jeudi 6 mars 2008

"C'est ainsi qu'un amant dont l'ardeur est extrême, aime jusqu'aux défauts des personnes qu'il aime". Molière.

Salut à tous ces gens qui ne disent rien et qui comptent la menue monnaie au fond de leur poches. C'est bête, y'a pas assez pour se faire au moins cinq fruits et légumes différents ce jour. Tant pis ! Peut-être au début du mois suivant.

Mes très chers, il n'y aurait donc pas de politique de rigueur en prévision.
Pourtant, c'est drôle, je croyais qu'on y était en plein dedans.
C'est sûr, j'ai dû me tromper parce que accorder 1% d'augmentation aux petites retraites, prévoir de nouvelles taxes, réduire la masse salariale de la fonction publique, autonomiser les universités pour qu'elles coûtent au final moins chères, si, ça, c'est pas de la rigueur, c'est que je ne m'y entends pas.
D'ailleurs pour les taxes qui compensent les réductions d'impôts ou les réductions de budget, Sarko mérite le surnom de "Monsieur Taxe".
Faut, vraiment que les français soient cons pour se laisser berner par le père Sarko. Il supprime le financement publicitaire des chaînes publiques pour le remplacer par des taxes qui pèseront sur les consommateurs. Sous prétexte d'améliorer la qualité des programmes, il rend service aux chaînes privées. Mais, pour avoir une qualité, il faut du fric, pas vrai ?
Et, pourquoi faire encore peser sur les consommateurs ce qui était pris en charge par la publicité. Derrière, c'est sûr, il y a autre chose !
Il suffit d'attendre puisque la technique Sarko, c'est annoncer, faire du vent, laisser le temps à l'oubli et reprendre le dossier là où les choses sérieuses doivent être reprises. Et, je parie que l'on reverra apparaitre le nom de Bolloré à ce moment là.
En tout cas, l'histoire des taxes, ce n'est même pas un tour de passe passe, même pas déshabiller Pierre pour habiller Paul, c'est tout simplement réduire, encore réduire, toujours réduire le pouvoir d'achat de la majorité des français. Sarko fait une réformette, n'importe laquelle, sans financement prévu ? Paf ! Il nous balance une taxe !
Et, je ne vous dis pas, mes braves trois chers lecteurs parce qu'uniques, le gouvernement n'a pas renoncé à la TVA sociale qu'il garde au chaud puisqu'il aura besoin de fric.
Seulement, quand, ils se décideront à la mettre en place, il y aura déjà tellement de taxes qu'il faudra la surajouter à celles déjà existantes.
Parce qu'il semble claire que la relance de la croissance, la relance de la compétitivité industrielle, la relance de la consommation, c'est vous qui allez les financer. Lui, c'est Monsieur Taxe et vous, enfin, nous, c'est, les cocus de toutes les relances, sans compter les cocus tout court.
Et, en plus, le Sarko, lorsqu'il parle de ce qu'il fait, entre parenthèse des taxes qu'il met en place, il en est fier.
Fier de quoi ? Fier de vider le porte feuille des français !
Monsieur Taxe, au moins, ce surnom lui va comme un gant.
Quant-à la Russie, elle est gouverné par le cocu et l'amant. Naturellement, il faut entendre pour femme, la Russie........éternelle. Cela nous prévoit au tout du moins, une pièce à la Molière avec en arrière fond, une chute à la Terminator.
Parce que Poutine doit attendre quatre ans pour pouvoir se représenter tout étant assuré de pouvoir refaire deux mandatures coup sur coup.
Son collisitier, lui ne fera qu'une mandature alors qu'il aurait pu en faire deux. Et, que surtout, il sera trop vieux pour se représenter après les deux prochaines mandatures de Poutine. Car, le calcul est simple. Là, maintenant, il fait quatre ans, après Poutine fera huit ans. Donc 12 en tout. Sans compter que Poutine risque de s'en fatiguer entre-temps et se choisir un autre favori avec moins de bouteille.
Poutine a bien niqué la famille Elstine. Pourquoi, le nouveau président ne ferait pas pareil, car, en plus, il connaît les casseroles accrochées aux basques du père Poutine. Il pourrait les utiliser pour l'éliminer en l'envoyant rejoindre dans un camp ceux qu'il y a envoyé.
Moi, à sa place, c'est ce que je ferais, en faisant attention de pas le rater parce que lui, c'est pas le genre à rater sa cible.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte en vous disant, "Gaffe, à notre époque de vache maigre, et surtout, ne faites pas compte commun avec votre moitié. D'ici qu'elle se tire ou que vous vous tiriez".
Perso, ça ne m'est jamais arrivé, mais, ramasser mes fringues dans la rue avec mes slips accrochés aux antennes de voitures, là, je peux dire, j'ai déjà donné.
Et, c'est à souhaiter à personne, surtout quand tous les passants se marrent comme des baleines en regardant une meuf déchaînée beugler au balcon en vous balançant le reste de vos caleçons.
Vous, comme un con, vous faites des signes comme quoi, elle est givrée, mais, c'est bien vous le pauvre naze dans l'histoire et les passants ne s'y trompent pas. Enculés de passants !
Y'en pas eu un pour sauver l'autre, en m'aidant à ramasser mes fringues par exemple.
Bon, à part ça, bien le bonjour chez vous.
René.

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