mercredi 19 mars 2008

"Il vaut mieux avoir vécu vingt-cinq jours comme un tigre qu'un millénaire comme un mouton". Proverbe tibétain.

Salut les compagnons du coquelicot, nous vaincrons la pieuvre Monsantos pour que nos enfants comme les fleurs ne naissent pas aberrants.

Ainsi, donc, notre président, mister taxe nouvelle, licencie dans l'enseignement professionnel, 11.000 salariés. Bien !
D'un autre côté, il étoffe son gouvernement alors qu'au début, il nous avait bassiné sur les économies à faire au niveau du staff gouvernemental.
D'un côté, on embauche, de l'autre, on élague.
C'est une manière de voir.
A mon avis, il doit pas voir très loin.
Mais, un qui voit pas loin du tout en ce moment, c'est le Dalaï Lama.
Démission qu'il annonce alors qu'il est réincarnation. Comment une réincarnation peut démissionner ?
Imaginez, lui mort, est-ce que sa réincarnation se retrouverait dans la peau d'un chômeur ? A moins que le prochain, ça ne soit des jumeaux.
En tout cas, la répression chinoise va s'accentuer dans le silence. Parce qu'une fois qu'elle sera passée, plus personne ne va moufter. Car, la justice chinoise, comme disait Ségolène Royal, est rapide et efficace, pas comme en France. Parce qu'en France, vu les tribunaux fermés, les dossiers risquent de s'accumuler.
Mais, je vous rassure, la pression internationale obligera la Chine à mettre en place une négociation. Peut-être pas sous la pression de la rue comme le dit Sarko, mais, elle se fera. Surtout que le Dalaï Lama a abandonné toute idée d'indépendance. Et, surtout que la Chine n'est pas prête à abandonner un tiers de son territoire où les réserves d'eau sont considérables.
Eh, oui, mes chers amis, l'eau. Cette formidable potentialité de déclenchement de conflits futurs. D'ailleurs, moi, à la place du tissu industriel, je me lancerais dans la conception d'usine non seulement de dessalement des eaux, mais également de retraitement des eaux pollués des fleuves. Le genre usine clé en main, mais pas forcément gigantesque,
plutôt des usines de taille réduite, mais à forte capacité de traitement. Du genre à couvrir les besoins de villes entre 10.000 et 100.000 personnes en n'oubliant pas l'agriculture.
Là, je pense qu'il y a un créneau porteur dans les 15 ans qui viennent et pour la Chine, pratiquement dans l'immédiateté.
Car, n'oublions pas que dans les zones sahéliennes, les agriculteurs partent à cause de l'eau.
Alors, rêvons que nous puissions puiser l'humidité du sol en profondeur sans puiser dans les nappes phréatiques pour la transformer en milliards de gouttes d'eau.
Eh, voilà, mes chers amis, j'ai résolu le problème de la sécheresse. N'est-ce pas formidable ?
Je sais, je sais, vous n'en avez rien à carrer. De plus, vous êtes si peu nombreux à me lire que j'en ai des nausées dans ma baignoire. Mais, non, je mens, je n'ai pas de baignoire et les baignoires, c'est mauvais pour l'environnement, ça gaspille.
Sauf, que j'aimerais bien voir, si les richards font des économies d'énergies à part, en Californie.
La Californie, ce beau pays où ils sont assez fous pour croire qu'ils peuvent encore sauver la planète alors qu'ils brûlent autant, sinon plus, d'énergie que la France.
A mon avis, y'a encore du boulot.
Ah, oui, autre chose. La Conférence des pays Islamistes a dénoncé une montée de l'islamophobie. Ben, mon neveu, ils foutent des bombes partout et ils voudraient qu'on leur tende l'autre joue.
D'ici, qu'ils demandent à l'occident de leur faire le coup du pardon, y'a pas loin. D'ailleurs, les descendants d'esclaves oublient toujours d'exiger un pardon de la part des pays arabes. Car, me semble-t-il, ils sont toujours traité comme de la merde dans ces pays. Pas qu'eux d'ailleurs, il suffit de demander aux travailleurs philippins et autres qui travaillent dans les Emirats.
Par contre, en France, le travail esclave existe toujours. Et, il n'est pas aussi rare qu'on peut le penser. Alors, messieurs dames les personnes aisées qui avaient ces pratiques, j'espère que vos voisins vous dénonceront pour qu'on vous mette au pilori sur la place publique.
Et, à quand le crime écologique ?
Et, à quand l'extension du crime contre l'humanité à la notion d'empoisonnement des populations par produit chimique interposé ?
Et, sur ces belles paroles, je vous salue bien.
René.

Aucun commentaire: