Salut aux gens du voyage, aux gens des nuages, vous êtes devenus les juifs de Sarko !

Que dire d'une France gouvernée par les idées des anciens d'occident et du GUD (mouvement étudiant d'extrême droite)? Rien de bon, croyez m'en !
Ces gens là, s'en foutent du français moyen et n'ont eu dans leur jeunesse que regards de mépris pour ceux qui au chômage n'ont pas pu remonter à la pente.
Ces fils de la bonne bourgeoisie de droite, anciennement inféodée au pétainisme le plus radical et désormais adeptes du libéralisme le plus radical.
Sarkozy au milieu ne déteint pas, au contraire, il adopte les comportements, les idées et les rictus de mépris, sans compter les conversations de salons où le français n'est qu'un mouton que l'on peut tondre à l'envie.
Ils rigolent dans leurs salon en pariant les français du commun trop cons ou trop abatârdis pour réagir à leur boulimie de détruire les acquis sociaux, pour réagir à leur volonté de nous renvoyer au début du 20ème siècle.
C'est bien pour cela qu'il faut être nombreux à la manifestation du 23 septembre. Nombreux et déterminés !
En attendant, chacun combat comme il le peut le rascisme déclaré de notre président national.

(source : El Watan, correspondant Lyon)

Des jeûneurs volontaires protestent contre la loi sur l'immigration

La loi sur l'immigration sera débattue par les députés à la fin du mois. Les protestations se multiplient, notamment dans les mouvements humanistes, avec une expression ultime : une grève de la faim...
C'est aujourd’hui, lundi 13 septembre, qu'Eric Besson, ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale présentera devant la presse «le projet de loi relatif à l'immigration, à l'intégration et à la nationalité», qui sera soumis à l'Assemblée nationale à partir du 28 septembre prochain, et les amendements gouvernementaux qui seront proposés, concernant notamment la déchéance de la nationalité et la lutte contre l'immigration irrégulière. Décidément sous tous les feux après les remises en cause internationales de la politique d'expulsion des Roms, dont la dernière est le vote, jeudi, d'une résolution critique par le Parlement européen (où pourtant la droite est majoritaire), le ministre va tenter de justifier l'empilement des dispositions prises au fur et à mesure des faits divers de ces derniers mois. Déjà, ce projet de loi soulève nombre de protestations, dont une manifestation rarement utilisée pour ce prétexte, une grève de la faim.
Ils sont prêts à donner d'eux-mêmes et de leur santé, en jeûnant, pour lancer un cri d'alarme : «En acceptant peu à peu de considérer les migrants comme des personnes de ‘‘moindre droit’’, nous perdons par là même une part de notre propre humanité». C'est ce qu'ils refusent. Les jeûneurs craignent «un bannissement des migrants, traduit par l'interdiction de retour en France et dans toute l'Europe pour une période de 2 à 5 ans qui va toucher des familles, des réfugiés ou encore des personnes qui demandaient protection». Ils fustigent la «création de zones d'attente sauvages qui visent à exclure les migrants de l'espace public, par un enfermement ou une mise sous surveillance. Ces pratiques, outre de les exclure du droit, placeront les migrants entre les mains des préfectures et des services de police», estiment-ils."

Bon, comme, je suis atteint d'une flemmingite aigue, cela sera peut-être tout pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.