mardi 4 janvier 2011

« Près de l'église, loin du paradis. » Proverbe Gascon. Pareil pour la mosquée et à méditer par les talibans.

Salut à la famille sangliers que j'ai croisé hier sur ma route.

Bon, à midi et demie, j'ai été mangé dehors, donc pas d'écrit pour le moment. Par contre, un article du Canard Enchaîné, n°4704, a éveillé ma curiosité sur la biologie synthétique.

"Jeudi dernier, 58 groupes et associations écolos du monde entier (mais, pas un seul français) ont envoyé une lettre alarmante à la commission présidentielle américaine, qui vient de plancher sur la biologie synthétique. Ils critiquent ses conclusions. Disent qu'elles piétinent le principe de précaution, qu'elles n'offrent aucune garantie contre l'évasion dans la nature d'organismes synthétiques, qu'elles comptent une fois de plus uniquement sur la prétentue autorégulation des industriels, dont on sait à quoi, elle mène....
La biologie synthétique, qu'ès aco ? C'est la nouvelle "révolution" scientifique en cours. Celle qui, d'après ses promoteurs, renvoie clonage et OGM au rang de bricolage d'amateurs. Celle qui va offrir à l'homme un extraordinaire "potentiel pour façonner le monde"."

Tiens donc, à chaque fois que les scientifiques essaient de nous vendre leur salade, c'est un truc super dément pour améliorer notre état d'être humain.
Nom d'un petit homme en bois, je suis content de le savoir. Enfin, la science va nous sauver. Depuis, le temps, il serait temps !
Mais, question bête, "Doit-on être sauver par la science ou sauver de la science ?
Sauf que, sauf que, personnellement, je ne me sens pas sauver pas la science, plutôt mis en danger.
La science a transformé mon alimentation en poison que j'ingurgite faute de choix. La science a eu pour résultat la pollution généralisée de la planète. Elle tue également la nature en éradiquant la bio-diversité et j'en passe et des meilleurs. La science couplé avec la cupidité fait donc mauvais ménage.
Et, c'est là, la quadrature du cercle !
Alors, que faut-il faire, mes trois chers lecteurs ? Car, laisser les savants fous sans bride, c'est laisser le diable entrer dans la maison.
Il y est déjà me direz-vous, mais, ce n'est pas une raison pour lui laisser prendre plus de place.
La déontologie, me direz-vous ? Demandez à Mosanto qui nous inonde d'OGM et de pesticides, qui veut contrôler le vivant avec d'autres malades mentaux, quelle est sa déontologie ?
La biologie synthétique nous amènera à des aberrations encore pire.
Alors, faut-il arrêter le savant fou et le balancer dans une oubliette ?
Moi, je suis pour.
Pourquoi ?
A cause de la cupidité !
Cette fameuse cupidité qui fera que de toute façon, la recherche sera dévoyée au profit de, justement, du "PROFIT".
Alors, est-ce le savant qu'il faut jeter aux oubliettes ou l'industriel qui exploitera sa recherche ?
Ben, les deux mon capitaine !
Et, là, je me mets à comprendre le repli sectaire des talibans vers une vie purifiée du croyant.
Sauf que pour combattre la folie des hommes, ils utilisent leur propre folie.
Alors, aux oubliettes, eux aussi ?
Eh, oui, mon capitaine, tous aux oubliettes !
Et, que met-t-on en échange pour faire rêver les hommes ?
Eh, bien la conquête de l'espace, tout simplement.
Au moins, nous mobiliserions les ressources de la planète pour aller exploiter celles d'autres. Mais, au moins, l'aventure vaudrait la peine. Plutôt que les épuiser et se retrouver un jour sans possibilité de la quitter.
Ouh, là, là, rien que cette idée me rend claustrophobe.
Voilà, et comme, je n'ai plus envie d'écrire, je vous laisse sur cette pensée profonde, "L'espace est l'avenir qui nous a été donné par dieu !"
C'est ce que disait les espagnols en découvrant l'Amérique et en se préparant à massacrer les indigènes.
A bientôt.
René.

PS : Et, à quand la prison pour les responsable de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) ?
Bientôt, je vous ferais l'analyse des compteurs que je mets sur mon site.

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