samedi 25 septembre 2010

Salut les artistes, artistes funambules ou artistes de la vie. Il faut savoir une chose, tout est encore possible !

Bon, il me semble que désormais à l'anathème posé par Descartes, "Je pense, donc je suis", il faille introduire une correction dans l'énoncé et le présenter comme suit, "Je me pense, donc je suis".
Attention, mes trois chers lecteurs, je vous entends "penser". Vous, vous dites, "Mais, comment ose-t-il se comparer à Descartes, ce monument de la pensée française !"
D'abord, n'oubliez pas, il n'y a que les élèves à la recherche d'un maître qui adhèrent à 100% à des idées qu'ils ne sont pas capables de remettre en cause. Sans doute par un manque d'outils intellectuels ou simplement par manque d'intelligence.
Perso, je tournerais ma réflexion différemment. Je me poserais la question bête et méchante, "Mais, que veut-il dire ?"
Alors, c'est simple mes chers trois lecteurs, je parle là de la perception et de la réactivité de notre corps par rapport à cette perception.
Euh, ça veut dire quoi, au fait ?
Ben, que nous avons manqué un coche, tout simplement, vous répondrais-je.
Oui, mais, quel coche ?
Juste celui qui permet à notre cerveau d'interpréter l'injonction d'un désir pour, littéralement, commander à notre corps de mettre en place les outils pour le satisfaire.
Putain, c'est trop fort, mais, qu'est-ce que cela signifie ?
Je vous pose alors cette question, est-ce que vous vous souvenez que dans une lettre, je disais que nous étions la moitié de la solution et que la bio-diversité était l'autre....non ?
Et, bien relisez-moi, mes trois chers lecteurs, je pense que c'était l'année dernière.
Et, pourquoi, je dis ça ?
Parce que la science dite "moderne" en méprisant certains acquis psychologiques des savoirs anciens en ce qui concerne la santé a tout simplement manqué une partie de "l'essentiel".
Pour moi, elle a manqué le paramètre du psychisme et l'autre abruti de Freud a noyé le poisson dans l'eau avec ces théories à la con.
Et, oui, c'est bête pour elle, je veux dire la science moderne.
Car, la science, dans sa certitude interventionniste imagine depuis son hégémonisme, pouvoir soigner ou corriger, même les déviances mentales. Cela en intervenant directement à l'intérieur du cerveau. Ces erreurs, des crimes à mon point de vue, non reconnues par la société civile qui n'a jamais appris à contester le pouvoir scientifique, contrairement au pouvoir politique, a conduit à la lobotomisations, entre autre.
Et, même, après avoir reconnu des erreurs, pour lesquelles, il ne fut jamais condamné, les scientiques continuent à vouloir triturer le cerveau.
Et, bien, moi, je dis que toutes leurs théories fumeuses sont le produit d'esprits criminels.
Je dis que le désir de guérir peut passer aussi, comme, je l'ai entendu dans une émission de France Inter par le passage à des placébos.
Je m'explique.
Comme, je vous l'ai expliqué une fois, chez les kanaks, pour devenir invisible, il suffit de mettre une feuille devant ses yeux et le monde extérieur perd toute perception de votre enveloppe corporelle.
L'être humain a des possibilités de chercher en lui même des moyens de se soigner, mais, il a perdu la route depuis longtemps.
Aujourd'hui, et bien avant déjà, il a eu besoin d'un symbole extérieur pour lui permettre de retrouver cette route et trouver en lui même le ou les déclencheurs qui mettront en place les mécanismes de la guérison.
Le tout est de déclencher le ou les mécanismes en trouvant le bon placébo.
A mon avis, les scientifiques devraient plutôt chercher la route pour que l'on s'en passe.
Voilà, ça sera tout pour aujourd'hui et bonne réflexion, même, si après lecture, vous me traitez de pauvre débile, naze ou pathologiquement atteint comme notre président national.
A bientôt.
René.

Aucun commentaire: