mardi 5 juillet 2011

(blog à finir)

Merde ! Mon texte vient de disparaître,je suis obligé de tout réécrire.
Alors, je prends les deux textes que je voulais commenter.

(source : Irin News)

"RDC: L’agriculture urbaine prend racine

L’agriculture urbaine a le vent en poupe dans cinq grandes villes de RDC (photo d’archives)KINSHASA, 29 juin 2011 (IRIN) - En République démocratique du Congo (RDC), des milliers de citadins vivent de l’agriculture urbaine : la culture maraîchère est en effet rentable pour les petits agriculteurs et permet de réduire un taux de malnutrition élevé à l’échelle nationale, selon les responsables agricoles.
La demande en légumes et les prix élevés de ces denrées dans les villes congolaises (jusque quatre dollars le kilo) ont incité de nombreux chercheurs d’emploi à se lancer dans l’agriculture à petite échelle.
Le long des routes de Kinshasa, la capitale, la plupart des espaces verts ont été transformés en petites exploitations. Aujourd’hui, la production urbaine de fruits et légumes est 122 pour cent plus importante qu’il y a cinq ans, selon les statistiques de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). La FAO soutient les maraîchers de cinq grandes villes de RDC dans le cadre d’un projet d’horticulture urbaine doté d’un budget de 10,4 millions de dollars et destiné à augmenter leur productivité et à développer leurs compétences agricoles.
« Ce programme a été lancé en réaction à l’exode rural massif qui a suivi cinq années de conflit dans l’est de la RDC ; aujourd’hui, il permet d’aider les agriculteurs urbains de la région à produire chaque année 330 000 tonnes de légumes », a déclaré la FAO dans un communiqué. « En plus des vivres, le programme fournit également des emplois et des revenus à 16 000 petits maraîchers ».
D’après Sébastien Mbuku, qui travaillait auparavant comme instituteur à Kinshasa, l’enseignement ne lui permettait pas de subvenir à ses besoins plus d’une semaine par mois. Ne parvenant pas à joindre les deux bouts, il s’est reconverti dans la culture de l’amarante (un légume-feuille) et de l’épinard sur un lopin de terre de 16 mètres carrés.
Aujourd’hui, Sébastien Mbuku a les moyens d’acheter de la viande pour nourrir sa femme et ses cinq enfants, et de payer les frais de scolarité de ces derniers. « Le maraîchage à petite échelle est désormais un emploi respecté au même titre que les autres », a déclaré M. Mbuku. "

(source : El Watan)

"Attaque au RPG à Kerkera (Skikda)
Des interrogations sur la provenance des armes
le 05.07.11

Pour les habitants d’Ahmed Salam, la présence d’un tel engin entre les mains des terroristes confirme les thèses avancées quant à d’éventuelles fuites d’armes en provenance de Libye.
Le dernier attentat terroriste, qui a ciblé un cantonnement des gardes communaux d’Ahmed Salam (k13) dans la commune de Kerkera au sud-ouest de Skikda, est venu relancer, une fois encore, le débat quant à la persistance des actes terroristes dans la région. Plus grave encore, l’utilisation d’une arme de guerre, le RPG en l’occurrence, suscite moult interrogations, d’autant plus que c’est là une première dans une zone qui a vécu et connu toutes les affres des années noires."

Bon, finalement, trop dégoutté, plus envie de commenter. Seulement, vous parlez de ma poule, l'unique survivante perpétué par le chien d'un voisin. Deux précédentes avaient déjà disparu, mais, nous pensions que le renard nourrissait ses petits.
Aussi, nous lui pardonnions.
Après deux mois, nous en avons repris neuf poules pondeuses qui nous suivaient comme des petits caniches et tentaient de rentrer dans la maison.
Elles bruissaient dans le jardin jusqu'où jour où un chien a sauté le portail et les a massacré les unes après les autres.
Deux avaient survécues, deux pauvres malheureuses en se sauvant dans le village pour se cacher.
J"ai mis des bambous à moitié du portail, malheureusement pas assez haut.
J'ai été voir le voisin que je connaissais. Ma femme ayant poursuivi le chien avec une poule dans la gueule avait vu où il allait.
Un chien marron et blanc, dans le village, il n'avait que le sien.
J'ai cru qu'il allait prendre des précautions.
Le lendemain, le chien a réussi à sauter plus haut que les bambous et a emmené l'avant dernière poule.
Je n'ai pas été voir le voisin la colère était trop forte et, finalement, la tristesse.
Depuis, l'unique poule ne sort plus et lorsqu'il lui arrive de le faire, elle sort en volant et en caquetant bruyamment. Elle court à droite, elle court à gauche, picore même le ciment, se creuse un trou et repart dans son terrier pour toute la journée.
Seule, elle est devenu neurasthénique et parano.
Lorsqu'elle est dans son pigeonnier, elle est couchée et ne bouge plus de la journée.
J'ai mis répartis deux fourches dans la cour, au cas, où le chien revienne.
Si, il revient pour la dernière, je jure que je l'embroche !
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Une pauvre histoire de poule comparé à l'horreur que vit le peuple palestinien, c'est pitoyable.
René.

Aucun commentaire: