mardi 15 décembre 2009

"Mieux vaut entendre parler du roi que de le voir". Proverbe Finnois. Pourtant, quelqu'un m'a dit que le roi est nu, vu les derniers sondages.

Salut à ceux qui font mourir de froid. N'oublions pas que la France est riche.

Ainsi, Mosanto ne produirait que pour le bien de l'humanité. Les anti changements climatiques également doivent aussi penser au bien de l'humanité si le résultat final est le même. Je vais dire ça à la calotte glaciaire qui part à vau l'eau, elle sera contente et les ours blancs de même.

(source : Le Monde du 15 décembre 2009, p6)

"Les trois maïs génétiquement modifiés de Mosanto auraient des effets nocifs.

Selon une étude publiée dans la revue "International journal of biological science, trois variétés de maïs génétiquement modifié du semencier américain Mosanto, les MON810, MON863 et NK603, autorisées pour la consommation animale et humaine dans l'Union Européenne et aux Etats Unis, présenteraient un risque de toxicité. Des expériences effectuées sur des rats ont mis en évidence des effets délétères sur les reins et le foie des rongeurs, signe que ces OGM "ne sont pas suffisamment sains pour être commercialisés", estime Gilles-Eric Séralini, (université de Caen), l'un des auteurs de l'étude à laquelle a participé le Comité de recherche et d'information indépendant sur le génie génétique (Criigen). "Les tests de Mosanto, réalisés sur 90 jours ne sont pas assez longs pour dire si cela déclenche des maladies chroniques, ajoute le chercheur, Nous demandons des tests d'au moins deux ans". (AFP)

Ainsi donc Mosanto, nous empoisonne.Il y aurait donc un acte volontaire d'empoisonnement de la part de cette multinationale américaine. Tout ça pour du fric !
Et, je ne parle pas de tous ces scientifiques qui ont soutenu la commercialisation des ces OGM en Europe en clamant qu'ils étaient neutres pour la santé.
A quand des condamnations pour mise en danger d'autrui.
A moins que les scientifiques ne soient intouchables ? Comme leur patron, Mosanto !

Et, pendant ce temps, l'iceberg géant continue à inquiéter l'Australie.
(source : les Nouvelles Calédoniennes de ce jour)

"Des nouvelles de l’iceberg géant
Le monstre de glace, qui dérive vers l’Australie, est activement surveillé par satellite (notre édition du 11 décembre). D’autant qu’il pourrait être très dangereux pour la navigation. Les scientifiques estiment en effet que cet iceberg géant, baptisé B17B, va sans doute se disloquer lorsqu’il pénétrera dans les eaux plus chaudes aux abords du continent australien, générant des centaines de petits icebergs. Le bureau de météorologie australien a indiqué vendredi avoir déjà prévenu les marins de la présence de l’iceberg « à environ 1 700 km au sud-ouest de la côte d’Australie-Occidentale ".

A mon avis, une photo de cet iceberg serait bienvenue pour les militants de Copenhague. Car, la calotte glaciaire du nord et du sud se délitent plus vite que prévu. Et, les avis des sceptiques ne changent rien sur l'évolution sur le terrain.

Mais, revenons à la crise économque et aux réglementations imposés par les états pour
revenir à la croisance ou surveiller les flux de capitaux. Parfois, elles peuvent s'avérer nuisibles aux buts qu'elles se fixent. Ainsi, en Algérie :
(source : El Watan de ce jour)

"Conséquences de la généralisation du crédit documentaire : Des usines ferment, des produits se raréfient

Imposé aux entreprises comme unique mode de financement de leurs importations, le crédit documentaire est sur le point de paralyser les unités de production algériennes et d’installer progressivement la pénurie. Faute de matières premières et de pièces détachées, de nombreuses usines ont déjà commencé à ralentir leur cadence de production, lorsqu’elles ne sont pas carrément à l’arrêt, de même qu’il est loisible de constater la disparition d’un large éventail de produits de consommation au niveau des commerces de détail. Les chefs d’entreprise et les commerçants interrogés sur la question imputent la situation à la loi de finances complémentaire pour l’année 2009 qui a subitement fait obligation aux banques de n’accepter comme mode de paiement des importations susceptibles d’être engagées par leurs clients (entreprises de production ou simples importateurs de produits destinés à la revente en l’état) que le crédit documentaire.

