jeudi 28 juillet 2011

Salut à ma poule, la dernière survivante d'un massacre commis par un chien. Je lui fais suivre une thérapie qui commence à effacer son traumatisme.

Bon, hier, j'étais pris d'une grosse flemme et je n'ai même pas fini la lettre.
De toute façon, les psycho-drames abondent en ce monde, il n'y a qu'à se baisser pour en ramasser un, un peu plus digne de commentaires que les autres.
Mais, par contre, je note que les agences de notation n'ont pas encore abbaissé la note des Etats-Unis. Sans doute, préférent-elles mieux les pays européens, de crainte d'un retour de bâton du gouvernement américain.
En tout cas, quel duel entre Obama et les républicains qui refusent toujours que les riches et les très riches mettent la main à la poche pour le bien de la nation.
Mama, ça, c'est du free fight !
A se demander quand même, dans quel pays vivent les riches qui refusent toutes solidarités, non pas avec les pauvres, salaud de pauvres !, mais, avec les concitoyens. Alors, que c'est justement la solidarité qui fait le ciment d'une nation.
Et, une classe sociale ne peut s'en exclure, à moins de renier ce qui est constitutif de son pays.
La force d'une nation, c'est que tout le monde participe, sans que personne ne puisse s'en exclure.
En France, nos riches veulent faire la même, "Prendre et ne rien donner".
Pour eux, comme pour notre président, "Nous sommes tous des bougnoules". Ils s'imaginent qu'ils peuvent nous faire penser comme eux veulent que nous pensions.
Sans doute, ont-ils raison, si le feu de la révolte ne bout plus dans nos veines. Ou, peut-être ont-ils torts, si, ils le rallument par leur égoisme forcené.
Des imbéciles à l'Ump ont voulu nous faire avaler que la lutte des classes, c'était obsolète. Ce qui est réellement obsolète, c'est leur petit esprit mercantile de gratteur de privilèges et d'émoluments divers.
Bon, mis, à part que nos élus nous prennent pour des cons et se servent joyeusement pour s'en mettre plein les poches, ce que faisaient aussi, les socialistes à leur grande époque, est-ce que nous sommes pour autant gouverné par des pourris ?
Peut-être pas !
Mais, il faudrait remettre le service de l'état en exergue, plutôt que profiter de l'état. Parce que moi, je vous l'assure avec mon petit salaire qui ne va me laisser que peu de fric pour passer mes vacances, je n'entends pas de la part des prétendants au poste de président le mot au combien obsolète, "HONNETETE".
Ni, des socialistes, ni des autres.
Alors, peut-être, que c'est devenu chez nos politiques un "gros mot", sauf que cet absence, en tant que protestant, désolé mes trois chers lecteurs me choque.
D'ailleurs, comme le manque de référence au confucianisme dans la nouvelles chine communiste-capitaliste me choque également.
Mais, non, je plaisante.
Par contre, notre président national s'est comblé de ridicule en allant en Bretagne pour récupérer les votes des agriculteurs bretons qui empoisonnent la mer avec leur lisier et leur azote en faisant la pub pour des unités de récupérations de méthane.
Déjà, il n'y connaît rien et les gens de la FNSEA, syndicat de grands agriculteurs de droite lui ont raconté des bobards, et surtout, dans les villes côtières qui subissent les algues vertes tueuses, les électeurs sont plus nombreux que les agriculteurs empoisonneurs.
Bref, conseillé par des cons, il s'est encore planté.
Sauf, qu'en face, chez les socialos, ils ne sont pas meilleurs.
Et, cela sera tout, pour aujourd'hui.
René.

PS : Même pas envie de corriger !

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