mercredi 3 novembre 2010

(blog à finir, brouillon)

Bon, je vais essayer de préciser ma pensée lorsque je dis que nous sommes la moitié de la solution et la bio-diversité est l'autre.
Considérez mes trois chers lecteurs que notre corps est une masse de cellules réparatrices et génératrices de potentiels non identifiés. Pour réparatrices, prenez l'exemple du poids des années qu'elles pourraient retarder ou rendre caduc.
Toutes ces cellules sont dormantes, mais, elles existent tant qu'elles ne sont pas activées.
A mon avis, elles peuvent l'être par des processus mentaux dont nous ignorons tout (les tibétaines en parlent) ou par les principes actifs présents dans la bio-diversité.
Pourquoi par les principes actifs présents dans la bio-diversité ?
Simplement parce que nous ignorons tout de la manière de les activer mentalement. C'est pourquoi, la voie la plus simple est d'explorer l'ensemble de la bio-diversité, celle connue, celle imparfaitement connue et celle encore inconnue.
En l'occurrence, il ne s'agit pas de trouver la bonne molécule contenant le bon principe actif pour répondre à une maladie identifiée ou déclencher un mécanisme inconnu de nos hémisphère cervicaux. Il s'agit de trouver le principe actif qui rendra opérationnelle ladite cellule dormantes.
Cependant, ce type de processus, on le connaît ou on croit le connaître.
Ce dont je parle, c'est de trouver "la Clé" qui permettra comme pour une serrure de déclencher la mise en route de ladite cellule.
En sachant que comme une clé n'ouvre pas toutes les portes, un principe actif ne déclenchera l'activation que d'un mécanisme.
La difficulté étant de provoquer un réveil sans savoir qu'elle porte, elle ouvrira et si, il ne faudra pas plusieurs déclencheurs pour obtenir un seul effet.
Le cerveau avant la nature est le premier mystère que l'homme doit affronter. Il n'a fait que le cerner s'imaginant être le point final de l'évolution alors qu'il recouvert de maladies.
Moi, je pense que si l'homme est une finalité parmi d'autre, il ne dépassera cette condition qu'en symbiose avec son environnement. Ou alors, pourquoi existe-t-il.
La bio-diversité est l'une de ces clés, la bio-diversité et notre corps.
Il est comme une boîte à outil. Sauf que l'outil n'est rien sans la main qui l'utilise. Pour moi, la bio-diversité est cette main.
Alors, à chaque fois, qu'elle se meurt, c'est un champ de possibles qui est retiré à l'homme. Un champ de possible qui lui permettra de dépasser sa misérable condition d'être souffreteux.
Drôle d'idée que celle que je vous développe, me direz-vous, mes trois chers lecteurs. Rendez-vous compte, à chaque fois qu'une industrie polluante détruit un espace de bio-diversité, c'est tout un champ de possibles qui est ôté à l'homme.
Bon, pour aujourd'hui, je vais m'arrêter là avant de trop vous soûler. Je n'ai pas trop bien exprimé ma pensée, mais, si vous avez compris le rôle de la bio-diversité par rapport à nous, alors, vous avez déjà compris quelque chose. Et, je préciserais ma pensée en m'adressant aux croyants, "Croyez-vous que la bio-diversité nous ait été accordé comme ça, pour rien ?"
Mais, passons, peut-être que l'année prochaine, je la préciserais un peu mieux. Pour l'instant, elle reste un peu confuse tant que je ne vous expliquerai pas le comment et l'art et la manière. Il est vrai que je ne vais pas vous livrer les clés du paradis sans contrepartie, par exemple, le rétablissement de l'âge de la retraite à 60 ans dans le système français de retraite par répartition.
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, rien n'est gratuit en ce vaste monde !

(Bon, à tout de suite, j'ai du boulot à faire)

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