samedi 2 juillet 2011

Salut au peuple grec. Un conseil, sortez de l'Europe !

Ah,là, là, mes trois chers lecteurs, ce strauss kahn, c'est une véritable boîte malices. Tout lui est bon pour faire parler de lui.
Ca, maintenant, c'est lui la victime. Alors, je lui crie, "Dominique, tu es mon héros !"
Mais, non, je plaisante, prenez pas la mouche !
Oui, donc, bien, la perfide était à l'affût du pigeon de passage.
Et, c'est comme cela que se détériore l'image d'un secteur d'activité. Car, désormais, dans les hôtels, les clients s'enfuiront en hurlant à la vue d'une telle engeance pénétrant en leur chambre.
En tout cas le feuilleton devient hilarant.
Dans les chaumières, on ne plaint pas, on rigole carrément.
Enfin, bref, voilà, c'est tout ce que cela m'inspire et comme vous le savez, je n'estime pas le personnage.
Mais, passons pour en revenir au Japon où le gouvernement continue à pratiquer une politique à minima concernant la sécurité sanitaire due à la populations soumise à la radioactivité de la centrale nucléaire. Moi, je pense qu'elle aurait dû être évacué dans un rayon de 150 km autour de la centrale. Une mission française qui s'y est rendue pense de même, mais sur une distance moindre. En tout cas, le gouvernement japonais sacrifie la population au lieu d'organiser son évacuation.

(Source : Sciences et Avenir)

Japon : « les autorités n'ont pas pris les bonnes initiatives »
01-07-11 à 11:50 1 réaction

Pour Roland Desbordes, président de la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité), la radioactivité entraîne un risque sanitaire élevé sur des zones étendues au Japon. Les autorités auraient dû évacuer les habitants de ces zones, estime-t-il.

Sciences et Avenir.fr : La CRIIRAD a mené du 24 mai au 2 juin une mission au Japon. Quelles en sont les principales conclusions ?

Roland Desbordes : Nos deux envoyés sont revenus plutôt choqués par la situation actuelle au Japon. Il se passe des choses graves. Une partie de la population japonaise habite actuellement des zones où les niveaux de radioactivité sont élevés et sources de risques sanitaires graves. Dans la ville de Fukushima, située à 70 Km de la centrale et donc en zone dite normale, les immeubles et l’intérieur des maisons sont contaminés ce qui provoque une irradiation externe importante.

De plus les habitants de ces zones consomment des aliments également contaminés parce que bien souvent ils n’ont rien d’autre à manger. Il n’y a pas de surveillance vraiment complète de la chaîne alimentaire et une forte désinformation de la part des autorités japonaises. Les gens sont livrés à eux-mêmes.

Que faudrait-il faire selon vous ?

Il faudrait évacuer les populations sur un périmètre beaucoup plus large que la zone rouge actuelle qui est de 20 km. En tenant compte des vents au moment des émissions, qui ont commencé dès le 12 mars, les évacuations auraient dû au moins concerner tous les habitants vivant dans les 80 km au Nord-Ouest de la centrale. Ils courent un risque inacceptable. D’ailleurs je rappelle que dès le début de la catastrophe, les autorités américaines ont recommandé aux ressortissants vivant au Japon d’évacuer une zone de 80 km justement, ce n’est pas pour rien. Evidemment on parle là du déplacement de plusieurs centaines de milliers de personnes (...).

Et, oui, mais, tout cela coûterait des sous, des sous, sous et après tout une vie de japonais, cela ne coûte pas cher, ni d'ailleurs d'aborigène pour rester dans le nucléaire.
Car, en effet, Areva, notre fleuron qui n'a jamais d'accidents dans ses centrales, mais, que des incidents pour parler pudiquement va empoisonner un site aborigène et sans les empoisonner.

(Source : les Nouvelles Calédoniennes)

Areva veut miner un site en danger

Publié le mercredi 22 juin 2011 à 03H00
Areva ferait pression pour empêcher l’inscription du site de Koongarra au patrimoine mondial de l’Unesco. Le géant français dispose depuis 1971 d’un permis d’exploration sur cette zone riche en uranium, mais les Aborigènes en refusent l’exploitation.

En 2010 déjà, Jeffrey Lee avait reçu le soutien du ministre de l’Environnement de l’époque, Peter Garrett. Aujourd’hui encore, le gouvernement voudrait empêcher tout projet minier.
Photo Archives AFP
C’est une petite bombe - atomique - qui vient d’exploser en Australie. Selon le journal de Melbourne The Age, la compagnie française Areva aurait fait pression depuis plusieurs mois sur le gouvernement fédéral australien pour l’empêcher de demander l’inscription du site de Koongarra au patrimoine mondial de l’Unesco.
L’information, confirmée lundi de source anonyme par le gouvernement, intervient alors que se réunit à Paris cette semaine, la 35e assemblée de l’organisation internationale pour justement sélectionner les nouveaux sites qui feront leur entrée sur la liste.

Uranium. D’après plusieurs sources, les responsables d’Areva auraient formellement demandé à Canberra d’abandonner son projet, alors que la compagnie française dispose depuis 1971 d’un permis d’exploration sur cette zone de 13 km² dont les sous-sols enfermeraient plus de 14 000 tonnes d’oxyde d’uranium.
Située dans le Territoire du Nord, 250 kilomètres à l’est de Darwin, Koongarra borde le parc national de Kakadu, lui-même classé au patrimoine mondial depuis 1979.
Sur demande expresse du clan aborigène Djok, seul propriétaire légal des lieux et pour rester fidèle à une promesse électorale faite l’an passé, le gouvernement fédéral souhaite aujourd’hui étendre le mandat de l’Unesco au site de Koongarra. En cas de succès, cette décision interdirait tout projet minier dans la zone et mettrait un point final aux ambitions d’Areva dans cette région du nord de l’Australie."

Et, voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
René.

PS : Ils en ont pas marre de jouer les dictateurs ?
(source : les échos)

"Moody's dégrade la note de la SNCF

Arguant de la perspective d'une concurrence accrue dans le ferroviaire, l'agence de notation a dégradé d'un cran la note de la dette à long terme de la compagnie française, à Aa1 contre AAA, assortie d'une perspective stable. Sa consoeur Standard & Poor's en avait fait autant le 4 juin, baissant la note de la SNCF de AAA à AA+."

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