vendredi 4 mai 2012

Salut les abeilles, vous êtes bonnes pour les hommes et eux veulent vous éradiquer de la planète. Merci, Mosanto et compagnies !

Bon, hier et avant d'hier, mes cinq chers lecteurs, j'étais à l'hôpital. Donc, dans l'impossibilité d'écrire. Evidemment, les médicaments prescrits ne sont pas remboursés. Pas grave, ils ne coûtaient pas chers, par contre, cela m'a fait penser aux malades atteints de maladies orphelines et dont certains médicaments ne sont plus remboursés. Médicaments, qui, eux coûtent extrêmement chers, notamment pour une personne qui touche l'allocation handicapé.
Et, pour ces cas là, notre président national ne nous a pas fait de grandes envolées lyriques. Il s'est contenté de s'inscrire aux abonnés absents.
Mais, passons, parce que j'ai suivi le débat entre lui et François Hollande. J'avais d'ailleurs suivi celui qui l'avait opposé à la précédente présidentielle à Ségolène Royale. Dans le deuxième cas, j'avais conclu que madame Royal était KO debout. Sarko avait plus de punch et ses tentatives d'aboyer contre lui n'avait donné que l'effet contraire.
Par contre, à l'inverse avec Hollande, c'est lui qui a paru dépassé par moments. Et, ce sont ses moments qui le renvoie dans les cordes.
Il a voulu le faire à l'agressif, en tentant de déstabiliser son adversaire par d'incessantes accusations de menteur, de calomniateur et de je ne sais quoi encore. Sauf qu'à partir du moment où Hollande ne s'emportait pas, il aurait du laisser tomber sa stratégie de cour d'école et en changer.
Il n'en a rien fait parce qu'au final ce n'est pas vraiment un mec intelligent. Volontaire, ambitieux, manipulateur, certainement, mais, ce qui le tue, c'est son narcissisme qui le rend incapable d'auto-critique, donc, incapable de se rendre compte qu'il va dans le mur.
Maintenant, tous les français savent que Hollande a la carrure d'un chef d'état.
Ce que Royal n'a pas su faire passer, sarko l'a fait pour Hollande.
Chapeau, l'artiste ou l'autiste, à votre préférence !
Et, cela sera tout pour aujourd'hui, parce que l'hôpital m'a fatigué et qu'à peine rentré, j'ai voulu profité du potager et je me suis lancé dans le travail de la terre.
Résultat, je suis tout patatrac.
A bientôt.
René.

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