dimanche 31 octobre 2010

(blog à finir)

Salut à tous les citoyens lambdas, nos gouvernements nous ont livré pieds et poings liés aux financiers et aux industriels !

Eh, oui, parce qu'aujourd'hui, la croissance ne s'appelle plus plein emploi ou tissu industriel, mais, plutôt courbe boursière et flux financier.
D'ailleurs, notre gouvernement national sarkozyste n'a pas été cherché l'argent là où il est pour préserver les services publics. D'ailleurs, ce n'est pas son objectif.
Il en réduit le coût simplement en appliquant les recettes classiques du libéralisme économique, réduction des coûts de production.
En l'occurrence, s'agissant des services publics, il en renchérit les coûts des "avantages" accordés aux usagers. Simple comme bonjour.
Et, comme, il a un discours dévolu à la finance et aux industriels, il ne cherche surtout pas à récupérer les milliards d'euros que ces mêmes détournent de la caisse du fisc.
Car, selon lui, cela pourrait remettre la croissance en péril.
Seulement, je me pose la question, "Quelle croissance ?"
La misérable croissance à 2% qu'il dream ?
Parce que lorsque la commission des finances examine pour les raboter les niches fiscales, elle rabote les avantages accordés aux ménages de la classe moyenne et fortifie certaines accordées au capital.
Mais, néanmoins, les députés ump produisent un discours en direction du public comme quoi, "une justice sociale" se met en place et dans l'alcôve de l'assemblée, ils détournent l'esprit sinon la lettre de leur déclaration.
Donc, ce sont les petits qui payent et qui se voient à marche forcée supprimer les avantages gaullistes de l'état providence.
Tout cela couvert par le discours sur la croissance.
Et, je répète, "Quelle croissance ?"
Il est clair que la valeur travail devient rare parce que le stade où nous en sommes du libéralisme économique prône le profit en dehors de la valeur travail.
Le système s'appuyant plus sur des flux monétaires, des jeux d'écriture électronique et des échanges spéculatifs, il est clair qu'il fabrique sciemment de la précarité en tirant les revenus des citoyens vers le bas.
Le système social et économique sur lequel s'appuie Sarko trouve son expression final dans les théories fumeuses des tea-partiers américains.
Car, c'est ce modèle qu'il veut imposer à la France. C'est la déclaration un peu vicié de John Kennedy, "Ne vous demandez pas ce que l'état peut faire pour vous, mais, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour l'état".
Résultat, au final, nous avons une paupérisation généralisée de corps social qui tend à se confondre toute comparaison gardée à ce qui se passe dans les pays émergents.
Cette idée peut vous choquer mes chers trois lecteurs, mais, pour moi, les états-unis sont passé au niveau des pays émergents. Et, c'est là le grand défi d'Obama, tirer son pays vers le haut, au lieu de faire comme Sarko, le tirer vers le bas.
C'est ce discours qu'il doit tenir pour retrouver la confiance de ses électeurs.
Et, pour ce faire, il doit aborder frontalement la question du "mieux écologique" et pas forcément de l'écologie.
Il faut comprendre que les pays émergents vont occuper définitivement une série de créneaux industriels qui de toute façon disparaîtra des pays anciennement développés.
Il lui faut donc aller vers le développement d'un secteur que ne pourront pas occuper lesdits pays émergents parce que justement ils développent un tissu industriels qui ne peut être freiné au mis en danger par des considérations de respect écologique.
Ce secteur peut-être par exemple, la réparation des dégâts provoqués par l'industrie ou l'innovation dans des méthodes de fabrication respectant des normes de respect environnementales.
Poser des brevets pour des process industriels respectant ou pire valorisant l'environnement.
En effete, mes trois chers lecteurs, il faut "Renverser les mentalités".
Bon, encore du bla-bla qui ne veut rien dire me direz-vous, mes trois chers lecteurs.
Alors, pour moi, renverser les mentalités, cela signifie, penser autrement le développement industriel.
Je suis d'accord que l'industrie crée de l'emploi, cela, elle ne créera plus tous les emplois. Il faut revenir à un tissu industriel de pme-pmi et artisanal. Non plus penser multinationales qui émette des diktats en amenant les états toujours à pencher vers le moins social.
Et, surtout, considérer une activité génératrice de revenus qui appuyé par un complément de l'état permette aux citoyens de retrouver une stature de consommateurs.
Car, c'est cette perte qui provoque une angoisse et une altération des repères chez nous, en France. Alors, si, en plus l'état l'accentue en détruisant ce qu'il reste de l'état providence. Il va y avoir des cadavres dans nos rues.
Mais, passons, prenons par exemple, l'eau qui va devenir le problème majeur de ce siècle. Comme, je le répète, en France, les céréaliers ont empoisonnés les nappes phréatiques sans que l'état n'intervienne ou ne leur fasse participer aux frais de retraitement des eaux.
Cette eau qui en Inde empoisonne, non seulement les hommes, mais, aussi les terres et les produits agricoles issus de ces terres.
Là-bas, ce sont les rejets industriels et les eaux usés qui en sont principalement responsables.
Cette eau qui va devenir l'or blanc de demain.
Il y a donc là, une source d'innovation importante et réinventant des process plus simples de retraitement en utilisant des produits d'origine végétale qui existent dans la bio-diversité et capables de traiter des quantités importantes. Et, surtout, accessibles aux communautés et d'une installation simple et n'utilisant que peu d'espace.
Cela signifie que la recherche développement doit être assuré à leur niveau par des artisans ou des pme. Ceci afin que les industriels ou multinationales ne nous fassent le chantage à la technologie à coût élevé.

Bon, pour le moment, je vais m'arrêter là parce que ma pensée devient confuse et que je vais travailler quand même un peu. A plus.
René. et en plus, je n'ai pas encore corrigé.

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