mardi 14 décembre 2010

"Un jour en notre faveur ; un autre jour à notre détriment." Proverbe Mauritanien. A méditer par les puissants de ce monde.

Salut aux militants du coquelicot. Mes frères, plus, nous militon pour la disparition de l'espèce humaine, plus, elle se multiplie. C'est désespérant, mais, ne perdons pas courage.

Neuf milliards d'habitants en 2050. C'est, pratiquement maintenant.
Comment va-t-on vivre ?
Dans quelle type d'organisation sociale et politique si la planète financière a liquidé les régimes démocratiques.
Sur quelles ressources va-t-on se nourrir ?
Quelle place l'homme réservera-t-il à l'espace agricole ?
Toutes ces questions et bien d'autres, certains y réfléchissent et notamment au Bénin, où un nouvel élevage, satisfaisant dans son principe pour l'alimentation humaine est envisagée.
Celui-ci trouverait d'ailleurs un débouché immédiat en Asie, friandes d'insectes et de larves.
Un marché de plusieurs milliards d'habitants, rendez-vous compte.
Il suffirait de productions adaptées au goût local et vogue la galère.
A mon avis, ça marcherait. C'est pour ça que je hurle, "Industriels de France et de Navarre, à vos usines avant que les multinationales de l'agro-alimentaire vous dame le pion !"
Réveillez-vous, nom de dieu. Parce que selon, votre ministre de l'économie, Christine Lagarde, vous allez vous mette (enfin !) à recréer de l'emploi.
En tout cas, c'est ce qu'il se dit, peut-être pas ce qu'il se fait.

(source : Sciences et Avenir)

"La planète carnivore finira-t-elle par manger des criquets?

"En 2050 nous serons 9 milliards d'êtres humains et... pour satisfaire les besoins mondiaux il va falloir doubler la production de viande et cohabiter avec 36 milliards d'animaux d'élevage": l'avertissement est lancé d'entrée par le documentaire Global Steak
(...) "Au Bénin, les petits aviculteurs sont condamnés à disparaître face à la concurrence des 100.000 tonnes de poulets congelés et chlorés importées d'Europe chaque année.
Mais l'avenir, selon un spécialiste béninois en entomophagie, ne viendrait-il pas des larves de coléoptères ou des criquets, bien plus riches en protéines que celles de la viande d'animaux d'élevage ? Rendez-vous en 2050."

Mais, ne soyons pas mauvaise langue, parlons plutôt du Brésil et de tous les autres qui se lancent dans la fabrication de sattelites dans un premier temps, peut-être de l'espace dans un deuxième temps.
Mieux vaut ça que fabriquer des bombes nucléaires qui coûtent et ne rapportent rien. A part, des "emmerdes", naturellement.
Question, "Mais, qu'ont-ils tous à vouloir envoyer des fusées tout partout ?"
Surtout, lorsque l'on sait que chez ces nouveaux candidats à la production de sattelites, les populations vivent misérablement.
Parce qu'entre-nous, qu'est-ce que le Nigéria vient faire dans l'affaire ?
Ils feraient bien tous de nourrir, loger décemment et éduquer leur population au lieu de dépenser tant d'argent alors qu'ils ne produiront que de la daube face à l'occident, à la Chine et à l'Inde.
Ils feraient mieux d'utiliser des lanceurs indiens ou chinois et réinjecter l'argent économisé dans leur économie.
Mais, la mode ne joue pas seulement qu'avec les individus. Elle joue aussi pour les Etats. En France, nous avons bien, sarko qui veut faire tout comme les states.
Sans compter, tous les autres qui créent des produits financiers dérivés pour faire comme les states qui viennent de se casser la "gueule", mais, qui recommencent la même avec le sourire et le portefeuille ouvert pour engranger de nouveau un maximum de profit. Pour finir par nous faire payer les dégâts comme d'habitude.
Mais, revenons-en aux sattelites.

