mardi 12 octobre 2010

Salut aux manifestants dont j'ai fait parti. Continuer est la seule solution devant le mépris abyssale de Sarko !

Nous avons en France la nouvelle droite extrême la plus bête du monde. Décidément, l'autisme de notre président national entouré de ses conseillers bat des records d'audience puisque plus de trois millions de personnes l'ont entendu en France.
En tout cas, il a intérêt à ne pas nommer de premier ministre avant la fin de la crise afin de laisser Fillon se dépatouiller dans la gadoue et le rejoindre dans les affres des sondages.
Pauvre majorité qui coule, coule, le capitaine en tête brûlant tous ses vaisseaux.
A trop coller au patronat, il en a oublié le peuple de France envers qui il n'a montré qu'un mépris imbécile.
j'en serais de la prochaine grève, même si, sur mon salaire, cela se ressent.
De toute façon, Sarko a perdu et avec lui l'UMP et ses alliés vénaux.
Ils veulent aller jusqu'au bout et nous le voulons aussi.
Alors ?
Et, là, il n'est pas question de révolution, mais, de simple justice sociale.
Pendant ce temps, les leaders de l'UMP se balancent des peaux de banane dans l'espoir d'obtenir le poste de premier ministre.
Mais, mes pauvres amis, dans le contexte actuel, le poste de premier ministre, c'est un cercueil politique. Une patate chaude que j'éviterai de solliciter pour me garder un avenir.
Car, de toute façon, parti comme, c'est parti, vous serez obligé de donner la garde prétorienne.
Et, donner la garde peut être extrêmement explosif, donnant l'envie à toutes les frustrations d'entrer dans la "grande bagarre" contre Sarko.
Un homme, un seul qui réunit contre sa personne toute la détestation contre le patronat qui veut nous réduire en un nouvel esclavage.
Lui, leur serviteur unique et apprécié.
Lui, qui nous tient, nous le peuple, en si basse estime qu'il s'imagine pouvoir nous faire courber la tête à sa volonté.
Lui et ses ministres marionnettes, lui et son admiration sans borne pour l'argent roi.
A cet homme là, je dis, "Nous serons au rendez-vous !"
A bientôt.
René.

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