vendredi 29 octobre 2010

"Celui qui cesse de répéter oublie inévitablement". Proverbe Mauritanien.

Salut aux paysans indiens, le gouvernement commencent à se préoccuper de l'état de vos terres. Peut-être que les ministres ont finis par comprendre qu'au final, eux aussi, s'intoxiquent en consommant vos produits ?

Décidément, l'industrie détruit autant qu'elle facilite la vie. Un jour, sans doute, devrons-nous choisir.
Espérons que ce choix se réalisera avant qu'elle ne pourrisse tellement la planète qu'il nous deviendra difficile d'y vivre. A savoir aussi, puisque nos politiques français s'inquiètent de la génération de centenaires à venir combien de personnes gravement malades vont venir plomber la sécu avant de mourir. Eh, oui, les cancers se multiplient, les maladies orphelines aussi et les maladies orl de même. Sans compter les nouvelles à venir.
Une question se pose, est-ce que notre corps saura résister à toutes ces mutations de virus et autres saloperies provoqués par notre modernisme, ôh, combien claironné.
Et, posons-nous dans la même veine la question de la valeur travail, "est-elle toujours la valeur suprême de la réalisation de l'être ?"
Eh, bien, mes trois chers lecteurs, je ne le pense pas. D'ailleurs, ce n'est pas la première fois que je l'affirme.
Je pense que la mondialisation, en autorisant les entreprises à expatrier les savoirs faires et les brevets ont répondu à une satisfaction immédiate, offrir un rapport plus intéressant à leurs actionnaires et se constituer plus qu'un fond de roulement, un trésor de guerre à se partager, planqué dans un paradis fiscal.
Du coup, Pierre est déshabillé pour Paul en accentuant les bas coûts de production locaux.
Sauf que déshabiller Pierre, c'est supprimer des consommateurs qui ne sont pas remplacer puisque là où ils s'installent, les ouvriers n'ont pas les moyens de consommer leurs produits.
Donc, de fait, ils réduisent à moyen terme le nombre de consommateurs habitués à acheter leurs produits finis.
Le nombre de chômeurs aux Etats-Unis est symptomatique de ce qui devient la cause de la déflation qui enveloppe peu à peu les états développés.
Et, une autre question va se poser, "A quoi, ça sert de produire, si, il n'y a plus de consommateurs, mais, seulement des débouchés.
Pourquoi de débouchés, me direz-vous mes trois chers lecteurs ?
Parce qu'il ne s'agira plus que de contrats virtuels qui élimineront de fait les consommateurs réels. Ainsi, se finalisera une économie virtuelle qui n'aura besoin que d'une force de travail, mais, plus de clients. La production étant balancée quelque part dans les pays sous développés.
Est-ce que ça vous parle, mes trois chers lecteurs. D'ailleurs, veuillez m'excuser une petite fille de sept ans me pique l'ordinateur pour faire des jeux sur internet. Je vous rassure, ce ne sont que des jeux de petite fille, genre regarder bob l'éponge.
Je voulais vous commenter cet article du Quotidien du Peuple, mais, je vous laisse imaginer que les fonds spéculatifs arrivant à fond la caisse en Chine s'intéressent plus à sa potentielle bulle immobilière qu'à la Chine elle même.

(source : le Quotidien du Peuple)

"La Chine s'efforce d'endiguer l'afflux de capitaux spéculatifs étrangers

L'Administration d'Etat des devises étrangères (AEDE) de Chine a annoncé jeudi qu'elle a trouvé 197 cas de transactions illégales de devises étrangères représentant une valeur totale de 7,34 milliards de dollars, dans sa campagne contre l'afflux de capitaux spéculatifs au cours des huit derniers mois.
L'AEDE a indiqué que ces affaires impliquaient neuf succursales de banques, dont la Banque de Construction de Chine, la Banque agricole de Chine, la Banque de Chine, Norddeutsche Landesbank, la Banque d'Asie de l'Est et la Banque industrielle et commerciale de Chine.
La Banque de Chine a annoncé jeudi qu'elle a corrigé ces pratiques illégales dans ses deux succursales lors de l'enquête et a sanctionné les personnes impliquées.
Au début du mois, l'AEDE a déclaré qu'elle continuerait à endiguer l'afflux de capitaux spéculatifs et à lutter contre les activités illégales en devises étrangères. Cette action a été lancée en février."

A bientôt.
René.

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