dimanche 3 octobre 2010

"Il n'y a pas de femmes moches.....juste pas assez de vodka". Proverbe Letton. Sans commentaires.

Salut aux élus UMP qui vont couler avec leur capitaine. L'UMP, troisième parti politique après les écolos, ça vous parle ?

Alors,moi,je vais vous dire, vraiment, il y a des choses que je ne comprends pas. La Nouvelle Calédonie, vous savez, ce bout de territoire au fin fond du pacifique et surtout éloigné de tout producteurs de pétrole.
Eh, bien, chez eux le prix du carburant baisse, alors qu'en France, nada, pas d'un pet de chat !
Pourtant, nous, on est plus prêt des producteurs, même si les producteurs lorqu'ils raffinent,c'est pour la pomme de leurs nationaux.
Alors, pourquoi en Nouvelle Calédonie, ça baisse, la Nouvelle Calédonie, c'est encore la France, que je sache.
Et, en plus, ce sont nos impôts qui les nourrissent !
Alors, pourquoi, nous, en France, on n'y aurait pas droit à cette baisse des prix à la pompe ?
Les gouadeloupéens ont manifesté pour l'obtenir et ils se sont fait "niquer". Les calédoniens, eux, l'obtiennent les doigts dans le nez. Sérieux, des fois, on comprend pas.
En tout cas, tant mieux pour eux.

(source : les Nouvelles Calédoniennes en ligne)

"Nouvelle baisse à la pompe.

Pour la période du 1er au 31 octobre, les prix de l’essence et du gazole vont s’afficher respectivement à 137,4 francs le litre et 110,6 francs. En septembre, ces produits cotaient à 140,5 francs et 113,3 francs. Un phénomène est en place : voici le deuxième mois de baisse continu. Les doigts sont croisés, afin que la tendance se prolonge, bien évidemment. Les actuels tarifs reviennent grosso modo aux valeurs repérées en mai dernier. L’origine de la présente évolution ne fait pas de mystère. Les variations de l’offre et de la demande sur le marché de Singapour, d’où proviennent l’ensemble des carburants importés, jouent ici favorablement à la pompe. Pour l’anecdote, les volumes achetés par la Calédonie, eux, ne risquent pas d’influencer la courbe dans un sens ou dans un autre. Pour une raison simple. Les ventes à destination du Caillou ne représentent que 0,6 % de la production de la raffinerie siatique."

Ben, voila !
Par contre du côté du continent asiatique, la Chine a décidé de relever le défi du changement climatique. Bon, je veux bien qu'elle ait relevé le défi autrefois des hordes barbares mongoles du nord, notamment en élevant la grande muraille de Chine.
Mais, là, le changement climatique est un dieu cruel et à ce que je sache les chinois ne se sont jamais attaqué aux dieux, aux croyances des hommes sans doute, et ils ne furent pas les seuls.
Parce contre, ils ont imposés la pensée confucéenne, pas par la force, mais, par la compréhension qu'en eurent les autres peuples de la préservation des élites qu'elle autorisait.
Donc, la Chine s'attaque au dieu cruel. Et, pour ce faire, après les déserts, elle s'occupe du Tibet.
Pourquoi ?
Simple, parce que la fonte des glaciers étalé sur plusieurs dizaines d'années augmentera la gravité des innondations et comme le dit le proverbe "Trop d'eau ne fait pas un champ". (Ca, c'est de moi)

(source : le Quotidien du Peuple)

"Tibet : lancement d'un grand plan de protection des terres humides

Le plan de protection des terres humides du plateau Qinghai-Tibet, intitulé « Projet Espoir vert du plateau », a démarré le 27 septembre sur la terre humide de Ganqu dans le district de Linzhou à Lhassa. Il s'agit de la deuxième action de protection de l'environnement de grande envergure organisée par le comité de la Ligue de la jeunesse communiste pour le Tibet, après la « grande action pour le mont Everest, troisième pôle de la Terre ».
Selon l'organisateur, le projet des terres humides va mobiliser les jeunes et adolescents pour la protection environnementale du Tibet, sur des thèmes comme l'afforestation, l'aménagement du désert et la protection des sources des terres humides. Les forces sociales du bien-être public vont également être appelées à prêter attention à la protection écologique du Tibet et à créer des projets sur la protection de l'environnement.
La protection de la terre humide de Ganqu est le premier projet en exécution du plan de protection des terres humides du Tibet. Des mesures de sauvetage comme l'ouverture de canaux, la délimitation de la sphère de protection, la plantation de bois écologique autour du terrain, seront rendus possibles par des dons de 500 000 yuans offerts par la filiale tibétaine de China Mobile.
Avec une superficie de 157 ha, la terre humide Ganqu, créée en 2004 par le gouvernement du district de Linzhou, est une réserve de niveau régional. De 2010 à 2015, dix millions de yuans seront investis dans de grands projets de protection, qui portent principalement sur la construction d'un canal d'adduction d'eau, d'enclos, et d'un système d'évacuation des eaux ménagères, l'achat d'équipements de surveillance de l'environnement, la construction d'une station de gestion de la terre humide, la protection et la recherche de la diversité écologique."

Bon, nous dirons que cette volonté est enregistrée. Sauf qu'il ne faut pas oublier les catastrophes collatérales engendrées par l'intervention humaine.
Quoi, par exemple, me demandez-vous mes trois chers lecteurs.
Ben, il y en a plein, la salinisation des terres agricoles en Egypte quelques années après la construction du barrage d'Assouan, la mer d'Aral en voie d'extinction, l'extension des déserts après déforestation abusives, la déperdition des espèces pélagiques, l'empoisonnement des terres agricoles par utilisation des pesticides et engrais divers et variés, les zones polluées par radioactivité...etc, etc.
Surtout, si, l'on considère que ces zones humides vont recevoir encore plus d'eau vu la fonte des glaces.
Un combat de titan, voilà dans quoi les chinois vont s'engager.
Et, on ne sait jamais, l'état se rappellera-t-il la grande époque des brigades de "volontaires" et fera-t-il appel à la population de chômeurs.
Parce qu'entre nous, les petites sommes que l'état chinois va engager dans cet immense combat me semblent bien dérisoires.
"Stop !"
Pourquoi, dites-vous, stop, mes trois chers lecteurs ?
Ah, oui, la Chine a sauvé l'industrie automobile française et internationale. Ah, oui, la Chine entraîne la croissance mondiale vers le haut. Ah, oui, la Chine garantit l'euro et vient en aide à la Grèce. Ah, oui...!
Arrêtez, arrêtez, mes trois chers lecteurs, vous me soûlez trop. D'accord, j'arrête de critiquer la Chine et je vais me contenter de dire que si les tibétains subissent le joug chinois, c'est bien fait pour leur "gueule !"
Ah, non, ce n'est pas ça qu'il fallait dire !
Vous dites quoi ? Que je suis un gros connard ?
Ah, bon !
Heureusement que vous êtes là, mes trois chers lecteurs, sans vous, je m'en serai jamais aperçu.
Mais, moi, j'ai un avantage sur vous, je peux me tirer quand je veux.
Alors, bien le bonjour chez vous et à bientôt.
René.

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