jeudi 29 décembre 2011

Salut à tous les surendettés de France et de Navarre, sarko finit de vous passer la corde au cou. Bientôt, vous dormirez dehors avec vos enfants, comme ceux qui installer à demeure dans les camping vont se voir jeter dehors. Eh, oui, avec ce gouvernement, c'est toujours les pauvres qui trinquent.

Mais, qu'est-ce donc là, mes quatre chers lecteurs, avant l'élection présidentielle dans quatre mois, notre président national place partout des hommes de confiance à lui.
Pourquoi, dieu, fait-il cela ?
Alors, comme, je suis un esprit pervers dont vous avez pu éprouvé la malignité, mes chers quatre lecteurs, je le dis vertement et droit dans mes hommes bottes, placer ses mecs à la justice et à la police pourrait servir à dissimuler quelques petites fraudes électorales à la marge, mais, suffisantes, pour le faire réélire.
Oh, mon dieu, sans doute, allez-vous suggérer, avec raison d'ailleurs, il n'oserait pas !
Sauf, qu'il faut dire qu'il est prêt à tout pour être réélu en sachant parfaitement qu'une majorité de français ne le veulent plus comme président.
Pourtant, il va y aller et à mon avis, il mettra toutes les cartes de son côté.
Après tout, son homologue russe a fait de même qui ne compte pas lâcher le pouvoir.
Même aux Etats-Unis, il y eut un bisbille lors de l'élection présidentielle qui vit la réélection de Bush junior.
Et, cela était passé quand même.
Et, il s'agissait aussi de cette marge qui a fait que l'élection a basculé en faveur de Bush. Un petit rien finalement qui peut donner lieu à des batailles pour annulation qui n'aboutissent jamais. L'homme fort restant au pouvoir.
Alors, est-ce cela qui nous attend ?
A voir, mes quatre chers lecteurs, parce qu'entre-nous, placer ses hommes liges partout, il aurait pu le faire avant.

(source : Libération, Mis à jour à 20:30)

«Sarkozy place ses hommes» : le PS s'insurge
«Magistrats, policiers, préfets, patrons: Nicolas Sarkozy poursuit son verrouillage de l'Etat»: l'enquête de «Libération» de ce mercredi a provoqué de multiples réactions au PS. Où des ténors s'insurgent contre «des nominations en série à des postes-clés de l'Etat».
"Sarkozy place ces hommes". C'est la manchette de Libération de ce mercredi, qui rappelle dans un événement de quatre pages, qu'"à la veille d'entrer en campagne, le chef de l'Etat a installé des intimes et des hommes de confiance aux postes-clés de la justice, de la police et de la finance". Dans la foulée, plusieurs ténors socialistes ont accusé aujourd'hui Nicolas Sarkozy d'avoir engagé "des nominations en série à des postes-clés de l'Etat".
Ils y voient un signe de "fébrilité" de l'Elysée et une volonté de "verrouillage", à l'approche de la présidentielle. "Magistrature, police, préfectorale, les nominations des amis de Nicolas Sarkozy aux postes-clés de la République s'accélèrent", a ainsi estimé dans un communiqué François Rebsamen, chef de file des sénateurs PS et responsable de la sécurité dans l'équipe de François Hollande. "C'est sans doute le signe de sa fébrilité face à l'échéance de mai 2012, mais c'est aussi l'expression de sa conception de la République", ajoute le sénateur-maire de Dijon, critiquant un Nicolas Sarkozy qui "joue au DRH de l'Etat"."

Ah, le pouvoir, surtout lorsque l'on se prend pour le messie. Parce qu'à mon avis, sarko est passé à la vitesse supérieure, de super héros, il est passé à messie.
C'est cela, grimper l'échelle sociale en France et ce n'est plus donné à grand monde.
En tout cas, ce qui n'est pas donné à tout le monde, c'est son caractère obstiné et mégalo. Pourtant, pourtant, de plus en plus de voix annoncent que ses interventions avec Angela Merkel ne vont pas dans le bon sens.
Mais, il n'écoute pas, il est persuadé d'avoir raison et tous ses ministres doivent être au diapason, même, si, ils ne sont pas d'accords. Ils nous font le choeur des perroquets.
Alors, je dirais encore, bis répétitas, il faut geler le remboursement de la dette et réinjecter cet argent dans les économies nationales.
Cela n'est quand même pas dur à comprendre. A moins qu'ils n'attendent tous, d'avoir liquidé définitivement la protection sociale, les services hospitaliers, l'enseignement, le système de retraite, le droit du travail et j'en passe et des meillleurs.
Là, on peut comprendre ce qui les motive, l'intérêt du marché, pas plus, pas moins.

(source : Alternatives économqie, art :Guillaume Duval
Article Web - 12 décembre 2011

"Le piège des « règles d’or »

La généralisation de la règle d'or budgétaire, prévue par l'accord européen du 9 novembre, ne résoudra rien à la crise de l'euro. L'austérité budgétaire généralisée empêcherait au contraire toute politique de relance et menacerait la cohésion de la zone euro.
Le 9 décembre 2011, les chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro se sont mis d'accord pour intégrer à leurs constitutions nationales des « règles d'or » prévoyant que le déficit budgétaire ne devrait pas à l'avenir excéder 0,5 % du PIB. Est-ce de nature à résoudre la crise de la zone euro ? Non, pas vraiment.
Tout d'abord cela ne règle en rien le problème immédiat de la zone : si la crise des dettes publiques s'est aggravée ces derniers mois, c'est surtout parce que la zone est en train de retomber en récession et que, dans un tel contexte, il est impossible de réduire l'endettement public. Au contraire celui-ci s'accroît rapidement comme l'illustre de façon spectaculaire le cas de la Grèce qui est en récession depuis trois ans maintenant. Or aucune mesure de nature à soutenir l'activité n'a été annoncée, ni même d'ailleurs envisagée, lors de ce sommet (...)."

