vendredi 12 novembre 2010

"La forme d'amour la plus accomplie est "al fanaa", l'anéantissement en Dieu." Proverbe Soufi.

Salut aux artistes de la rue qui tendent la main pour un bout de pain. Le pain se fait rare et la pitié aussi.

Mes trois chers lecteurs, je dois vous poser excuse. Je n'ai pas pu écrire hier parce qu'une coupure d'électricité m'a coupé du monde depuis deux jours. Elle vient juste de se terminer et aussitôt,je me suis précipité sur le blog.
Donc, reprenons le cours de l'histoire.
Eh, bien, notre président national qui préside le G20 va avoir du mal à en faire l'expression de sa capacité à transformer l'essai en réussite personnel.
Il y décidément trop de méfiance entre les différents "partenaires".
Eh, oui, eh, oui, mes trois chers lecteurs, l'ultra-libéralisme génère ses propres contradictions et il oublie d'en conceptualiser les méthodes pour moduler les tensions qu'il crée de fait.
Surtout, il oublie d'indiquer la porte de sortie.

(source : Orange.actualités)

"Une croissance inégale et des déséquilibres croissants alimentent la tentation d'abandonner des solutions communes en faveur d'actions non coordonnées", affirme le G20. Ce genre d'actions "non coordonnées ne peuvent que faire empirer la situation pour tous", ont jugé les pays du G20, toutefois beaucoup plus timides lorsqu'il s'est agi de prendre des mesures concrètes."

Ah bon, comme, je le pensais bêtement, ce n'est pas au chantres de l'ultra-libéralisme comme en France Alain Minc de concocter les recettes de sortie de crise.
Alors, à quoi, ils servent ces bons messieurs qui nous entraînent dans une direction sans savoir ce qu'il va se passer au bout ?
Surtout que ces chantres soutiennent ou inspirent des plans de rigueur drastiques et dommageables pour le pouvoir d'achat. Ce qui inquiète certains pays émergents dont le Brésil.

(source : Le Point.fr)

G20
Selon Lula, le monde "va à la faillite" si les pays riches ne consomment pas plus.

Les pays riches doivent développer leur consommation intérieure, comme l'ont fait les pays émergents, et ne pas compter seulement sur les exportations, car sinon le monde ira "à la "faillite", a déclaré, jeudi, à Séoul le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.

Si les pays développés "ne consomment pas et misent uniquement sur les exportations (pour sortir de la crise), le monde court à la faillite", a averti devant la presse le président brésilien, peu avant le début d'un sommet du G20 centré sur les déséquilibres économiques mondiaux et la "guerre des monnaies". Lula, dont c'est le dernier G20 en tant que président, a également fait part de son inquiétude quant aux conséquences des politiques d'austérité mises en place par les pays développés, soucieux de réduire leurs énormes déficits publics, à la suite des différents plans de soutien qu'ils ont lancés au plus fort de la crise financière."

Mais, mon cher président Lulla, la consommation des ménages n'est pas la boule de cristal de l'ultra-libéralisme que vous avez su pratiquer avec brio. Pour vos inquiétudes, veuillez vous adressez-vous à votre ami sarkozy à qui vous deviez d'ailleurs acheter des avions de combat, ce dont plus personne ne parle d'ailleurs.
Faut dire que si personne ne les a acheté jusqu'à présent, on ne voit pas pourquoi, vous devriez le faire, juste pour la bonne bouille de sarko.
Mais, ce n'est pas le sujet, le sujet est : le G20.
Donc, nous disions, ça discutaille dur à la foire d'empoigne.
Et, en fait, personne ne sait comment en sortir avant que l'arme lourde du protectionnisme ne sorte des placards.
"LE PROTECTIONNISME", dites -vous !
Eh, oui, le protectionnisme, mes trois chers lecteurs, qui sort comme un diable dans sa boîte lorsque les pays dits "encore développés" ne savent pas comment retrouver le chemin d'une croissance à 1 chiffre.
Comme notre beau pays, la France, gouverné par des génies de la casquette.
Tellement, géniaux d'ailleurs, qu'on en finit plus de plonger dans la destruction d'emploi.
De la faute à qui ?
Eh, bien, il faut le dire, en partie, au syndicat patronal, le MEDEF et à sa présidente tellement géniale comme notre président à deux cerveaux, qu'elle enfonce le tissu économique des pme au profit des grandes entreprises.
Bravo, ça au moins, c'est la classe !
Par contre, je vous le dis que si, notre président avait deux cerveaux comme l'a déclaré sa femme à un magazine, nous n'en serions pas là, en France.
Et, je vous dis aussi, que sa présidence du G20 va être un gros foutoir parce que manifestement, il n'est pas à la hauteur.
Autrement, répétitas, nous n'en serions pas là en France.
Pourtant, je vais lui faire une flleur, comment le serait-il alors que tout le monde tire la couverture à soi !
Le G20, c'est un panier de crabe et il n'est pas pêcheur de crabes.
Sans compter qu'il n'a pas le respect de ses homologues.
Alors ?
Une présidence, peut-être pour pousser les copains, qui sait ?
De toute façon, on verra bien.
En tout cas, une guerre économique se profile que seule une guerre réelle pourra atténuer selon certains va-t-en guerre. Contre l'Iran par exemple.
Vous ne me croyez pas, eh bien, je vous fais une autre annonce. L'espèce humaine ne comprend pas les enjeux de lutter contre le changement climatique. Alors, je vous annonce un dé-réglement climatique. Il fera chaud là où il doit faire froid et froid là où il doit faire chaud. Compter quatre mois à partir de celui-ci.
Vous me croyez ?
Ah, ah, lorsque je deviens d'une délirance mégalomaniaque, vous avez comme un recul.
Bien, bien, cela signifie que je suis encore capable de vous surprendre.
Et, sur ces paroles, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.

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