C’est un mode de paiement de plus en plus abandonné de par le monde en raison de sa rigidité, son excès de prudence au seul avantage des fournisseurs et l’exigence d’une disponibilité de trésorerie que très peu d’entreprises peuvent se permettre. S’il est tout à fait vrai que le crédit documentaire offre l’avantage de la traçabilité dans les mouvements de capitaux exportés dans la mesure où les transactions commerciales ne peuvent s’effectuer que sur présentation des documents requis, il n’en demeure pas moins que son imposition sans préparation aucune, aussi bien pour les banques que pour les entreprises, n’a pour l’instant produit que des nuisances déjà largement perceptibles à travers les pénuries et les arrêts de production qui affectent certaines usines.

Les chefs d’entreprise et importateurs imputent ce malaise à l’excès de précipitation à mettre en œuvre ce mode de paiement subitement imposé à tous les opérateurs économiques algériens, sans exception, sans avoir donné aux banques le temps d’aménager leurs locaux en conséquence et de former leur personnel aux procédures complexes du crédit documentaire. En a résulté un encombrement des guichets de commerce extérieur des banques, qui ne sont plus en mesure de répondre dans les délais impartis aux sollicitations des entreprises, qui voient ainsi se rompre les cadences d’approvisionnement qu’ils étaient parvenus à assurer grâce aux relations de confiance patiemment tissées avec leurs fournisseurs. Imposé par la loi de finances complémentaire dans le souci de réduire la facture d’importation qui avait explosé en 2008 et de réduire les financements informels générant des fuites de capitaux, le crédit documentaire est perçu par les banques non pas comme un moyen de paiement parmi tant d’autres, mais comme un moyen de contrôle d’opérateurs qu’il faut surveiller de près".

Bizarre, bizarre, avez-vous dit ?
Et, oui, il y a des jours avec et des jours sans.
En tout cas, le Medef, syndicat patronal français a raison de vouloir investir 5 milliards d'euros en Algérie. Bonne bourre, comme, on dit chez nous !
A mon avis, l'Algérie aurait du prendre conseil de Sarkozy.
Par contre au sujet de Copenhague, la seule manière de réduire la pression humaine sur la surface de la planète est le contrôle familial.
Il faut faire comme la Chine, dans tous les pays du monde, une famille, un enfant unique. De cette façon, nous irons plus vite pour modifier les évolutions du changement climatique.
Et, là, je donne un argument très fort à la Chine qui le pratique déjà. Qu'elle exige des autres pays du monde qu'ils fassent comme elle. Sinon, qu'ils lui accordent des crédits carbones.
Cela, vous laisse sceptiques, mes trois chers lecteurs, eh, bien,je vous laisse imaginer une terre peuplée de 9 milliards d'individus. Déjà, qu'actuellement, on n'en peut plus, alors, je ne vous dis pas comment cela se passera.
A mon humble avis, vous devriez réfléchir avant qu'on ne finisse par s'entretuer pour l'eau potable et la nourriture.
Et, comme, je n'ai pas trop envie de causer de la misère d'un nombre grandissant de français et de l'opulence d'une petite partie de la population protégée par notre président national, je vous propose ce texte avant de vous quitter.

Peau noire

Sur ta peau satinée, j’ai promené mon regard
Elle est si douce, ma belle
Que je ne peux que t’effleurer de mes doigts
Insatiables.
La sensation est si douloureuse
Que ne je ne sais que l’aimée.

Dans mon lit,
Ton corps sombre sur mes draps blancs
Est comme un appel au désir.

Tes lèvres sont comme l’envie éternelle
Qui ont perdu Adam et tous les miens.

Ton vagin est comme la fleur
De la perte de mon humanité.

Tes fesses dont la forme me trouble
Sont comme la face du monde, essentiel
Dans sa beauté.

Tes seins lourds
Me renvoient en souvenir
Les fruits les plus pulpeux.

Ton corps de maternité
Est comme la source de mon désir.

Parfois, je te veux
Parfois, je te refuse

Pour être à la fois mère
A la fois, amante.

Pourtant, ma liberté m’éloigne.
Qui me laisse seul sur le rivage.


Paris, le 05/12/2009

A bientôt.
René.

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