En attendant, tout ce que notre président national est capable pour s'occuper des français, c'est encore et encore de s'attaquer à tous ces salauds de pauvres. En l'occurrence, il s'en prend aux personnes surendettés. Les plus fragiles, merci, sarko !

(source : Agoravox)

"Le cadeau de Noël de Sarkozy aux surendettés !
Même pendant la "trêve des confiseurs" Sarkozy et l'Union pour le Mépris du Peuple prennent des décisions anti sociales....

Ce sont là les surendettés qui "trinquent" !

Le président de la République vient de donner un « cadeau royal » non aux surendettés et notamment aux plus pauvres qu'il n'oublie pas dans ses prières, mais à tous les créanciers aux aguets prêts à envoyer les huissiers.

Ces surendettés, victimes de la crise et surtout de la politique sociale et économique du gouvernement sont de plus en plus nombreux ….
218 102 dossiers ont été déposés auprès des commissions surendettement de la banque de France et 2010....
Ce sont aujourd'hui 950 000 ménages qui seraient surendettées avec en moyenne une dette de 35 000 €.
(...) Un tout petit décret va modifier tout cela et modifier la vie des familles surendettées....Ce n'est pas grand chose « une broutille, une bricole, un détail, une babiole », jugez vous en vous mêmes :
Lors d'une saisie sur salaire, la loi interdit au créancier de prendre la totalité de la rémunération du débiteur afin que celui-ci continue à percevoir un minimum vital pendant le remboursement de son arriéré : le "reste à vivre".
Désormais, la fraction insaisissable est fixe, peu importe le nombre de personnes composant le foyer du salarié, elle dépend des revenus dans le cadre d'un tableau progressif mais ne tient pas compte du nombre de personnes vivant sur les revenus de la famille."

Ah, ces salauds de pauvres, il finira bien un jour par les parquer pour que l'on ne puisse plus les voir Et, sans doute, j'en ferais parti, vu que mon salaire n'est pas élevé et que le travail aujourd'hui est devenu une valeur rare et que surtout, il s'appelle "siège éjectable".
Mais, pas éjectable pour tout le monde, car, pour nos eurocrates, la crise connait pas.
Non seulement, aucune commission anti-corruption n'est mise en place pour ce qui les concernent, alors que beaucoup sont liés à des lobbies. Ils continuent benoîtement à s'accorder des augmentations de salaire.
Avec eux, on ne peux pas dire, la solidarité, ils ne connaissent pas, alors, que ce sont nos impôts qui les "engraissent".

(source : le Soir.be,jeudi 29 décembre 2011)

"L’augmentation du salaire des eurocrates dérange Vanackere

jeudi 29 décembre 2011, 12:03
Le ministre des Finances estime « dérangeant » que les eurocrates bénéficient d’une augmentation de salaire en cette période de crise, rapporte le Standaard.

La Commission européenne veut augmenter les salaires de 44.000 de ses fonctionnaires de 1,7 % en janvier prochain. Les pays européens s’érigent contre cette augmentation, estimant qu’en cette période de crise économique tout le monde doit fournir des efforts.
Le ministre des Finances, Steven Vanackere a directement réagi à ces informations sur les ondes de Radio 1, rapporte le Standaard. Il a trouvé cette augmentation « dérangeante », même s’il affirme que la demande des pays européens de geler les salaires des eurocrates ne peut pas être démontrée légalement.
« Au moment où tellement de personnes se serrent la ceinture, il aurait été préférable que la Commission européenne adopte des mesures adaptées. » Steven Vanackere entend par là, des mesures à prendre sur l’augmentation automatique de salaire dont bénéficient les eurocrates."

Et, cela sera tout pour aujourd'hui, mes quatre chers lecteurs.
A demain.
René.

PS : Merci, sarko et Jospin, aussi, un peu moins.

(source : AFP : 29/12/2011 à 12:07)

"Les mutuelles redoutent une "explosion" du système de santé
Le président de la Mutualité française Etienne Caniard s'est dit jeudi "inquiet" pour le système de santé français, estimant que "tous les ingrédients étaient réunis" pour qu'il "explose à plus ou moins court terme".

"Nous sommes inquiets. Quand on regarde la situation financière de l'assurance maladie aujourd'hui (...) tous les ingrédients sont réunis pour avoir un système qui explose à plus ou moins court terme", a déclaré M. Caniard sur France Inter.
Le président de la Mutualité française, qui fédère la quasi-totalité des mutuelles de santé en France, soit près de 600, s'est également dit préoccupé par les difficultés d'accès aux soins: "Le taux de renoncement aux soins - le nombre de Français qui diffèrent des soins pour des raisons financières - augmente d'année en année. C'est préoccupant parce qu'on sait très bien qu'un système de santé ne se détruit pas en six mois mais se détruit petit à petit"."

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