jeudi 6 janvier 2011

Aujourdh'ui, je n'ai pas envie d'écrire. Peut-être un peu de vague à l'âme. Ce soir, peut-être, mais, ce n'est pas sûr.
Cependant, je vous invite à réfléchir à l'ironie de l'histoire, les occidentaux ont pris les ports chinois par la force pour pénétrer dans le pays et surtout se garantir le trafic d'opium et aujourd'hui, pacifiquement, la Chine contrôle le port du Pirée en Grèce, ce qui lui ouvre une porte vers l'intérieur de l'Europe quelque soient les aléas.
Intéressant, ne trouvez-vous pas, mes trois chers lecteurs ?
René.

Mais, pour reprendre ce qui me met en colère au sujet d'un petit con de socialiste qui n'a jamais été garçon de ferme, jamais travaillé en lorraine à la grande époque des laminoirs, qui n'a jamais travaillé dans le bâtiment ou dans les chantiers navals ou à nettoyer les soutes des pétroliers en construction à côté de Toulon, à ce "salaud" qui veut me faire travailler cinq heures de plus, je dis, ",Toi, tu es à l'assemblée nationale ou dans ta mairie et les gens continuent à crever dans ton département ou dans ta commune, qu'est-ce que tu fais ?
Exscusez-moi, mais, les gens qui sont tranquilles chez eux et qui donnent des leçons aux travailleurs qui ne gagnent même pas leur salaire, ça m'énerve.
Je ne vais pas dire que dire que je me suis battu pour mon peuple, le peuple kanak et que j'ai été viré par ceux qui voulaient des postes. Mais, si, je dis. Et, l'autre, il veut me faire travailler cinq heures de plus parce que le Medef avec sarko veulent nous la faire comme aux Etats Unis ? Et, vous imaginez, que l'on va accepter, malgré que vous soyiez à la botte du Medef en complicité avec les syndicats ?
Bon, j'arrête les apartés, je vais m'occuper de ma femme.
Il serait peut-être temps que le parti socialiste vire les gens de droite qui se sont introduit chez eux !
voilà l'aparté, je reprends le court de ma lettre avant que je revienne chez moi. Et, comme ma femme est malade, que je dois assurer, que je fais à manger pour lui apporter au lit parce que je l'aime, je vous laisse lire ce que j'ai écrit avant de reprendre le travail. Et, en fait, je l'aime tellement que je mèle les pinceaux dans ce que j'écrits. Ce soir, je lui fais des pâtes bolognaise. En fait, débrouillez-vous dans mon écriture, je m'occupe d'elle !
La dernière chose à dire, c'est que même dans le parti socialiste français, y'a des affidés du MMedef
Je pose une question, quand le gouvernement et les abrutis du parti socialiste vont continuer à nous mentir sur les 35 heures. Le dénommé Valls que, à mon avis, ses électeurs ne devront surtout pas reconduire, s'imagine sans doute que cela va me faire plaisir de travailler cinq heures de plus. Il a été acheté par le Medef ou quoi ?
A ce type, je dis, "POURRITURE !" Et, si, jamais, je le rencontre, je me ferais une délectation de lui dire en face.
Faudrait qu'ils arrêtent ces politicards de merde de dire qu'ils nous défendent en nous plongeant toujours plus la tête dans la fosse "à merde".
Qu'il adhère à l'Ump ou moins, on saura dans quel camp, il est rééllement.

(source : Alternatives Economiques)

"35 heures :les contresens d'Hervé Novelli
Denis Clerc | Article Web - 03 janvier 2011

L'ex-secrétaire d'Etat au Commerce Hervé Novelli commet un double contresens quand il attribue aux 35 heures un coût du travail français qu'il croit supérieur à celui de l'Allemagne. En réalité, les coûts du travail français et allemands sont très proches, et ne dépendent pas vraiment de la durée légale du travail.
Dans Les Echos du 27 décembre, Hervé Novelli, le secrétaire général adjoint de l'UMP affirme, dans un entretien avec Véronique Le Billon, que « Le coût du travail français est supérieur au coût du travail allemand depuis le début des années 2000, c'est-à-dire peu ou prou depuis que nous sommes passés aux 35 heures ».
Effectivement, l'indice (base 100 en 2000) du coût du travail horaire dans l'industrie manufacturière (seul domaine où la comparaison ait un sens, puisque les producteurs ont le choix entre produire sur place ou délocaliser, et les consommateurs entre acheter made in France ou fabriqués à l'étranger), est à 130,7 en 2008 (dernière année connue) en France, contre 119,1 en Allemagne. L'évolution est donc très nettement en défaveur de la France. Mais ce n'est pas à l'évolution que M. Novelli fait référence. C'est au niveau qu'il en a. Et il a tort. En 2000, le coût horaire du travail (cotisations sociales et congés payés inclus) s'élevait à 24,98 € en France et à 27,60 € en Allemagne, soit 10,5 % de plus. En 2008, les niveaux se sont presque rejoints, l'évolution ayant été plus rapide chez nous qu'outre-Rhin : 32,36 en France, contre 32,87 en Allemagne."
A bientôt.
René et j'en ai marre des connards qui vont le lit du Front Nationa !

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