lundi 14 mai 2012

Salut à la planète Terre. Ils sont bien capables de te foutre en l'air avec leur nucléaire !

Bon, mes chers cinq lecteurs, je vous ai abandonné depuis deux jours. En fait, j'ai complètement d'écrire. Et, en plus, mercredi prochain, je serais à l'hôpital jusqu'à vendredi et dans l'impossibilité d'écrire.
Voilà, pour les prochaines perspectives.
En tout cas, un qui va en avoir judiciaire, c'est notre ancien président, le citoyen sarko. Il rend les clés demain.
Ouf !
Y'en avait vraiment marre.
Mais, passons, parce que déjà, cela se bouscule à l'Ump pour reprendre la succession. Ils aiguisent les couteaux et dans les six mois à venir, donc après les élections législatives, ils frapperont à qui mieux mieux. Et, si, les législatives est un gros bide, ce qui n'est pas vraiment sûr, mais, peut-être certain, là, ça va être la boucherie.
Au point que chacun va reprendre ses billes et laisser le cadavre pourrir.
Voilà, ce qu'il de se passer dans les mois à venir.
Par contre, un organisme international a décidé de réagir au sujet des accaparements des terres par des multinationales et particulièrement en Afrique.
Cet organisme, la FAO, pour ne pas la nommer avertit les gouvernements concernés de "prendre des précaution".
A mon avis, cela s'apparent à du n'importe quoi.
Jugez en vous même.

(source : le Monde, Planète en ligne)


La FAO encadre l'achat de terres dans les pays pauvres

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Les chercheurs estiment que plus de 200 millions d'hectares de terres, soit environ huit fois la taille du Royaume-Uni, ont été vendus ou loués entre 2000 et 2010, souvent au détriment des populations locales.

Le comité de sécurité alimentaire mondiale de la FAO a adopté vendredi 11 mai un document visant à encadrer l'achat de terres à travers le monde. C'est une première, saluée par les ONG, qui regrettent toutefois que ces mesures ne soient pas contraignantes et que le texte occulte les ressources en eau. Elaboré après un processus inédit qui a vu les Etats, le secteur privé, la société civile et les organisations internationales travailler ensemble, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture espère faire de ce texte un "document de référence".
Partant du constat que "l'élimination de la faim et de la pauvreté dépendent dans une large mesure de la façon dont les personnes, les communautés et les autres acteurs accèdent aux terres", la FAO expose donc sur une quarantaine de pages ces directives "pour une gouvernance responsable des régimes fonciers""Des droits fonciers inadaptés et non sécurisés augmentent la vulnérabilité, la faim, la pauvreté et peuvent conduire à des conflits et des dégradations environnementales", s'alarme l'organisation des Nations unies.
"ÉDICTER DES RÈGLES TRANSPARENTES"
La FAO insiste donc sur les droits des peuples autochtones, l'égalité des sexes pour l'accès aux terres mais aussi l'importance de la transparence et de l'information des populations. Concernant le phénomène actuel de ruée sur les terres arables dans les pays pauvres, sans le dénoncer complètement, la FAO estime toutefois nécessaire pour les Etats de se prémunir contre "les risques que les transactions à grande échelle portant sur les droits fonciers sont susceptibles de présenter".
Pour cela, l'organisation de l'ONU préconise notamment d'"édicter des règles transparentes concernant l'échelle, la portée et la nature des transactions autorisées sur les droits fonciers et définir ce qui constitue, sur leur territoire, une transaction à grande échelle".
Alors, qu'en dites-vous,  mes cinq très chers lecteurs ?
Et, comme, je suis un peu fatigué, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.

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