(source : idem)

"Brésil: une fusée expérimentale de moyenne portée effectue un vol de 18 mn

Le Brésil a lancé avec succès dimanche une fusée de moyenne portée, destinée à des expériences scientifiques et qui a atteint une altitude de 241,9 km pendant un vol de 18 minutes, a annoncé l'Agence spatiale brésilienne (AEB). (c) Afp
Le Brésil a lancé avec succès dimanche une fusée de moyenne portée, destinée à des expériences scientifiques et qui a atteint une altitude de 241,9 km pendant un vol de 18 minutes, a annoncé l'Agence spatiale brésilienne (AEB)."

L'Afrique s'était déjà positionnée.

(source : Yahoo.actualités)

"L'Afrique du Sud se dote d'une agence spatiale
Vendredi 10 décembre, 18h10

L'Afrique du Sud a inauguré sa première agence spatiale à Johannesburg hier. Un événement pour le pays qui entend devenir d'ici les dix prochaines années le leader continental de l'observation terrestre par satellite. La cérémonie d'inauguration du site s'est déroulée hier à Johannesburg, en présence de la ministre des Sciences et des Technologies Naledi Pandor. "Nos efforts pour améliorer les ressources spatiales de l'Afrique du Sud seront d'une valeur inestimable pour la communauté scientifique d'Afrique australe", a-t-elle alors souligné, estimant que le lancement de l'Agence spatiale nationale d'Afrique du Sud (Sansa), permettra de "stimuler l'investissement et le secteur de la recherche scientifique locale".
L'agence, qui devrait être pleinement opérationnelle en 2012, est actuellement dotée de deux micro-satellites.
(...) Mais "nous allons construire nos satellites ici, en utilisant les savoir-faire locaux et on espère que cela aidera à résoudre les coûts", a-t-il assuré.
Première puissance économique du continent, l'Afrique du Sud n'est pourtant pas le premier pays à se doter d'une agence spatiale. Le Nigeria, l'Algérie et l'Egypte, ont en effet déjà leurs propres agences."

Et, moi, si, je me faisais ma propre agence spatiale en leur vendant cette idée baroque, la pensée peut se projeter dans l'espace une fois que on lui a montré le chemin pour dépasser la frontière, infranchissable, du crâne humain.
Vous, voyez, mes trois chers lecteurs, un truc comme ça qui s'annonce bien et plonge ses racines dans les croyances des anciens...d'autrefois, sûr que ça marcherait.
A une époque, Giscard d'Estaing, président de la France, a bien financé une autre idée baroque, les avions renifleurs. Une idée à la con qu'on lui avait vendu comme quoi, le nez des avions dotés d'un appareillage hautement technologique pouvait repérer les nappes pétrolifères de là-haut.
Attention, je vous vois tout de suite venir, mes trois chers lecteurs. Vous allez dire une idée à la con, comme la tienne.
Eh, bien, NON !
Et, je m'insurge fortement sur cette filiation adultérine.
Non, mais, c'est vrai, pour qui me prenez-vous à la fin !
Moi, je vous parle d'un truc vrai, de vrai !
Pas un machin à la mord-moi le noeud de vulgaire escroc.
Je dis, NON, j'AFFIRME, que la pensée humaine est prisonnière d'une chappe de plomb impérméable qui s'appelle le crâne.
Que si, on pige comment le transcender ce qui en bon français signifie, "passer à travers", la pensée se retrouve libre de vagabonder à travers l'univers.
La question, alors et l'unique question, est de savoir comment elle peut se diriger consciemment sans se perdre. Parce que, naturellement, elle ne pourrait pas réintégrer le corps, son réceptacle.
Et, c'est le problème de l'humanité, avoir toujours considéré la place du cerveau comme une finalité et non comme une simple bouée où se réfugier en cas de grand vent.
Bon, je vois que je vous bassine encore.
Je sais, je sais. Mais, peut-être n'y avait-il pas grand chose à dire aujourd'hui.
Sur ce, je vous laisse en vous souhaitant, bien le bonjour.
A bientôt.
René.

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