jeudi 14 juillet 2011

Aujourd'hui, peu de mots, j'ai trop travaillé dans mon jardin. Et, j'emmène lorsque je travaille dans le potager ma dernière poule, pour l'obliger à sortir et à ne pas s'enfermer dans la neurasthénie.

Ouh, là, là, une agence de notation, Moody's, en l'occurrence, menace de descendre la note des Etats-Unis, menace, mais, ne le fait pas, au contraire de ce qui a été fait avec tambour et trompettes pour la Grèce, le Portugal et l'Irlande.
Vraiment, trop sympa.
Disons, que c'est une pression du marché sur les républicains qui ne veulent qu'un relèvement à court terme et par pallier.
Ces pauvres chéris, ils ne veulent pas que l'on touche au porte monnaie des riches et des très riches, sans compter les très très riches.
Pourtant, c'est la condition sine qua non, sans compter les multinationales et les grandes entreprises nationales, pour que les Etats-Unis puissent relever la tête un jour, hors des eaux boueuses de la dette.
En France, même, à l'Ump, le parti du président, certains ont fini par le comprendre, certains, sauf, sarko qui vit toujours dans sa bulle de copains des riches et président des pauvres.
Augmenter, pour les States le taux d'autorisation de l'endettement, sans relever le taux d'imposition pour les grosses fortunes, c'est, tout simplement, pisser contre le vent.
Parce que les républicains n'accepteront pas une réduction d'un poste hypertrophié, celui, de l'armée.
Qui semble pourtant nécessaire avec un taux d'imposition fiscal plus important, pour les riches et non pas pour l'ensemble du peuple américain, pour pouvoir réduire un jour, le poids de la dette.
Sur ce point précis, Obama a raison de ne pas vouloir céder.
Ce ne sont pas les républicains qui mettent Obama face au mur, à mon avis, ce serait plutôt le contraire.
Parce que mettre le poids de la dette sur l'ensemble des américains en excluant les riches et les très riches, c'est transformer, comme en France, les classes moyennes, en espèce en voie de disparition. C'est mettre en place un mécanisme qui risquerait de jeter dans la rue des milliers, sinon, des millions de manifestants et les pousser à bloquer l'économie du pays, vu qu'ils n'auraient plus grand chose à perdre.
Voilà, cela sera tout pour aujourd'hui, jour de la fête de la révolution française.
A bientôt.
René.

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