'est-ce que vous en pensez mes cinq chers lecteurs, parce que cela sera tout pour aujourd'hui.
Réfléchissez-y.
A bientôt.
René.

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