vendredi 2 décembre 2011

Salut à tous les mondes libres de cette planète. Bientôt, il va falloir rester cacher au plus profond des bois.

Hélas, mes chers quatre lecteurs, nous sommes gouvernés par des incapables. Sarko reporte l'effort dû à la crise sur le travail. Comme d'habitude, il est à côté de la plaque.
La crise a été générée par la bulle spéculative et des institutions financières mal intentionnées. Quant-à l'Européenne, elle porte la marque personnelle de sarko qui a voulu par manque de discernement sauvé la Grèce alors que le feu était au lac.
Alors, qu'ils auraient dû isoler la Grèce en en profitant pour mettre en place un mécanisme de sortie de la zone euro pour les pays en grande difficulté.
Quant- se replier sur la France et l'Allemagne pour garder une zone saine, hélas, c'est trop tard.
Car, ce qui était en jeu, ce n'est pas seulement l'euro, mais, l'Europe.
Sarko n'a pas u identifié les vrais enjeux, aveuglé par la certitude de sa grande intelligence et il s'est fait manipulé par les marchés.
Maintenant, il reste les bras ballants sans trop savoir que faire. Tout ce qui lui reste, c'est se raccrocher à Merkel pour garder la tête hors de l'eau.
A court d'argument, il nous balance sa fameuse règle d'or, c'est-à-dire, "Rien".
Mais, que dire, lorsqu'il accepte la nomination d'affidés de la banque Goldman Sachs à des postes majeurs en Europe. Alors, que l'on sait parfaitement que celle-ci parie parie et agit pour la disparition pure et simple de l'euro.
Pourtant, comme d'habitude, cette banque a poussé ses investisseurs à s'engager sur les dettes souveraines européennes, tout en travaillant à préparer la faillite de ces états.
Les taux d'intérêts jouant le rôle d'effet de leviers en ce sens.
Et, là, est ce que à quoi doit s'attaquer sarko et Merkel.
Les marchés américains exercent des actes hostiles contre les peuples européens. Et, là, que nous attendons une réponse de sarko et de tous les autres.
A moins, qu'ils ne soient d'accord pour laisser faire et eux aussi en tirer profit sur notre dos à nous ?
Malgré cela, en sachant cela, sarko et Merkel veulent plus d'Europe.
Quelle piètre réponse !
Les marchés américains et Goldman Sachs compte se faire énormément de bénéfices sur la disparition de l'euro et tout ce que les européens trouvent comme réponse, c'est nommer des affidés de cette banque à la tête de la BCE et autre pour conclure l'affaire.
Que pensaient-ils, neutraliser cette banque en lui faisant des concessions "ENORMES !"
J'ai envie de dire, "Pauvre naîfs !"
Tout ce que vous venez de faire, c'est assurer la fin de l'euro.
Tout le monde le sait et tout le monde vous regarde manoeuvrer.
Alors, que sarko accuse misérablement les 35 heures ou les socialistes, on a l'habitude, dans le rôle qui lui est désormais dévolu, il ne peut être que minable.
Il n'a plus aucune marge.
Sauf, faire porter un effort de petites économies sur le monde du travail, ce qui, ne résoudra rien, puisque, ce n'est pas là que devrait se porter l'action gouvernementale.
Mais, au fait, y-a-t-il action ou écran de fumée ?
Pense-t-il que son écran de fumée nous fermera les yeux ?
Pourquoi, n'agit-il pas, là, où, il le devrait ?
Il est clair que les Etats-Unis travaille contre l'Europe. Je dis, les Etats-Unis, parce qu'ils ne devraient laisser leurs institutions financière attaquer et chercher à détruire un allié en appauvrissant la majorité de sa population.
A une époque, de tels actes seraient identifiés à des actes de guerre.
Mais, voilà, la fameuse mondialisation qui devait soi-disant servir au bénéfice de la planète et qui ne sert qu'à la planète financière.
Planète financière qui se permet, comme Goldman Sachs, d'ailleurs de stocker des monceaux de produits miniers ou de première nécessité pour faire monter les cours.
Affamer les peuples ne les gènent en rien. Tout ce qui l'intéresse, c'est faire du profit puissance N.
Alors, qu'est-ce qu'il nous raconte sarko en cherchant à nous faire croire que ce problème peut être surmonter par plus de sacrifice par les peuples.
Alors, que la vérité est ailleurs !
Tout ce qu'il va faire misérablement, c'est supprimer les devoirs de l'état vis-à-vis de ses citoyens.
Son fétichisme envers les Etats-Unis nous conduit directement à la misère la plus noire.
Pour essayer de masquer son incapacité, il nous désigne des boucs émissaires en espèrant se faire réélire.
Mais, même, pour cela, il est trop tard.
Son manque de courage est notre malheur.
Moi, à sa place, j'exigerais le démantèlement de la Banque Goldman Sachs.
Croyez-moi, mes quatre chers lecteurs, les charges contre elle, pullulent.
A bientôt.
René.

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